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(27/05/2008 18:41:19)

Atos Origin aurait composé avec Pardus et Centaurus

Selon notre confrère Les Echos, moins d'une semaine après l'ajournement houleux de l'assemblée générale d'Atos Origin par son président Philippe Germond, la direction de la SSII semble avoir composé avec les fonds d'investissement Pardus et Centaurus auxquels elle s'opposait. Ces derniers semblent notamment avoir obtenu le départ de Didier Cherpitel, le président du conseil de surveillance contre le maintien de trois membres du directoire. Rappelons qu'une nouvelle assemblée générale a été prévue pour le 12 juin prochain. (...)

(27/05/2008 16:33:47)

Le Syntec Informatique livre à Bruxelles sa vision du développement européen du logiciel

En livrant la première mouture d'un rapport d'orientation sur le développement de l'industrie européenne du logiciel, Syntec Informatique répond à une demande de la Commission européenne. C'est à l'occasion du palmarès Truffle 100 Europe, réalisé par IDC et le CXP en décembre dernier, que Viviane Reding, commissaire européen à la société de l'information, avait insisté sur la nécessité d'agir en faveur des éditeurs européens. Son ambition : bâtir une « European Software Strategy», une stratégie européenne du logiciel. Trois axes d'action prioritaires Pour ce faire, la feuille de route élaborée par le Syntec Informatique en collaboration avec ses homologues européens et les services de la Commission, propose trois grands domaines d'action : le développement du capital humain, le financement de l'innovation et l'unification du marché du logiciel. Pour attirer davantage de jeunes vers la filière logicielle, le rapport préconise de lancer une campagne paneuropéenne de valorisation de l'entrepreneuriat et des carrières. La création en parallèle d'un programme de formation continue en management, la Software Academy, associera les meilleures grandes écoles et universités de l'Union Européenne. Pour intensifier et sécuriser les nouveaux mécanismes de financement de la R&D et de l'innovation, le rapport conseille de capitaliser sur les dispositifs publics-privés existants en Europe, notamment en France, en s'inspirant de réussites exemplaires comme comme l'initiative Yozma en Israël (programme né en 1993 et destiné à développer des fonds de 'venture capital' pour stimuler l'industrie logicielle). Un statut particulier Enfin, en vue d'unifier le marché du logiciel européen et de libérer les énergies des acteurs, le Syntec informatique propose que les éditeurs bénéficient, au vu de leur rôle vis-à-vis de l'ensemble de l'économie numérique et de la société, d'un statut particulier autorisant les Etats membres à prendre des mesures de stimulation, notamment fiscales, en leur faveur. L'exemple de l'Inde, où les éditeurs bénéficient d'exonérations à partir d'un certain seuil de chiffre d'affaires réalisé à l'export, est notamment mis en avant. Ces orientations et pistes feront l'objet de discussions entre le Syntec informatique, ses confrères européens et la Commission Européenne, avant une prise de position définitive, qui sera publiée d'ici la fin de l'année. (...)

(27/05/2008 12:27:07)

L'opérateur télécoms Vanco vendu à l'indien Reliance

Un opérateur télécoms indien, Reliance Communications a acquis l'opérateur britannique Vanco, champion des infrastructures légères. Vanco est qualifié d'opérateur virtuel ou VNO (Virtual Network operator) lors du déploiement de réseaux VPN pour ses clients multinationaux puisqu'il combine les infrastructures des opérateurs locaux dans un réseau global. L'acquisition a été réalisée via la filiale Reliance Globalcom de Reliance. Vanco réalise l'essentiel de ses revenus aux Etats Unis, Grande Bretagne, Allemagne et France. Par ailleurs, Reliance Communications a annoncé lundi 26 mai, qu'il était en négociation avec le Group MTN en Afrique du Sud, afin de combiner leurs activités. L'année dernière Reliance Globalcom avait acquis l'opérateur de services Ethernet aux Etats Unis, Ypes. A la fin avril 2008, Reliance Communications avait acheté eWave World, un fournisseur de services 4G au standard Wimax. En conclusion, Reliance concrétise à marches forcées de formidables ambitions au niveau international. (...)

