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Architecture logicielle
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(15/10/2007 15:10:23)
Oracle annonce 51 rustines pour la semaine prochaine
Administrateurs, prévoyez pour la semaine prochaine quelques heures à consacrer à vos consoles. Oracle annonce pour jeudi prochain la mise à disposition de cinquante et une rustines de sécurité. Parmi les vingt-sept qui concernent le SGBD maison dans ses différentes versions, cinq sont qualifiées de critiques au motif qu'elles peuvent être "exploitées au travers d'un réseau sans identifiant ni mot de passe"... Les autres rustines s'adressent à Oracle Application Server (onze), à la suite e-Business (huit) et à Entreprise Manager. Trois rustines touchent les logiciels de PeopleSoft. Aucun patch n'est prévu pour les produits originaires de JD Edwards et pour Collaboration Suite. La prochaine série de rustines est annoncée par le 15 janvier prochain. (...)
(12/10/2007 16:47:56)Oracle/BEA : Gartner décrit un acte préventif
Pour Massimo Pezzini, analyste vice-président de Gartner, la proposition d'achat d'Oracle faite à BEA relève plus de la stratégie commerciale que de l'intérêt technologique. « Je crois, nous a-t-il expliqué, qu'Oracle veut prévenir un éventuel rachat de BEA par quelqu'un d'autre (HP ? Fujitsu ?) qui deviendrait alors un remarquable concurrent. » Car BEA propose peu ou prou la même offre middleware, et présente même quelques avantages par rapport au portfolio d'Oracle. Ainsi, dit-il, « WebLogic est nettement supérieur au serveur d'applications d'Oracle, il est déjà conforme JEE 5, a une base installée bien plus conséquente et bénéficie d'un large support de la part des éditeurs de logiciels. D'autres produits resteraient parce qu'ils sont meilleurs ou n'ont pas vraiment d'équivalent, comme la machine virtuelle Jrockit, probablement l'offre de BPM et celle de gestion des métadonnées (issue de Flashline). » Dans le même temps, Oracle réaliserait une belle opération en termes de revenus récurrents : « Oracle se paie ainsi un chiffre d'affaires régulier lié à la maintenance, et une base installée importante, tant d'un point de vue géographique que sectoriel : BEA a de gros clients dans les télécoms, la finance, le secteur public... » La nouvelle, conclut-il, n'est pas très bonne pour les clients, qui devront s'attendre, si la transaction a lieu, à « une rationalisation massive » et une intégration des lignes de produits qui pourrait prendre « des mois, peut-être des années ». Ceux qui devraient en profiter sont les acteurs plus petits du secteur. Pour Massimo Pezzini, ces acteurs ont une carte à jouer, du fait de la dépendance accrue des clients à quelques gros fournisseurs. « Des acteurs comme JBoss, Tibco, Software AG ou Progress devraient en profiter », pense l'analyste de Gartner. (...)
(12/10/2007 13:54:32)Oracle propose de racheter BEA pour 6,66 Md$
(mise à jour) Oracle vient d'annoncer qu'il proposait 6,66 Md$ pour le rachat de BEA Systems, fournisseur américain de solutions d'infrastructure logicielle (serveur d'applications, outils d'intégration interapplicatifs...). BEA est notamment très impliqué dans les architectures orientées services (SOA), problématique désormais au coeur de tous les grands projets applicatifs, en particulier des déploiements de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Oracle, fournisseur de base de données, d'infrastructure logicielle et de progiciels applicatifs, dispose d'un catalogue particulièrement fourni. Ces dernières années, il a engagé, avec son initiative Fusion, un énorme chantier d'intégration entre ses multiples offres. Il dispose déjà, en interne, de la plupart des outils que développe BEA. Si ce rachat a lieu, ce sera le plus important effectué cette année par Oracle (PeopleSoft lui avait coûté 10,3 Md$ en 2004 et Siebel, 5,85 Md$ en 2005). Le montant proposé est deux fois plus élevé que celui engagé (3,3 Md$) pour racheter Hyperion, spécialisé dans les outils de gestion de la performance, en mars dernier. A cette date, sa boulimie d'acquisitions avait déjà fait dépenser à Oracle plus de 20 Md$ pour s'emparer de certains concurrents stratégiques ou ajouter à son catalogue des briques métiers ou technologiques reconnues sur le marché. C'est la deuxième opération de grande envergure cette semaine, après l'annonce de l'offre amicale de rachat faite par SAP sur Business Objects dimanche dernier, 07 octobre. Avec sa proposition, Oracle débourse à peine moins que le numéro un des progiciels intégrés (PGI) qui, rappelons-le, va verser 6,78 Md$ en numéraire pour s'offrir le Français spécialiste de l'analyse décisionnelle. Au cours du dernier semestre, Oracle a poursuivi sa croissance externe, mais avec des rachats de moindre importance, jusqu'à l'annonce de ce matin. (...)
(12/10/2007 11:04:44)Intégration de données : Talend se tourne vers les consultants indépendants
Le Français Talend, éditeur d'outil d'intégration de données (ETL) en Open Source, qui travaille déjà avec un réseau de vingt-cinq intégrateurs, veut aussi pouvoir compter sur les consultants indépendants. A cet effet, il complète son programme de partenariats avec un label spécifique aux consultants baptisé « Talend Community Partners ». Concrètement, la relation envisagée par Talend repose sur le concept d'apporteur d'affaires. « Un consultant travaille souvent avec un nombre réduit de clients avec qui il entretient une relation de forte proximité, explique François Méro, le directeur général de Talend Europe. De fait, il peut facilement identifier en amont un projet envisagé par une entreprise, lié, par exemple à la mise en place d'un outil de CRM ou d'un PGI, dans lequel notre solution à un rôle à jouer ». Il reste ensuite à communiquer l'information à l'éditeur qui se chargera ensuite de proposer ses prestations de formation, de support ou d'expertise au client. Dans ce schéma, la rémunération du consultant est basée sur un pourcentage des revenus tirés du service fourni par Talend. L'éditeur espère collaborer à terme avec quelques dizaines de consultants autour de son produit Talend Open Studio. (...)
(12/10/2007 09:57:46)Microsoft et Zend collaborent sur une implémentation PHP d'InfoCard
L'implémentation des spécifications d'InfoCard dans d'autres langages que ceux de .Net ne va sans doute pas assez vite au goût de Microsoft : l'éditeur vient d'annoncer qu'il allait collaborer avec Zend Technologies pour développer un composant logiciel supportant sa technologie de fédération d'identités. Ce composant viendra s'intégrer au Zend Framework, le cadre applicatif fourni par l'inventeur du langage PHP. Le but d'InfoCard est de simplifier l'authentification d'un internaute auprès de ses divers interlocuteurs (son entreprise, les services administratifs, des sites de commerce en ligne...), grâce à un sélecteur d'identités sur le poste client (chaque interlocuteur demandant des éléments d'identification différents) et à un module supportant la technologie sur le site. Déjà des implémentations en C et pour Ruby on rails Microsoft avait déjà proposé une solution de gestion d'identité, Passport, mais celle-ci s'était heurtée à un mur, puisqu'il fallait confier toutes ses informations personnelles à Microsoft. Avec InfoCard, les données restent sur le poste client, au sein du sélecteur d'identités. Microsoft a pu ainsi clamer son ouverture, puisque les spécifications sont disponibles afin d'être implémentées dans d'autres langages, dans l'objectif évident de la diffuser le plus possible auprès des créateurs de sites Web. Làs, des projets concurrents de fédération des identités ont émergé, et les implémentations hors du monde .Net sont peu nombreuses (il y a des développements en C et pour Ruby on rails). Il faut dire aussi que jusqu'à présent, tout site recourant à InfoCard devait obtenir un certificat SSL en bonne et due forme. La version 3.5 du framework .Net lèvera cette limitation. Côté poste client, hormis CardSpace, l'implémentation d'InfoCard réalisée par Microsoft (livrée avec Vista mais utilisable aussi avec XP SP2, si la version 3 du framework .Net est installée), on peut citer DigitalMe, du projet Bandit initié par Novell, qui s'installe en tant que plug-in dans Firefox, sur Windows, Mac et Linux. (...)
(10/10/2007 15:20:40)Devenu indépendant, Teradata fait alliance avec SAS
L'américain Teradata, spécialiste des technologies d'entrepôt de données (datawarehouse), est depuis le 1er octobre dernier une société indépendante cotée à la Bourse de New-York (sous le nom de TDC). Dans la foulée, l'éditeur annonce une alliance stratégique avec SAS, éditeur d'une plateforme d'analyse décisionnelle, à l'occasion de sa conférence utilisateurs Teradata Times qui se tient en ce moment à Las Vegas (07-11 octobre). Teradata, également fournisseur de solutions analytiques capables d'explorer d'importants volumes de données (offre bien implantée dans les secteurs de la banque et de la grande distribution, notamment), était jusqu'à présent une filiale de NCR, dont l'activité historique est la fabrication de caisses enregistreuses et de distributeurs de billets. La scission avec la maison mère était planifiée depuis plusieurs mois. En janvier dernier, Teradata avait rappelé que son modèle économique et celui de NCR étaient très différents et viables séparément. Il estimait alors qu'il s'était suffisamment imposé sur le marché du datawarehouse pour faire cavalier seul. Les dés sont jetés. « Nous contrôlons maintenant notre destinée et nos investissements », vient de déclarer son PDG, Mike Koehler, sur Teradata Times. Teradata et SAS, face à Oracle, SAP/BO, IBM et HP Le partenariat avec SAS va permettre d'exploiter les solutions analytiques de ce dernier directement avec le moteur de base de données de Teradata, donc sans avoir à faire migrer les informations du datawarehouse dans un environnement SAS. L'alliance porte aussi sur une coopération entre les deux éditeurs pour l'optimisation de leurs technologies respectives, sur la mise au point de solutions conjointes, ainsi que sur des démarches marketing et commerciales conjuguées. Cette association ne peut qu'être profitable aux deux acteurs, qui doivent faire face à la fois à la concurrence d'Oracle/Hyperion et, désormais, de SAP/Business Objects, mais aussi à celle d'IBM et de HP, également présents sur le marché des datawarehouses. Pour Joël Martin, vice-président d'IDC Canada, cet accord permet aussi à SAS d'accéder aux solutions de MDM (master data management, gestion des données de référence) de Teradata. (...)
(10/10/2007 11:03:58)IBM offre un lifting à IMS à l'approche de ses 40 ans
Créée pour le programme lunaire de la Nasa en 1968, la base de données transactionnelle IMS d'IBM vient de s'offrir un petit lifting avec le lancement de la version 10. Celle-ci ouvre la base de données aux architectures plus modernes en y intégrant des composantes telles que xQuery, Enhanced XML et le support de services Web. Malgré la concurrence d'autres bases de données plus récentes, IBM continue à choyer cette vieille dame tournant dans le back office de 95% des très grandes entreprises (du Fortune 1000) et dans 80% des plus grandes banques européennes, japonaises et américaines. Ne tournant que sur des serveurs mainframes zSeries, la base IMS est disponible à la location à partir de 9000 dollars par mois. La version 9 datait d'octobre 2004. (...)
(08/10/2007 18:08:39)Du Web 2.0 pour gérer des salles de serveurs chez IBM
« L'administration des salles de serveurs est le sujet le plus brûlant pour nos clients qui veulent maîtriser leurs coûts opérationnels », affirme Steven A Mills directeur de l'activité Logiciel d'IBM. Fort de ce constat, Big Blue propose QEDWiki Mashup Maker qui, par le biais de techniques issues du Web 2.0, permet au personnel alloué au salle de serveur de perdre moins de temps en procédure d'administration. Ce logiciel est capable de mélanger dans une même interface des fonctions issues de différents logiciels d'administration de systèmes Tivoli. Pour cela, les chercheurs d'IBM ont inséré des architectures orientées services (SOA) au sein des produits Tivoli, puis créer les « widgets » correspondants. A travers IBM Director, la plateforme principale de Tivoli, les utilisateurs peuvent accéder à la bibliothèque entière de widgets. Et les assembler simplement pour avoir l'interface qui correspond à leurs besoins, même si les outils proviennent à l'origine de logiciels Tivoli différents. Puisqu'il ne s'agit que d'un panneau de configuration - et non d'un logiciel à part entière -, chaque administrateur peut créer son propre ensemble et le faire évoluer au fil du temps et de ses besoins. Si aucune date pour la version finale de QEDWiki Mashup Maker n'a été indiquée, les personnes intéressées peuvent déjà en tester une version bêta sur le site d'IBM. (...)
(08/10/2007 15:10:22)Sur Windows, Oracle est enlacé aux produits Microsoft
Quand le SGBD le plus important au monde a rendez-vous avec le système d'exploitation le plus répandu : le cabinet Ovum s'est penché sur les utilisateurs d'Oracle tournant au dessus de Windows Server. Le cabinet, soutenu financièrement par Oracle pour l'occasion, souligne la qualité de l'intégration du SGBD Oracle dans l'environnement Microsoft, dont le premier portage sur Windows NT remonte à 1994. La mise au point n'est pas inutile au moment où Oracle fournit un effort tout particulier en environnement Linux. Là, il propose désormais sa propre distribution, copie conforme de celle de Red Hat dont l'association avec MySQL et l'intégration de JBoss lui déplait de toute évidence. Même si Oracle se refuse à détailler son parc installé par système d'exploitation, le fait que Microsoft SQL Server soit devenu en quelques années un concurrent direct justifie à lui seul l'intérêt que la société de Larry Ellison porte à venir affronter Microsoft sur son propre terrain, l'environnement Windows. Y choisir Oracle plutôt que SQL Server n'aurait aucune conséquence sur la cohésion de l'ensemble du système d'information et apporte, bien sûr, de meilleures performances. Et Ovum d'étayer son message en passant en revue la (trop ?) discrète collaboration d'Oracle avec Microsoft. Sont ainsi montrés en exemple l'utilisation d'Active Directory par Oracle pour gérer l'accès à son SGBD, le travail conjoint des deux éditeurs sur les services Web XML et le support d'Office comme outils de consultation d'Oracle. Sur ce dernier point, Ovum n'ose tout de même pas se lancer dans une comparaison avec Duet, intégration d'Office à SAP avec la bénédiction ostensible de Microsoft. Oracle n'est pas en reste non plus côté outils de développement avec des outils pour Visual Studio qui permettent d'exploiter pleinement .NET. Pour finir, l'étude souligne que Fusion, le middleware d'Oracle (en cours de développement), viendra encore parfaire cette cohabitation. De plus, Enterprise Manager, le framework d'administration d'Oracle, permet d'administrer des produits Microsoft. (...)
(08/10/2007 08:58:43)BMC a racheté Emprisa Networks, spécialisé dans la configuration de réseaux
Le Texan BMC, éditeur de solutions d'optimisation de la production informatique, devrait annoncer le rachat d'Emprisa Networks et de ses solutions d'automatisation des configurations de réseaux. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Le produit phare d'Emprisa, E-NetAware, vise à simplifier la gestion et la modification des configurations réseau. Il conserve l'historique et permet, par exemple, de remettre en place une précédente configuration. Cette solution vient renforcer la stratégie BSM (Business Service Management) qui réussit à BMC en apportant à ce dernier une meilleure vue sur le réseau. Le BSM vise à superviser le système d'information en fonction des priorités métier et des applications sensibles d'une entreprise. (...)
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