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(17/08/2011 20:14:25)

Les brevets de Motorola aideront-ils Google à protéger Android

L'OS mobile de Google a été attaqué de toutes parts ces derniers mois. D'abord, un procès intenté par Oracle, qui s'est peu à peu complexifié et dans lequel les dommages ont été évalués par certains jusqu'à plusieurs milliards de dollars de dommages. Ensuite, des plaintes déposées par Apple à l'encontre de plusieurs fabricants de terminaux sous Android, parmi lesquels HTC et Samsung. Enfin, Microsoft qui réclame des redevances à ces fabricants en déclarant qu'il possédait des brevets liés à l'OS de Google.

Dans ce contexte, l'acquisition de Motorola Mobility, fabricant de smartphones et détenteurs de plus de 24 500 brevets, pourrait aider à protéger Google et ses partenaires de futures actions en justice d'Apple et d'autres. Mais il est peut-être trop tard pour aider les fabricants de terminaux à faire face à des procès déjà engagés et cela n'aidera pas Google à affronter Oracle qui l'accuse de violation de brevets Java. Ce procès doit démarrer en octobre.

Motorola apporte son ancienneté dans le sans-fil


Google n'a jamais vraiment pris la peine de se constituer son propre portefeuille de brevets et il a été pris au dépourvu par la « course aux armements » qui a prévalu dans l'industrie du sans-fil. La semaine dernière, il s'est déchaîné contre ses concurrents, accusant Microsoft, Apple et d'autres, d'essayer d'imposer une « taxe sur les brevets » autour d'Android pour stopper la progression galopante de l'OS.

Le bonus de 63% offert lundi sur le titre Motorola Mobility n'a donc pas surpris les observateurs. Larry Page a d'ailleurs clairement expliqué que les brevets qu'il récupérait ainsi l'aideraient à se renforcer contre les attaques qu'il qualifie d'anti-concurrentielles.

Pour Alexander Poltorak, PDG de General Patent Corp, le portefeuille de brevets de Motorola agira de façon dissuasive envers les sociétés qui envisagent de faire un procès à Google ou à l'un de ses partenaires. « Ils vont maintenant y réfléchir à deux fois avant de déposer une plainte, parce qu'ils peuvent être certains que Google répliquera », affirme-t-il.

Ce rachat va donner du poids à Google, considère aussi Jonathan Goldberg, analyste à la Deutsche Bank. Motorola figure parmi les plus groupes ayant le plus d'ancienneté dans le sans-fil. Son portefeuille de brevets est solide et crédible.

Négocier un accord en cas de procès


« Je pense qu'un grand pas a été franchi », estime de son côté David Mixon, juriste spécialisé dans les brevets chez Bradley Arant Boult Cummings. Il s'attend à ce que Google pousse un gros soupir de soulagement lorsque la transaction sera effectivement réalisée. « Il y a eu surenchère dans la vente des brevets Nortel et ce fut le fait du consortium mené par Microsoft et Apple. Ils ont clairement ressenti une certaine pression. »

Si Google est visé par un autre procès, les brevets de Motorola l'aideront à négocier un accord et à récupérer une licence pour Android, ajoute Alexander Poltorak. Cette licence pourrait également s'étendre aux fabricants de terminaux exploitant l'OS mobile. « Si Google obtient une licence pour son OS, alors tous ceux qui utiliseront Android en bénéficieront de la même façon. »

Si un concurrent s'en prend plutôt à un partenaire de Google, ce dernier pourra transférer temporairement la possession de quelques brevets Motorola au fournisseur attaqué afin qu'il puisse se défendre, avance Alexander Poltorak.

Cela ne jouera pas le rôle de bouclier, estime Florian Mueller


Pourtant, parmi les spécialistes, tout le monde ne partage pas cet avis. Certains doutent de l'effet dissuasif des brevets. Florian Mueller, auteur du blog FOSS Patents, rappelle qu'Apple a déjà attaqué Motorola Mobility pour violation de brevets. Pour lui, l'argument Motorola n'est pas assez solide pour dissuader d'un procès.

