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(18/08/2010 10:03:43)

Semestriels ARES : une discrète amélioration

Après de fortes restructurations, Ares publie ses résultats semestriels, achevés au 31 juillet dernier.  Le chiffre d'affaires consolidé sur les six premiers mois de l'année se monte à 27,9 millions d'euros (ME) contre 28 un an auparavant. Le chiffre d'affaires du deuxième trimestre est même en hausse de 3% à 13,4 ME. Les chiffres ne comprennent plus les activités d'infogérance aux infrastructures en Ile-de-France et à Toulouse revendues à SCC.

Les activités d'Ares se répartissent en trois pôles, dont un seul  est en progression : « Innovation et design ». Il passe de 7,5 ME au 1er semestre 2009 à 9,1 ME au 1er semestre 2010.  Ce pôle repose essentiellement sur Autodesk.  Le pôle principal, celui des services, passe de 16,8 ME à 15,3 ME entre le 1er semestre 2009 et le 1er semestre 2010. Dernière activité, celle d'intégration passe de 3,8 ME à 3,5 ME.
(...)

(17/08/2010 17:42:28)

Les taxes européennes sur les produits technologiques jugées illégales par l'OMC

Cette dernière a violé l'accord de 1996 relatif sur les technologies de l'information. Ce traité signé par 72 pays identifient certains produits, comme technologiques et donc exemptés de taxe. Les européens considèrent que les produits incriminés ne rentrent pas dans le cadre de l'accord, écran plat d'ordinateurs (classé par l'UE comme des écrans vidéos), imprimantes multifonction ou setup box (boîte ADSL ou câble des opérateurs). En conséquence, les taux de taxe peuvent atteindre de 6 à 14% sur ces produits et donc augmenter leur prix pour le consommateur final.

Les importations de ces 3 produits représentaient en 2009 44 milliards de dollars. Les services Américains et Taïwanais du commerce ont estimé que les taxes sur les écrans plats d'ordinateurs par exemple aurait permis d'économiser 611 millions de dollars sur un an.

L'Union européenne a 60 jours pour faire appel de la décision de l'OMC. Le porte-parole de la Commission européenne, Patrizio Fiorilli, a indiqué « préférer la négociation à l'affrontement sur ce sujet » et d'ajouter qu'un « travail de réflexion est à mener sur l'accord sur les technologies de l'information qui n'a pas été mis à jour depuis 1996, ce qui pour les standards IT est un temps relativement long ».

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(17/08/2010 16:45:23)

HP achète Fortify, éditeur de logiciels de sécurité

Alors que le scandale autour du directeur d'HP s'essouffle doucement, la société reprend ses acquisitions pour renforcer non seulement son offre, mais aussi sa cotation en bourse, affectée par l'affaire (-12% depuis). Après 3Com et Palm, c'est au tour de Fortify d'être prochainement intégré à HP. Cet éditeur est spécialisé dans les logiciels de sécurité et de mise en conformité des applications durant leur cycle de développement, c'est-à-dire dans l'analyse du code afin de rechercher ses vulnérabilités potentielles. Sa création la plus connue est la suite logicielle 360 et pour Fortify On Demand qui offre la possibilité de soumettre du code aux datacenters de l'éditeur afin de le faire analyser.

Les deux entreprises se connaissent déjà depuis un moment, ayant eu l'occasion de travailler ensemble sur le projet Hybrid 2.0. Lorsque l'achat sera effectif, HP indique qu'il laissera l'éditeur fonctionner de son côté dans un premier temps, puis l'intègrera progressivement à sa propre structure Software and Solutions. Les produits feront eux partie du catalogue d'applications Business Technology Optimization.

Crédit Photo : Fortify

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(17/08/2010 15:18:29)

France Télécom : un nuage judiciaire s'en va, un autre revient

L'exécutif bruxellois a ainsi décidé de signaler son refus de la décision du Tribunal de l'UE en lançant une procédure d'appel. Celui-ci avait décrété en mai dernier que l'aide publique de 9 milliards d'euros perçue par France Télécom en 2002 n'avait rien d'illégale, puisqu'il s'agissait d'un prêt de l'Etat français à une société dont il détient encore 13,5 %. Cet argent devait servir à renflouer l'opérateur, alors au plus mal avec près de 63 milliards d'euros de dettes. Bouygues Telecom, jugeant l'aide inéquitable, a précédé l'appel de la CE en déposant le sien le 4 août dernier devant la Cour européenne de Justice (le 5 août pour celui de la Commission). Cette procédure pourrait durer jusqu'à deux ans, sans assurance que l'entreprise ait à reverser une partie de l'aide ou payer une quelconque amende.

Ce rebondissement intervient alors que Free et France Télécom ont enterré la hache de guerre. Depuis début 2000, les relations entre les deux opérateurs s'étaient tendues, entre diffamations (« délinquant multirécidiviste » par Xavier Niel ), pratiques tarifaires déloyales et entraves à la libre concurrence (dans le domaine de l'ADSL). Avec l'arrivée de Stéphane Richard et dans l'optique d'une négociation commerciale sur l'accès au réseau 3G du futur quatrième opérateur, Free et FT ont décidé de retirer leurs plaintes respectives.

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(17/08/2010 13:06:19)

Serveurs : Oracle trace ses plans pour Sparc jusqu'en 2015

Oracle a esquissé la semaine dernière ses projets sur cinq ans pour les serveurs Sun à base de processeurs Sparc. Il espère ainsi rassurer ses clients sur l'avenir de la plateforme et faire remonter les ventes, en déclin. John Fowler, ancien responsable de Sun qui gère maintenant l'activité systèmes d'Oracle, a présenté ces plans dans une conférence web tenue depuis le siège social de la société. Préalablement, il avait confirmé lors d'une interview que les lignes de serveurs x86 équipés de processeurs AMD étaient arrêtées et que les gammes étaient standardisées sur les puces Intel.

Des mises à jour régulières chaque année

Oracle va livrer des mises à jour régulières sur les processeurs Sparc de Sun pendant les cinq prochaines années. Et, au  moins, doubler la performance applicative chaque année sur les systèmes à base de Sparc, a affirmé John Fowler. Les serveurs Sparc, qui hébergent aujourd'hui 32 coeurs et 4 To de mémoire, atteindront 128 coeurs et 64 To de mémoire en 2015, a-t-il ajouté.


Sparc road map 2010 2015
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Le responsable de l'activité systèmes a indiqué que Solaris 11, la prochaine mise à jour majeure du système d'exploitation de Sun serait livrée l'an prochain (on a appris en revanche l'arrêt d'OpenSolaris). Elle comportera « des améliorations importantes à pratiquement tous les niveaux de la pile », en incluant des éléments du Projet Crossbow de Sun, portant sur une technologie de virtualisation de la couche réseau. La version 11 de Solaris supportera « jusqu'à des dizaines de To de mémoire et des milliers de threads ».

Pour Oracle, il était important de présenter une feuille de route pour ces systèmes à base de processeurs Sparc dont les ventes ont chuté sérieusement en raison du climat d'incertitude généré par l'acquisition de Sun. Dès le départ, il avait effectivement dit qu'il continuerait à développer Sparc mais il avait donné peu de détails.

Quid des Ultrasparc et Sparc64 ?

Même après cette conférence web, il reste quelques questions en suspens. Il y a deux familles de processeurs Sparc : d'une part, les puces multithreaded Ultrasparc développées en interne pour les serveurs T series, et d'autre part, les Sparc64 qui sont fabriquées par Fujitsu et vendues dans les serveurs haut de gamme, les M series.

John Fowler n'a pas parlé de ces deux lignes de puces, se contentant d'évoquer le futur de Sparc de façon générale. Cela amène Nathan Brookwook, analyste chez Insight64, à se demander si, finalement, Oracle n'aurait pas l'intention d'utiliser son Ultrasparc sur les deux gammes de serveurs. Une telle évolution permettrait de réduire les coûts de développement et de contrôler entièrement la conception des serveurs. Le repreneur de Sun pourrait produire des variantes de l'Ultrasparc, utilisant différentes interconnexions et tailles de cache, par exemple, pour les adapter aux serveurs M series, avance Nathan Brookwook.

Interrogé sur ce point, John Fowler a précisé qu'il parlait de Sparc de façon générique. « Les deux plateformes sont basées sur la même architecture sous-jacente et peuvent faire tourner exactement les mêmes logiciels. Les clients ne sont donc pas focalisés sur ce point », estime-t-il.

L'Ultrasparc T3 sortira-t-il cette année ?

Il n'a pas non plus été dit très clairement si le processeur Ultrasparc T3, qui doublera le nombre de coeurs de l'actuel T2 Plus, sera livré d'ici la fin de l'année comme prévu. Lors de l'interview, John Fowler a dit qu'il ne pouvait plus confirmer que la livraison aurait lieu cette année. Malgré cela, les analystes qui sont au courant des projets d'Oracle sur son offre matérielle se déclarent confiants dans l'avenir de Sparc. La société dispose à peu près du même nombre d'ingénieurs travaillant sur ces processeurs que Sun avant son acquisition. Et, en outre, la société de Larry Ellison est davantage axée sur les résultats, souligne Nathan Brookwood, d'Insight64.
[[page]]Jean Bozman, analyste pour IDC, considère qu'Oracle investit clairement dans le futur de Sparc et Solaris. Elle s'attend à une mise à jour d'étape sur Solaris 10 avant la fin de l'année et pense qu'Oracle va fournir une feuille de route plus détaillée lors de sa conférence annuelle OpenWorld qui se tiendra du 19 au 23 septembre prochain à San Francisco.

Solaris roadmap 2010 2015
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Associer étroitement les technologies Sun et Oracle

Au sujet de l'arrêt des serveurs x86 sur processeurs AMD, John Fowler a expliqué que la stratégie de la société ne visait pas à offrir les produits dans toutes les tailles et toutes les couleurs. Des serveurs x86 double socket que les clients pourront acheter à l'unité seront toujours disponibles, mais l'objectif principal est de construire des systèmes destinés à des environnements plus importants, capables de supporter des applications sensibles comme celles qu'exploite la technologie de clustering d'Oracle.

« Quand vous considérez notre stratégie qui consiste à disposer d'une plateforme d'entreprise au-dessus de laquelle intégrer et apporter notre valeur ajoutée, vous admettrez qu'il n'est pas essentiel de proposer toute une variété de processeurs et de systèmes », a recadré John Fowler en ajoutant qu'il était possible que les processeurs AMD soient de nouveau utilisés plus tard.

La vision d'Oracle concernant Sun n'a pas été modifiée. Le groupe continuera à vendre des serveurs de façon indépendante, de même que des systèmes de stockage qui pourront faire tourner les applications d'autres fournisseurs. Mais son but principal est de construire des systèmes qui vont intégrer étroitement les technologies de Sun et d'Oracle.

Le marché de la virtualisation en ligne de mire

En étant capable de produire les serveurs et toutes les couches logicielles, Oracle soutient qu'il pourra construire des systèmes qui fonctionneront mieux et qui seront plus faciles à administrer que ceux de ses concurrents. La concrétisation ultime de cette volonté, rappelle John Fowler, s'illustre par exemple dans le système Exadata pour OLTP et applications de datawarehouse, annoncé l'an dernier. Ce produit est basé sur des processeurs x86 et exploite Linux et, pour l'instant, Oracle n'a toujours pas parlé d'un matériel équivalent basé sur des processeurs Sparc et sur Solaris.

La société de Larry Ellison concourt aussi pour emporter un morceau plus important du marché de la virtualisation. Elle dispose de produits pour virtualiser à la fois les serveurs x86 et Sparc. Et elle prévoit de rationnaliser les outils de gestion afin que les clients puissent gérer les deux environnements à la fois à partir d'un seul outil, a indiqué John Fowler.

Sur ce terrain, IDC s'attend à ce qu'Oracle fasse fusionner le logiciel d'administration de système Ops Center de Sun avec son propre Enterprise Manager au sein d'un seul produit d'ici à 2012. (...)

(17/08/2010 14:27:31)

Intel va acquérir la division modems de Texas Instruments

A travers l'achat de la division de Texas Instruments concevant les puces pour modems via le câble, Intel compte étendre l'usage de ses microprocesseurs Atom aux appareils électroniques autres que les ordinateurs portables. Cette acquisition vient confirmer la difficulté du fondeur à faire face à Arm, devenu incontournable sur ce marché malgré les efforts d'Intel à intégrer Atom à des dispositifs de plus petite dimension. Ceux-ci privilégient l'efficacité énergétique et le prix par rapport à la pure puissance de calcul. Les processeurs d'Intel sont en effet plus puissants que ceux d'Arm, mais ceci a été fait au détriment des considérations énergétiques.

Perspectives d'avenir encourageantes

Les puces pour modems par câble de TI, les Puma 5, utilisent actuellement des coeurs Arm. « Intel continuera de vendre les produits Puma existants, utilisés dans les modems par câble, et continuera de les développer pour des gateways multimédias. A l'avenir, nous envisageons d'alimenter Puma avec les processeurs Atom et d'intégrer cette technologie mixte dans nos futurs SoC (system-on-chip) et nos design de plateformes » indique la firme dans un communiqué.

La division fera partie du Digital Home Group d'Intel et développera des puces ciblant l'industrie du câble, les box, les passerelles résidentielles et autres produits de type modem. Cet ajout devrait contribuer à l'expansion des offres électroniques de la société, qui pourrait s'installer sur le marché du SoC à destination des téléviseurs numériques, des lecteurs Blu-ray et autres appareils domestiques. Intel s'est néanmoins refusée à donner le prix de transaction, qui devrait s'opérer pour le dernier trimestre 2010 après validation des autorités de régulation.

Crédit Photo : Texas Instruments

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(16/08/2010 17:55:55)

Dell souhaite racheter 3Par, spécialiste du stockage virtualisé

Il y a quelques mois, lors d'un entretien avec David Scott, CEO de 3Par, celui-ci avait évoqué le phénomène de consolidation en soulignant : « Je crois que les récentes acquisitions sont dans l'ère du temps. Cependant, je ne suis pas persuadé qu'elles apportent une bonne réponse. En effet, en compilant plusieurs expertises pour proposer un unique service de bout en bout, on réduit l'innovation. Nous préférons l'approche best of breed (le meilleur de sa catégorie), plus incitative en matière de R&D. Par ailleurs, nous mettons en avant notre indépendance dans cet environnement concurrentiel, tout en restant à l'affût d'une potentielle acquisition. »

Finalement, c'est 3Par qui va peut être acquis par Dell pour un montant de 1,15 milliard de dollars. Le constructeur informatique propose 18 dollars par action du spécialiste du stockage à la demande, soit une prime de 87% par rapport au dernier cours, 9,65 dollars.

Pour Dell, cette acquisition s'inscrit dans sa stratégie de renforcement de son offre à destination des entreprises. Proposant une gamme de serveurs, il élargit son portefeuille vers la gestion des capacités de stockage et la mise en place d'environnement cloud. En effet, 3Par a présenté récemment une solution d'optimisation des baies de stockage virtualisées.

 

Illustration: David Scott, CEO de 3 Par

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