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(31/01/2012 10:14:15)

La consumérisation de l'IT s'étend aux PME selon IDC

Selon IDC, la consumérisation de l'IT (le fait que les salariés utilisent des terminaux personnels dans leur travail) devrait s'étendre aux PME, particulièrement celles des pays en voie de développement. Malgré les risques de sécurité, ces entreprises savent tirer parti de l'équipement de leurs salariés pour rester compétitives et augmenter leur efficacité.

« Cette consumérisation de l'informatique a des implications importantes pour les fournisseurs de technologie ainsi que pour les entreprises concurrentes des PME qui profitent de tous les outils de productivité qu'ils peuvent » explique Ray Boggs, vice-président en charge du marché des Petites et Moyennes Entreprises chez IDC. Les PME dans les pays développés (par exemple, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, le Japon) indiquent généralement des niveaux plus élevés d'utilisation des technologies de pointe, PC portables, réseaux sans fil, que les entreprises de taille similaire dans les pays en développement (par exemple, la Chine, Brésil). Cependant, l'écart se réduit rapidement.

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(30/01/2012 17:08:40)

Des outils pour explorer les bases de brevets et mener sa veille économique

Destiné à des équipes de R&D et de veille technologique, le logiciel Matheo Patent facilite la consultation de la base de données du bureau américain des brevets, l'USPTO (United States Patent and Trademark Office), et de la base Esp@cenet, cette dernière donnant accès à 70 millions de documents sur les inventions et évolutions techniques dans le monde depuis 1836. Sa version 9.6 est compatible avec les nouvelles contraintes des services d'Esp@cenet. L'interface du logiciel a été modifiée pour améliorer son utilisation. Son éditeur Matheo Software signale un module d'interrogation plus intuitif qui propose une prévisualisation et une sélection des brevets à télécharger. Des fonctions graphiques ont par ailleurs été ajoutées pour afficher sur une mappemonde les déposants et les inventeurs par pays, ou pour visualiser les pays de dépôt. Un autre type de graphique permet de représenter les séries multiples. Le design est paramétrable. 

Logiciel Matheo Patent
(Cliquer ici pour agrandir l'image)

L'abonnement annuel au logiciel démarre à 600 euros. Le prix est dégressif en fonction du nombre de poste. Une version d'évaluation gratuite est disponible.

Cartographie d'informations structurées

Créé en 2003, l'éditeur Matheo Software développe des solutions d'aide à la décision et d'analyse de l'information. Il propose également le logiciel Matheo Analyzer conçu pour assurer une veille scientifique, stratégique, commerciale ou concurrentielle. Celui-ci convertit en information stratégique des données structurées pertinentes recueillies dans un domaine technologique. Dans sa version 4.0, le module d'importation a été simplifié. Il est possible de récupérer des données de tous fichiers structurés venant de bases telles que PubMed, Qestel-Orbit, Sialog, STN ou Esp@cenet.

Des méthodes de clustering automatique ont été ajoutées : K-Means, Dendrogramme et Propagation. Cela permet de générer une classification dynamique et de naviguer dans un volume important de données. Enfin, le logiciel propose un tableau de bord personnalisable, MyAnalyzer. Il existe une version d'évaluation gratuite du produit. La licence de la version complète coûte 3 450 € HT par poste (tarif dégressif). Elle est proposée en mono-poste pour garantir la confidentialité des données, explique son éditeur, qui ajoute que les données sont stockées localement.

Matheo Analyzer, le tableau de bord
Les fonctions de tableau de bord MyAnalyzer (cliquer ici pour agrandir l'image)

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(30/01/2012 16:04:36)

Les ventes de musique en ligne dépassent celles des magasins

Que ce soit un album ou un titre simple, les Français ont davantage acheté leur musique sur Internet qu'en magasin en 2011. Selon les données publiées par le Syndicat national de l'édition phonographique (Snep), les ventes d'albums sur les plateformes de téléchargement légales ont progressé de 22,6%, et de 27% pour les singles. En magasin, les ventes ont baissé de 7% pour le premier et de 43,8% pour le second.

La progression du téléchargement d'oeuvres musicales est phénoménale. En seulement quatre années, la part du nombre d'albums téléchargés est passée de 2,4% en 2007 à 13% l'an passé. Et 98% des titres sont vendus sur la Toile en 2011, contre 59% en 2007.

