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(13/01/2009 17:41:57)
Forrester voit 2009 en noir, surtout du point de vue du dollar
Le pessimisme de Forrester Research sur le marché mondial TIC professionnel pour 2009 varie selon la devise. En dollars, le cabinet d'étude prédit une baisse de 3% du marché mondial des TIC à 1,66 trillion de dollars (1 660 Md$). C'est, à ce jour, la prévision la plus pessimiste pour les douze mois à venir. Forrester compare cette prévision de baisse de 3% à la hausse de 8% constatée sur 2008. Cependant, si l'on évalue l'évolution à venir des différents marchés continentaux en monnaies locales, l'inversion des tendances de change par rapport à l'an dernier se traduit non pas par une baisse, mais par une croissance de + 3% (à comparer dans ce cas à + 4% en 2008). Toutefois, l'Europe de l'Ouest ne devrait connaître qu'une hausse de 1% évaluée en euro (324 Md€), voire une baisse de 7% estimée en dollars (437 Md$). C'est moins bien que le marché intérieur américain qui devrait progresser de 1,6% (contre 4,1% en 2008). Forrester anticipe une reprise en 2010 Pour Forrester, il s'agit d'une crise conjoncturelle. En 2010, le cabinet anticipe une reprise du marché mondial des TIC de 9% en dollars et de 6% en monnaies locales. En 2010, il est prévu une croissance "locale" de 7,3% aux Etats-Unis et de 5,3% en Europe de l'Ouest. En attendant cette reprise promise, les éditeurs de logiciels s'en sortiront mieux que les autres fournisseurs. Mesurée en dollars, leur activité (388 Md$) sera étale par rapport à l'an dernier. Mesurée en euros, elle progressera de 9%. Au niveau mondial, c'est le matériel informatique qui, avec - 4% à 434 Md$, connaîtra la plus nette baisse d'activité. Les budgets consacrés aux équipements réseaux et aux services/externalisation devraient baisser de 3% à, respectivement, 353 Md$ et 484 Md$. En monnaies locales, les ordres de grandeur restent les mêmes : sur un marché total en hausse de 3%, le logiciel progressera de 6%, les équipements réseau de 3%. Le matériel et les services/externalisation ne progresseront que de seulement 2%. Les services devraient battre des records de baisse d'activité Les paramètres sociaux et économiques spécifiques à l'Europe se traduisent par un impact très marqué sur les services et l'externalisation, deux domaines où il est plus facile de réduire la voilure que dans d'autres. Du coup, les services au sens large battent des records de baisse d'activité, que ce soit en dollars (-7% à 129 Md$) ou en euros (-2%, à 96 Md€). Les équipements réseaux suivent avec une baisse de 7% en dollars à 88 Md$ et une petite hausse de 1% en euros à 65 Md$. L'achat de matériel connaîtra une baisse de 5% en dollars à 116 Md$ et une hausse de 3% en euros à 86 Md€. Comme ailleurs, c'est le logiciel qui tire son épingle du jeu avec "seulement" - 4% en dollars à 104 Md$ et + 4% en euros à 96 Md$. (...)
(13/01/2009 17:31:40)Microsoft veut convaincre ses clients d'acheter pour économiser
« Achetez, économisez ! » Tel pourrait le slogan de la nouvelle campagne de publicité de Microsoft à destination des entreprises. Officiellement, le message choisi pour remplacer le vieux « People ready » est « It's everybody's business » (c'est l'affaire de tous). Cette campagne, qui représente un investissement de 150 millions de dollars, se décline à la télévision, en ligne et dans la presse papier. Pour que le message soit bien compris, Microsoft a fait l'impasse sur le second degré qu'il avait utilisé dans les spots publicitaires mettant en scène Bill Gates et Jerry Seinfield en septembre dernier. Cette nouvelle vague de publicités met en avant certains clients grands comptes de l'éditeur, comme Coca-Cola et Quicksilver, interviewés par téléphone puis représentés par de petits personnages animés, qui expliquent comment les solutions vendues par Microsoft leur ont fait économiser, voire gagner, de l'argent. En ces temps de crise économique, Microsoft met l'accent sur ses solutions de gestion de la relation client, de virtualisation, de business intelligence, de travail collaboratif et de communications unifiées. Ces secteurs sont actuellement en vogue notamment en raison des économies d'infrastructures qu'ils peuvent potentiellement générer en entreprise. Et si les clients convaincus manquent de liquidités, Microsoft est même prêt à les soutenir financièrement. (...)
(13/01/2009 17:12:02)Oracle fait l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes massives
La crise ébranlera t-elle l'industrie de l'édition logicielle ? Quoiqu'il en soit, après Microsoft et IBM, c'est au tour du Californien Oracle de faire l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes. Vendredi dernier, des sources d'origines diverses ont indiqué que le géant des logiciels d'entreprise s'apprêtait à tailler massivement dans ses effectifs : les consultants et les équipes commerciales seraient les plus touchés, de même que les employés qui ont rejoint Oracle suite aux rachats d'Hyperion Solutions et de BEA Systems. Néanmoins, la lumière reste à faire sur le nombre de salariés qui pourraient être remerciés, car le chiffre varie sensiblement selon les différentes sources et cabinets d'analystes. Ainsi, Tim Klasell, consultant chez Thomas Weisel Partners, table sur plusieurs centaines de suppressions de postes, en tout cas sur un nombre inférieur à 1 000, et ne croit pas aux 8 000 coupes franches évoquées sur certains blogs et forums, qui correspondraient à la suppression de 10% des effectifs d'Oracle (84 000 employés dans le monde). En se référant à à l'historique des acquisitions et des plans de restructurations chez Oracle, l'analyste considère que les départs pourraient intervenir à compter du printemps 2009 et qu'ils s'effectueront non pas en bloc, mais par vagues. Du côté des salariés d'Oracle, on est loin de partager ce point de vue : ainsi, un commercial basé chez l'éditeur aux Etats-Unis aurait appris, en réunion, que le nombre des suppressions de postes était beaucoup plus élevé que les 1 000 mentionnées par l'analyste et qu'Oracle serait contraint d'en passer par là en coupant principalement dans les effectifs très élevés de BEA. D'autant que, selon un document remis le 22 décembre par Oracle à la SEC, l'éditeur se serait engagé à verser 141 M$ d'indemnités de départ à des salariés de BEA. En 2007, BEA décidait de revoir les modalités d'indemnisation des salariés qui auraient quitté l'entreprise moins d'un an après son rachat, modalités estimées entre 3 et 12 mois de salaires, plus le bénéfice d'une assurance santé. De son côté, la direction d'Oracle a refusé de commenter ces informations. (...)
(13/01/2009 17:06:28)Syntec Informatique prépare son plan d'action pour doper l'industrie du logiciel
C'est le 20 janvier prochain que la commissaire européenne à la Société de l'information Viviane Reding doit recevoir à Bruxelles les différents contributeurs lui ayant transmis des propositions pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Parmi eux, le Comité Editeurs de Syntec Informatique, co-présidé par Pascal Rialland (DG de SAP France) et Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), qui a remis le 12 novembre dernier à la commissaire une prise de position commune avec huit autres associations professionnelles IT européennes. Entre-temps, chacune de ces organisations a travaillé localement pour bâtir un plan d'action afin d'avancer concrètement au niveau de chaque pays, dans la droite ligne des propositions faites à Bruxelles. Dans ce cadre, le Comité Editeurs du Syntec Informatique devrait restituer, fin février ou début mars, un premier niveau de plan d'action détaillé répartissant les actions à mener en quatre axes, sous le sigle i3C : Innovation, Client, Croissance et Consolidation. " Le rapport Besson a formalisé qu'il y a création de croissance lorsqu'on investit dans les nouvelles technologies, mais sans mettre suffisamment l'accent sur l'industrie du logiciel ", rappelle Pascal Rialland. D'où l'importance, pour le syndicat professionnel, de renforcer les initiatives propres à doper ce marché sur lequel évoluent une multitude de petits acteurs. Un statut pour les éditeurs et l'extension du crédit innovation En tout premier lieu, dans le domaine de l'innovation, primordial s'il en est, le Comité Editeurs maintient son souhait que soit établi un véritable statut pour les sociétés d'édition de logiciels, dans l'esprit de ce qu'il avait déjà proposé en janvier 2008 dans le rapport réalisé avec le Medef (" Faire de la France un leader de l'économie numérique "). De même, le Syntec Informatique réitère son intérêt pour la création d'un fonds commun de placement (les SOFICIEL) qui permettrait de déduire fiscalement les investissements réalisés dans les sociétés d'édition de logiciels, au même titre que les SOFICA aident à financer l'industrie cinématographique et audiovisuelle. " Cela me paraît simple à mettre en place et pourrait aider bon nombre de création d'entreprises ", juge Pascal Rialland. Il souligne aussi tout l'intérêt d'étendre l'assiette du crédit innovation, au-delà du coût de l'invention, à l'ensemble du coût de développement, ce qui inclut ainsi la réalisation et le test d'un logiciel prêt à la commercialisation (un coût environ dix fois supérieur à celui de la stricte invention). Communiquer sur les travaux de recherche publics " Nous souhaitons aussi que les pouvoirs publics communiquent sur les travaux des centres de recherche publics qui travaillent parfois dans des domaines proches de l'édition de logiciels, poursuit le co-président du Comité Editeurs. Par ailleurs, Syntec Informatique aimerait se rapprocher des pôles de compétitivité pour développer avec eux une approche collaborative et faciliter les synergies avec nos adhérents. " La valeur réside dans ce qui est développé, et non dans le 'business model' [[page]] Toujours dans le domaine de l'innovation, inventaire sera dressé des différents modèles économiques qui existent dans l'industrie du logiciel (Open Source, SaaS, droit d'usage...) en prenant garde à souligner que l'innovation ne réside pas dans le " business model ", mais dans la plateforme développée et dans la " réponse métier " que le logiciel apporte aux clients qui, seuls, déboucheront sur un revenu récurrent et la génération d'un cash-flow positif. Enfin, dans le cadre du financement de l'innovation, le Syntec Informatique va répertorier les aides disponibles pour indiquer à ses adhérents les mieux adaptées à leur situation. Approfondir les relations avec Ubifrance et avec le Cigref Dans le domaine de l'accès aux clients, deuxième rubrique du plan d'action du Comité Editeurs, l'une des premières initiatives consistera à approfondir les relations avec Ubifrance, l'agence française pour le développement international. Après avoir développé son activité sur le territoire national, un éditeur cherche à l'étendre dans les pays de l'Union européenne et dans les pays francophones. Or il s'agit d'une aventure rien moins qu'évidente (voir par exemple la tribune de Julien Victor, d'Effisoft, dans notre blog Experts) dans laquelle Syntec Informatique peut accompagner fort utilement les PME innovantes qu'il compte parmi ses adhérents. " Nous allons également travailler avec le Cigref avec lequel nous avions déjà une charte ", ajoute Pascal Rialland. Le Cigref, club informatique des grandes entreprises françaises, est présidé par Bruno Menard, vice-président IT groupe de Sanofi-Aventis depuis novembre dernier. Des outils pour aider à attribuer une valeur au système d'information [[page]] Le troisième point du plan d'action concerne la croissance. Il est ici question de valoriser le système d'information des clients et de montrer comment celui-ci peut apporter de la croissance aux entreprises. " Dans ce domaine, nous comptons nous rapprocher de l'Observatoire de l'immatériel ", précise Pascal Rialland. Le co-président du Comité Editeurs reconnaît ici une frustration. " Les entreprises apportent une valeur tangible à leur marque, mais elles ne sont pas capables d'attribuer une valeur à leur système d'information ", regrette-t-il. Une méthodologie et des indicateurs vont donc être mis au point pour aider les clients à valoriser leur SI, notamment face à leur banquier ou à des acquéreurs. Favoriser l'apprentissage et la formation en informatique " Nous entendons aussi mettre l'accent sur l'importance du capital humain en renforçant nos relations avec l'association Pascaline ", complète Pascal Rialland. Créée à l'initiative du syndicat professionnel, Pascaline regroupe 61 écoles et entreprises autour de la promotion des métiers de l'informatique. " Nous utiliserons l'interface unique du Syntec Informatique pour favoriser l'apprentissage et la formation en alternance qui permettent de former et de pré-recruter. " Protéger la propriété intellectuelle Enfin, le quatrième point du plan d'action concerne la consolidation. Ce thème recouvre principalement la protection de la propriété intellectuelle, capitale pour les éditeurs de logiciels. " En trois ans, j'ai constaté une évolution ennuyeuse, alerte Pascal Rialland. Il faut être vigilant sur ce terrain et communiquer. Attention, notamment, aux dépassements d'usage sur les logiciels. Je suis inquiet pour les petits éditeurs. Pour vivre dans ce métier, il faut apporter de la valeur ajoutée et faire respecter son modèle. " Enfin, une réflexion est également menée sur les moyens à mettre en oeuvre pour apporter un peu d'air aux éditeurs au niveau de leur trésorerie et de leurs capacités de financement. (...)
(13/01/2009 16:34:51)pureSilicon fait passer le cap du teraoctet aux SSD
Des SSD plus denses et plus rapides. C'est ce que promet le constructeur américain pureSilicon avec sa gamme Nitro. Jusqu'à présent cantonnés à des capacités nettement inférieures à celles offertes par les disques durs magnétiques, les SSD (Solid state drives) s'apprêtent ainsi à atteindre la barre du teraoctet avec le 1 TB Nitro, un support de stockage au format 2,5 pouces. Le constructeur affirme être parvenu à une densité de 15,4 Go/cm3, soit trois fois plus que dans les SSD actuellement sur le marché. Un exploit dont ne pâtissent a priori pas les performances du disque : pureSilicon indique que ses vitesses de fonctionnement approchent les débits maximum autorisés par l'interface Sata II avec 240 Mo/s en lecture et 215 Mo/s en écriture. Au chapitre des entrées/sorties, le 1 TB Nitro est censé pouvoir atteindre 50 000 IOPS (Input/Output operations per second) en lecture et 10 000 IOPS en écriture. A titre de comparaison, le SSD X25-E d'Intel (32 Go), destiné comme le produit de pureSilicon aux serveurs et stations de travail, affiche 35 000 IOPS en lecture et 3 300 IOPS en écriture. La gamme Nitro ne se limitera pas à ce modèle de 1 To mais sera déclinée en six capacités (32 Go, 64 Go, 128 Go, 256 Go, 512 Go et 1 To). Le constructeur annonce une disponibilité pour le troisième trimestre mais reste coi sur la question du prix. Une somme astronomique n'aurait rien de surprenant : le X25-E d'Intel coûte en moyenne 20 $ par gigaoctet. (...)
(13/01/2009 14:13:54)Seagate supprime 800 postes et change de tête
L'année 2009 commence par un grand vent de changement pour Seagate. A la suite de ses mauvaises ventes de décembre, le spécialiste du stockage va supprimer 10% de ses 8000 postes aux Etats-Unis. Parmi les premiers employés à partir figurent le PDG, Bill Watkins, et son directeur opérationnel, Dave Wickersham. Les deux hommes ont été remplacés respectivement par Stephen Luczo, actuel président du conseil d'administration de Seagate et ancien PDG de 1998 à 2004, et Robert Whitmore, directeur technique de la société. Stephen Luczo restant président du conseil d'administration, son retour comme PDG n'est peut-être que temporaire, mais l'avenir de Bill Watkins n'est clairement plus chez Seagate. Selon le communiqué officiel, les deux hommes doivent discuter prochainement du rôle, « s'il y en a un », qu'il pourrait jouer dans la compagnie. Outre une conjecture économique désastreuse (Western Digital, le principal concurrent, s'apprête à supprimer 2 500 postes), Bill Watkins paie également certains choix stratégiques comme sa longue opposition à la technologie SSD. (...)
(13/01/2009 12:33:44)Avis de décès des SOA : les réactions
Notre article et le billet de blog sur l'avis de décès des SOA prononcé par Anne Thomas Manes, du Burton Group, ont suscité des commentaires. Le directeur technique de l'éditeur Scort et le directeur technique du cabinet d'architecture Vistali nous ont spontanément fait parvenir leur réponse. Marc Boullier, directeur technique de Vistali, explique ainsi que beaucoup de technologies qui semblaient avant-gardistes à une époque sont finalement passées aujourd'hui dans notre quotidien (à lire ici). Jean-François Maury, directeur technique de Scort, indique de son côté qu'on n'a pas assez pris en compte les problématiques organisationnelles (à lire ici). (...)
(13/01/2009 10:05:48)Dell achète encore des compétences dans le service
Dell a déboursé 12 M$ pour acquérir la division de la société Allin spécialisée dans les services associés à l'installation et à l'administration des logiciels Microsoft dans les datacenters américains. Le constructeur intègre une centaine de salariés sur les 180 que compte Allin. Leurs compétences portent plus particulièrement sur certains logiciels des gammes Microsoft Dynamics (l'offre de gestion de la relation client, Dynamics CRM, et les ERP GP et SL bien implantés outre-Atlantique), ainsi que sur son portail Sharepoint. L'acquisition se fait à un moment où Allin traverse une passe difficile. En septembre dernier, la société a clos son troisième trimestre sur une perte de 725 000 dollars sur un chiffre d'affaires en faible hausse de 3,5% à 5,9 M$. Allin, qui ne compte plus que 80 salariés, compte se focaliser sur les marchés verticaux de la finance et des voyages. Deux autres rachats dans le service en 2008 Après s'être converti tardivement au mérite de la croissance externe, Dell a fait l'emplette de près d'une dizaine de sociétés en deux ans. Parmi elles figurent des spécialistes du service comme Everdream, spécialiste de l'administration à distance, acquise en novembre dernier, et Silverback, elle aussi active dans l'administration à distance, achetée en juillet 2008. (...)
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