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(19/03/2009 15:59:41)
Seules les pages partenaires de Google News auront des liens sponsorisés
Google News, qui agrège les informations publiées par les médias en ligne, a suscité une polémique particulièrement vive en s'ouvrant aux liens sponsorisés. Les éditeurs de presse, qui voient déjà d'un mauvais oeil Google servir de portail d'information à leur frais, trouvent encore plus injuste qu'il puisse se rémunérer directement sur le travail de collecte, de tri, de validation et de mise en forme de leurs titres. Afin de couper court à cette polémique, Google France a tenu à préciser que « les liens sponsorisés ne concernent que les pages qui hébergent les dépêches des agences partenaires dans Google News et non les résultats de recherche Google News. » Le géant héberge en effet les dépêches d'agences de presse comme l'AFP, AP, UK Press Association ou Canada Press. En Europe, c'est désormais aussi le cas d'EPA (European Pressphoto Agency) qui regroupe une petite dizaine d'agences photographiques. D'un coté, les recherches classiques dans Google News renvoient une page de résultats, qui eux-mêmes renvoient vers les sites des médias auteur de l'article. Mais de l'autre côté, pour les agences de presse partenaires de Google, la dépêche s'affiche dans une page « hébergée » de type www.google.com/hostednews/afp et non sur le site de l'agence. « C'est sur ces pages que des liens sponsorisés seront affichés, ce qui leur permet de monétiser leurs contenus. », insiste donc Google France. (...)
(19/03/2009 15:31:15)Le stockage peu affecté par la crise, selon IDC et Gartner
Chacun au travers du prisme d'une segmentation différente, IDC et le Gartner Group ont constaté un tassement de l'activité sur le marché du stockage au quatrième trimestre 2008. Autre point sur lequel les deux cabinets s'accordent, c'est la contre-performance d'IBM, mais dans des proportions néanmoins différentes. Pour IDC, sur un marché total en baisse de près de 6 % à 7,2 Md$, IBM chute de près de 23%. Il cède sa première place à HP. Ce dernier, dont le CA ne baisse que de 1,5% s'octroie une part de 19,7%, juste devant IBM (18%) et EMC (17%) dont le CA augmente de 4,4%. Pour le Gartner Group, qui se focalise sur le marché des sous-systèmes de stockage externe à contrôleur (SAN, NAS et DAS), le CA d'IBM ne baisse que de quelques 9% à 778 M$ sur un marché en hausse de 5,4% à 4,9 Md$. Avec 15,6% de part de marché, Big Blue conserve sa deuxième place derrière EMC (25% avec un CA en hausse de 6,3% à 1,2 Md$). Cette baisse d'IBM se retrouve chez IDC dans son classement sur le marché des systèmes de stockage externe, dont la définition recouvre presque celle du Gartner pour les sous-systèmes de stockage externe à contrôleur. Alors qu'IDC constate une baisse de 0,5% à 5,3 Md$ de ce marché, IBM plonge de 11,3%. Il conserve sa deuxième place avec une part de marché de 15,7%, mais EMC creuse l'écart avec une hausse de 3,4% de son CA qui propulse sa part de marché à 23,3%. IBM est d'ailleurs le seul des cinq premiers fournisseurs à voir son CA baissé. Les SAN iSCSI en hausse quand Fibre Channel chute Cela s'explique probablement par le fait que la demande a surtout fléchi pour les configurations les plus chères, comme l'indique IDC. Ainsi, la demande de SAN à base de Fibre Channel (FC) a baissé de 3,2%. A l'inverse, ceux qui utilisent iSCSI ont progressé de plus de 60%. Ce segment de marché est dominé par Dell (35%), suivi par EMC (16,8% du marché). Le NAS, quant à lui, augmente de 8,6% avec, encore une fois EMC en tête (43,6% du marché), suivi de NetApp avec 24,1% du marché. Dans son ensemble, tout le marché du stockage en réseau (NAS et SAN) vu par IDC progresse de 3,6% à 4,1 Md$. EMC arrive en tête (28,6% du marché), suivi par IBM (14,5%). Autrement dit, la forte baisse des ventes de serveurs n'a eu qu'un faible impact sur celle des sous-systèmes de stockage. D'ailleurs, le volume en peta octets a progressé de 27,3% à 2460 Po, selon IDC. Crise économique ou pas, le volume d'information numérique continue de croître. Un exemple : sur les seules actions inscrites à l'indice boursier Dow Jones Industrial, le volume des transactions quotidiennes est passé de moins de deux milliards de titres échangés chaque jour en 2003 à plus de 7 milliards aujourd'hui... (...)
(18/03/2009 16:35:23)Annuels GFI : des résultats stables et un nouveau patron
La SSII française GFI Informatique a clos son exercice 2008 sur un chiffre d'affaires consolidé en hausse de 11,6 % à 768,1 M€, comme l'indiquaient les résultats préliminaires. Le résultat net du groupe s'est établi à 14,3 M€, un montant quasi équivalent à celui dégagé en 2007 (14 M€). Le résultat opérationnel courant est également resté stable à 44,9 M€. La France a réalisé un chiffre d'affaires de 514,4 M€ (67% du CA total), soit une croissance organique de 5%, et une croissance totale de 14%. Toujours dans l'Hexagone, la marge opérationnelle courante s'est établie à 32,3 M€, soit 6,3% du CA. Le fondateur s'apprête à passer la main Sur le quatrième trimestre, toujours en France, les activités de GFI ont toutefois subi les effets du ralentissement économique, essentiellement dans les secteurs banque/finance. Le taux d'activité a baissé de 1,5% lors de ce dernier trimestre notamment à cause du retard pris dans le démarrage chez les clients de contrats signés. Côté perspectives, la SSII s'attend à ce que les mesures d'économies mises en place en 2008 aient plein effet en 2009, sans donner davantage de précisions. Enfin, dans le cadre de cette publication, la SSII a annoncé la nomination de Vincent Rouaix, actuellement directeur des opérations France, au poste de directeur général en remplacement de Jacques Tordjman qui avait fondé le groupe il y a plus de 15 ans. Ce dernier restera toutefois président du conseil d'administration jusqu'à l'assemblée générale du 20 mai 2009, date à laquelle Vincent Rouaix prendra ses nouvelles fonctions de PDG. (...)
(18/03/2009 12:02:50)Seuls 13% des chefs d'entreprise inquiets face à la crise, selon l'Institut Sage
Une seule question obsède tous les acteurs du marché : comment vont réagir les clients face à la crise ? Simple reports d'investissements ou abandons complets de projets ? Sérénité ou panique ? Pour en avoir le coeur net, l'Institut Sage, émanation de l'éditeur du même nom, a interrogé 403 dirigeants d'entreprises. Une enquête menée au mois de février auprès de sociétés de toutes tailles et de tous secteurs. La conclusion est plutôt modérée. Parmi leurs priorités, les chefs d'entreprises classent le client en première place avec 64% des réponses : développement du portefeuille clients et fidélisation. Ensuite vient la trésorerie avec 38%. Sur ce point, l'industrie et la construction sont les secteurs les plus inquiets. Troisième et quatrième critères : la relation avec les fournisseurs (27%) et la gestion des ressources humaines (24%). Côté fournisseurs, les dirigeants de l'industrie souhaitent en augmenter le nombre et renégocier leurs tarifs. Pour les ressources humaines, il s'agit, tous secteurs confondus, d'activer différents leviers : mobilité des collaborateurs, valorisation des talents, réduction des effectifs, recrutements, réorganisation des processus métier ou des méthodes de travail. Un quart des entrepreneurs attentistes ou opportunistes Globalement, les dirigeants se montrent vigilants (52% des cas), c'est la tendance principale. A une extrémité, on trouve les inquiets, mais ils ne sont que 13%. Inversement, on découvre des entrepreneurs sereins (14%), ou même opportunistes (10%). 11% seulement se montrent attentistes, c'est-à-dire sans vision à court et moyen terme. Ils recherchent des solutions internes mais sont quand même 55% à attendre des mesures gouvernementales pour faciliter l'investissement. Pour 2009 (plusieurs réponses possibles), 49% des interrogés vont se concentrer sur leur coeur de métier, 40% se tourneront vers la croissance externe, 34% rechercheront des débouchés à l'international. (...)
(18/03/2009 09:28:43)IBM serait en pourparlers pour acheter Sun
Selon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas. Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs. (...)
(17/03/2009 18:32:07)Steria confiant dans son avenir dans le offshore et le nearshore
Steria détaille ses résultats financiers pour 2008, un mois après l'annonce de son chiffre d'affaires annuel (1,765 M€, +24,7%), tiré par l'infogérance, le secteur public et le BPO (business process outsourcing). Confortée par sa bonne intégration de la Britannique Xansa, la SSII française voit son avenir solidement ancré dans les services offshore et nearshore. « Nous avons signé en 2008 trente nouveaux contrats qui intègrent 100 000 jours de production en offshore », a souligné François Enaud, PDG de Steria, lors de la présentation des résultats. L'an dernier, les effectifs indiens du groupe ont progressé de 11% pour atteindre 5 671 salariés fin 2008 (sur un effectif mondial de 19 141 personnes). Le rythme des embauches dans cette région devrait encore augmenter cette année, a confirmé ce matin le président de la SSII. Cet été, pour ses 40 ans d'existence, le groupe pourrait totaliser autant de salariés sur le sous-continent indien qu'en France où la SSII compte aujourd'hui 6 000 personnes. Dans l'Hexagone, en revanche, aucun plan de recrutement n'est prévu cette année. La SSII se bornera à embaucher des profils spécifiques en fonction des besoins. « On ne recrute plus en masse des ingénieurs comme on l'a fait en 2008 », a confirmé François Enaud. Une dette ramenée à 235 M€ Comme pressenti en février, la SSII a amélioré en 2008 sa rentabilité opérationnelle pour la sixième année de suite. Elle récolte les fruits du rachat de Xansa effectué à l'été 2007. La marge opérationnelle du groupe, qui a progressé de 30,8% à 135,5 M€, représente 7,7% de son chiffre d'affaires global, soit une hausse de 0,4 point du taux de marge opérationnelle par rapport à son exercice 2007, et de 0,9 point si l'on tient compte de l'activité Xansa sur douze mois. « Nous avons terminé l'année sur une situation financière très solide, avec un ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires supérieur à 1 », a commenté François Enaud, en rappelant les inquiétudes que l'acquisition de la SSII britannique et la dette ainsi créée avaient suscitées sur les marchés financiers. Fin 2008, la dette a été ramenée à 235,3 M€ (contre 306,9 M€ fin 2007), à un niveau très sensiblement inférieur au montant prévu. La SSII affiche également une « excellente génération de cash flow [71,6 M€, contre -397,7 M€ fin 2007]», note son PDG. « Nous avons développé avec Xansa davantage de synergies que prévu en dépensant moins que ce que nous avions annoncé ». Au Royaume-Uni, la totalité des contrats a été renouvelée à Steria après le rachat de Xansa, à l'exception de deux d'entre eux [LSC et My Travel] non reconduits avant même l'acquisition. En dépit de ces deux défections, la croissance organique au deuxième semestre 2008 a progressé de 2,2%. Quant au ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires, il a atteint 1,7 au quatrième trimestre. En 2008, le groupe Steria a également réalisé de bonnes performances en Allemagne et en Scandinavie. En France, l'organisation, plus compliquée, a manqué d'efficacité commerciale. Coûts de structure trop élevés, difficultés dans la réalisation de certains projets (surcoûts de dépassement) ont conduit à changer l'équipe de direction trois mois avant la fin de l'année. Steria France est actuellement dirigé par Olivier Vallet. Etendre le modèle d'intégration vertueux de Xansa [[page]] Dans les mois qui viennent, Steria a l'ambition de diffuser dans son organisation le modèle de production de services totalement intégré que Xansa a réussi à mettre en place par son expérience de l'offshore. François Enaud décrit les trois étapes qui conduisent à ce modèle mature. « Dans le modèle classique de sous-traitance, les projets sont vendus localement et une partie est sous-traitée en Inde avec les risques d'incompréhension entre les besoins et l'exécution, et la non qualité qui peut en découler, rappelle le PDG. A la deuxième étape, on gagne en intégration avec des équipes «front-end» focalisées sur les relations avec les ressources offshore, ce qui permet d'éviter la perte de compréhension entre front-end et back-end. Enfin, à la troisième étape, on atteint le modèle vertueux, avec une seule direction et des équipes intégrées dans la même organisation où qu'elles se trouvent. » Steria forme ses équipes françaises à ce modèle. 110 commerciaux sont actuellement sur place pour comprendre cette démarche. Un investissement de 100 000 euros, mais « que nous allons récupérer au centuple », affirme François Enaud. (...)
(17/03/2009 18:06:24)Selon IDC, Linux profiterait de la crise
Linux profite de la crise. C'est tout du moins ce que laisse penser 300 responsables informatiques américains interrogés par IDC pour le compte de Novell, éditeur de la distribution Suse de l'OS Open Source. D'après ce sondage conduit le mois dernier, plus de 72% des responsables interrogés affirment soit être en phase d'évaluation, soit avoir déjà décidé d'accroître leurs investissements sur Linux pour leurs serveurs. Ils sont 68% dans le même état d'esprit pour l'équipement de leurs PC. Tous justifient leurs réponses par leur volonté de réduire les coûts de support. D'ici cinq ans, 49% considèrent que Linux sera leur principale plateforme pour leurs serveurs. Avec un taux d'adeptes de 69% pour les serveurs et de 63% pour les desktops, le secteur de la distribution est le plus engagé sur Linux. L'étude met aussi en avant le fait que 67% des responsables informatiques interrogés considèrent que l'interopérabilité entre Linux et Windows ainsi que la facilité d'administration figurent parmi les critères de choix les plus importants. L'étude a été commandée par Novell alors qu'il s'apprête à lancer les prochaines versions de son OS. (...)
(17/03/2009 17:58:38)Intel nie à AMD le droit de vendre ses licences à ses usines filialisées
Intel n'accorde aucun répit à son concurrent AMD. Il considère que GlobalFoundries, la société au sein de laquelle AMD a transféré son outil de production avec le soutien d'Atic, un fonds d'investissement de l'émirat d'Abu Dhabi, ne peut bénéficier de l'accord de licences croisées signé avec Intel en 2001 pour fabriquer des processeurs X86. Dans une lettre à son rival, Intel « a invité son partenaire à corriger la situation, sans quoi il mettrait un terme dans les 60 jours à l'utilisation (par AMD) de ces droits". Une première phase de négociation entre le géant des processeurs et son challenger a échoué. Et AMD se défend d'avoir violé les termes de l'accord qui le lie à Intel. En revanche, AMD soutient que les manoeuvres de son concurrent visent à détourner l'attention des comportements anticoncurrentiels dont il l'accuse devant la Cour de justice européenne. (...)
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