Gloablement, les ventes de musique enregistrée ont baissé de 10,5% en magasin, et augmenté de 16,7% sur internet. Au total en 2011, les Français ont acheté 50,4 millions d'albums, 43,9 millions de singles et 2,5 millions de DVD musicaux, précise le Snep.

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(30/01/2012 15:58:20)

Jon Rubinstein, ancien patron de Palm, quitte HP

« Jon a rempli son engagement chez HP. Nous lui souhaitons bonne chance » a déclaré HP dans un communiqué. Jon Rubinstein était vice-président senior pour l'innovation produit de la division Personnal System Group (PSG). HP n'a pas indiqué quels étaient les projets de Jon Rubinstein, mais AllThingsD, pense qu'il va dans un premier temps prendre des congés et s'occuper de sa famille.

Jon Rubinstein a rejoint Palm en 2007 et est devenu PDG en 2009, alors que la société avait lancé son smartphone sous webOS. Ce système d'exploitation avait obtenu d'excellentes critiques, mais les ventes de terminaux n'ont jamais décollé. En 2010, HP a racheté Palm. Jon Rubinstein était en retrait laissant Stephen DeWitt être nommé à la tête de l'activité comprenant webOS. Puis sous la houlette de Leo Apotheker, HP a décidé d'arrêter la production de tablettes et de smartphones sous webOS. Après un temps de flottement, Meg Whitman a décidé de rendre le système d'exploitation mobile Open Source.

Pour mémoire, Jon Rubinstein s'est fait un nom chez Apple, où il a joué un rôle de premier plan sur le développement de l'iPod.

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(30/01/2012 14:31:14)

Oracle propose un comité unique pour superviser les spécifications Java

Si la proposition qu'Oracle vient de faire est acceptée, la supervision des standards techniques de Java passerait sous l'égide d'un seul comité, alors que l'actuel système s'appuie sur deux entités séparées pour Java EE/SE (Enterprise Edition/Standard Edition) et pour Java ME (Micro Edition). Les deux premières déclinaisons concernent respectivement les environnements serveurs et postes de travail, tandis que ME est destinée à ses utilisations mobiles et embarquées.

Oracle a récupéré la propriété de Java en rachetant Sun Microsystems en janvier 2010, mais les spécifications techniques standards du langage de programmation Open Source sont toujours guidées par le JCP (Java Community Process), une organisation constituée d'entreprises et d'individus ayant un intérêt particulier pour Java. Oracle justifie sa proposition en évoquant les changements sur le marché de Java ME, la maturité croissante de ce dernier et, de façon générale, sa consolidation. « Cela suggère qu'un rééquilibrage entre Java ME et les autres plateformes pourrait être approprié, ainsi qu'une légère réduction du nombre de membres du comité exécutif », a indiqué la semaine dernière sur le site du JCP le collaborateur d'Oracle qui préside l'organisation, Patrick Curran. « La convergence attendue entre Java ME et SE devrait rendre de moins en moins pertinente l'actuelle séparation entre deux comités exécutifs séparés », ajoute-t-il. « Dans la mesure où Java est vu comme une seule plateforme, il devrait être supervisé par un comité exécutif unique».

Un nombre réduit de membres au comité exécutif

La proposition d'Oracle entraînerait la réduction du nombre total de membres du comité (32 actuellement), mais elle prévoit de maintenir le ratio 2 pour 1 de sièges nommés et élus, si l'on se réfère au site du JCP. « Dans le comité exécutif fusionné, pas plus Oracle qu'aucun autre membre ne pourra détenir plus d'un siège » peut-on lire. La JSR (Java Specification Request) est supervisée par un groupe expert constitué de représentants de différentes entreprises, incluant Oracle, IBM, Intel et Siemens. Son travail devrait durer six mois environ, « afin de permettre aux modifications d'être engagées pendant les élections ». Ce groupe reconnaît toutefois que les changements pourraient devoir être introduits progressivement dans le temps ».

Dans un souci d'équité, tous les membres auront le même risque de perdre leur siège. Il est aussi précisé dans la proposition qu'Oracle « devrait avoir la plus grande flexibilité dans la réallocation des sièges de membres nommés pour assurer que le comité exécutif fusionné représente de façon adéquate et équitable l'ensemble de l'écosystème Java ».

