Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 2231 à 2240.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(23/12/2010 16:16:23)
Orange appliquera la hausse de la TVA aux forfaits mobiles
Décidée dans le cadre de la nouvelle Loi de Finances, l'augmentation de la TVA sur les services de télévision fait passer le montant de la taxe de 5,5% à 19,6% sur la partie TV des offres triple play, regroupant Internet, téléphonie fixe et accès à la télévision. Les forfaits mobiles seront également concernés par cette augmentation, certaines formules proposant en effet une option pour regarder la télévision sur son mobile 3G. Orange a ainsi publié ses nouveaux tarifs, qui entreront en vigueur le 1er février 2011.
Par exemple, les forfaits M6 Mobile chez Orange passeront de 19,99 euros/mois à 20,99 euros/mois (ou 22,99 et 23,99 euros pour un engagement sur 12 mois). Pour les forfaits Origami star, Open et iPhone, la hausse sera comprise entre 2 et 3 euros selon le nombre d'heures de communication offertes. Cette modification du contrat, communiquée aux clients par courrier, donnera droit à une résiliation sans frais de l'abonnement. Bouygues Telecom et SFR n'ont pas encore annoncé de hausses sur leurs forfaits mobiles avec accès à la télévision.
Début décembre, Orange avait annoncé une hausse des tarifs de ses abonnements haut débit, en raison cette modification réglementaire. Concrètement, les abonnements chez Orange coûteront au maximum 3 euros de plus à partir du 1er février 2011.
Le Crédit Agricole refond son indexation de données
Le Crédit Agricole est actuellement en train de refondre et d'unifier le système d'information des 39 caisses régionales. Ce projet va notamment aboutir au poste de travail unifié Nice (Nouvelle Informatique Convergente Evolutive). Or, dans le cadre de leurs missions, les 73 000 collaborateurs ont besoin d'accéder plus de deux milliards de documents clients, 600 millions d'e-mails et 8 milliards de transactions par an. Accéder à l'ensemble des informations relatives à un client est en effet nécessaire pour lui délivrer les conseils et prestations adéquates. Une recherche manuelle dans des documents papiers ou électroniques est des plus fastidieuses mais pas des plus efficaces. Il existait également des moteurs de recherche en mode silo sur certains types d'informations.
Recherche en langage naturel
Pour atteindre l'objectif d'une plus grande efficacité dans cet accès à l'information, le Crédit Agricole a décidé de se doter d'un moteur de recherche transverse en langage naturel. Le groupe bancaire a choisi Business Search de Sinequa. La rapidité d'indexation, la faible consommation de ressources informatiques, la rapidité de déploiement et la simplicité de maintenance ont été les critères principaux du choix. L'outil mis en place couvre dans une seule interface aussi bien les données structurées que les données non-structurées et quelqu'en soient les sources au sein du SI.
Le coût du projet n'a pas été communiqué.
Bilan Open Source 2010 : Un réalisme économique sur fond de tension
Le rapprochement de Sun avec Oracle a peut-être sonné le glas d'une certaine idée de l'Open Source. Il a surtout montré que ce modèle était entré dans une autre phase, celle de la monétisation et de la valorisation des différentes solutions. Cet effort passe par des hausses sensibles de tarifs de maintenance et de support ou par la suppression de développement sur certaines solutions, comme avec OpenSolaris par exemple. Cette tendance est inexorable nous avait laissé entendre James Whitehurst, PDG de Red Hat, « nous investissons des millions de dollars dans le développement des solutions Open Source, il est nécessaire à un moment de vivre de notre travail ». Ce dernier a présenté des résultats pour le 3ème trimestre en hausse de 58,5%.
