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(26/06/2007 12:12:00)
Interview vidéo de Dominique DUFLO, Directeur des ressources humaines, Sogeti France
Propos recueillis par Sandrine CHILOTTI, Journaliste à www.cio-online.com (...)
(25/06/2007 18:14:32)Un premier pas vers une standardisation du cryptage des données
L'association professionnelle Trusted Computing Group* (TCG) vient d'annoncer que son groupe de travail en charge du stockage avait rédigé une spécification préliminaire d'un "trusted storage". Autrement dit une "standardisation" des conditions de cryptage et d'accès aux données quelque soit leur support (magnétique ou optique) et leur interface (ATA, Serial ATA, SCSI, FibreChannel, USB, IEEE 1394, NAS ou iSCSI). Cette pré-annonce est à rapprocher de la présence de BitLocker dans les deux versions les plus chères de Vista : Enterprise et Integrale. Là où BitLocker assure un cryptage des volumes sur des périphériques standards, le TCG réclame des périphériques adaptés. C'est le prérequis pour le chiffrement de l'intégralité du périphérique et non seulement de certains volumes. Notons qu'Active Directory peut être mis à contribution pour gérer les droits de BitLocker alors que le TCG n'en est pas encore à ce stade dans ses travaux. *dont les fondateurs sont AMD, Hewlett-Packard, IBM, Infineon, Intel, Lenovo, Microsoft et Sun Microsystems. L'association revendique plus de 2000 membres. (...)
(25/06/2007 18:09:10)L'Etat cèdera jusqu'à 7% de ses titres France Télécom
Bercy annonce que «l'Etat a engagé la cession de 5% du capital de France Télécom». Ce chiffre pourrait, en fonction de la demande exprimée, monter à 7% du capital. Entre 130 et 180 millions de titres de l'opérateur historique qui seront cédés contre un montant compris entre et 2,6 et 3,7 milliards d'euros. Dans un communiqué, le ministère de l'Economie indique que le produit engrangé servira à combler une partie de la dette de l'Etat et des administrations publiques. A l'issue de cette opération, l'Etat détiendra directement et indirectement entre 25,5% et 27,4% du capital de France Télécom, dont il veut rester actionnaire majoritaire. Jusqu'à présent, le flottant représentait 2/3 du capital du groupe, l'Etat en possédait 1/3 et les salariés se partageaient 3,5%. D'ailleurs, «une offre spécifique sera ultérieurement proposée par l'Etat aux salariés et anciens salariés de l'entreprise». Plombée par cette annonce, la Bourse de Paris reculait de 1,03% en début de séance de ce lundi. A 12h00, l'action France Télécom perdait quant à elle 2,38 points, à 20,47€. Selon certains courtiers, ce chiffre coïncide avec la fourchette de prix proposée par l'Etat dans cette opération de placement accéléré. (...)
(25/06/2007 18:07:29)Vista est plus sûr que XP, selon Microsoft
Quand Jeff Jones, membre de la direction stratégique de la sécurité chez Microsoft, prend la parole, c'est pour expliquer que Vista est plus sûr que son prédécesseur XP. Et l'homme de se lancer dans une comparaison entre la sécurité de XP et celle Vista d'où il ressort que ce dernier arrive... vainqueur. Au cours des six premiers mois d'existence de Vista, Microsoft s'enorgueillit de n'avoir eu à déplorer qu'une seule faille "high severity". XP en totalisait déjà 23. Peu de données en revanche sur les failles non-comblées dans les deux OS. Jeff Jones indique toutefois que dans Vista, la plupart n'étaient pas critiques et une unique, alors classée « high severity » aurait été laissée en l'état. XP en totalisait deux du même niveau. Plus généralement, sur un total de 27 failles découvertes dans Vista, Microsoft en a comblé 12 alors que ses équipes avaient dû produire 36 rustines pour endiguer la déferlante de 39 failles découvertes à l'époque dans XP. Bien sûr, les contradicteurs de Jeff Jones ont beau jeu de souligner que s'abaisser à comparer Vista avec le désastre sécuritaire qu'était XP avant sa SP1 ne mérite que mépris hautain. L'affirmation de Jeff Jones selon laquelle Vista est plus sûr que les OS dans la mouvance Unix, comprenez Linux et MacOS, suscite, bien sûr, une vigoureuse levée de boucliers. (...)