(27/05/2008 11:43:50)

Deutsche Telekom reconnait des écoutes illégales

L'opérateur télécoms allemand Deutsche Telekom a demandé l'ouverture d'une enquête officielle à Bonn sur le fait que des équipes internes aient utilisé des données relatives à des appels téléphoniques afin de suivre les contacts entre des membres du comité de direction et des journalistes. Les enregistrements incriminés sont relatifs à des appels effectués entre 2005 et 2006. Deutsche Telekom a été mis au courant pour la première fois de cette affaire au milieu de 2007. Une enquête interne avait mené à une réorganisation de l'équipe en charge de la sécurité, a déclaré l'opérateur, samedi 24 mai. Cependant, Deutsche Telekom declare que le 28 avril dernier, il a reçu une lettre contenant des allégations renouvelées et plus sérieuses, d'une personne extérieure à la société, indiquant qu'elle avait été impliquée dans ces incidents à la demande d'un membre de l'équipe chargée de la sécurité. Après avoir examiné ces déclarations, l'opérateur a déposé plainte le 14 mai. Le PDG actuel de Deutsche Telekom, René Obermann, a declaré que l'opérateur apporterait sa totale coopération à la justice. « Nous voulons assurer la plus totale transparence sur cette affaire et aider les enquêteurs à mener les coupables devant la justice, a-t-il déclaré. « Nous parlons d'incidents qui ont eu lieu en 2005 et 2006, sous l'ancienne direction,a conclu un porte-parole. (...)

(26/05/2008 16:54:55)

En 2008, Bull recrute plus d'un millier d'informaticiens

Bull a prévu de recruter entre 1 000 et 1 200 personnes sur toute l'année 2008. Il devrait déjà avoir rempli 50% de son objectif à ce jour, puisqu'il avait déjà embauché 500 personnes (dont 270 en France) fin avril. « Ces recrutements ont pour but de gérer notre croissance dans les services, en particulier dans l'intégration de système, explique Patrick Semtob, directeur général de Bull en charge des ressources humaines. Les services ont représenté 38% de notre activité en 2007 et nous visons 50% d'ici un ou deux ans. » Chez Bull, les campagnes de recrutement ont repris l'an dernier après une période de 6 ou 7 années « sans ». Sur le millier de postes proposés, au moins 500 concernent la France. La moitié seront situés en Ile de France et l'autre en province, principalement à Marseille, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Montpellier, Nantes, Angers, Strasbourg. Les offres d'emploi pour l'étranger concernent surtout le Brésil, le Maroc, la Pologne, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Le Maroc pour les télécoms et l'e-gouvernement, la Pologne pour les télécoms, mais aussi la Chine pour les systèmes douaniers sont des pays de offshore pour Bull. Des experts pour de grands projets hautement technologiques Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs en développement et conception pour le décisionnel, des développeurs J2EE, des consultants ERP sur SAP, Peoplesoft ou HR Access par exemple. « Nous recherchons aussi beaucoup de consultants en télécoms, ajoute Patrick Semtob. Si notre croissance dans les services est de 15%, elle est de 60% dans les télécoms. » Bull recherche également des architectes des nouvelles technologies, des experts en infrastructure, mais aussi des directeurs de projets spécialistes. Il faut dire que ce sont de grands chantiers et d'autres de taille moyenne, tous très sophistiqués, qui conduisent le Français à lancer cette campagne d'embauches. « Depuis l'an dernier, Bull emporte de nouveau beaucoup de grands projets, » explique justement Patrick Semtob, avant d'égrener une série d'exemples. Outre le supercalculateur du CEA et la refonte de l'infrastructure informatique du Ministère des finances, Bull affiche ainsi quelques belles réussites hors de nos frontières. Il a été choisi pour le système décisionnel de l'aide sociale Medicaid en Californie (après avoir gagné 6 autres états américains sur le même sujet), un système de reconnaissance automatique du courrier en Australie, le contrôle d'accès à l'ensemble du système informatique d'une entreprise allemande de 87 000 employés. Deux tiers de débutants et d'informaticiens avec une première expérience [[page]]Les deux tiers des embauches concerneront des débutants ou des informaticiens avec une première expérience. Les plus expérimentés seront appelés sur les postes de management de projet, mais aussi pour le décisionnel, les télécoms et l'expertise en infrastructure. Bull recherche des Bac+5 en informatique, issus aussi bien des universités que des grandes écoles. Plus que le diplôme, ce sont la personnalité du candidat et son potentiel qui importent. « Nous recrutons aussi pour l'avenir, » insiste Patrick Semtob. Les recrutements s'opèrent plutôt par le biais de contacts avec les écoles, et par cooptation. Bull utilise aussi beaucoup les stages et l'apprentissage pour les préembauches. « Nous pensions souffrir sur tous ces recrutements, comme le reste de la profession, note Patrick Semtob, mais finalement, cela a été moins difficile que prévu. Le niveau technologique élevé de Bull et des projets en cours attire visiblement les candidats. Il faut savoir qu'en tant que société de service nous avons un taux très faible de 6% de démissions. En général, pour les recrutements, il nous faut juste repréciser quels sont nos métiers. » L'autre attrait de Bull réside dans son envergure internationale, puisqu'il travaille dans le monde entier. Il gagne d'ailleurs de plus en plus de contrats pour lesquels plusieurs nationalités doivent se côtoyer. (...)