La résistance se fait jour
Cette orientation « capitaliste » ne fait pas que des heureux, parmi les communautés de développeurs. Très récemment, la Fondation Apache a démissionné de la Java Community Process en conflit avec Oracle sur la politique de licence sur des spécifications de Java 7 et 8. Une autre démarche est la scission, comme cela a été le cas pour le projet Libre Office, qui a refusé la démarche d'Oracle sur la suite bureautique Open Source, Open Office et a décidé de lancer son propre fork. Ce fut également le cas pour Open Solaris, où des personnes ont lancé un projet dérivé Illumnos. La résistance peut aussi se traduire par des attaques judiciaires. Ainsi, la société TurboHercules qui fournit une émulation Open Source de mainframe a porté plainte auprès de la Commission européenne, pour dénoncer la position dominante d'IBM sur le marché des grands systèmes.
Un foisonnement d'innovations
Loin des différentes querelles, le monde de l'Open Source est toujours un vivier d'innovation. La plus symbolique a été Openstack, un projet de cloud ouvert porté par Rackspace et la NASA. Cette dernière met à disposition des briques technologiques auprès des développeurs pour pouvoir créer leur propre offre de cloud. En matière de développement, certains langages commencent à intéresser les grandes sociétés, c'est le cas de Ruby on Rail. Récemment Salesforce.com a racheté Heroku, spécialiste dans ce domaine. Les grands noms de l'IT tendent la main au monde Open Source, comme le fait Microsoft à travers sa fondation Codeplex rebaptisé Outercurve. Au final, le monde Open Source poursuit sa mutation avec des avancées et quelques heurts. 2011 sera une autre année.
Sur le même sujet :
L'ancien responsable de MySQL quitte le navire Sun/Oracle
La fin proche d'Open Solaris stimule les projets dérivés
Oracle sonne le glas d'Open Solaris
Apache claque la porte de la Java Community Process
OpenOffice.org se transforme en fondation et lance en Libre Office
TurboHercules attaque IBM pour pratiques déloyales
Rackspace et la NASA s'associent dans le cloud Open Source
SalesForce.com rachète Heroku et sa plateforme PaaS Ruby
La fondation Codeplex se rebaptise Outercurve
- Bilan Emploi 2010 : Une reprise de l'emploi IT en demi-teinte
- Bilan Tablettes 2010 : L'an 1 du phénomène
- Bilan Datacenters 2010 : Consolidation et automatisation
- Bilan Sécurité 2010 : Perfectionnement des attaques et concentration des acteurs
- Bilan Oracle-Sun 2010 : Adoptions et abandons
- Bilan Supercomputers 2010 : En route vers l'exaflopique (...)(23/12/2010 12:50:20)
La TV connectée à la croisée de la valeur
(Source EuroTMT) Le concept est à peine né, les premiers téléviseurs sont à peine vendus que déjà la TV connectée voit s'engager une lutte féroce entre différents protagonistes dont aucun n'a l'assurance de sortir vainqueur. Chaînes de télévision, FAI, géants de l'Internet, fabricants de téléviseurs... Tous ces acteurs se ruent aujourd'hui pour tenter de s'imposer sur ce nouveau marché que l'IDATE estime à 41,3 milliards d'euros d'ici 2015 pour les cinq plus grands pays européens. Selon une autre étude réalisée par GroupM, 7,6 millions de foyers français pourraient être équipés de téléviseurs connectables à Internet en 2012 et 42,2 % des téléviseurs seront connectés dans le monde d'ici 2014. On comprend que cela attise les convoitises. « A l'instar de l'irruption d'Apple dans le cellulaire, il y a une réelle interpénétration des territoires » relève un familier de ces questions, tout en observant que « la plupart des constructeurs de téléviseurs (Samsung, Sony, LG, Panasonic) sont également présents dans le cellulaire ».
Un bouleversement de la chaine de valeur
« On assiste à un bouleversement complet de la chaîne de valeur » constate Christophe Aulnette, directeur général de Netgem, tout en soulignant la situation assez unique de l'Hexagone avec 25 % des abonnés à l'IP TV dans le monde (soit près de dix millions de foyers français recevant la télévision par le biais de l'ADSL). « Il y a très clairement deux catégories d'approches, celle des FAI avec des services administrés et celle des fournisseurs de contenus qui s'affranchissent des contraintes, notamment en matière de droits de diffusion, imposées aux FAI et pour qui la connexion Internet est devenue une simple commodité » décrypte un observateur.
Pour les uns (les fabricants de TV), il s'agit de trouver de nouveaux relais de croissance alors que se multiplient les écrans sur lesquels il est possible de voir du contenu audiovisuel. Les broadcasters essayent pour leur part de défendre leur territoire qui jusqu'à présent s'est révélé assez profitable. Les FAI tentent de développer un marché qui leur permet de consolider leur chiffre d'affaires (Free a vendu 4,9 millions de VoD et d'abonnements S-VoD au premier semestre 2010). Quant aux majors de l'Internet (Google, Yahoo et même Apple), tels des mercenaires de la technologie, ils s'immiscent partout où ils peuvent espérer gagner de l'argent.
Guerre de mouvement ou guerre de position ?
Le résultat est pour le moment un joyeux bazar où se nouent des alliances d'intérêt (par exemple entre Google TV et Sony) dont on se demande si le premier objectif n'est pas de neutraliser l'adversaire plutôt que de gagner des parts de marché. « Le paysage n'est pas du tout fixé. Les acteurs, qui génèrent le plus de crainte comme Apple ou Google, n'ont pas encore convaincu. Et les chaînes de télévision qui sont les premières menacées n'ont pas tardé à réagir » explique Sophie Girieud, consultante à l'Idate et auteur d'une étude exhaustive sur la TV Connectée. Car la question qui sous-tend l'avenir de la TV connecté, c'est de savoir quel est le modèle économique ? « Pour les acteurs du Web, il est clair que le modèle repose sur la publicité avec la possibilité d'aller sur un marché plus large que celui sur lequel ils interviennent actuellement.
[[page]]
Et aussi le fait d'intervenir différemment des chaînes de télévision en remplaçant le prime-time par la publicité ciblée, comme ils le font sur le Web. De leurs côtés, les constructeurs se lancent dans les offres de services de façon parfois très agressives comme Sony et son Qriocity » précise Sophie Girieud. Mais, contrairement à d'autres experts qui pensent que cette intrusion des fabricants pourraient affaiblir les FAI (« A long terme, TV connectées et boîtiers hybrides constituent une menace potentielle sur la valorisation des offres triple play à 30 euros dont 50 % de la valeur est attribuée aux services de télévision » explique le cabinet d'étude NPA Conseil »), l'analyste de l'IDATE estime que les FAI ont une véritable carte à jouer : « les fournisseurs d'accès ont un circuit fermé, un parc d'abonnés captif et surtout une facturation simplifiée et sécurisée puisque tous les services sont payés directement via la facture mensuelle.
La facturation centralisée par le FAI est sa principale force
Ils sont vraiment bien positionnés d'autant plus avec les nouvelles box qui ont pour objectif d'apporter de nouveaux services à la Télévision ». Mais les services proposés (beaucoup de protagonistes rêvent notamment de renouveler la réussite de l'AppStore) ne suffiront pas à eux-seuls à faire le succès de la TV connectée. La simplicité d'utilisation et l'interface seront également déterminantes : « D'abord, il faut un outil approprié sous forme de pointeur ou de clavier car les télécommandes actuelles ne sont pas du tout adaptées à ces nouveaux services. Mais l'enjeu va surtout être de ne pas perdre la simplicité de la TV. Il faut donc faire attention avec les univers enrichis et la standardisation est donc primordiale. Or dans ce domaine, les grandes chaînes de télévision ont déjà de bonnes habitudes » conclut Sophie Girieud.
