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(18/06/2009 12:44:24)

SAP soutient l'action de Planet Finance auprès des institutions de micro-crédit

SAP a décidé d'apporter son savoir-faire technologique à Planet Finance, l'association créée par Jacques Attali il y a dix ans pour soutenir les acteurs du micro-crédit dans le monde. Pour l'éditeur de logiciels de gestion, il ne s'agit pas d'une action localisée mais d'un partenariat globalisé, sur trois ans, qui va inclure l'ensemble de la communauté SAP. C'est le PDG de la société, Léo Apotheker, qui l'a annoncé hier mercredi 17 juin à Paris, conjointement avec l'ancien conseiller du président François Mitterand. Depuis plusieurs mois, le fournisseur d'ERP affiche sa volonté de s'impliquer sur les questions de développement durable, tant au travers de ses logiciels que par la réduction de son empreinte carbone. Cette fois, il veut participer à des actions sociales menées contre l'extrême pauvreté et contribue à un premier projet en Afrique, dans le nord du Ghana, visant à améliorer le revenu des producteurs de beurre de karité. « En travaillant avec les opérateurs mobiles, nous espérons améliorer la chaîne de valeur qui va du récoltant aux grands acheteurs internationaux, expose Léo Apotheker. Nous pouvons apporter des pratiques de gouvernance, des programmes d'éducation et de formation ». L'engagement financier et technologique de SAP aux côtés de Planet Finance comporte en fait trois volets. Redévelopper le logiciel de gestion de dossiers de crédit Pour commencer, d'ici fin 2009, l'association disposera pour ses propres processus de gestion d'une suite intégrée (gestion financière, des ressources humaines, des projets et des connaissances, ainsi que fonctions décisionnelles), fournie gratuitement par l'éditeur. Active dans une soixantaine de pays, l'organisation de Jacques Attali dispose en effet d'un réseau international de 38 bureaux. Ensuite, SAP va aider à redévelopper le logiciel Microfit que l'association propose aux institutions de micro-finance (de moyenne et grande taille) pour gérer leurs dossiers de crédit. Cette future version devrait être fournie en mode SaaS (software as a service) pour en réduire le coût d'accès. Ce sont très probablement les équipes des offres en ligne SAP Business ByDesign et SAP on-demand qui plancheront sur ce sujet. « L'un des facteurs bloquants de la micro-finance, c'est le taux d'intérêt », explique Jacques Attali. Le micro-crédit coûte cher car il implique de nombreuses interventions. « L'impact des nouvelles technologies permettra de réduire le taux d'intérêt. Il faut permettre aux plus petites institutions de micro-finance de réduire leur frais de fonctionnement. » En optimisant les processus de gestion des dossiers de prêt. Doper l'activité à la base de la pyramide économique [[page]]Enfin, dans le troisième volet du partenariat, SAP s'illustre, comme de nombreux autres grands acteurs des TIC, par la participation à des projets concrets de développement d'entreprises dans les pays pauvres. Le projet mené au Ghana est un programme pilote qui sera porté à une plus large échelle en cas de succès. « C'est l'un des pays les plus prometteurs d'Afrique, affirme Jacques Attali. La moitié de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté, mais cette proportion est beaucoup plus élevée dans d'autres pays. » 90% des femmes de la région nord ramassent des noix de karité. L'objectif du programme est de permettre à ces femmes de se constituer en groupe et de se former pour organiser efficacement la récolte, la transformation et la vente du beurre de karité servant en cuisine et en cosmétologie. Chaque groupe sera équipé d'un téléphone portable pour s'informer sur les cours du marché des produits, faciliter le suivi du négoce et s'affranchir ainsi des intermédiaires manquant de sérieux. « Vis-à-vis des femmes, les intermédiaires captent la richesse sans apporter de valeur, explique Léo Apotheker. Nous voulons aider ces femmes à mieux vendre leurs produits en s'organisant de manière un peu plus industrielle. L'un des moyens que nous avons pour le faire, c'est la technologie. » Le PDG de SAP rappelle les progrès réalisés en Afrique, depuis plusieurs années, sur l'infrastructure de téléphonie mobile. « On va s'appuyer sur cette infrastructure pour permettre aux acteurs économiques locaux de prospérer. Notre partenariat vise à fournir les moyens pour doper l'activité à la base de la pyramide économique. » Le dirigeant veut néanmoins « rester modeste ». « Nous démarrons par un projet pragmatique qui peut améliorer la situation de personnes qui sont dans la pauvreté absolue ». SAP aimerait entraîner son écosystème à sa suite SAP a également l'ambition d'entraîner l'ensemble de son écosystème dans son sillage, sous diverses formes « dons, fourniture d'expertise... ». S'il est encore trop tôt pour évaluer l'enthousiasme des partenaires, Léo Apotheker constate qu'il y a beaucoup d'engouement autour de ce projet. « Il y a 1,4 million de personnes dans notre communauté. Si nous parvenons à susciter leur intérêt, nous aurons créé une belle vague. » Le PDG de SAP rappelle qu'il compte parmi ses clients les toutes premières entreprises d'agro-alimentaires et de cosmétiques. « Toutes veulent un modèle plus responsable. Et nous sommes capable d'être l'intermédiaire entre ces grandes entreprises et les petites pour augmenter la chaîne de valeur ». Interrogé sur le montant de l'effort financier consenti par SAP dans son partenariat avec Planet Finance, Léo Apotheker n'a pas souhaité répondre. Il se contente de renvoyer sur le rapport publié en mai par sa société où figure le montant des sommes investies dans les projets de responsabilité sociale (rubrique Corporate Social Responsability). Jacques Attali, de son côté, assure que « la somme est conséquente ». (...)

(16/06/2009 16:16:28)

L'éditeur polonais Comarch veut se faire un nom en France

Presque inconnu en France pour l'instant même s'il y compte déjà plusieurs clients et quarante collaborateurs, l'éditeur polonais Comarch entend bien développer ses activités de façon significative dans l'Hexagone. Ses logiciels de facturation et de gestion de réseaux pour les opérateurs de télécommunications lui ont permis d'entrer chez Bouygues Telecom et Auchan Telecom. Mais il compte aussi bâtir d'ici 2010 un réseau de distribution indirecte afin de diffuser son ERP pour PME de négoce, Comarch Altum. Ce produit, basé sur la technologie Microsoft .Net, se pose en concurrent d'ERP tels que ceux de Divalto ou Cegid. Il est vendu sous forme de licences, à partir 500 euros par utilisateur (900 euros avec ses fonctions de workflow et d'analyse décisionnelle).

55% du chiffre d'affaires réalisé à l'international


Au niveau mondial, Comarch a déjà pris pied dans une quinzaine de pays. Créé en 1993 par Janusz Filipiak, il réunit 3 500 salariés et 57 000 clients, parmi lesquels T-Mobile, Vodafone et O2. Outre ses solutions pour les opérateurs télécoms (30% de son chiffre d'affaires total en 2008), l'éditeur déploie ses applications de gestion sur trois autres marchés : la distribution et les services (avec notamment la gestion des cartes de fidélité, chez BP France, par exemple), la banque (avec une forte présence en Ukraine) et le secteur public. L'an dernier, Comarch a réalisé 55% de son chiffre d'affaires de 200 M€, hors de son marché national. Janusz Filipiak, son PDG, souligne que 13% de ce CA a été investi en R&D en 2008 (le groupe dispose de quatre centres de R&D en Europe).

Bien implanté à Lille


Sur l'Hexagone, les équipes de Comarch se répartissent entre Lille, où l'équipe conseil et technique est installée, et l'antenne parisienne à vocation commerciale. A Grenoble se trouvent par ailleurs dix personnes investies dans le développement de l'offre télécom. L'éditeur polonais focalisera son activité française sur son ERP pour PME et sur le marché des télécoms. Il insiste sur l'aspect intégré de son offre destinée aux opérateurs avec laquelle il entre en concurrence avec des acteurs comme Oracle ou Amdocs. Dans un premier temps, Comarch concentrera son action commerciale sur la Région Nord Pas-de-Calais et sur Paris. (...)

(11/06/2009 16:44:32)

SAP lève le voile sur ses prochaines applications en ligne

SAP en dit un peu plus sur la prochaine génération d'applications en ligne qu'il destine à sa base installée. John Wookey, recruté par l'éditeur allemand en novembre dernier, avec le titre de vice-président exécutif chargé des solutions « à la demande » pour les grandes entreprises, vient de donner des détails sur les produits qu'il prépare. Et qui doivent arriver... « bientôt, bientôt ». Il est notamment intervenu hier, mercredi 10 juin, sur la conférence On Demand organisée à Amsterdam par la Software & information industry association. En embauchant cet ancien collaborateur d'Oracle, à ce poste et avec ce titre précis, l'éditeur allemand d'ERP avait clairement montré son intention de développer son offre en ligne au-delà des produits déjà proposés (CRM on-demand, BI on-demand, l'ERP pour PME Business ByDesign). La gamme SaaS en gestation a été conçue pour apporter des fonctions complémentaires aux utilisateurs de la SAP Business Suite, tant sur l'ERP que sur les autres composantes, telles que l'application de gestion de la chaîne logistique (SCM), par exemple. Ces futurs logiciels on-demand pourront s'utiliser à partir de la version R/3 4.6c de l'ERP jusqu'à l'actuelle version de la Business Suite. Les fonctions proposées seront hébergées par SAP sur une architecture 'multitenant', c'est-à-dire dans laquelle l'ensemble des clients accéderont à la même instance de l'application. A titre de comparaison, avec les produits CRM on-demand et Business ByDesign, chaque client dispose de sa propre instance. Une intégration directe avec la Business Suite Les nouvelles applications en ligne viendront s'interfacer directement avec la Business Suite, simplifiant les procédures d'intégration entre applications sur site et en ligne. Elles seront facturées aux clients sur la base d'un abonnement. Pour John Wookey, ce modèle va permettre à SAP de vendre de nouveaux logiciels à ses clients à un prix raisonnable tout en maintenant sa marge. Le vice-président voit dans le 'on-demand' la prochaine architecture pour concevoir et fournir les applications. Pour autant, il n'est pas question pour lui d'imaginer vendre un ERP en ligne à une grande entreprise, comme il est possible de le faire pour les PME avec un produit comme Business ByDesign. John Wookey considère que les grands clients vont surtout s'intéresser au mode SaaS (software as a service) pour accéder à des fonctions particulières. A noter que la date de la disponibilité générale de l'ERP Business ByDesign n'est toujours par fixée. Un nombre limité de clients l'utilisent déjà depuis plusieurs mois sur six pays, mais SAP ne l'étendra pas aux autres pays avant d'être assuré de la rentabilité du modèle. Le choix des méthodes agiles pour le développement Afin d'accélérer le délai de mise à disposition de ces futurs logiciels en ligne, SAP a choisi de conduire ses développements en s'appuyant sur les méthodes agiles (et notamment Scrum). Des méthodes jugées particulièrement adaptées au modèle 'on-demand' par John Wookey puisqu'elles permettent d'intégrer rapidement les remarques des premiers utilisateurs. SAP devrait livrer ces nouvelles applications par vagues. Les acquisitions d'éditeurs spécialisés dans le SaaS y contribueront. Dans ce domaine, le fournisseur allemand a notamment racheté Coghead et sa plateforme de développement en ligne, en février dernier. En mai, il a repris Clear Standards et sa solution de calcul en ligne des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que SkyData et ses applications pour smartphones. Un peu plus tôt, en 2006, l'éditeur avait déjà mis la main sur Frictionless Commerce, à l'origine d'une application 'on-demand' de gestion des relations fournisseurs (SRM). C'est justement sur l'architecture 'multitenant' de ce dernier que s'appuieraient les nouvelles fonctions en ligne destinées aux utilisateurs de la SAP Business Suite. Outre différents spécialistes du SaaS issus de ces rachats, l'équipe de John Wookey rassemble aussi d'anciens collaborateurs de Salesforce et Siebel. (...)

(03/06/2009 10:44:13)

SAP France met en place un programme de benchmarking

SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.

Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.

En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.

Les limites des critères de performance

Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.

En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)

(02/06/2009 12:48:08)

Annuels : démembré, Arès atteint avec peine les 90 M€ de CA

Arès a publié un chiffre d'affaires en retrait de 9% (90,2 M€ contre 99,1 M€ en 2008). Si on prend en compte l'ancien périmètre du groupe, le CA s'écroule littéralement : il aurait du atteindre 329,1 M€ si Arès ne s'était pas, peu à peu, défait de certaines activités au cours des derniers mois. Le groupe s'est successivement débarrassé de SIS Ile-de-France (cédé à SCC), de SIS Régions (revendu en juillet 2008 à la SSII bordelaise Cheops Technology), d'Adequat (repris par D.FI), du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) ainsi que de la société Databail. Ces différentes opérations ont valu à Arès un redressement judiciaire, entériné par le Tribunal de commerce d'Evry il y a deux mois seulement, après une longue période d'observation. Ces reventes ont provoqué une réduction drastique de la masse salariale d'Arès. En un an, elle est passée de 2 000 à 1 100 salariés. Par secteurs d'activités, c'est le pôle ITS (IT Services) qui permet à Arès d'engranger 68% de ses revenus. Vient ensuite le pôle SIT, qui distribue les solutions Autodesk (20% du chiffre d'affaires). La division ISA (Intégration de solutions applicatives) génère 12% du CA. Elle est chargée de distribuer et d'intégrer la gamme Arcole, une suite de progiciels (paie/RH) qu'Arès a lui-même développée mais qu'il a revendue à l'éditeur De Gamma pour 6 M€ en avril 2008. Pour 2010, le groupe entend mener à terme son redressement judiciaire et se concentrer sur des activités à valeur ajoutée, comme les services managés ou le PLM (gestion du cycle de vie du produit), et renforcer sa présence dans le secteur public, parapublic, la santé et le social. (...)

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