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(18/08/2011 17:20:09)

Trimestriels Lenovo : Bénéfices en forte hausse mais le marché du PC ralentit

Pour son 1er trimestre fiscal, achevé fin juin, Lenovo a réalisé un chiffe d'affaires (CA) de 5,9 milliards de dollars US, en hausse de 15%. Le bénéfice net se monte à 108,8 millions de dollars contre 54,9 millions de dollars un an plus tôt. Le résultat opérationnel bondit de 51% à 123 millions de dollars.

Le constructeur chinois réalise 48% de ses ventes en Chine (2,8 milliards de CA), où il est le leader du secteur avec une part de marché de 31,7% (+2,3%), d'après ses propres chiffres et ceux d'IDC. La société a été portée par de solides ventes en Chine et dans d'autres marchés émergents mais se heurte au risque d'un affaissement de la demande en Europe et aux Etats-Unis à mesure qu'il se lance dans les tablettes (Lepad) et smartphones (Lephone) aux côtés des géants Apple et Samsung. « Les défis posés à la demande mondiale d'ordinateurs personnels subsistent, remarque la société, par exemple le rythme de la reprise de l'économie mondiale et la crise persistante de la dette en Europe occidentale".

Sur ce trimestre, Lenovo a procédé à deux opérations de croissance. Le chinois achève la constitution de sa co-entreprise avec NEC. Elle concerne le marché japonais des PC. Il a racheté l'Allemand Medion, ce qui lui permet de doubler sa part de marché en Europe et d'en devenir le n°2.

Crédit photo : Lenovo (...)

(18/08/2011 17:10:22)

Symbian Anna peut être téléchargé sur le site de Nokia

Le constructeur finlandais Nokia vient de mettre en ligne son nouveau système d'exploitation Symbian Anna, destiné aux Nokia N8, C7, C6-01 et E7. Son développement continuera au moins jusqu'en 2016 et le fournisseur annonce qu'une dizaine de smartphones Symbian seront lancés dans les douze prochains mois. Cette version de l'OS est livrée pré-chargée avec les modèles X7 et E6.

Après l'échec retentissant de MeeGo, mort-né après avoir été lancé en juin sur le N9, et en attendant le premier modèle sous Windows Phone qui devrait être présenté au Nokia World (les 26 et 27 octobre prochain), Nokia reporte donc ses efforts sur Symbian.

Symbian Anna propose une interface utilisateur entièrement revue, un nouveau système de cartes et de géolocalisation compatible avec les réseaux sociaux, un navigateur web plus rapide et des options de cryptage des données pour les professionnels. Au nombre des fonctionnalités accessibles aux développeurs figurent Flashlite 4, le runtime Java 2.2, Qt Mobility et Qt 4.7.

Ces derniers mois, Symbian est en très nette perte de vitesse puisque sa part qu'il détient sur le marché des smartphones est passée en un an de 40,9% à 22,1%, selon des chiffres publiés par Gartner le 11 août dernier.

(...)

(18/08/2011 16:52:22)

Virtualisation : Red Hat libère RHEV de son lien à Windows

Avec RHEV 3.0, la prochaine mouture de sa plateforme de virtualisation, Red Hat s'affranchit de sa dépendance à Windows Server et SQL Server de Microsoft. Ce sera la première version de Red Hat Enterprise Virtualization qui ne nécessitera pas de copie de Windows Server pour faire fonctionner la console d'administration, a indiqué Navin Thadani, directeur senior de l'activité virtualisation de Red Hat. La bêta du produit, livrée hier, montre aussi que l'éditeur a fait de sérieux efforts pour que son logiciel puisse gérer des charges de travail plus importantes, ce qui devrait le rendre compétitif face à son concurrent VMware. « Ils ne sont pas les seuls sur le terrain et nous sommes en bonne position pour profiter de la demande croissante pour des offres alternatives à la leur », estime Navin Thadani.

Lancé en 2009, RHEV a la particularité de combiner sur une console la possibilité de gérer à la fois de serveurs virtuels et des postes de travail virtuels. Il a gagné un certain nombre d'utilisateurs reconnus, tels qu'IBM, NTT et DreamWorks Animation, même si l'éditeur ne fournit pas d'estimation sur le nombre de déploiements probables de RHEV.

Le recours à Windows Server était assez étrange au regard de la volonté de Red Hat à utiliser des logiciels Open Source pour ses propres offres. Mais la société a récupéré la console d'administration de RHEV d'une de ses acquisitions réalisée en 2008, celle de l'éditeur Qumranet qui a fourni de nombreux composants de RHEV. Pour ce dernier, Windows constituait une base adaptée pour gérer les postes de travail virtuels, rappelle Navin Thadani, qui travaillait pour Qumranet avant son rachat par Red Hat.

Développée en Java et reposant sur RHEL

La future version de RHEV propose une console entièrement nouvelle, développée en Java et fonctionnant sur la plateforme JBoss Enterprise Application de Red Hat, celle-ci reposant sur RHEL (Red Hat Enterprise Linux). Une console web remplace le programme Windows indépendant qui était associé à la précédente version.

L'environnement sera familier aux habitués de Linux. A la place de SQL Server, RHEV exploitera la base de données Open Source PostGres. Les versions antérieures contraignaient les administrateurs à utiliser le PowerShell de Windows Server pour automatiser des tâches en passant par des scripts. Il est maintenant possible d'utiliser à la place l'interface à ligne de commande de Linux pour exécuter des scripts. Red Hat fournit aussi une API (interface de programmation) permettant d'utiliser les outils d'administration d'autres éditeurs pour exploiter RHEV. Les utilisateurs du logiciel peuvent d'ailleurs toujours se servir de l'annuaire Active Directory, de Microsoft, à des fins d'authentification.

Jusqu'à 64 CPU virtuels et 2 To de mémoire

En dehors de la console, le logiciel bénéficie d'autres améliorations significatives sur le plan de l'évolutivité. La couche physique de la machine hôte peut avoir jusqu'à 128 coeurs et jusqu'à 2 To de mémoire physique. Pour les machines virtuelles accueillies au-dessus de KVM, on peut monter jusqu'à 64 CPU virtuels et 2 To de mémoire virtuelle, alors que la version précédente était limitée à 16 CPU virtuels et 256 Go de mémoire par machine virtuelle accueillie. A titre de comparaison, la version 5 de vSphere, de VMware, livrée en juillet, supporte jusqu'à 32 CPU virtuels et 1 To de mémoire.

RHEV 3.0 apporte d'autres nouveautés. L'hyperviseur KVM (Kernel-based Virtual Machine) a été mis à jour avec la dernière version du kernel Linux dans RHEL 6. Le nouveau logiciel peut aussi utiliser des disques locaux, alors que le précédent pouvait seulement recourir à du stockage partagé. Et pour les déploiements VDI (virtual desktop infrastructure), SPICE (Simple protocol for independant computing environments) a été également mis à jour afin d'accélérer les capacités de streaming sur les réseaux étendus.

La version définitive de RHEV 3.0 devrait sortir à la fin de cette année.

Illustration : RHEV for Desktop (crédit : Red Hat) (...)

(18/08/2011 15:27:48)

Motorola Mobility peut-il contribuer à imposer Google dans l'entreprise

Google n'a pas ménagé ses efforts pour tenter de s'imposer dans l'entreprise. Mais, selon les analystes, il reste à voir si son acquisition de Motorola Mobility, cette semaine, va constituer ou non un avantage pour le géant de l'Internet dans cette stratégie de longue haleine. C'est lundi que Google a annoncé le rachat du fabricant de smartphones, issu de sa scission de Motorola Inc en janvier dernier, pour 12,5 milliards de dollars. Depuis, les spécialistes du secteur s'interrogent pour savoir si cette opération constitue ou non un atout décisif pour Google qui oeuvre sans relâche pour s'imposer dans les entreprises comme alternative face à Microsoft.

Pour Seth Harris, directeur général de Cook Associates, une société de conseil spécialisée dans les fusions-acquisitions, ce rachat devrait aider Google, du fait que les utilisateurs du smartphone Droid et d'autres appareils mobiles de Motorola Mobility sont nombreux et pourraient pousser leurs entreprises à soutenir la plateforme pour un usage professionnel. « Aujourd'hui, les consommateurs-utilisateurs sont en mesure d'influencer, par leur comportement d'achat, sur la plateforme et les normes que leurs entreprises doivent supporter », a déclaré le DG de Cook Associates à nos confrères de Computerworld. « Le système d'exploitation mobile Android est extrêmement populaire. Un téléphone de marque Google avec un système d'exploitation Google pourrait devenir très attrayant ».

Pour lui, toute entreprise sera obligée d'intégrer ces plateformes et de les supporter pour satisfaire à la demande de leurs collaborateurs manipulant beaucoup d'informations. Il ajoute que le fait de pouvoir fournir à la fois le matériel et le système d'exploitation associé constitue une solide combinaison qui devrait encore favoriser l'adoption Android. « Je crois que ce rachat est très important parce que Google acquiert un constructeur réputé », ajoute Seth Harris. « Ce type d'offre combinée, matériel et système d'exploitation, a fonctionné à merveille pour Apple ».

Le fabricant du BlackBerry est-il dans la ligne de mire ?

De son côté, Dan Olds, analyste pour The Gabriel Consulting Group, considère aussi que l'association Google-Motorola Mobility séduira les consommateurs. Mais il pense que cela prendra un certain temps avant d'avoir un impact sur l'activité de Google dans l'entreprise. « Même s'il existe une relation certaine entre cette acquisition et le projet de Google de s'imposer dans l'entreprise, je ne voit pas d'effet immédiat », a-t-il déclaré à Computerworld. « De mon point de vue, les effets majeurs du rachat de Motorola Mobility seront surtout visibles chez le consommateur, dans le domaine de la mobilité et des décodeurs divers [set-top boxes]. Il donne aussi accès aux nombreux brevets détenus par Motorola, que Google pourra utiliser comme arme offensive et défensive. »

Rob Enderle, analyste pour Enderle Group, convient que ce rachat ne va probablement pas dynamiser dans l'immédiat l'activité entreprise de Google dans les entreprises. Mais, il faut s'attendre, selon lui, à ce que le groupe de Larry Page réalise d'autres acquisitions dans le secteur des technologies mobiles. Il a remarqué que certains observateurs guettaient un éventuel rachat de Research in Motion (RIM), le fabricant du BlackBerry, un appareil qui a gagné depuis longtemps la faveur du monde de l'entreprise. L'atout Motorola Mobility n'est pas aussi décisif que ça pour imposer Google dans l'entreprise. « C'est la raison pour laquelle certains analystes estiment que celui-ci pourrait bien essayer d'acheter RIM dans la foulée », juge l'analyste. « RIM dispose de toutes les entrées nécessaires dans l'entreprise, un terrain sur lequel il est vraiment très difficile de s'introduire. Ce n'est pas un problème de produit. C'est davantage lié à un équilibre risque/confiance. Google doit améliorer ce rapport pour réussir dans l'entreprise », a t-il ajouté.

Une plateforme qui réponde à l'ensemble des besoins

D'une manière générale, les analystes conviennent que Google devra travailler dur pour assembler ses offres multiples - moteur de recherche, Google Maps, Google Docs et Android - en une offre unique et cohérente. « Ils ont l'immense avantage de pouvoir tout lier ensemble », souligne Seth Harris. « Il y a beaucoup à dire sur la fin du PC, sur la façon dont nous travaillons, la manière dont nous achetons nos produits, comment nous gérons notre argent, etc. Tout se concentre dans le même terminal mobile ». Selon le DG de Cook Associates, si Google réussit à associer toutes ses offres avec les terminaux popularisés par Motorola Mobility, il permettrait aux utilisateurs de travailler là où ils sont, sans avoir à transporter un ordinateur portable. « Google peut offrir le contenu, le matériel et le logiciel qui permette à l'entreprise d'offrir à ses salariés une plateforme stable qui réponde à l'ensemble de leurs besoins », résume Seth Harris. « Ce sont ces éléments que Google est en train de mettre en place maintenant. »

Illustration : La messagerie gmail de Google utilisée sous Android (source : Android Market) (...)

(18/08/2011 12:16:48)

Nokia prévoit 300 applications pour ses smartphones avec Polar Mobile

Nokia a annoncé avoir conclu un accord avec Polar Mobile pour lancer, au cours des 12 prochains mois, plus de 300 applications mobiles pour ses smartphones, y compris pour les modèles à venir qui tourneront sous Windows Phone.

Une première série de 50 applications résultant de ce partenariat seront disponibles dès le mois prochain via la boutique en ligne Ovi.com, pour les mobiles de la marque finlandaise tournant sous Symbian. Pour l'instant, Nokia n'a pas précisé à quel moment sortiraient les premières applications pour Windows Phone. Le PDG du groupe, Stephen Elop, a néanmoins promis que le premier smartphone du genre serait livré avant la fin de l'année, et que ce lancement serait suivi, tout au long de 2012, par d'autres produits.

Polar Mobile a déjà 1 200 applications à son actif

Polar Mobile aide les entreprises qui produisent du contenu à développer des applications mobiles capables de fonctionner sur les smartphones les plus populaires. Le partenariat avec Nokia comprendra des versions permettant d'accéder à différents sites d'information et quotidiens en ligne : l'Indonésien Kompas, le New-yorkais Advertising Age, le Canadien Globe and Mail, le Shanghai Daily et 7Days, installé dans les Emirats Arabes Unis.

À ce jour, Polar Mobile a lancé plus de 1 200 applications mobiles pour le compte de plus de 300 médias, dans une dizaine de pays, dont des éditeurs de magazines, de journaux, des diffuseurs de contenu et des portails en ligne qui proposent des actualités, des nouvelles sportives, des divertissements et des informations spécialisées sur les médias. Selon le site de Polar Mobile, on trouve également, parmi ses clients, CBS Sports, GQ, Variety, Time et Vogue.

Nokia renforce son secteur développement alors qu'il se prépare à livrer ses smartphones sous Windows Phone en grandes quantités, l'année prochaine. Pour le Mobile World Congress, qui se tiendra à Barcelone fin février 2012, Nokia a déjà réservé un espace de 2 300 m2 dans l'App Planet, salon consacré au développement d'applications qui se tient en marge du MWC.

Illustration : Stephen Elop, PDG de Nokia (source : IDGNS Stockholm)

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(18/08/2011 11:00:06)

Internet transforme les modes de distribution des équipements IT

L'impact des technologies numériques sur la distribution IT est d'abord conjoncturel. Elles permettent de mieux affronter la crise. En 2011, 93% des distributeurs (contre 78% en 2010) prévoient une croissance positive. Pour cela, les distributeurs utilisent (comme leurs clients) de nouveaux processus numériques en marketing, distribution, support utilisateur et formation.  Ils délivrent de plus en plus (comme leurs clients) leurs services en mode multicanal. Les circuits traditionnels restent néanmoins très majoritaires.

Cette révolution  numérique est sensible pour les distributeurs informatique et télécoms, moins pour les bureauticiens. 32% des distributeurs informatiques ont une offre bureautique et 22% une offre télécoms. 26% des distributeurs télécoms ont une offre bureautique et 73% une offre informatique. Les bureauticiens sont 48% à disposer d'une offre informatique, mais 1% seulement à pousser des offres télécoms. L'impression reste leur coeur de métier, mais la numérisation, par exemple, tend à remplacer la fonction « copie », signe que la mutation est bien en marche. En 2011, les bureauticiens sont 63% à mettre en avant le « scan » contre 50% pour la « copie ». Cette dernière est même absente de l'offre de 24% des distributeurs, contre 15% pour le scan.

Cette convergence prend non seulement un tour technologique mais aussi marketing. La révolution numérique marque ainsi la convergence entre l'univers « pro » et l'univers « perso ». L'adoption des technologies se fait d'abord dans le grand public et gagne ensuite le monde de l'entreprise. La valeur est transférée dans les services et les distributeurs IT doivent mettre en avant de nouvelles offres. 31% d'entre eux disposent d'une offre d'affichage par écran (17% la mettent en avant), 20% ont une offre photo-vidéo-son (11% la mettent en avant), 8% vendent maintenant des périphériques multimédia (consoles de jeu, disques dur, TV HD ou 3D).

Mobilité et services en fer de lance

La distribution IT s'empare également du thème du nomadisme. 69% des distributeurs ont une offre en infrastructures mobiles haut débit, 75% en services de téléphonie ou visio IP d'entreprise, 63% sont même positionnés avec des offres télécoms très haut débit. De nouveaux services font également leur apparition comme le GPS (9% des distributeurs), la réalité augmentée (3% d'entre eux).

Vieux serpent de mer du secteur, le passage d'une offre de produits à une offre de services semble être effective. L'étude parle d'une « servicisation de l'offre ». En 2011, 64% des distributeurs mettent leur offre de services plus en avant que leur offre d'équipements : 81% pour les distributeurs informatiques, 58% pour ceux des télécoms, 54% pour les bureauticiens. Côté marges, 72% des distributeurs ont vu celles-ci augmenter sur les services, contre 57% pour les équipements. C'était entre 2009 et 2010. Pour  2011, 92% voient une évolution positive de ces marges dans les services, 84% dans les équipements. Parmi ces offres : l'audit de parc, le support utilisateur, la GED, les offres de financement.

Cette révolution  numérique est en fait, reconnaît l'étude, une succession de révolutions multiples, plutôt qu'une révolution unique. Les dix à quinze prochaines années seront autrement plus importantes, avec la confrontation entre les espaces de vente traditionnels et les nouveaux usages de l'Internet.  

(*) Etude menée par l'Atelier (cellule de veille de BNP Paribas) et l'Institut GFK qui ont interrogé 300 distributeurs.

Crédit Illustration : BNP Paribas Leasing Solutions - Enquête 2011

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