Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 4781 à 4790.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(23/01/2009 17:49:17)
Annuels Cegid : Le chiffre d'affaires porté par les acquisitions
En tenant compte des rachats des éditeurs VCSTimeless et Civitas, en septembre dernier, pour ajouter de nouvelles offres métiers à son portefeuille de logiciels de gestion, l'éditeur lyonnais Cegid enregistre une progression de 6,6% sur le chiffre d'affaires (79,1 M€) de son quatrième trimestre fiscal, clos le 31 décembre dernier. A périmètre constant, en revanche, le chiffre d'affaires recule de 6,2% sur un an. De la même façon, sur l'ensemble de l'exercice, le CA (248,2 M€) progresse de 2,9% à périmètre courant (compte tenu des acquisitions), mais enregistre -1,1% à périmètre constant (sans les rachats). Les résultats définitifs de l'exercice seront communiqués le 2 mars prochain. Cegid doit principalement la progression de 6% enregistrée sur les 110,6 M€ de ses ventes de licences et de services d'intégration (hors revenus provenant des contrats récurrents), au secteur des PME (+16%) et à ses solutions de gestion des ressources humaines (+13%). Quant au chiffre d'affaires des contrats récurrents, il s'est élevé à 112 M€ (+6,3%, ou +3% à périmètre constant) sur l'exercice, grâce, notamment à l'augmentation de 8% des revenus provenant des contrats « on demand » (Software as a service), représentant un portefeuille de 120 M€. (...)
(23/01/2009 17:04:48)Rackable Systems réduit le prix de ses serveurs en y greffant des composants pour PC
Pour réduire le coût d'un produit manufacturé, le principe est simple : choisir des produits de base moins chers et en augmenter la quantité pour compenser la perte éventuelle de qualité. Cette recette a été suivie à la lettre par Rackable Systems avec sa nouvelle architecture MicroSlice. Celle-ci consiste à entasser le plus possible de processeurs Athlon ou Phenom sur des cartes-mères aux formats miniTX et miniATX, pour mettre le plus de puissance de calcul possible dans chaque système. Rackable Systems compte sur le nombre important de noeuds ainsi créés pour se passer de la virtualisation et des logiciels associés, au profit d'une « matérialisation », une technologie dont les détails restent flous mais qui répartit le travail entre les différents noeuds. Grâce à MicroSlice, Rackable affirme pouvoir faire tenir jusqu'à 264 noeuds de calcul dans un même châssis, avec une consommation de 72 W par noeud. Les quatre serveurs basés sur cette technologie sont avant tout destinés à l'hébergement d'applications Web (e-commerce, réseaux sociaux). Rackable promet ainsi un gain de 51% en rapport performance/prix pour un serveur Apache. En contrepartie, ces quatre serveurs sont livrés sans accessoire, (pas de console d'administration à distance, par exemple) et leur mémoire intégrée est limitée à 8 Go. De par son mode de fabrication à la demande, Rackable Systems n'a pas de prix de vente public, mais affirme qu'il faudra compter à partir de 500 $ par noeud de calcul (contre environ 1000 $ chez les concurrents). (...)
(23/01/2009 16:28:07)Annuels AMD: des pertes opérationnelles supérieures au chiffre d'affaires
AMD, qui affiche une perte trimestrielle de 1,42 Md$, perd un peu moins d'argent que lors de la période correspondante de l'an dernier. En revanche, la chute de 33% du CA indique bien qu'AMD, affaibli par neuf trimestres consécutifs dans le rouge, résiste moins bien qu'Intel à la dégradation de la conjoncture. En effet, le CA d'Intel au dernier trimestre 2008 n'a baissé "que" de 23%. Et, à écouter les dirigeants d'AMD, le pire serait à venir. En attendant, le fondeur enregistre une perte opérationnelle de 1,2 Md$, nettement supérieure à... son chiffre d'affaires. A titre de comparaison, au quatrième trimestre 2008, il parvenait à dégager une marge brute de 122 M$. L'activité processeurs, 75% de son CA, est en baisse de près de 38%. Elle est confrontée à la fois à une chute de la demande et des prix. Les ventes de composants graphiques (ATI, 23% du CA) ne baissent que de 8,5%. S'il s'est moins vendu de composants graphiques, leur prix unitaire a augmenté. Juste avant de clore son trimestre, AMD a signé avec Qualcomm, le plus grand fabricant de chipsets pour téléphone mobile avec Nokia, la cession de ses technologies dans le domaine du graphique et du multimédia pour terminaux nomades. Le montant de la transaction oscille autour de 65 M$. AMD continue donc à se séparer des actifs dont il peut s'alléger. Fin octobre, la société avait annoncé une profonde réorganisation qui va se traduire par une recapitalisation et l'externalisation de son outil de production. Pas plus tard que vendredi dernier, AMD annonçait la suppression de 9% de ses effectifs soit 1 100 réductions supplémentaires dans le monde, et décidait de baisser les salaires de ses managers. (...)
(23/01/2009 16:04:12)Microsoft et HP font front commun sur les serveurs lames
Pour HP, les lames sont presque la panacée suprême s'adaptant à tous les besoins de l'entreprise, y compris pour les postes de travail. Pour le prouver, la société propose des « solutions blocks » préconfigurés, basés sur ses différents modèles de BladeSystems et de logiciels dédiés à une activité précise. Le constructeur vient ainsi de s'associer à Microsoft pour huit nouveaux « solutions blocks » dédiés au travail collaboratif (avec SharePoint Server), à la messagerie (avec Exchange Server 2007), au CRM, à l'ERP, au calcul haute performance (avec Windows CSS), aux communications unifiés (avec Communications Server 2007), aux bases de données (avec SQL Server), ou la virtualisation en s'appuyant sur Citrix . En plus de ces solutions dédiées, HP a également certifié Small Business Server 2008 et Essential Business Server 2008 pour sa gamme HP Proliant. (...)
(23/01/2009 16:02:18)Comme prévu, Sun lance une première vague de licenciements
Les efforts engagés par Sun Microsystems pour réduire ses coûts se poursuivent. Le constructeur californien vient en effet d'annoncer qu'il allait supprimer 1 300 postes dans le cadre d'un plan de restructuration qui se soldera par 6 000 pertes d'emplois, et qui lui permettra d'économiser entre 700 et 800 M$ par an. « Les coupes seront effectuées à tous les niveaux, ont précisé les porte-parole de l'entreprise dans un communiqué. Elles concerneront l'ensemble des salariés, y compris les vice-présidents et les directeurs. » Ces réductions d'effectifs n'ont rien de bien surprenant : elles avaient fait l'objet d'une annonce en novembre, mais Sun n'avait pas précisé à quel le moment interviendraient les premiers départs. Si l'on comptabilise les coupes annoncées par la firme au cours des dernières années, les réductions se montent à environ 21% de l'effectif de l'entreprise depuis mi-2007. (...)
(23/01/2009 15:48:01)Autonomy rachète Interwoven pour 775 M$
L'éditeur britannique Autonomy, spécialisé dans les solutions de recherche, de catégorisation et de compréhension contextuelle des données non structurées, va racheter l'Américain Interwoven, éditeur de solutions de gestions de contenus Web, pour 775 M$. Cette acquisition devrait être finalisée au cours du second trimestre. Ensemble, les deux sociétés rassemblent 2 000 salariés et constituent un portefeuille de 20 000 clients, parmi lesquels 1 200 cabinets d'avocats. Parmi les points forts de l'offre d'Autonomy figurent les solutions d'archivage dites de « e-recovery », c'est-à-dire permettant de mettre en place des procédures de conservation légale des documents afin de pouvoir les retrouver et les produire en cas de litiges. Les technologies développées par Autonomy sont par ailleurs mises à profit dans les applications de recherche à l'échelle de l'entreprise, de gouvernance de l'information, de gestion des risques, ou encore dans le cadre de projets de gestion des connaissances (Knowledge management), au sein de centres d'appels ou même, associées à la gestion de processus métiers. Le rapprochement avec Interwoven est pertinent à plus d'un titre. D'une part, l'éditeur racheté a lui aussi développé des solutions de gestion du cycle de vie des documents jusqu'à leur archivage légal. D'autre part, l'autre pan du portefeuille applicatif est centré sur la gestion des contenus Web, domaine dans lequel peuvent s'appliquer les outils de recherche d'Autonomy. Récemment, Interwoven a complété son catalogue avec une offre de ciblage adaptatif des contenus Web, Optimost Adaptive Targeting. Celle-ci permet d'effectuer des tests multi-variables en combinant divers éléments d'une page promotionnelle sur le Web (photos, slogans, couleurs, dispositions des logos) afin de déterminer la meilleure combinaison perçue par les internautes et d'obtenir le meilleur taux d'achat. Avec le rachat d'Interwoven par Autonomy, le nombre de spécialistes du WCM (gestion de contenus Web) indépendants se réduit encore. Un marché sur lequel on trouve toujours l'Américain Vignette, notamment. (...)
(23/01/2009 14:07:15)Le patron de Microsoft pessimiste sur les perspectives économiques
S'adressant hier aux analystes financiers suite à l'annonce par Microsoft du premier plan de restructuration de son histoire, le PDG de l'entreprise, Steve Ballmer, a indiqué qu'il percevait dans les actuelles conditions économiques un réétalonnage complet, impliquant qu'on ne retrouverait probablement pas la prospérité des dernières années. Il considère qu'en période de recul, on reconstruit à partir d'un stade antérieur. « L'économie se rétracte et, ensuite, on repart d'un niveau plus bas, a t-il déclaré lors d'une conférence téléphonique, ce jeudi. Nous ne nous attendons pas à un rebond ». Le patron de Microsoft, peu optimiste, considère qu'il faudra attendre un an ou deux pour que l'économie s'améliore. L'éditeur devrait donc maintenir ses priorités et poursuivre sa politique de réduction de coûts sur le long terme. Mais, en dépit d'un plan de réorganisation qui se soldera par la suppression de quelque 5 000 postes (au marketing, ventes, finances, juridique, ressource humaines et informatique), la firme de Redmond entend renforcer ses équipes dans des domaines qu'il juge stratégiques, comme la recherche et le développement : « Malgré les suppressions de postes annoncées hier, nous comptons nous entourer de plusieurs milliers de collaborateurs dans des domaines comme la recherche, car nous y voyons une occasion incroyable de faire du bon travail », a t-il précisé, en tentant de mettre l'accent sur des points positifs tout en étant réaliste sur les effets de la crise économique actuelle. Croissance à deux chiffres sur SharePoint, OCS et Dynamics CRM [[page]] Parmi les points positifs de ce second trimestre plutôt décevant, Microsoft souligne, dans sa division Business (4,88 Md$ de chiffre d'affaires), les bonnes performances (croissance à deux chiffres du revenu) de son portail Office SharePoint, de sa solution de communication unifiée Office Communications Server et de son offre de gestion de la relation client Microsoft Dynamics CRM (customer relationship management). Sa division Servers & Tools (serveurs, outils associés et maintenance) affiche également une croissance à deux chiffres pour le 26ème trimestre consécutif, sur un chiffre d'affaires de 3,74 Md$. En outre, sa ligne de recettes publicitaires, longtemps considérée comme un point faible, a augmenté de 7% au cours du second trimestre, malgré la stagnation globale de la division Online Services Business qui a réalisé 866 M$ de chiffre d'affaires (contre 863 M$ l'an dernier). Malgré ces points forts, le tableau est plutôt sombre pour Microsoft : le marché est trop volatile pour que l'entreprise puisse donner des prévisions pour le reste de son année fiscale qui se terminera fin juin. Les ventes de la console de jeu Xbox 360 se sont bien portées au cours du dernier trimestre, grâce à près de 6 millions d'unités écoulées. La division Entertainement de Microsoft affiche un chiffre d'affaires de 3,18 Md$ sur le trimestre. En revanche, d'autres secteurs ont souffert. Le marché des PC, du fait de son ralentissement, a ainsi fait régresser de 8 % le chiffre d'affaires de la division Client de Microsoft (3,98 Md$ de chiffre d'affaires, contre 4,33 Md$ sur le 2e trimestre fiscal de l'an dernier). En outre, l'accueil de Vista a été mitigé et le Californien aurait pu profiter davantage du succès rencontré par les netbooks (une partie d'entre eux étant livrés sous Linux). (...)
(23/01/2009 12:45:18)Annuels Google : Le moteur ne connaît guère de ratés
A l'image d'Apple et IBM, et contrairement à Microsoft, Intel ou AMD, Google ne semble pas particulièrement affecté par la crise économique. Son chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre 2008 croît ainsi de 18% sur un an, à 5,7 Md$, et dépasse les attentes des analystes. Les deux tiers de ces revenus (3,81 Md$, +22%) proviennent de la galaxie des sites appartenant à Google ; 30% sont issus des partenaires du réseau publicitaire. Le bénéfice net semble moins flatteur : il s'élève à 382 M$ sur le trimestre, soit 68% de moins qu'un an auparavant. Mais, explique Google, il convient de relativiser ce chiffre car il pâtit de la dépréciation de la valeur des investissements réalisés dans AOL et Clearwire, estimée à 1,09 Md$. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice atteint 1,62 Md$ et progresse de 3,8%. Sur l'ensemble de l'exercice 2008, les revenus croissent de 31% (21,8 Md$), et le bénéfice net avance péniblement de 0,58% (4,23 Md$). Pas de licenciements au programme « Nous avons enregistré une solide croissance sur le marché de la recherche en ligne, a commenté le patron de Google, Eric Schmidt. Nos revenus sont en hausse sur la plupart des activités et nous avons maîtrisé nos coûts. » La direction du groupe n'ignore pas le marasme économique global, mais se veut confiante : « On ne sait pas encore combien de temps durera le ralentissement mondial, mais nous restons concentrés sur le long terme et continuons à investir dans nos activités de base [la recherche en ligne et la publicité, NDLR] ainsi que dans des secteurs stratégiques en croissance comme la mobilité et les applications pour entreprises. » Parallèlement, le gargantuesque acteur du Web met un terme à certains services, jugés accessoires. Cette semaine, Google a ainsi annoncé la disparition de Catalog Search, Jaiku ou Notebook. Contrairement à nombre d'acteurs de l'IT et en dépit de rumeurs insistantes, Google ne prévoit pas de licencier par milliers. Au contraire, le mastodonte californien rappelle que le nombre de ses salariés a augmenté au cours de l'année pour atteindre 22 022 (contre 20 123 il y a un an). Le Californien semble vouloir fidéliser ces collaborateurs en annonçant la mise en place d'un plan d'échange de stock-options destiné à compenser la dépréciation de valeur enregistrée depuis plusieurs mois. Enfin, Google ne s'aventure pas à fixer une estimation pour l'année fiscale en cours, se contentant de souligner l'optimisme avec lequel il aborde 2009. Selon Eric Schmidt, le modèle économique et la stratégie mise en place sur le court et le long terme sont autant d'armes qui permettront au groupe de se jouer de la récession. (...)
(23/01/2009 11:27:28)Sopra choisi pour déployer Chorus dans l'enseignement public
Après les affres du projet Accord 2, l'Etat a mis en oeuvre un progiciel de gestion budgétaire unique baptisé Chorus et basé sur SAP. Le projet est piloté par l'AIFE (Agence pour l'Informatique Financière de l'Etat) mais doit être déployé dans l'ensemble de l'administration d'Etat (à la différence d'Accord 1 réservé à l'administration centrale). Sopra vient de remporter le marché de ce déploiement pour les ministères de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche au niveau de l'assistance opérationnelle, de la formation et de l'assistance au démarrage. La SSII a noué pour l'occasion un partenariat avec le cabinet Bearing Point. Chorus succède à Accord « 1bis », baptisé « Palier 2006 », qui n'appliquait que les normes comptables basiques de la LOLF (Loi Organique sur les Lois de Finances). Le nouveau progiciel permettra d'appliquer « l'esprit » de la LOLF en matière de contrôle de gestion publique. Le déploiement de Chorus est particulièrement complexe dans les administrations concernées puisqu'elles sont très décentralisées, avec des implantations géographiques nombreuses, y compris outre-mer pour 3 000 utilisateurs. Le contrat porte sur un montant compris entre 6 et 10 millions d'euros et une durée de 18 mois. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |