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(18/01/2006 17:51:13)

Modeste progression du chiffre d'affaires de LogicaCMG

LogicaCMG vient d'indiquer que son chiffre d'affaires a enregistré une progression organique de 5 % sur l'année calendaire 2005, par rapport à l'année précédente. Sans fournir de chiffres détaillés, qu'elle réserve pour l'annonce de ses résultats préliminaires le 1er mars prochain, la SSII fait état de confortables liquidités au second semestre. Dans le domaine des services, LogicaCMG souligne ses bonnes performances au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, mais aussi en France. Dans l'hexagone, la SSII semble particulièrement satisfaite de son rapprochement avec Unilog et de ses premières retombées. LogicaCMG reconnaît néanmoins des difficultés sur le marché allemand, tout en précisant que son chiffre d'affaires local est resté stable au second semestre par rapport au premier. LogicaCMG a fait l'acquisition de 32,3 % d'Unilog fin octobre dernier. Le rachat s'est achevé le 13 janvier. LogicaCMG détient désormais 96,6 % du capital d'Unilog. (...)

(27/02/2006 17:31:58)

Intel : stocks insuffisants, résultats en berne

Les résultats présentés par Intel pour son quatrième trimestre 2005 ont engendré des sueurs froides dans le cénacle boursier. En n'atteignant ni ses propres objectifs, ni les prévisions des analystes, le groupe a vu le cours de son titre s'effondrer en quelques heures. Le chiffre d'affaires réalisé au quatrième trimestre s'élève à 10,2 Md$, soit 6 % de plus qu'à la même période de l'année précédente. Un peu plus tôt dans l'année, Intel prévoyait des revenus compris entre 10,4 et 10,6 Md$, quand les analystes escomptaient 10,56 Md$. Le bénéfice net atteint 2,5 Md$, en progression de 16 % sur un an, soit un gain par action de 40 cents. Là encore, le groupe ne parvient pas à s'aligner sur les prévisions des analystes, ces derniers visant 43 cents par action. Sur l'ensemble de l'année 2005 le chiffre d'affaires croît de 13,5 %, à 38,8 Md$. Le bénéfice net bondit de 15 % pour atteindre 8,7 Md$. Le prévisions du groupe pour le premier trimestre 2006 n'ont guère réjouit les observateurs. Intel table ainsi sur un CA compris entre 9,1 et 9,7 Md$. Pour l'ensemble de l'exercice, le fabricant espère une croissance des revenus de 6 à 9 %. La direction a attribué ces résultats à des livraisons plus faibles que prévues de processeurs pour PC de bureau. Un problème lié à un stock insuffisant pour satisfaire l'ensemble de la demande. Par conséquent, les livraisons ont été inférieures à ce que le groupe avait prévu au début de l'année. Selon le président, Paul Otellini, les niveaux de stocks devraient recouvrer un état normal au cours du premier trimestre 2006. Intel se concentrera ensuite sur le maintien de stocks importants pendant le reste de l'année. (...)

(18/01/2006 17:50:09)

Microsoft repousse à mi-2007 le SP3 de Win XP

Microsoft ne livrera pas le Service Pack 3 de Windows XP en 2006, comme l'avait laissé entrevoir l'éditeur. Mais plutôt à partir de juin 2007, soit presqu'un an après Vista. Microsoft explique que les développements de son prochain OS, prévu pour fin 2006, accaparent, pour l'heure, l'ensemble de ses équipes. La date communiquée par Microsoft ne serait que « préliminaire ». L'éditeur n'a pas indiqué le contenu du SP3, hormis les mises à jour et rustines de sécurité habituellement intégrées. Rappelons toutefois que Microsoft avait également supprimé de la roadmap de Vista des composants tels que WinFX Des éléments qui doivent être portés sur XP, après la sortie de Vista. (...)

(27/02/2006 17:31:20)