(26/05/2008 12:18:12)

HP déloge IBM de la première place des ventes de serveurs, en revenus

Mise à jour du 7 juillet 2008 : Attention, Gartner a publié une mise à jour, cf. : Serveurs : Gartner remet IBM premier d'un marché qui ne croît plus que de 2,5% Le marché des serveurs a du tonus. Sur le premier trimestre de 2008, les ventes mondiales de serveurs progressent de 7,6% en unités selon le cabinet Gartner, comparé au premier trimestre de 2007. Ce sont 2,27 millions de machines qui ont été vendues. La progression est de 4,3% en chiffre d'affaires, qui atteint 13,5 milliards de dollars. HP premier en revenus Plusieurs facteurs expliquent ce dynamisme comme le remplacement des serveurs x86 ou, inversement, la chute des serveurs Unix Risc-Itanium. Pour ces derniers, Gartner observe une baisse de 8,4%, en nombre d'unités vendues, contre une croissance de 3,7% en termes de chiffre d'affaires. Côté constructeurs, HP déloge IBM de la première place mondiale pour ce qui concerne les revenus avec 29,6% de parts de marché (4 milliards de dollars). HP souligne la hausse des ventes de ses serveurs en lames de 13% au plan mondial sur le trimestre, et celles de ses gammes ProLiant et Integrity. Seule baisse légère en revenus pour Sun [[page]] Bien que passé en deuxième position, IBM progresse de 2,1% en revenus. Dell est troisième et Fujitsu Siemens cinquième. Ils sont également en hausse, respectivement de 6,6% et de 4,9%. Seule baisse, le troisième, Sun perd 0,7% de revenus. En nombre d'unités vendues, HP était déjà numéro un, il progresse de 7,8% avec 683 000 ventes. Dell, en seconde position, affiche une progression de 15,8% à 516 000 unités. IBM bon troisième ne progresse que de 2,3% avec 300 000 unités. Loin derrière les trois leaders, on trouve Sun en quatrième position qui croît de 6,6% avec 84 000 unités. Le cinquième Fujitsu-Siemens chute de 2,6% avec 78 000 ventes. Pour la région Europe, tous les constructeurs progressent que ce soit en nombre d'unités vendus ou en chiffre d'affaires. Seule différence par rapport au classement mondial, Sun est troisième en chiffre d'affaires et Dell est quatrième, mais c'était déjà le cas en 2007. Mise à jour du 7 juillet 2008 : Attention, Gartner a publié une mise à jour, cf. : Serveurs : Gartner remet IBM premier d'un marché qui ne croît plus que de 2,5% (...)

(23/05/2008 17:12:45)