« Cela ne servira pas de bouclier protecteur pour Android, écrit-il. Il signale que Motorola a déjà grillé ses meilleures cartouches dans des procès contre Apple et Microsoft avec apparemment peu d'impact. Mais Motorola avait alors tiré le premier, précise Alexander Poltorak. Il avait attaqué Apple en octobre en l'accusant de violer 18 de ses brevets et l'avait poursuivi devant l'ITC (United States International Trade Commission). « Apple n'avait d'autres choix que se défendre », souligne Alexander Poltorak. Ce à quoi Florian Mueller répond que Motorola s'attendait à un procès de la part d'Apple et que le sien constituait une action défensive. Pour lui, l'acquisition de Motorola a été réalisée par Google en désespoir de cause.

Monnaie d'échange inutile face à Oracle


Il y a en tout cas une chose sur laquelle s'entendent les observateurs : il est peu probable que le rachat de Motorola aide Google dans son procès contre Oracle. L'acquisition ne pourra être effective qu'à la fin de cette année ou début 2012, alors que le procès Oracle est programmé pour débuter dans onze semaines.     (.../...)

(crédit illustration : Google)

[[page]]Le groupe de Larry Ellison n'évolue pas dans le domaine du sans-fil. Les brevets de Motorola ne constitueraient pas une monnaie d'échange utile dans ce cas. Par ailleurs, rappelle le juriste David Mixon, Oracle a non seulement attaqué pour atteintes à ses brevets, mais aussi pour violation de copyright.

Toutefois, pas plus Jonathan Goldberg, de la Deutsche Bank, que David Mixon ne perçoivent le dossier Oracle comme destructeur vis à vis d'Android. Oracle veut au contraire que l'OS mobile prospère afin de pouvoir en récupérer des royalties, avance David Mixon. Et les poches de Google étant bien garnies, il peut faire face aux énormes dommages et intérêts que lui réclamera Oracle si cela s'avère nécessaire, estime pour sa part Jonathan Goldberg. «  La façon dont Google va s'y prendre pour protéger l'écosystème dans son ensemble constitue pour moi un souci plus important », ajoute-t-il.

Une avancée, mais qui ne constitue qu'une étape


On ne sait pas si les brevets de Motorola vont aider les fabricants de terminaux sous Android à se débarrasser des procès qui leur sont intentés. Cela dépend de la rapidité avec laquelle Google va finaliser son rachat. Et cela dépend aussi de la nature des brevets effectivement détenus par Motorola, rappelle David Mixon.

Samsung a déjà vu les ventes de sa tablette Galaxy Tab 10.1 bloquées en Europe par un tribunal allemand (qui est depuis revenu sur sa décision, se jugeant non compétent pour les marchés situés en dehors de ses frontières). Il est bien possible que le constructeur sud-coréen ait envie de conclure un accord avec Apple sur ce sujet avant que l'acquisition de Motorola Mobility par Google soit achevée, estime Alexander Poltorak.

Quoi qu'il en soit, Google a fait un pas important dans la bonne direction. C'est un accord significatif, mais il ne constitue qu'une étape du processus, conclut Jonathan Goldberg, de la Deutsche Bank.

(...)

(17/08/2011 17:45:21)

Trimestriels Dell : le chiffre d'affaires se maintient, les services progressent

Dell publie les résultats de son deuxième trimestre fiscal 2012. Le chiffre d'affaires (CA) se monte à 15,7 milliards de dollars (Md$) en hausse de 1% par rapport à l'an dernier (de 4% par rapport au trimestre précédent). Le bénéfice opérationnel Gaap s'élève à 1,1 milliard de dollars (7,3% du CA), en hausse de 54%. Le bénéfice net se monte à 890 millions de dollars (M$), en hausse de 63%. Le bénéfice opérationnel non-Gaap progresse de 52% à 1,3 milliard de dollars (8,5% du CA). Le bénéfice net, non-Gaap, progresse de 60% à 1 milliard d'euros.