IBM termine l'année 2005 sur des ventes en baisse mais un bénéfice en hausse

IBM a bouclé son exercice fiscal 2005 sur un bénéfice en croissance mais des ventes en recul. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 91,1 Md$, soit 5 % de moins qu'en 2004, alors que le résultat net perd 6,6 %, à 8 Md$. Au quatrième trimestre, Big Blue a enregistré un revenu de 24,4 Md$, en recul de 12 % par rapport à la même période de l'année précédente. Dans le même temps, le résultat net gagnait 13 % et atteignait 3,2 Md$. En ne tenant pas compte de la division PC, dont les ventes sont prises en compte pour les premiers mois de 2005, cédée au chinois Lenovo, le CA d'IBM s'alignerait à 88,3 Md$, soit une hausse de 3 % sur un an. Toutes les zones géographiques ont reflété le faible dynamisme des ventes au cours de l'année, allié à un taux de change défavorable. Si la région Amériques fait bonne figure avec un revenu de 38,8 Md$, en régression de 3 % (+4 % après ajustement des taux de change et en excluant la division PC), la zone Asie-Pacifique recule de 12 %, à 18,6 %, résultat d'une restructuration dont les effets positifs sur les résultats du groupe devraient se faire sentir au premier trimestre 2006. Quatre marchés émergents s'illustrent particulièrement par des taux de croissance intéressants : l'Inde gagne ainsi 55 % sur l'année, le Brésil et la Chine progressent respectivement de 7 % et 8 %, et la Russie affiche une croissance de 29 %. En excluant la division PC, les chiffres d'affaires de tous les secteurs d'activité d'IBM enregistrent des revenus croissants sur l'ensemble de l'année. La division Global Services enregistre un CA en hausse de 2 %, à 47,4 Md$. L'activité Hardware, avec 24,3 Md$, pâtit particulièrement de la cession des PC à Lenovo et recule de 22 %. En excluant l'activité PC, cette division afficherait une hausse de 5 %. Les logiciels génèrent 15,8 Md$ et croissent de 4 %. L'activité finance, Global Financing, avec 2,4 Md$, décroît de 8 %. En dépit de ventes plutôt calmes, Big Blue est donc parvenu à dégager d'intéressants profits et, au grand bonheur des actionnaires, à porter le bénéfice par titre à 2,01 $, soit plus que ne le prévoyaient les analystes. C'est en mettant l'accent sur les activités hautement rentables et en mettant de côté les secteurs à faible marge qu'IBM est parvenu à un tel résultat. "Comme nous disions un peu plus tôt dans l'année, explique ainsi Mark Loughridge, le directeur financier du groupe, nos bénéfices découlent davantage d'une maîtrise des coûts et des dépenses que de nos revenus". (...)

(27/02/2006 17:29:50)

IDC et Oracle prévoient une légère hausse du marché des ERP pour PME en 2006

La cinquième édition du baromètre de l'ERP réalisée par IDC avec Oracle auprès de 300 entreprises de 100 à 2000 salariés prévoit une légère hausse des installations de progiciels dans les PME en 2006 après une année 2005 en deçà des attentes. Pour leur baromètre précédent, IDC et oracle avaient estimé en début d'année 2005 que 9% des PME du segment s'équiperait d'un ERP. Au final environ 7% ont effectivement franchi le pas. Selon IDC, ces PME n'ont pas pour autant renonce a s'équiper en solutions ERP. Leurs décisions d'achat devraient se concrétiser début 2006. IDC et Oracle pronostiquent donc que 8% des PME devrait investir dans un progiciel intégré au cours de l'année 2006. L'une des informations intéressantes du baromètre est qu'il montre le caractère prédateur des ERP sur les autres formes de logiciel. Selon IDC et Oracle, L'ERP « cannibalise » le Système d'Information des PME équipées ne laissant que peu de marges de man?uvre aux solutions Best of Breed. Pour une PME, l'acquisition d'un ERP présente donc le risque de se livrer pied et poings liés à un fournisseur. Côté plus positif, l'ERP permet à des entreprises de faire avancer leur SI. Par exemple, seules 50% des entreprises ayant choisi une approche "best of Breed" sont équipées d'outils de gestion de la production tandis que celles qui disposent d'un ERP sont équipées à 73%. Reste qu'IDC ne précise pas si les PME "best of Breed, ne sont pas passées à l'ERP, justement parce qu'elle n'ont pas besoin de gestion de production (cas des sociétés de service ou de distribution par exemple)... L'ERP pousse à un suréquipement logiciel Une autre information intéressante du baromètre est qu'il fait le point sur le niveau d'équipement des PME en logiciels. On apprend ainsi que les modules fondamentaux de gestion - gestion comptable et financière, gestion commerciale, gestion de la production et gestion de la paye et des ressources humaines - sont massivement adoptés, que la PME soit adepte de l'ERP ou non. Selon IDC, le nombre moyen de modules de gestion mis en oeuvre est de 3,4 pour les PME équipées d'ERP, contre 3,2 modules pour celles adeptes des solutions Best of Breed. Les PME équipées d'ERP semblent en revanche plus matures pour ce qui concernent le CRM ou la business Intelligence. Le passage à une offre intégrée ERP semble également accélérer l'adoption de solutions de gestion de la relation clients (CRM) et de Business Intelligence, ce qui paraît logique dans la mesure ou les éditeurs d'ERP ont souvent étendu leurs offres à ce secteur et poussent leurs clients à élargir leur nombre de modules . Le nombre moyen de modules utilisés passe ainsi à 4,3 lorsque la PME dispose d'un ERP contre 3,6 modules lorsqu'elle privilégie les solutions Best of Breed. Il est à noter que si l'ERP joue un rôle structurant dans le Système d'Information, il contribue aussi à la réduction du nombre de fournisseurs de logiciels de l'entreprise. Un bénéfice, assorti d'un accroissement du risque de dépendance. Il est ainsi révélateur que les PME disposant de 4 modules de gestion ont aussi dans plus de deux tiers des cas 4 fournisseurs différents. Pour terminer, signalons que selon IDC et Oracle, 46% des PME équipées d'un ERP et 44% des autres PME prévoient des évolutions majeures en 2006. Pour la plupart il s'agira d'une évolution du périmètre fonctionnel des applications ou d'un élargissement de la base installée d'utilisateurs. 30% des PME prévoient ainsi de déployer leur ERP sur une base plus large d'utilisateurs, contre 25% des PME adeptes des solutions Best of Breed. (...)

(18/01/2006 18:07:20)

Offres promotionnelles sur la gestion en mode hébergé

Editeur de logiciels de gestion en mode hébergé, Idylis proposera deux packs sur mesure durant le salon des entrepreneurs, du 1er au 3 février 2006 au palais des Congrès de Paris. Le pack Idylis Libéral, destiné aux professions libérales, regroupe Comptabilité libérale, une solution pour gérer comptes et liasses fiscales, ainsi que Gestion libérale, un logiciel incluant des outils de facturation, de gestion de la relation client et des tableaux de bord. L'ensemble est proposé au tarif de 100 € pour un an, uniquement sur la durée du salon. Un second pack, Idylis 3x3, s'adresse aux petites entreprises : il comprend une solution de comptabilité, un outil de gestion commerciale et un troisième logiciel au choix. Pour trois utilisateurs, le tarif spécial salon est de 180 € pour un abonnement d'un an. (...)

(18/01/2006 18:06:33)

Les outils numériques s'exposent au salon des entrepreneurs

Du 1er au 3 février 2006, le salon des entrepreneurs accueille petites et moyennes entreprises au Palais des Congrès, porte Maillot à Paris. Comme l'année précédente, un espace entier, l'Econumérique Expo, est consacré aux technologies de l'information. Près d'une trentaine de conférences et d'ateliers techniques sont proposés aux visiteurs. Parmi les thèmes abordés, le commerce en ligne, la mobilité ou encore les téléservices administratifs proposés aux entreprises. L'exposition accueille par ailleurs 35 exposants, éditeurs, sociétés de services ou fournisseurs de matériel informatique. (...)

(18/01/2006 18:05:51)

Cisco lance une opération séduction pour les clients PME de Linksys

Après avoir attiré bon nombre de petites entreprises avec sa division Linksys, Cisco tente de les convaincre d'évoluer vers des produits plus haut de gamme. Il y a quelques mois, le constructeur réseau adaptait ses produits pour grandes entreprises aux PME. Avec le programme d'échange Linksys - Cisco, il veut maintenant les aider à franchir le pas. Intérêt : le réseau peut gagner en capacité ou en fonctionnalités sans que les investissements passés soient remis en cause. La stratégie de Cisco pourrait bien payer deux fois : d'abord en attirant des entreprises qui hésitent à faire évoluer leur infrastructure ; ensuite en donnant un avantage concurrentiel à Linksys par rapport aux autres constructeurs de produits d'entrée de gamme comme Netgear ou Belkin. Linksys peut désormais garantir la pérennité des investissements de ses clients, y compris s'ils ont besoin de faire évoluer leurs routeurs, commutateurs ou bornes réseaux. A condition toutefois de respecter le délai de trois ans maximal. (...)

(18/01/2006 18:04:25)

8 % des PME françaises devraient acheter un PGI en 2006

Le baromètre Oracle/IDC confirme les prévisions d'achat de PGI dans les PME en 2005. En 2006, il estime à 184 millions d'euros les achats de licences qui seront effectuées autour des solutions de gestion sur ce segment de marché. Conformément aux prévisions affichées par le baromètre Oracle/IDC au printemps dernier, 7 % des entreprises françaises de 100 à 2 000 salariés, soit environ mille PME, ont bien acheté un progiciel de gestion intégré (PGI) au cours de l'année écoulée, ce qui représente autant de projets de ce type qu'en 2004. Lors de l'enquête téléphonique réalisée en mars 2005 pour établir ces estimations, les PME interrogées avaient été 9 % à manifester leur intention d'acquérir un PGI. Le cabinet d'études IDC indique que celles qui n'ont pas concrétisé cette intention ont simplement repoussé leur achat de quelques mois. En 2006, IDC et Oracle prévoient que 8 % de PME achèteront un PGI, un taux légèrement supérieur, donc, à celui de 2005. Cette estimation résulte d'une enquête téléphonique menée en janvier 2006 sur 300 PME. Ce sont les entreprises industrielles qui se montrent les plus dynamiques sur ces initiatives. Il apparaît par ailleurs que le marché sera tiré, en valeur, par les PME les plus grosses (celles qui comptent de 500 à 2 000 salariés, soit 2 080 entreprises). Ces dernières peuvent en effet réaliser des investissements beaucoup plus importants que les deux autres segments analysés par IDC (PME de 200 à 500 salariés, soit 4 540 entreprises, et PME de 100 à 200 salariés, soit 7 670 entreprises). Nouveaux projets de PGI : 90 millions d'euros de licences Ces prévisions d'acquisition de PGI ne représentent toutefois, selon IDC, que quelque 90 millions d'euros en achats de licence. En comptant l'ensemble des investissements que les PME comptent réaliser en 2006 autour de leur système de gestion (ajout de modules, extensions fonctionnelles, mises à jour de version...), les ventes de licences estimées s'élèvent à 184 millions d'euros. Ces chiffres n'incluent ni le coût de la maintenance, ni les dépenses qui seront faites autour des services. En moyenne, pour un projet de PGI en PME, les sommes investies dans l'achat des licences oscillent entre 80 000 et 90 000 euros. Dans les petites PME, ce budget ne dépasse pas 10 000 à 15 000 euros. L'entreprise garde son application de gestion pendant dix ans On constate donc, depuis trois ans, une certaine stabilité dans le nombre de projets d'achat de PGI, après le ralentissement enregistré à la suite des chantiers engagés massivement à l'occasion de l'an 2000 et du passage à l'euro. Il est vrai qu'une fois acquises, les applications de gestion ne sont généralement renouvelées que tous les 9 à 10 ans, à moins qu'un événement extérieur (fusion, rachat...) n'oblige l'entreprise à changer de système. Par ailleurs, l'enquête menée par IDC en janvier confirme la progression, dans les nouveaux projets, des progiciels intégrés au détriment des logiciels de gestion dits « Best of Breed » (c'est-à-dire spécialisés sur une catégorie de fonctions comme la comptabilité, la gestion commerciale ou la gestion de production). La PME passe volontiers d'une application spécialisée à un PGI, mais le trajet inverse n'est jamais effectué. (...)

(17/01/2006 17:55:16)

Annuaire universel : le Numéro reproche à FT un traitement inéquitable

Le service de renseignements téléphoniques Le Numéro, plus connu des consommateurs sous la marque 118 218 et grâce à ses publicités décalées, reproche à France Télécom ses pratiques discriminatoires et saisit le Conseil de la concurrence. A la source de l'ire du 118 218, la mauvaise volonté avec laquelle France Télécom livrerait sa base de données aux opérateurs alternatifs. Une base incomplète, déplore Le Numéro, qui s'appuie sur des constats d'huissiers pour étayer ses accusations. Les renseignements fournis aux consommateurs seraient, par conséquent, insatisfaisants et, partant, d'une qualité inférieure à celle émanant du groupe FT. Il en va ainsi, par exemple, des numéros de téléphone des Assédic, du Ministère de l'Intérieur, de certains particuliers ou encore du Conseil de la concurrence, vers lequel se tourne le 118 218 pour que cesse le traitement inéquitable dont il fait l'objet. Le plaignant accuse France Télécom d'abus de position dominante et regrette de devoir mettre en oeuvre des moyens supplémentaires pour palier l'insuffisance de l'annuaire mis à sa disposition par l'opérateur historique - alors même que des dispositions réglementaires imposent à ce dernier de céder les fichiers de ses abonnés. (...)

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