(25/06/2007 17:45:31)L'expérience prime sur le diplôme dans le secteur industriel, selon le Sessi
Dans une étude intitulée « Les difficultés de recrutement en CDI. Trouver le bon profil est un enjeu, surtout dans l'industrie », le Sessi (Service des études et statistiques industrielles, rattaché à la Direction Générale des Entreprises) indique, par la plume d'Elisabeth Rignols, qu'en 2005, près d'un tiers des procédures de recrutement en CDI ont, a posteriori, été considérées comme difficiles par les employeurs, tant dans l'industrie que dans les autres secteurs. Il semble toutefois que les caractéristiques des recrutements soient les mêmes que dans les autres secteurs de l'informatique, mais exacerbés. A commencer par la faible représentativité des femmes. Certes, une large majorité des industriels (60%) qui ont embauché un homme se déclarent indifférents à employer un homme ou une femme. En outre, l'étude s'appuie aussi sur une enquête de la Darès (« Offre d'emploi et recrutements », 2005) qui montre qu'en cas d'embauche d'une femme dans l'industrie, 83% des employeurs déclarent qu'ils auraient embauché indifféremment un homme ou une femme, le chiffre s'élevant à 95% en cas de recrutement jugé difficile. Le Sessi souligne donc que « la forte représentativité des hommes dans l'industrie ne reflète donc peut-être pas une préférence mais pourrait tenir à d'autres facteurs comme une insuffisance des candidatures féminines, liée notamment à l'image des métiers de l'industrie. » Les candidatures de seniors peu appréciées Il n'en est malheureusement pas de même pour les seniors. En effet, l'autre caractéristique présente dans les métiers transversaux de l'industrie et de l'informatique est le problème posé par le recrutement des seniors. Pourtant, l'étude du Sessi montre que dans l'industrie l'expérience prime sur le diplôme. Oui... mais paradoxalement, la difficulté de recrutement s'accompagne d'une faible inclinaison des employeurs à embaucher des seniors. Cette donnée est davantage récurrente dans l'industrie que dans d'autres domaines. « Cela peut s'expliquer aussi bien par des difficultés consécutives à un choix, de la part d'employeurs, de privilégier des candidats moins âgés mais peut également refléter leur souhait de ne pas ajouter de risque à une recrutement déjà difficile en confiant les fonctions à un candidat un peu âgé, » indique le Sessi. Ce constat pose un problème de taille pour les populations d'informaticiens qui vieillissent. Et si la piste de l'industrie devrait être tentée par les informaticiennes soucieuses de découvrir un autre environnement (leur candidature ayant de bonnes chances d'être attentivement examinée), elle semble en revanche fermée aux seniors. Pour ces derniers, le malaise demeure, plus que jamais, palpable : en dépit des appels des différents acteurs (Apec, Syntec Informatique, Munci, ministère du Travail....) à l'emploi des 40 ans et plus, des bonnes intentions affichées par certaines entreprises (lutte contre la discrimination à l'âge et volonté manifeste d'embaucher des seniors) et d'une réflexion politique sur l'allongement de la durée du travail avant l'âge fatidique de la retraite, les seniors semblent toujours exclus. A la fois des SSII où l'on privilégie jeunes diplômés et ingénieurs ayant entre 5 et 10 ans d'expérience, et du monde industriel. (...)
(25/06/2007 17:29:17)Pour Google, la censure est un frein à l'expansion économique
Google a débuté une stratégie de lobbying après des autorités américaines du commerce pour lutter contre la censure sur Internet, rapporte l'Associated Press. Le moteur de recherche, souvent pris pour cible pour son non-respect des données personnelles des internautes, estime que les restrictions mondiales sur Internet doivent être traitées au même titre que les barrages au commerce telles que les taxes douanières, par exemple. « Il est juste de dire que la censure est le barrage n°1 auquel nous avons affaire », confie Andrew McLaughlin, directeur des affaires publiques chez Google, à l'Associated Press. Et, dès lors, constitue pour Google un frein réel à son modèle, qui repose sur la publicité en ligne diffusée sur les services de la marque. Notons que YouTube, service de vidéo en ligne propriété de Google, est la cible de filtrage de nombreux pays, comme la Turquie, la Thaïlande, la Chine et récemment le Maroc. Une censure qui intervient alors que YouTube investit de plus de plus de marchés à l'échelle locale - comme en France la semaine dernière. Cette bride que constituent la censure et les filtres de contenu « diminue la valeur de leur produit », explique un membre d'une association pour la défense des droits de l'Homme. Il faut également préciser que Google avait dû censurer les résultats du moteur de recherche pour pénétrer le marché chinois, et se plier aux desiderata du gouvernement de Pékin. En juin dernier, Privacy International publiait un rapport qui classait Google « hostile à la vie privée ». Le mois dernier, le conseil d'administration du groupe faisait pression sur les actionnaires pour rejeter une proposition qui devait bannir toute censure du moteur de recherche. Un « flirt » avec la censure et les respects des données privées qui a, par ailleurs, attiré l'attention de la Commission européenne et « du groupe de l'article 29 ». (...)
(25/06/2007 17:26:34)Intel développe une puce de diagnostic médical
Lors de son dernier Research@Intel Day, le 20 juin dernier, le fondeur a présenté la dernière création de son laboratoire de R&D israélien : la BioElectronic Chip (ou puce bio-électronique). Celle-ci consiste en un transistor à effet de champs (FET - ou Field Effect Transistor) modifié pour intégrer des molécules biologiques et ainsi réagir à la présence de marqueurs biologiques. Concrètement, il s'agit de lier un transistor à une protéine réagissant à la présence d'un virus, d'une bactérie ou toute autre substance. Dès que la puce est en contact avec la substance en question, le courant passe dans le transistor. Plutôt que de développer un processeur pour chaque substance à tester, la puce BioElectronic servirait de support mi-électronique, mi-biologique intégré à un lecteur. Dessus, il serait possible d'ajouter temporairement des embouts contenant une protéine réagissant selon le produit ou la maladie à détecter. Une fois le test effectué, il suffirait de jeter l'embout et d'en insérer un autre dans le lecteur. Encore à l'état de prototype, la BioElectronic Chip sera commercialisée en priorité vers les médecins, dispensaires et hopitaux, ainsi que dans des laboratoires d'analyses médicales. Aucune date n'a été communiquée pour le lancement de ce produit, ni aucun prix. (...)
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