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(26/01/2009 17:56:06)

Le fabricant de mémoires Qimonda en cessation de paiement

Qimonda, dernier fabricant européen de composants mémoires, vient de se déclarer insolvable. La société, détenue à 77,5% par l'Allemand Infineon, n'est pas parvenue a boucler en temps utile un ultime financement de 422 M$. La crise qui frappe l'économie mondiale depuis le dernier trimestre 2008 a achevé cette entreprise déjà très mal en point. En décembre dernier, iSupply estimait que le CA de Qimonda avait baissé de 77% en un an, sur un secteur en baisse de 17%. Samsung, numéro un mondial des mémoires, a inscrit une perte trimestrielle opérationnelle de 682 M$. Infineon, société mère de Qimonda, a quant à elle indiqué qu'elle afficherait plusieurs centaines de millions d'euros de pertes. La déchéance de Qimonda a des répercussions directes sur deux sociétés taïwanaises, Inotera Memories et Winbond Technologies. La première issue d'une co-entreprise entre Qimonda et le Taïwanais Namya Technology, annonce qu'elle passe en perte les 101 M$ que lui doit Qimonda. Quant à Winbond Technologies, c'est 950 M$ qu'elle envisage d'abandonner. De plus, Qimonda absorbait un tiers de sa production. (...)

(26/01/2009 17:47:40)

Intel s'inquiète de la filialisation de la fabrication des puces AMD

A l'occasion de l'annonce de résultats financiers catastrophiques, AMD a fait savoir qu'Intel avait fait connaître par courrier son souhait rencontrer ses dirigeants à propos de la création de The Foundry Company . Cette co-entreprise, dont AMD ne détient que 34,2 % des parts et les Emirats Arabes Unis 65,8 % via la société ATIC (Advanced technology investment company) est le résultat de la séparation en deux entités du californien. Pour Intel, se pose la question de savoir si The Foundry Company doit être ou non considérée comme une filiale d'AMD. En effet, les deux fabricants de puces ont signé des accords de licences autour de l'architecture x86 qui s'appliquent aussi aux filiales d'AMD. Si l'entreprise se révèle une simple tierce partie, elle ne pourrait utiliser les technologies concernées par ces accords et devrait négocier de façon séparée avec Intel. Pour AMD, cette demande n'est rien « qu'une nouvelle tentative d'Intel de semer le doute » à l'approche de la création officielle de The Foundry Company prévue le mois prochain, si les actionnaires approuvent l'opération lors de leur réunion du 16 février. Sans surprise, Intel dément par l'intermédiaire de son porte-parole Chuck Mulloy : « Nous ne nous inquiétons pas de la création ou non de cette nouvelle entreprise. Mais nous voulons être surs de nos droits, et de ce qu'ils deviendront après cette création. Notre courrier concerne nos inquiétudes quant aux questions de propriété intellectuelle. » Il s'agit sans doute aussi de l'occasion pour Intel d'avancer des arguments en vue d'une renégociation globale des accords actuels lorsque ceux-ci arriveront à échéance en 2011. (...)

(26/01/2009 14:35:17)

Le Macintosh fête son 25e anniversaire

22 janvier 1984 : la foule assistant au Super Bowl, la finale du championnat de football américain, découvre un clip publicitaire réalisé par Ridley Scott, qui deviendra culte dans les années qui suivront. « Le 24 janvier, Apple Computer lancera le Macintosh. Et vous verrez pourquoi 1984 ne sera pas comme '1984' », scande le spot, en référence au roman de George Orwell. Le jour J, Steve Jobs dévoile la machine devant 3 000 personnes réunies à Cupertino. « Personne ne doutait qu'il s'agissait d'un événement historique », raconte l'analyste Richard Doherty, de l'Envisionering Group. Vendu 2 495 $, le Macintosh est le premier ordinateur personnel à fonctionner avec une souris et une interface graphique, en lieu et place de la ligne de commande. En réalité, l'Apple Lisa, lancé l'année précédente, reposait déjà sur une interface graphique, mais, vendu près de 10 000 $, il n'était pas parvenu à s'imposer. C'est donc le Macintosh, avec ses 128 Ko de mémoire vive, son processeur cadencé à 8 MHz, son écran monochrome 9 pouces et son lecteur de disquette 3 pouces, qui devient la première vedette de l'informatique personnelle. En 1986, Apple met à jour sa machine en quadruplant la quantité de RAM embarquée (512 Ko), et en permettant aux utilisateurs d'y installer jusqu'à 4 Mo. L'année suivante, le Macintosh II voit le jour. La machine, qui constitue le haut de gamme de la marque à la pomme, rompt avec le format tout-en-un de ses prédécesseurs. Elle innove également en proposant des emplacements pour disques durs et en renfermant un processeur Motorola 68020 à 16 MHz. Parallèlement, Apple lance le Mac SE, qui complète la gamme, et permet au constructeur de compter un million d'utilisateurs de ses ordinateurs personnels. [[page]] La suite de cette 'success story' passe par le lancement des premiers Mac portables en 1989, l'abandon des processeurs Motorola 680x0 en 1993 au profit des Power PC, l'avènement du Power Mac G3 en 1997, une année qui marque également le retour de Steve Jobs à la tête du groupe après douze ans de disgrâce. En 1998, c'est au tour de l'iMac de voir le jour : Apple inaugure la présence des ports USB sur ses machines et délaisse les connectiques SCSI. L'iBook est commercialisé en 1999 et bénéficie d'un ravalement de façade en 2001, en même temps que sort le PowerBook G4, Mac OS X et l'iPod. En 2006, les puces Intel font irruption dans les Mac. Ce sont d'abord l'iMac et le MacBook Pro qui remplacent leurs processeurs PowerPC par les CPU Intel, puis, dans le courant de l'année, toute la gamme Mac. Le constructeur lance parallèlement Boot Camp et des outils de virtualisation, qui autorisent les utilisateurs à faire fonctionner Windows sur leurs machines estampillées d'une pomme. En 2008, un an après la sortie de l'iPhone, le MacBook Air devient l'ordinateur portable le plus léger du marché. Il est construit en aluminium, comme les MacBook et Macbook Pro qui sortent en fin d'année. Encensés par les uns, décriés par les autres qui ne les voient que comme des machines réservées aux 'happy fews', les appareils signés Apple peuvent se targuer de compter un public fidèle. A tel point que, dans un marché des PC en pleine déconfiture, le constructeur américain se paye le luxe de voir ses ventes progresser de 9% sur un an au premier trimestre de 2009. Un trimestre présenté comme le meilleur de l'histoire d'Apple, mais qui est marqué par le retrait - provisoire - de Steve jobs pour raisons médicales. Et déjà les Cassandre redoutent que l'éloignement du patron charismatique ne signe le début de la fin d'Apple, vingt cinq ans après l'avènement du révolutionnaire Macintosh. (...)

(26/01/2009 14:17:59)

Un porte-parole d'IBM Canada confirme l'existence d'un plan de suppressions de postes

IBM rejoindra t-il la longue liste des contributeurs aux plans de licenciements ? Après avoir fait l'objet, au début du mois, de rumeurs sur des suppressions de postes massives, et en dépit d'excellents résultats financiers, il semble que Big Blue se soit finalement décidé à passer à l'action. Le syndicat Alliance@IBM/Communication of Workers, parle d'une première vague de 1 419 suppressions de postes, suivie de 1 500 réductions supplémentaires dans les ventes et la distribution. D'après les commentaires postés par des salariés licenciés sur le site Alliance, une partie de ces pertes d'emplois seraient déjà intervenues au sein du laboratoire de recherche d'IBM à Toronto, qui a plus de quarante ans d'existence. Vendredi dernier, Mike Boden, porte-parole d IBM Canada, confirmait l'existence d'une réorganisation dans l'entreprise, déclarant que des suppressions étaient actuellement en cours au sein de la firme, y compris au Canada, mais que le nombre exact des coupes n'avaient pas encore fait l'objet d'une annonce officielle. Une restructuration qui découlerait des rachats Pour le Canadien, ces restructurations résultent des acquisitions actuellement en cours chez IBM, rachats qui imposent à l'entreprise une meilleure gestion de ses ressources pour qu'elles puissent répondre aux besoins de ses futurs clients. Le porte-parole de Big Blue Canada a ajouté que certains des employés touchés par les restructurations seraient reclassés à d'autres postes au sein de l'entreprise, et qu'IBM Canada les aiderait à chercher d'autres opportunités internes. « Les récents résultats financiers ont été bons, a rappelé le porte-parole. Mais ils ne font que traduire une partie des efforts déployés par IBM pour gérer au mieux les équipes dont il dispose en fonction des besoins actuels et futurs de l'ensemble de ses clients. » De son côté, la direction d'IBM France n'a pas donné suite à notre demande et n'a donc pas commenté ces informations. (...)

(26/01/2009 13:13:55)

Bernard Liautaud entre au conseil d'administration de Talend

Sur fond de crise économique, l'éditeur français Talend réalise la prouesse de boucler un troisième tour de table. La start-up fondée par Bertrand Diard et Fabrice Bonan vient de lever 12 M$ auprès de son actionnaire historique AGF et du fonds britannique de capital risque Balderton Capital. Lequel compte parmi ses associés Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects. Mieux encore, l'emblématique patron de BO, qui a revendu sa société à SAP en septembre 2007, fait son entrée au conseil d'administration de Talend. Il s'est dit séduit par l'offre d'intégration de données développée par l'équipe française et par le parcours que la start-up a effectué depuis son premier tour de table, au printemps 2006. Aujourd'hui, Open Studio, le logiciel d'ETL (extraction, transformation et chargement de données) proposé par Talend en Open Source, a été téléchargé 3,3 millions de fois dans le monde et Bertrand Diard évalue à 200 000 le nombre des utilisateurs du produit. Au-dessus du coeur gratuit Open Studio, l'offre de Talend comporte des briques complémentaires fournies sous forme d'abonnement, avec support avancé. C'est sur ces offres à valeur ajoutée que Talend a bâti son modèle économique. En 2007, après un trimestre d'exercice, la start-up avait déjà engrangé plus d'un million de dollars de chiffre d'affaires. Un revenu qu'elle a multiplié par six sur l'année écoulée. De trente collaborateurs, début 2008, la société est passée à cent personnes douze mois plus tard, et compte 150 partenaires intégrateurs dans le monde. Une tarification très concurrentielle En moins de trois ans d'existence, l'éditeur français a su gagner la confiance de nombreuses grandes entreprises ; des clients qui, en outre, le dispensent souvent de la démarche d'approche commerciale puisqu'ils le contactent régulièrement eux-mêmes après avoir déjà téléchargé et essayé son ETL. C'est en partie ce qui permet à Talend de proposer des tarifs très concurrentiels - pouvant descendre jusqu'à 30% de certaines offres, face à ses concurrents directs, aux cycles commerciaux plus lourds (les Informatica, IBM avec son offre Datastage héritée du rachat d'Ascential, ou encore Oracle avec l'offre rachetée à Sunopsis). Son tarif n'est pas basé sur le nombre de serveurs, ni sur le nombre de bases cibles et sources (comme chez Oracle), mais sur le nombre de développeurs. « Nous avons gagné 350 nouveaux clients en 2008 », comptabilise Bertrand Diard. Dans le portefeuille de Talend figurent, en France, des entreprises comme SFR, Orange, Virgin Mobile, cdiscount, Eurofins Scientifique ou Boloré. Et aux Etats-Unis, région qui génère 30% des revenus de l'éditeur, Open Studio a été choisi par des groupes tels que US Cellular, Yahoo, eBay, Sony et DuPont de Nemours. Tous clients qui ont recours à l'outil d'intégration de Talend pour traiter de très gros volumes de données. Chez SFR, notamment, il est utilisé pour la génération des factures clients. Bertrand Diard promeut l'Open Source à l'Afdel Sur son marché, Talend participe par ailleurs aux initiatives menées pour développer l'industrie française du logiciel. A la fin de l'année dernière, son PDG Bertrand Diard, a pris la tête, dans le cadre de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), d'une commission sur l'édition en environnement Open Source. Si l'année 2009 se joue dans un contexte économique compliqué, Bertrand Diard table sur le fait que sa solution va permettre aux DSI d'accompagner leurs réductions des coûts. Sans compter l'incontestable crédibilité qu'apporte l'arrivée de Bernard Liautaud au conseil d'administration de la société. Balderton Capital, le fonds de capital risque qu'il représente, fut l'un des tout premiers à investir dans la société suédoise MySQL, qui s'est revendue en janvier 2008 à Sun pour un milliard de dollars. Son intérêt pour Talend (il a apporté 9 M$ et AGF 3 M$ de plus) semble donc de fort bon augure. (...)

(26/01/2009 12:43:25)

Oracle adapte Tuxedo aux spécifications SCA

Désormais disponible en version 10g R3, le vénérable moniteur transactionnel Tuxedo continue son adaptation aux architectures orientées services (SOA), entamée avec BEA, cette fois sous l'égide d'Oracle. Pour la première mise à jour de Tuxedo depuis le rachat de BEA il y a un an, Oracle confirme en effet l'orientation services Web prise par BEA avec sa technologie Salt (Services architecture leveraging Tuxedo). Le but de Salt est d'exposer des fonctionnalités du moniteur transactionnel sous forme de services, afin de les inclure dans une SOA. La version 2.0 de Salt, présentée en octobre 2007, s'ouvrait aux services bi-directionnels, et supportait le protocole WS-Security. Avec Tuxedo 10g R3, Oracle ajoute le respect des spécifications SCA (Service component architecture) dont le but est d'établir un modèle de référence pour le développement de produits destinés à s'insérer dans des SOA, afin de faciliter l'intégration entre les produits de différentes provenances. Elaboré par 18 éditeurs dont Oracle, SCA a été soumis à l'Oasis au printemps 2007, et est désormais régi par l'organisme de standardisation. Oracle a par ailleurs fait en sorte d'intégrer au mieux Tuxedo avec le reste de son portefeuille de produits middleware, notamment la suite de gestion des identités et Clusterware, son offre pour 'clusteriser' les applications. Dans tous les cas, Oracle semble rester fidèle à sa promesse : Tuxedo continue d'évoluer, mais sans présenter de dépendances à d'autres produits ou technologies Oracle. Tuxedo était un des joyaux du portefeuille de BEA. Fin 2007, alors que BEA faisait en sorte qu'Oracle augmente son offre, Massimo Pezzini, expert en middleware chez Gartner, soulignait que Tuxedo n'avait pas d'équivalent chez Oracle. Et quelles que soient les vertus des derniers serveurs d'applications Java, les moniteurs transactionnels restent inégalés pour ce qui est de supporter des nombres de transactions très élevés avec des temps de réponse satisfaisants. (...)

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