Une autre proposition, sans doute plus polémique

Cette proposition est la deuxième de trois mesures exposées par Patrick Curran dans un billet de blog en août dernier. La première, adoptée l'an dernier, a cherché à rendre le processus de spécification plus transparent et public (le comité exécutif publiait déjà ses comptes-rendus de réunion). La troisième n'a pas encore été soumise. Elle abordera des changements plus complexes, a indiqué Patrick Curran, parmi lesquels des modifications possibles du JSPA (Java Specification Participation Agreement), l'accord spécifiant le mode de fonctionnement du JCP. Compte tenu de l'histoire récente, cette proposition est susceptible de générer des controverses. La Fondation Apache a quitté le JCP fin 2010 à la suite d'un désaccord avec Oracle concernant le JSPA. L'ASP (Apache Software Foundation) maintient qu'Oracle n'a pas réussi à lui fournir une licence acceptable pour un kit de compatibilité technologique (TCK) qui lui aurait permis de tester son projet Harmony, une mise en oeuvre de Java SE, ainsi que le garantit le JSPA.

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(30/01/2012 13:54:17)

Salesforce.com : les clients ne veulent pas payer les fonctions BI

Les clients de Salesforce.com manifestent leur mécontentement. En effet, avec la sortie d'une nouvelle version d'Analytics Edition pour son logiciel de gestion de la relation client (CRM), le fournisseur compte augmenter son tarif. Mais les clients estiment que les fonctionnalités de cette nouvelle édition devraient faire partie de leur abonnement de base.

L'Analytics Edition, annoncée l'an dernier par le fournisseur de logiciels de CRM dans le cloud, devrait être disponible au printemps 2012. Celle-ci comprendra plusieurs fonctionnalités, comme des rapports conjoints, le tri des données par paquets (« bucketing ») et le « cross-filtering », selon un article paru en décembre sur le blog officiel de l'entreprise. « D'une manière générale, les fonctionnalités livrées avec un outil de Business Intelligence (BI) seront présentes dans l'Analytics Edition. D'autres fonctionnalités seront accessibles avec d'autres licences, » précisait l'article. Toujours selon l'article du blog, Salesforce.com prévoyait « également de renforcer les fonctions de reporting de son logiciel de CRM, en augmentant notamment le nombre de filtres sur les tableaux de bord. »

Une fronde menée par Jeremy Farber, le président de PC Recycler

Jeremy Farber, président de PC Recycler, une entreprise basée en Virginie qui recycle du matériel informatique, se dit mécontent de l'annonce de Salesforce.com. En tant que client, il n'accepte pas de devoir payer plus pour l'Analytics Edition. Au point qu'il a commencé à attirer l'attention sur cette question dès la semaine passée à travers divers médias sociaux et sur le site Web de Salesforce.com. « J'essaie de mobiliser les gens à ce sujet », a t-il déclaré. « Je peux comprendre que quand ils proposent de nouveaux produits, ils facturent un supplément, comme par exemple pour Siteforce, leur CMS (Content Management System) qui permet de construire des sites web directement dans le cloud, », a ajouté le président de PC Recycler. « Mais en ce qui concerne les fonctionnalités de la future Analytics Edition, elles sont indispensables au reporting. Et franchement, jusqu'à présent, le reporting de Salesforce n'était vraiment pas terrible. »

Jeremy Farber est également contrarié parce que les fonctionnalités à venir dans Analytics édition ont été suggérées par de nombreux clients par le biais du portail IdeaExchange de Salesforce.com qui incite les utilisateurs à soumettre leurs idées pour améliorer le logiciel. « Ils ont adopté des fonctionnalités de base suggérées par la communauté et en retour ils veulent nous faire payer pour ça », a-t-il estimé. Certes « leur logiciel est formidable », a ajouté Jeremy Farber. « Il a permis à notre entreprise de faire beaucoup de choses incroyables, y compris de réduire considérablement nos coûts. Mais, honnêtement, dans le cas présent, je pense qu'ils ont eu tort. »

Des clients mécontents des tarifs pratiqués

Le battage effectué par le PDG de PC Recycler autour de cette question coïncide avec une fronde de clients de Salesforce.com qui, ces dernières semaines, se sont plaints des tarifs pratiqués par le vendeur. « Depuis des années, le reporting est le maillon faible de la solution de Salesforce et à chaque mise à jour, on nous a promis que cette fonctionnalité serait améliorée, » déclare un client sur le blog d'Analytics Edition. « Les analytiques, c'est un peu le talon d'Achille de Salesforce, et avec ces mesures vous ne faites que l'affaiblir, » écrit un autre utilisateur sur le portail IdeaExchange. « Sachant que depuis très longtemps de nombreux utilisateurs demandent ce type de fonctionnalités. Le fait de vouloir nous faire payer pour cela, c'est une façon de nous prendre en otage avec nos données. »

Contacté par Chris Kanaracus, notre confrère d'IDG NS à San Francisco, pour avoir sa réaction à chaud sur le sujet, Marc Benioff, le PDG Salesforce.com, lui a répondu vendredi par courriel qu'il ne connaissait pas l'offre de l'Analytics édition dans le détail, et a fait suivre la demande aux RP de Salesforce.com. « En tant qu'entreprise sociale, la réussite des clients est toujours la priorité numéro un de Salesforce.com », a déclaré un porte-parole dans un communiqué retourné par courriel. « Beaucoup de nos clients attendent que Salesforce.com renouvelle l'offre vieillissante de la BI. La Business Intelligence traditionnelle n'apporte plus de valeur aux entreprises. Elle est mûre pour le changement. L'Analytics Council qui réunit des dizaines de clients Salesforce.com, nous a conseillé sur les caractéristiques et les prix, sur la base de leurs besoins en tant qu'entreprise sociale », ajoute le communiqué. « Les tarifs d'Analytics Edition reflètent un modèle entièrement nouveau pour la BI. Celle-ci offre notamment un retour sur investissement plus élevé pour les entreprises et pour chaque salarié. »

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(30/01/2012 12:18:18)

Cisco veut uniformiser ses outils de collaboration

Le projet est appelé en interne Futurama et repose sur le phénomène de la consumérisation de l'IT au sein de l'entreprise. Ainsi, Cisco veut répliquer l'expérience utilisateur des réseaux sociaux sur ses solutions de collaboration WebEx, Quad, Jabber IM, Tandberg et Social Miner. De plus, le constructeur souhaite une plus grande intégration entre ses différents produits, pour obtenir une expérience unifiée explique Raj Gossain, vice-président des produits de collaboration de Cisco Software Group et d'ajouter « cela passe par la mise en cohérence des différentes solutions avec une identité commune, des contrôles similaires, une expérience utilisateur unique ».

Un pré-aperçu dans la dernière version de WebEx

Après une année de travail, les résultats du projet Futurama commence à apparaître dans certaines mises à jour, mais le dirigeant indique que des avancées majeures sont attendues dans le courant de l'année. Ces changement seront visibles sur l'interface utilisateur, mais aussi dans la conception du matériel comme la solution de vidéoconférence de Tandberg, les téléphones IP et la tablette Cius. Un exemple de Futurama peut être vu sur la version beta de WebEx, qui a été lancée en novembre 2011. Le réseau social d'entreprise, Quad, devrait comporter les mêmes améliorations, souligne Raj Gossain. Cisco est surtout connu pour ses équipements réseaux, mais comprend une activité de solution de collaboration en plein développement. Réseaux sociaux d'entreprise, visio-conférence, web conferencing, ToIP, le groupe construit sa brique collaborative pour concurrencer Microsoft, IBM ou Google.

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(30/01/2012 10:45:46)

Selon le BCG, les revenus issus du Web vont doubler d'ici 2016

Les revenus liés à Internet dans les pays du G-20 devraient doubler d'ici 2016, pour atteindre la somme pharaonique de $4,2 billions. Moteur principal de cette croissance, l'augmentation fulgurante du nombre d'internautes à travers le monde, qui devraient passer de 1,9 milliards en 2010 à environ 3 milliards en 2016, soit 45% de la population mondiale. Voici en résumé les résultats d'un rapport présenté par le Boston Consulting Group sur mandat de Google à l'occasion du World Economic Forum qui se déroule actuellement à Davos.

Le centre de gravité du web se déplace

Le rapport établi par BCG exhorte les décideurs politiques et économiques à prendre conscience des grandes tendances de l'évolution du web, notamment par rapport à l'importance croissante des pays émergents - en 2016, environ 70% des internautes dans les pays du G-20 proviendront des marchés émergents, et la Chine comprendra 800 millions d'internautes, soit autant que la France, l'Allemagne, l'Inde, le Japon, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis réunis. Autre tendance soulignée, le transfert du PC vers le mobile, avec des terminaux mobiles, surtout les smartphones, qui représenteront 80% de toutes les connections à large bande. Enfin le passage d'un web passif à un web participatif - dans des pays comme l'Argentine et le Brésil, plus de 90% des internautes sont actifs sur les réseaux sociaux, beaucoup plus utilisés que dans des marchés plus matures pour la création et le partage de contenus.

