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Architecture logicielle
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(14/10/2008 11:17:30)
Silverlight 2 convoque Eclipse via le Français Soyatec
Microsoft a officiellement lancé Silverlight 2, qui adjoint à son outil de présentation graphique concurrent de Flash les possibilités de développement de .Net. L'inclusion de la plateforme de programmation de Microsoft, et la sortie des outils connexes dédiés aux utilisateurs de Visual Studio, n'est pas une surprise. En revanche, Microsoft a aussi décidé de séduire les développeurs Eclipse, en annonçant la prochaine sortie d'un outil Open Source, Eclipse4sl, élaboré par la start-up française Soyatec. Microsoft n'a jamais caché, en sortant Silverlight, son désir de proposer une plateforme de client riche de type RIA (Rich Internet Application) accessible à la fois aux designers (via la suite d'outils Expression) et aux développeurs (via Visual Studio). Le fait d'inclure .Net dans cette v2 permet ainsi à des développeurs VB, C#, Javascript ou des versions pour .Net de Python et Ruby (IronPython et IronRuby), de concevoir dans leur langage des applicatifs pouvant bénéficier d'une interface écrite en XAML, le langage descriptif utilisé par WPF (la couche graphique de Vista) et Silverlight. Un point sur lequel Microsoft insiste, afin de bien marquer la différence avec Flash et son langage unique. eFace reliait déjà XAML et Java L'accord avec Soyatec donnera également la possibilité de construire les applicatifs Silverlight au sein de l'atelier Eclipse, en Java. Emanation - suite à une dissension - de l'éditeur français d'outils de modélisation Omondo, Soyatec bénéficie d'une subvention de Microsoft pour mener à bien ce projet (interrogé, un responsable de Soyatec n'a pas donné de précisions sur ce financement). L'éditeur avait déjà relié Java et XAML au travers d'un outil, eFace. L'idée de Soyatec est en effet de favoriser la génération d'applications à partir des modèles (approches MDA et MDD, architecture et développement guidés par les modèles). Le fait d'offrir un framework graphique indépendant des plateformes technologiques s'inscrit dans cette optique, la même application Java pouvant ainsi être accessible depuis une interface Web classique ou Silverlight. Silverlight pour Windows, Mac et Linux, et pour IE, Firefox et Safari [[page]] Le lancement de Silverlight 2 correspond à celui de la première version alpha d'Eclipse4sl. Une seconde version d'essai est prévue pour décembre (elle inclura notamment le support des services Web), et la version finale pour le printemps prochain. Elle sera disponible sur SourceForge, sous licence Eclipse. Les spécifications XAML ouvertes aux éditeurs tiers Toujours afin de justifier sa stratégie d'ouverture - qui vise en fait à élargir son écosystème - Microsoft a également rappelé sa volonté de fournir un client fonctionnant sur plusieurs systèmes d'exploitation (Windows, Mac et Linux) et navigateurs (IE, Firefox et Safari), et a annoncé la publication des spécifications de XAML sous les conditions OSP (Open specification promise). Des modèles (SCP, Silverlight Control Pack) seront aussi disponibles selon les mêmes termes, afin d'accélérer le développement. Scott Guthrie, vice-président de Microsoft responsable de la division développeurs .Net, a expliqué lors du lancement que cela offre une protection légale aux développeurs, et que cela devrait inciter les éditeurs tiers à développer des applications recourant à XAML pour leur interface. Scott Guthrie a rappelé que, depuis environ un an que Silverlight a été lancé, la technologie a été adoptée par 150 partenaires, « des dizaines de milliers d'applications », et jusqu'à la moitié des postes clients installés « dans certains pays » (sachant qu'Adobe revendique pour son Flash un taux de pénétration de 90%). Cet été, Silverlight était en première ligne grâce à la chaîne américaine NBC, qui a retransmis sur son site les Jeux olympiques de Pékin, soit 10 millions d'heures de vidéo vues par 50 millions de visiteurs uniques. (...)
(10/10/2008 17:22:05)Facebook ouvre une agence à Paris et lance un concours pour les développeurs
Le tout jeune fondateur de Facebook Mark Zuckerberg (24 ans) était hier à Paris pour annoncer la prochaine inauguration d'une agence parisienne ainsi que la conclusion d'un partenariat avec Netvibes, l'agrégateur de contenu Web. Facebook a aussi lancé un concours pour les développeurs, avec à la clé des sommes comprises entre 2000 et 5000 €. Ouvert jusqu'au 31 janvier 2009, le « French Application Contest » récompensera les trois applications les plus populaires développées en français. Un éditeur comme Alfresco propose déjà des applications Facebook pour les entreprises. Elles leur permettent de partager du contenu avec leurs clients, leurs partenaires ou leurs salariés. Facebook a par ailleurs ouvert les sources de sa plateforme à la communauté des développeurs en juin dernier. 24 000 applications auraient déjà été mises en ligne, et 400 000 développeurs y travailleraient, affirmait alors Ami Vora, responsable senior de la plateforme, sur son blog. Une utilisation professionnelle encore incertaine Reste à savoir si les entreprises utilisent réellement Facebook pour communiquer. Beaucoup restent frileuses à cette idée, essentiellement par souci de sécurité. Robert Fan, co-fondateur de la société 750 Industries (qui conçoit justement des applications professionnelles pour Facebook), avait lancé un pavé dans la mare en déclarant lapidairement que « personne ne sait réellement à quoi serviront les API professionnelles de Facebook » lors du Graphing Social Patterns West en mars dernier (un salon co-animé par les figures emblématiques du Web 2.0, comme Tim O'Reilly). Robert Fan avait ensuite précisé que l'évolution se ferait, mais qu'elle serait « lente ». Disponible en français depuis mars 2008, Facebook compte 4,1 millions de membres dans l'Hexagone, contre 3 millions il y a six mois et seulement 106 000 en avril 2007. (...)
(10/10/2008 14:59:29)HP intègre sa suite de gouvernance SOA à sa plateforme de test
HP vient d'annoncer une mise à jour importante de sa suite de gouvernance SOA Systinet conçue pour gérer les services, les retrouver et les réutiliser au sein des architectures orientées services (SOA). Cette version 3.00 permet d'automatiser un peu plus la gestion du cycle de vie des services en permettant notamment de créer des processus métier réutilisables, d'effectuer un contrôle sur les services non autorisés et d'inclure les tests dans la boucle. Le déploiement des services est maintenant facilité par l'intégration de Systinet 3.00 avec HP Quality Center, la plateforme de test issue du rachat de Mercury. " Les services Web sont soumis à des exigences de fiabilité et de performance précises, formalisées dans des contrats de service (SLA). Ils doivent donc être testés tout au long de leur cycle de vie, avant leur déploiement puis à chaque fois qu'ils sont modifiés, souligne Aurélie Chandèze, analyste du cabinet Yphise. Cette intégration forte entre les solutions de gouvernance et de test de HP va permettre de mettre en place un processus industrialisé pour gérer la qualité des services. » Intégration à Universal CMDB et support de BPEL [[page]]Systinet 3.00 est également relié à Universal CMDB, la base de données de gestion de configurations de HP, une intégration qui pourra être utilisée pour vérifier la validité des services. Elle supporte par ailleurs le langage BPEL (business process execution language), ce qui permettra de créer des processus métiers réutilisables et de les inclure dans un schéma de gouvernance. Pour les non-experts, Systinet 3.00 propose des cycles de vie préconstruits et des gabarits. Quant aux utilisateurs avancés qui souhaitent personnaliser les cycles de vie des services, ils disposent d'interfaces de programmation graphiques, complétées d'assistants. Enfin, cette version de la suite accepte le lancement de procédures en volume et de clonage des cycles, permettant d'automatiser des tâches répétitives et de simplifier la mise en place des modifications importantes. (...)
(09/10/2008 16:11:30)Sogeti se renforce sur le test logiciel en Angleterre
La SSII française Sogeti, filiale de Capgemini, vient d'acquérir Vizuri Limited, une société britannique de 90 personnes spécialisée dans le test logiciel et le conseil en sécurité. Ce rachat intervient six mois après celui d'un autre acteur européen du test logiciel, l'Irlandais Insight Test Services. Installée à Londres, Vizuri Limited est organisée en agences locales. Parmi ses 50 clients, outre le gouvernement britannique, figurent des acteurs des services publics, des entreprises du secteur financier, de l'assurance et des nouveaux médias. Très impliquée dans le domaine de la qualité du logiciel, Sogeti a développé ses propres méthodes de test (TMAP et TPI). La SSII dit rassembler à ce jour 2 500 collaborateurs spécialisés dans le test logiciel -2 000 en Europe et 500 en Inde- et 5 000 impliqués sur les applications et disposant d'une expérience significative dans les démarches de test (sur les 20 000 personnes de son effectif total, dont 10 000 en France). En septembre, Sogeti a ouvert une chaire d'entreprise à l'EISTI (Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l'Information) proposant 80 heures de formation aux métiers du test logiciel. (...)
(08/10/2008 17:22:44)Oracle avale Primavera pour muscler son offre PPM
Oracle a annoncé aujourd'hui l'acquisition de Primavera, un éditeur de solution de PPM (gestion de portefeuille et de projet). Ce rachat, dont le montant n'a pas été divulgué, permet à Oracle de se renforcer sur un secteur auquel Forrester promet un bel avenir. Le cabinet estime en effet qu'il générera un revenu de 6,5 Md$ en 2010. En décembre 2007, le cabinet a par ailleurs placé Primavera en cinquième position de son classement des outils de PPM, pas très loin derrière CA, Planview, HP et IBM. Ray Wang, analyste chez Forrester, qualifie même Primavera de « grand-père de la gestion de projet » (la société occupe le secteur depuis 25 ans). Autant dire que cette acquisition est stratégique pour Oracle sur un marché en pleine consolidation, comme le témoignent les différents rachats qui ont rythmé le secteur au cours des derniers mois. En septembre dernier, Serena s'est par exemple offert OpenProj, après avoir déjà repris Pacific Edge en mai 2007. Un portefeuille de nouveaux clients bien rempli pour Oracle Primavera apporte en outre une jolie dot à Oracle, puisque ses solutions sont utilisées par 375 des 400 plus importantes sociétés d'ingénierie dans le monde, ainsi que par l'armée américaine. Une fois la transaction finalisée, les salariés de Primavera rejoindront un nouveau pôle PPM chez Oracle, unité qui sera dirigée par l'actuel PDG de Primavera, Joel Koppelman. L'entreprise, dont le siège se situe à Bala Cynwyd, en Pennsylvanie, a récemment créé des entités dédiées aux secteurs de la santé et de l'assurance. Il y a quelques jours, c'est Advanced Visual Technology, un éditeur de planification d'espace pour détaillants, qu'Oracle rachetait. (...)
(08/10/2008 12:11:40)Un co-fondateur de MySQL quitte le navire Sun
Quelques semaines après les rumeurs de départ de Michael Widemius, c'est au tour de David Axmark, un autre co-fondateur de MySQL, racheté en janvier 2008 par Sun Microsystèmes, d'annoncer son départ de la société, le 10 novembre prochain. Sur le blog de Kaj Arnö, vice-président en charge des relations avec la communauté MySQL, on peut lire la lettre de démission de David Axmark : « J'ai réfléchi à mon rôle chez Sun, et j'ai décidé que je serais mieux dans une société plus petite. » Plus loin, Axmark précise encore : « Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle. » Autrement dit, à l'instar de son collègue Michael Widemius, David Axmark ne se sent plus à l'aise au sein de l'entreprise. « Figure de proue importante chez MySQL », selon Kaj Arnö, David Axmark a exercé plusieurs fonctions au sein de la société, comme responsable de l'ingénierie, du contrôle interne IT ou encore chef de relations avec la communauté Open Source. Chez Sun, le discours reste le même que pour Michael Widemius : « A ce jour, ces deux personnes sont toujours employées chez nous, nous n'avons aucun commentaire à faire à propos de ces prétendus départs. » (...)
(07/10/2008 11:59:58)Mono 2.0 analyse le code pour migrer du .Net vers Linux
La version 2.0 de Mono, implémentation de .Net pour Linux (et quelques Unix), a été rendue publique par son concepteur, Miguel de Icaza. Sponsorisé par Novell, le projet Mono s'est appliqué à se rendre conforme à la version 2.0 de .Net (support de C# 3.0, de Linq...), le framework de développement de Microsoft. Amélioré, pourvu de fonctions de reporting, l'analyseur de code (Moma, Mono migration analyzer) vient même à la rescousse pour simplifier le portage d'une application .Net sur du Linux. Moma sert à quantifier le nombre de changements à opérer sur les programmes. D'après l'équipe de développement de Mono, sur une analyse de 4600 applications .Net, il s'est avéré que 45% pouvaient tourner directement sur Mono 2.0 sans changement. Pour 24%, le nombre de changements était inférieur ou égal à 6. Moonlight, bel exemple d'application .Net (Silverlight) sur Linux L'intérêt de Mono, explique Miguel de Icaza, est de pouvoir développer une application en .Net une fois et la déployer partout (la vieille promesse de Java). Néanmoins, même si Mono présente parfois quelques avancées par rapport au framework .Net, il ne peut être au niveau de toutes les fonctions des évolutions les plus récentes. Ce qui en fait soit un outil d'appoint pour des entreprises ayant capitalisé sur .Net mais désirant déployer certains développements sur Linux, Solaris ou MacOS X, soit un choix initial pour un développement multi-plateforme et multi-langage. Novell cite ainsi un éditeur de jeux qui l'utilise afin de pouvoir viser simultanément « le Web, Windows, OS X, Nintendo Wii et bientôt l'iPhone ». Mono peut également servir de base à d'autres projets de portage : le projet Moonlight l'utilise afin de rendre compatible la technologie d'animation Silverlight de Microsoft avec le monde Linux. (...)
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