Alcatel-Lucent poursuit plusieurs sociétés dont Apple sur des codecs vidéo
La plainte a été déposée lundi devant la cour de justice américaine de Californie (District Sud). Dans le cas d'Apple, MPT veut obtenir des royalties sur « tous les produits vendus par Apple offrant des fonctionnalités vidéo, » lesquels, selon MPT, utilisent ces brevets. Cela concerne aussi bien les MacBook, les iPhone et son logiciel de montage vidéo Final Cut, comme l'énonce la plainte. Les quatre brevets cités font appel à des codecs vidéo utilisés pour compresser les données transformées en signal vidéo numérique.
Le groupe réclame aussi des redevances pour les appareils photo et les caméscopes vendus par Canon, les caméscopes vidéo numériques vendus parTiVo, et les smartphones vendus par LG. Les procédures judiciaires concernant les smartphones sont devenues monnaie courante. Ainsi, la semaine dernière, Nokia a élargi son action en justice contre Apple, laquelle a contre-attaqué en accusant à son tour le fabricant finlandais de violer plusieurs brevets utilisés dans ses téléphones mobiles. L'entreprise de Steve Jobs est également impliquée dans une autre bataille de brevets avec HTC et Motorola.
Créé en 2006 lors de la fusion entre Alcatel et Lucent Technologies, le Multimedia Patent Trust a hérité certains brevets du portefeuille de Lucent. Depuis, MPT possède et contrôle ces actifs, mais les bénéfices qui en résultent reviennent à Alcatel-Lucent. Dans le passé, le MPT avait déjà été impliqué dans des actions en justice l'opposant à Microsoft, notamment.
Dell veut mettre la main sur InSiteOne
Dell prévoit de racheter la société d'archives médicales dématérialisées InSiteOne pour un montant non communiqué. L'éditeur, dont le siège se trouve à Wallingford, dans le Connecticut, emploie une quarantaine de collaborateurs. Il développe des solutions de soins de santé dématérialisées qui donnent la possibilité d'archiver des données médicales et de partager des images. L'année dernière, Dell avait versé 3,9 milliards de dollars pour acquérir le géant des services informatiques Perot Systems, qui se concentre sur les secteurs gouvernementaux et de soins de santé. La solution d'archivage en mode cloud et les services de stockage d'InSite One seront complémentaires à l'offre de Dell en matière d'archivage médical simplifié. Ensemble, les produits offriront aux patients du public et du privé la possibilité d'accéder et de partager des images indépendamment des applications médicales qu'ils emploient, a précisé Dell dans un communiqué. L'offre SaaS développée par InsiteOne archive du contenu numérique comme des objets, ce qui signifie qu'elle stocke des informations et des méta-données ensemble, ces dernières pouvant être indexées et récupérées, peu importe l'environnement virtuel où elles sont stockées.
3,6 milliards d'images médicales gérées
Les client d'InSiteOne utilisent le service moyennant un abonnement ou un paiement à l'acte. La stratégie de Dell visera à fournir à ses clients des solutions ouvertes et évolutives avec des options de déploiement qui réduiront considérablement la complexité, le coût du stockage et la gestion des données. « Nos clients nous ont fait savoir que la gestion des images numériques et des dossiers patients restait l'une de leurs plus grandes préoccupations, a souligné James Coffin, vice-président de Dell Healthcare et Life Sciences dans un communiqué. Nous souhaitons donc simplifier l'archivage et la conservation des données cliniques, à la fois des images médicales et des dossiers médicaux électroniques. Ce qui facilitera réellement l'accès à l'information par les cliniciens.»
De son côté InSiteOne a indiqué qu'il gérait près de 55 millions de documents cliniques, plus de 3,6 milliards d'images médicales et proposait de la capacité de stockage à près de 800 sites. Son offre accepte toutes les formats de l'archivage d'image et de communication (PACS) et les sources de données. Elle fournit aux cliniciens un accès web à des images radiologiques, permet une indexation rapide et donne également la possibilité de partager des données au sein de systèmes hétérogènes.
(...)