Le stockage estampillé Dell progresse

Dans le détail, sur le deuxième trimestre, la partie « solutions d'entreprise et services » progresse de 4% à 4,6 milliards de dollars (35% du CA). Les serveurs et les produits réseaux progressant de 9%. Les « services » sont en hausse de 6% à 2 milliards de dollars.

L'activité « stockage Dell », qui regroupe les produits du constructeur (PowerVault, Compellent, EquaLogic, DX Objects), progresse de 15%. Mais dans son ensemble, le chiffre d'affaires stockage, qui inclut les ventes liées au partenariat avec EMC (devenu concurrent avec les rachats successifs de Dell), baisse de 20%, à 502 M$.

Les ventes d'ordinateurs portables s'élèvent à 4,7 Md$, en légère hausse sur un an et séquentiellement. Celles des ordinateurs de bureau ont baissé de 3% en un an, mais augmenté de 13% par rapport au trimestre précédent, à 3,7 Md$. Quant à l'activité logiciels et périphériques, elle se maintient à 2,57 Md$.

Grands comptes : +1%


Par type d'activités, Dell constate que son CA dans les grandes entreprises, 4,6 milliards de dollars, est en hausse de 1%. La demande est forte pour les serveurs et pour les services. Le bénéfice opérationnel de cette activité s'est monté à 448 millions de dollars. La partie « solutions d'entreprise et services » y a réalisé 1,9 milliard de dollars de CA, en hausse séquentielle de 3%.

Le secteur public a représenté 4,5 milliards de dollars de CA, en baisse de 3% par rapport au même trimestre de l'an passé, mais en hausse séquentielle de 18%. Les PME réalisent 3,7 milliards de dollars de CA en hausse de 5%. Le grand public représente 2,9 milliards de dollars de CA, en augmentation de 1%.

Pour l'ensemble de l'année fiscale, Dell révise ses prévisions, en baisse pour le CA à la hausse pour le bénéfice. Dell s'attend à un CA en progression de 1 à 5% pour son CA, contre 5 à 9%, initialement prévus. Le bénéfice augmenterait de 17 à 23%, Dell avait anticipé +12 à +18%.

Illustration : le centre de services Webb Chapel de Dell, à Dallas (crédit : Dell) (...)

(17/08/2011 15:23:13)

Première mise à jour de Mac OS X Lion

Apple a livré hier une mise à jour de Mac OS X 10.7, alias Lion, la première depuis la sortie du système d'exploitation fin juillet. Cette mise à jour apporte une meilleure stabilité, et corrige quelques bugs spécifiques. L'un d'entre eux, par exemple, figeait certains Mac lors de la lecture d'une vidéo dans le navigateur Safari. Apple est également intervenu sur un problème qui provoquait parfois l'arrêt du système audio lors de l'utilisation des sorties HDMI ou optique. Des bugs empêchant le transfert correct de données, affectant le paramétrage et la comptabilité d'applications tournant sur d'anciens Mac, et installées sur un nouveau Mac exécutant Lion, ont été corrigés. De même qu'un autre pouvant provoquer la disparition d'un compte utilisateur avec des autorisations d'administration après le passage à Lion. Enfin, Apple indique que la mise à jour 10.7.1 améliore la stabilité de la connexion Wi-Fi.

Si, comme la plupart des gens, vous avez acheté le nouveau système Lion sur l'App Store d'Apple, la mise à jour du système s'effectue comme d'habitude : soit via la fonction Mise à Jour de logiciels du Mac, soit en téléchargeant le fichier de mise à jour via la page Téléchargements du site Apple.

Attention cependant : les mises à jour de certains ordinateurs Apple livrés en 2011 et déjà équipés de Mac OS X Lion, sont légèrement différentes de celles vendues sur l'App Store. En particulier, Apple livre une mise à jour 10.7.1 spéciale pour les MacBook Air et les Mac mini (modèles 20011). Apple livre également une mise à jour 10.7.1 pour Mac OS X Lion Server, laquelle corrige les mêmes bugs.

- Télécharger la mise à jour

(...)

(17/08/2011 13:05:25)

Baisse des ventes d'ordinateur en France, sauf pour Apple

Il s'est vendu en France 2,32 millions de micro-ordinateurs entre avril et juin 2011, soit 17,8% de moins qu'au deuxième trimestre 2010. Il s'agit du quatrième trimestre consécutif de baisse. Les ventes auprès des particuliers ont chuté de 33%, de plus en plus concurrencées par l'arrivée sur le marché des tablettes et des smartphones. Les ventes auprès des professionnels ont quant à elle progressé de 9%. Au 2e trimestre 2011, la baisse la plus significative a touché les netbooks (-49%) puis les ordinateurs portables et les PC de bureau (-18% chacun).

Seul Apple est en hausse, et fait par la même occasion son entrée dans le Top 5 des vendeurs d'ordinateurs en France, prenant le dessus sur Toshiba. C'est surtout le seul constructeur de pointe qui voit ses chiffres de ventes évoluer à la hausse : 134 000 ordinateurs vendus pour une part de marché de 5,8%, contre 126 000 ventes et 4,5% de parts de marché il y a un an.

Près de 29% de parts de marché pour HP


Le constructeur américain HP demeure largement en tête des ventes en France avec 671 000 ordinateurs vendus et 28,8% de parts de marché. Il devance Acer (456 000 machines et 19,6% de parts), Asus (255 000 et 10,9%) et Dell (244 000 et 10,5%).

« Le marché français devrait progresser au second semestre 2011, avec de nombreuses promotions pour la rentrée, comparé à l'année passée »,
explique Isabelle Durand, analyste chez Gartner. « Toutefois, quelques-unes des mesures d'austérité annoncées par le gouvernement, dues aux récents problèmes économiques, pourraient impacter la confiance et les dépenses des ménages en France ».

Au niveau européen, Acer (2,04 millions de machines vendues pour 16,2% de parts de marché) a perdu sa place de numéro un, désormais devancé par HP (3,17 millions et 25,1%) au 2e trimestre 2011. Quant à Dell (1,37 million d'unités vendues), il demeure 3e, devant Asus (1,02 million) et Apple (0,87 million).

Illustration : MacBook Pro (crédit : Apple)

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(17/08/2011 12:31:04)

Intel défend son programme de mise à jour de processeurs

Intel a défendu son programme payant de mise à jour associé à certains de ses processeurs (Core i3-2312M et 2102, notamment), affirmant que celui-ci permet d'améliorer au fur et à mesure les performances de certaines puces et évite le démontage des machines pour effectuer des mise à niveau.

Le fabricant vend des processeurs sur lesquels certaines fonctionnalités peuvent être ajoutées, puces et/ou de mémoire cache, avec des cartes de mise à niveau que l'on achète chez les revendeurs. Une fois installées sur un PC tournant sous Windows 7, ces cartes téléchargent un logiciel pour achever la mise à jour de la puce.  « Le programme de mise à jour de la CPU est en phase pilote et concerne des processeurs premier prix », a déclaré Dave Salvator, un porte-parole d'Intel, qui répondait aux questions concernant le verrouillage de certaines fonctionnalités sur quelques processeurs. Le programme s'adresse à des clients qui souhaitent ajouter des capacités supplémentaires à la puce évolutive d'origine. « C'est une autre façon d'offrir plus de valeur aux utilisateurs », a ajouté le porte-parole. « Ce n'est pas quelque chose d'entièrement nouveau qui nous servirait pour réinventer le monde ! », a t-il ajouté.

Lancé l'an dernier pour un Pentium

Le programme d'upgrade, initialement lancé l'an dernier pour un processeur Pentium, a été récemment enrichi de deux processeurs Core i3 basés sur les puces Sandy Bridge. Le processeur Core i3-2312M pour ordinateur portable peut être mis à niveau en Core i3-2393M pour bénéficier d'une fréquence plus élevée et de davantage de mémoire cache, alors que le processeur Core i3-2102 pour ordinateur de bureau peut évoluer en Core i3-2153 qui lui confère une fréquence d'horloge plus élevée. Selon la page web du service d'upgrade d'Intel, ces améliorations peuvent augmenter la vitesse d'exécution des applications et le traitement graphique de 19 %.

Intel peut vendre des puces à un prix inférieur en n'intégrant pas d'emblée le jeu complet de fonctionnalités, a expliqué Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. En même temps, les recettes générées par le programme de mise à niveau du processeur sont marginales et mais sont néanmoins une source potentielle de revenus pour Intel. « Plutôt que de simplement désactiver un certain nombre de fonctionnalités, Intel se donne la possibilité d'en tirer des revenus supplémentaires», a t-il déclaré. « Le coût de fabrication d'un processeur ne change pas, mais quelques fonctionnalités peuvent être désactivées pendant le processus de test », a expliqué l'analyste. Ce programme ne sera probablement pas proposé avec les PC vendus aux entreprises. Il va probablement être réservé aux revendeurs pour des acheteurs qui optent d'abord pour des processeurs bas de gamme et sont ensuite prêts à payer un supplément pour des mises à jour, ceci pour ne pas investir dans un nouveau PC », a déclaré Dean McCarron.

Des ordinateurs identifiés par un label


« Ce n'est pas la première fois que des constructeurs désactivent des fonctionnalités sur des cartes graphiques et des processeurs », ajoute l'analyste de Mercury Research. Par exemple, la puce triple-coeur Phenom d'Advanced Micro Devices (AMD) était livrée avec un coeur inactif. Ce dernier pouvait être activé via un « hack » pour en faire une puce quad-core. Certaines puces  destinées au jeu haut de gamme ont également des capacités d'overclocking. Celles-ci permettent aux amateurs d'augmenter la vitesse d'horloge pour doper les performances de leur machine. Dans certains cas, cette mise à niveau par overclocking est gratuite.

Comme l'a précisé Dave Salvator, d'Intel, afin de faciliter la décision d'achat, les ordinateurs portables ou les puces pouvant bénéficier du programme seront identifiés par un label indiquant aux consommateurs que les processeurs sont évolutifs. « Le prix des cartes de mise à jour dépendra du revendeur », a t-il ajouté. Le programme de mise à jour du processeur est prévu pour être accessible cette année aux États-Unis, au Canada, aux Pays-Bas, en Allemagne, aux Philippines, en Indonésie, au Mexique, au Brésil et au Pérou. Mais Intel envisage d'étendre son programme à d'autres pays.

Illustration : les évolutions apportées par le service d'upgrade (source : Intel)

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(17/08/2011 11:33:15)

Le fonds BlackRock détient 5,18% des droits de vote d'Alcatel-Lucent

Le fonds d'investissements BlackRock se veut le plus important au monde, avec 3 650 milliards de dollars d'encours sous gestion au 31 mars dernier. La société a annoncé détenir au 8 août, 5,26 % du capital et 5,18 % des droits de vote de l'équipementier télécoms Alcatel-Lucent.

Ce franchissement de la barre des 5% a lieu sur fond de difficultés pour l'ensemble du secteur et de rumeurs persistantes de mise en vente de la division « entreprises » d'Alcatel-Lucent.

Illustration : le titre Alcatel-Lucent au Nyse le 16 août 2011 (source : Yahoo Finance) (...)

(17/08/2011 11:11:59)

Samsung peut vendre sa Galaxy Tab 10.1 en Europe, hors l'Allemagne

Le tribunal de Düsseldorf, qui avait interdit le 9 août dernier la vente de la tablette numérique de Samsung dans toute l'Europe au motif qu'elle enfreignait la propriété intellectuelle de l'iPad d'Apple, est revenu sur sa décision le mardi 16 août. Il s'est déclaré incompétent pour décider d'une telle sanction hors de ses frontières.

Les répercussions ne devraient toutefois pas être trop importantes pour le constructeur sud-coréen. Ainsi, Florence Catel, Directrice des relations publiques de la marque en France a confié à Relaxnews que cette décision ne concernait pas les produits déjà livrés aux revendeurs. Ceux-ci ont donc pu écouler ces derniers jours les modèles qui leurs avaient été préalablement livrés. Dès aujourd'hui, Samsung va donc pouvoir les réapprovisionner partout en Europe, excepté en Allemagne.

L'appel interjeté par Samsung doit, lui, être jugé le 25 août.

Photo : la tablette numérique Galaxy Tab 10,1 (crédit : Samsung)
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(17/08/2011 10:42:19)

Trimestriels Overlap : CA en baisse de 10% mais les services progressent

Avec un chiffre d'affaires trimestriel (avril-mai-juin 2011) de 37,3 millions d'euros, Overlap est en recul de 10% par rapport à l'an passé. C'est le premier trimestre de l'exercice fiscal 2011/2012 pour cet intégrateur.

Les deux grandes activités d'Overlap, infrastructures et services, évoluent de manière opposée. « Infrastructures » recule de 22% par rapport à l'an dernier (à périmètre comparable), mais représente 24,3 millions d'euros. « Services » progresse de 26,3%, à 13 millions d'euros. La partie infrastructures est très saisonnière avance la société, tandis que les services ont bénéficié d'une forte progression des prestations de maintenance. Sur l'exercice en cours, Overlap veut poursuivre sa croissance organique sur cette deuxième activité en la complétant d'au moins une opération de croissance externe « dans des services à forte récurrence (services managés, infogérance, cloud computing) ».

Par ailleurs, le groupe souligne notamment deux points d'amélioration de sa situation financière : « le succès de l'émission obligataire, lancée au mois de juin, qui a permis de lever 5,2 M€ ; la conclusion en juin d'un accord à l'amiable qui a mis fin à un litige avec l'un de ses partenaires qui aura un impact positif sur la trésorerie du groupe et sur le résultat opérationnel courant au 1er semestre 2011/2012 ».

Crédit photo : Rasmus Thomsen / FreeDigitalPhotos.net

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(17/08/2011 09:46:28)

Rod Beckstrom quittera son poste de CEO de l'Icann en juillet 2012

Rod Beckstrom, président et CEO de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), a annoncé hier qu'il quitterait son poste au terme de son mandat qui doit s'achever le 1er juillet 2012, soit trois ans après sa prise de fonction. Dans un communiqué, il s'est déclaré fier d'avoir, en « deux petites années » amené l'Icann (coordinateur des noms de domaine sur Internet) à un « niveau de professionnalisme et de productivité, et transformé en une organisation véritablement multinationale qui servira la communauté mondiale » bien au-delà de son passage.

Le rôle de CEO de l'Icann n'est pas des plus faciles. L'organisation est responsable de la gestion des adresses IP utilisées pour identifier les ordinateurs sur Internet et c'est aussi l'autorité qui, en dernier ressort, a la main sur les noms de domaines génériques (top-level). Elle fut détachée du ministère américain du commerce (Department of Commerce), qui a commencé à gérer Internet depuis ses débuts jusqu'à la fin des années 1990. De par sa position, elle est soumise à une certaine pression. On attend d'elle, en particulier, qu'elle intervienne pour faire le ménage parmi les spammers et réduire les activités criminelles sur Internet, ce qu'elle a été assez lente à faire.

Initiative DNSSEC et extension des noms de domaine


Pendant la présidence de Rod Beckstrom, l'Icann s'est effectivement axé sur la sécurité d'Internet, principalement en poussant un nouveau système de noms de domaines, plus sécurisé, nommé DNSSEC (Domain Name System Security Extensions). Selon l'organisation, seuls un peu plus de 20% des noms de domaine d'Internet ont maintenant la capacité d'utiliser ce système.

Rod Beckstrom a également supervisé un plan d'extension des noms de domaines génériques disponibles. Avant de rejoindre l'Icann, il était directeur du Centre national de la cybersécurité rattaché au Department of Homeland Security (sécurité intérieure des Etats-Unis).

Photo : Rod Beckstrom, président et CEO de l'Icann (crédit : Icann)

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