Etre actif sur le Web pour croître

En termes commerciaux, BCG souligne enfin que les entreprises qui sont actives sur Internet pour vendre et promouvoir leurs produits connaissent une croissance plus soutenue que les autres, une conclusion à laquelle il parvient après avoir interrogé plus de 15 000 PME au niveau mondial. A titre d'illustration, en Grande-Bretagne les ventes des entreprises actives sur le Web ont augmenté 7 fois plus rapidement que celles des entreprises absentes du réseau des réseaux.

ICTjournal.ch (...)

(30/01/2012 10:30:30)

Annuels Econocom : une forte croissance en 2011

Econocom publie ses résultats financiers préliminaires, avec un chiffre d'affaires de 1,58 milliard d'euros. La société se félicite de ce chiffre, elle prévoyait 1,4 milliard et avait réalisé 1,02 en 2010, mais depuis elle a intégré ECS. L'activité France qui représente 50% du chiffre d'affaires a été portée par les offres desktop on deman ou Mobileeasy. Le Benelux (24% du chiffre d'affaires consolidé) et le Royaume-Uni (4,5% du chiffre d'affaires consolidé) atteignent des croissances à deux chiffres. Les pays de l'Europe du Sud et de l'Est, quant à eux, résistent bien dans un contexte économique difficile.

En attendant, les résultats complets, publiés le 7 mars prochain, Econocom parle de dépasser son objectif de résultat opérationnel courant de 56 millions d'euros pour 2011

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(30/01/2012 10:08:26)

Annuels Acesi : forte croissance et des ambitions dans le cloud

Basée près de Strasbourg Acesi publie son chiffre d'affaires annuel 2011. L'intégrateur a réalisé 10 millions d'euros, en progression de 30% « et uniquement par croissance organique » nous précise l'un des trois fondateurs, Jean-Marc Patouret qui dirige le commercial et la France. En 2010, c'était 7,7 millions d'euros et déjà 30% de hausse par rapport aux 5,95 de 2009. Spectaculaire, pour une société fondée en 2004, avec un premier exercice annuel complet en 2005.

Le trois associés fondateurs sont toujours aux commandes, l'un dirige la Suisse, l'autre la partie technique en transversal, le troisième, Jean-Marc Patouret, s'occupe donc du commercial et explique « nous n'avons jamais changé de principe, les trois fondateurs restent aux commandes, de manière équilibrée, la technique ne l'emporte pas sur le commercial et réciproquement. Nous sommes insensibles aux sollicitations des financiers, nous avons 80% du capital et des collaborateurs détiennent les 20% restants. La croissance externe nous est également étrangère, même si nous regardons des dossiers, mais marier deux cultures nous a toujours fait hésiter, nous tenons à nos principes ».

L'essentiel de l'activité reste dans les infrastructures

Le chiffre d'affaires est réalisé à 43% sur l'infrastructure, à 57% dans le négoce. L'infrastructure signifie du conseil, de l'intégration, de la co-gérance (offre nommée Vita), c'est-à-dire de l'infogérance mais chez Acesi on rebaptise l'activité pour bien montrer la proximité avec le client. Historiquement, la société a référencé de grands noms comme Citrix, Microsoft, VMware, c'est également un partenaire important de RES, de HP, et plus récemment de Jasper pour la BI et les bases de données. Mais l'essentiel de l'activité reste dans les infrastructures.

Acesi s'est aussi lancé dans le cloud computing. Sans effet de manche et sans référencer de grands partenaires, toujours pour rester plus proche des besoins du client. Acesi a même bâti son offre à elle avec quatre volets : du cloud privé chez le client, du cloud hébergé chez Acesi, de la sauvegarde avec engagement de réversibilité totale, enfin, du cloud public.  C'est de toute manière une évolution de ce qu'elle réalisait déjà.

En accompagnant ainsi ses clients, la société reste bien campée sur son ancrage régional. Historiquement, elle est également en Suisse. Et compte une agence au Canada, avec un manager qui est associé. D'autres formules de ce type pourraient voir le jour dans des régions françaises. Mais sans précipitation. Pour 2012, Acesi prévoit une croissance de 10%.

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