Teradata s'offre l'éditeur de logiciels marketing Aprimo
La transaction devrait être finalisée au premier trimestre de l'année prochaine. Aprimo commercialise une gamme de solutions en mode SaaS (software as a service) destinée aux marchés BtoB (business to business) et BtoC (business to consumer). Teradata envisage de combiner la technologie de l'éditeur avec ses propres outils d'analyse et de datawarehouse, ce qui devrait permettre à ses clients d'exécuter des campagnes marketing plus rapidement et plus efficacement sur plusieurs canaux. Cette annonce fait suite à l'acquisition d'Unica, l'un des concurrents d'Aprimo, par IBM, un peu plus tôt cette année. Des sociétés telles que Neolane, SAS Institute et Alterian proposent également un logiciel similaire. (...)
(22/12/2010 10:10:42)IDC : iPhone 4 et Android stars du troisième trimestre en Europe
Selon les chiffres d'IDC, 18,9 millions de smartphones ont été vendus en Europe occidentale à l'occasion du troisième trimestre, soit une progression de 109% par rapport à la même période il y a un an. Une croissance que n'ont pas connue les téléphones mobiles classiques, en chute de 17% à 31,7 millions d'unités. La part des téléphones « intelligents » dans les ventes globales de mobiles s'élèvent ainsi à 37% en Europe de l'Ouest.
Ce boom des smartphones est en grande partie lié au succès de l'iPhone 4 d'Apple, sorti un peu plus tôt cette année, ainsi qu'à la multiplication des modèles tournant sous Android, le système d'exploitation ouvert de Google. Apple se positionne ainsi comme le deuxième vendeur de smartphones sur ce marché, avec 4,5 millions d'exemplaires écoulés de juillet à septembre (+101,6%). Au classement général, la firme américaine est même troisième, derrière Nokia et Samsung. Derrière la marque à la pomme, c'est Research In Motion, le fabricant canadien connu pour ses BlackBerry, qui complète le podium avec 2,6 millions d'exemplaires vendus (+85,6%).
Nokia, un leader aux pieds d'argile
Les plus fortes progressions sont toutefois à mettre à l'actif des marques qui ont largement adopté le système Android sur leurs smartphones, comme Sony Ericsson (2 millions d'unités vendues, en hausse de 3.304%), ou HTC (1,9 million, +162%). Quant à Nokia, leader continental et mondial du marché des téléphones mobiles, il reste en tête, mais ses ventes de smartphones progressent moins vite que celles de ses concurrents (6 millions, +45%). Près d'un smartphone sur trois vendu en Europe de l'Ouest porte tout de même le logo de la marque finlandaise.
Dans le classement des ventes par systèmes d'exploitation, si la plateforme de Symbian, qui équipe la plupart des appareils Nokia, domine encore les débats, IDC prédit une montée en flèche d'Android. L'OS de Google passerait, en 2011, devant Symbian et iOS (Apple).
(...)(22/12/2010 10:06:05)La FFF connecte ses sites distants en VPN et fibre
La Fédération Française de Football (FFF) dispose de 135 sites à travers le territoire national : 2 liés au siège en Ile-de-France (le social et le service communication hébergé dans une agence), 31 ligues et 102 districts. Elle cherchait un nouveau système de connexion datas entre ses sites, un accès Internet partagé et une solution de sécurité managée.
L'amélioration de la bande passante était l'un des critères majeurs de la FFF. En effet, les échanges entre sites sont très nombreux (mails...) et peuvent comporter des éléments très volumineux (supports d'information et de communication, vidéoconférences...).
A l'issue d'une mise en compétition, la FFF a choisi l'offre de VPN/IP associé à du FTTO [Fiber To The Office] proposée par Completel devant celles de deux partenaires officiels de l'organisation sportive. Le FTTO ne concerne que les deux sites parisiens et une dizaine de ligues.
Le contrat, dont le montant n'a pas été dévoilé, a été conclu pour trois ansF
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |