Dans chaque touche de ce clavier, présenté au Cebit de Hanovre : un minuscule écran. D'une résolution de 32x32 pixels, chaque écran peut afficher n'importe quelle lettre, symbole, ou graphique en couleur. Le clavier dessiné par Art Lebedev Studio comporte 114 « touches-écran » de technologie Oled. L'affichage de chaque touche peut être modifié selon le logiciel lancé. Lorsqu'on bascule vers Photoshop par exemple, les touches de raccourci situées à gauche du clavier peuvent afficher la palette d'outils. Seul problème, le clavier Optimus Maximus présenté au Cebit coûte une fortune : 1500 $. Pire, les touches n'ont pas une durée de vie raisonnable. Il faut les changer en moyenne tous les cinq ans. Chaque touche étant facturée 10 $, cela risque de coûter très cher.