Sapphire 2008 : SAP sur tous les fronts du marché PME

Les PME constituant les trois quarts de sa base installée (35 700 entreprises sur 47 800 clients), SAP n'a pas manqué de leur réserver nouveautés, démonstrations et sessions spéciales lors de ses conférences utilisateurs Sapphire (Orlando 4-7 mai, Berlin 19-21 mai). L'éditeur allemand dispose maintenant de trois progiciels de gestion intégrés (PGI/ERP) pour ce marché : SAP Business One (jusqu'à 100 salariés), Business All-in-One (pour les projets métiers), et l'application en ligne Business ByDesign, toujours en phase de pré-lancement dans cinq pays, dont la France. A Berlin, l'éditeur a annoncé pour les utilisateurs de SAP Business All-in-One une gestion de la relation client déclinée de son logiciel CRM 2007. Le produit devrait arriver dans quelques mois (été ou automne) et sera commercialisé par les partenaires revendeurs de l'offre. Bâtie sur la plateforme technologique NetWeaver, la solution couvre la gestion des contacts et des opportunités commerciales, le suivi des actions de marketing et du service au client. L'offre sera livrée préconfigurée afin de faciliter son installation et, ce faisant, de réduire la facture globale. Elle proposera un ensemble de scénarios inspirés des bonnes pratiques identifiées en matière de GRC, ainsi que des fonctions d'analyse intégrées. Un configurateur en ligne pour calculer le coût du projet SAP compte actuellement 11 700 clients de son PGI All-in-One dans le monde dont 1 048 en France. Pour cette offre, SAP a mis en ligne un outil de configuration qui permet à une entreprise de calculer le coût d'un projet All-in-One (licences, services et matériel) suivant les briques fonctionnelles qu'elle souhaite mettre en place. La version française de ce configurateur devrait être disponible sous peu. Dans l'Hexagone, All-in-One est mieux implanté que le produit Business One qui compte seulement 400 clients français, contre 18 690 dans le monde. Pour augmenter ses ventes sur Business One, la filiale française entend maintenant miser sur des partenaires capables de lui apporter un volume d'affaires significatif plutôt que sur « un volume de partenaires », a confié Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. « Nous allons vous surprendre » Sur le premier trimestre 2008, l'éditeur allemand a gagné 1 600 nouveaux clients dans les petites et moyennes entreprises. « Chaque jour, vingt-six PME nous rejoignent », précisait à Berlin le président de l'activité PME globale chez SAP, Hans-Peter Klaey.[[page]] En revanche, l'éditeur a levé le pied sur le planning de l'offre SAP Business ByDesign, repoussant sa disponibilité générale de 12 à 18 mois et réduisant de 100 M€ les investissements prévus sur ce projet (lire à ce sujet sur www.cio-online.com l'analyse de Hans-Josef Jeanrond, analyste du Bitgroup : « Les aberrations de la bourse »). Hans-Peter Klaey explique qu'il convient de conforter l'architecture « mega-tenancy » utilisée pour l'hébergement. Celle-ci permet de gérer de multiples instances pour chaque client et de disposer ainsi d'un environnement très sécurisé, facilitant en particulier les opérations de maintenance. [mise à jour] « Pour la première fois, il s'agit pour nous de résoudre des problèmes [NDLR : techniques] que nous n'avions pas rencontrés jusque-là », a expliqué Henning Kagermann (à droite sur la photo), co-PDG de SAP, lors d'une conférence de presse sur Sapphire. En concluant avec un sourire : « Nous allons vous surprendre ! ». SAP veut préserver sa marge financière SAP reconnaît aussi prolonger la phase de lancement de Business ByDesign pour préserver sa marge financière sur ce projet, très stratégique pour lui. « Ce que nous allons livrer sera unique sur le marché, a confirmé Léo Apotheker, deuxième co-PDG (à gauche sur la photo), qui doit succéder à Henning Kagermann l'an prochain. « Il ne s'agit pas d'une application de gestion des opportunités commerciales [NDLR : faisant ainsi référence à Salesforce.com], mais d'une application de gestion intégrée complète conçue pour supporter les processus stratégiques de l'entreprise. » A Berlin, l'éditeur n'a pas lésiné sur les démonstrations de Business ByDesign. Pour l'instant, l'application compte 150 clients. Une demi-douzaine d'entreprises sont déjà en production en France, parmi lesquelles Arumtec (qui est venu témoigner sur Sapphire), Micropole Univers et, au Luxembourg, SOA People. (...)

(23/05/2008 09:33:45)

Sous la pression, Yahoo repousse la réunion de son conseil d'administration

Face aux attaques sur son conseil d'administration, Yahoo a finalement repoussé à fin juillet la réunion annuelle de celui-ci prévue initialement le 3 du même mois. Il a aussi annoncé la démission d'un de ses membres. Cette réunion annuelle prévoit la réélection de l'ensemble du conseil. Or, l'investisseur milliardaire Carl Icahn a prévenu Yahoo qu'il avait sélectionné 10 candidats pour remplacer tous les membres du conseil. Il espérait ainsi relancer les discussions avec Microsoft qui a récemment retiré son offre d'achat sur Yahoo. Selon Karsten Weide, analyste pour IDC, le report de cette réunion signifie sans doute que Yahoo a besoin de plus de temps pour élaborer ses discussions avec Microsoft. Ce dernier rachètera Yahoo de toutes façons, toujours selon l'analyste, même si il a retiré son offre et a dit travailler sur un autre type de transaction avec le même Yahoo. Ce dernier a donc également annoncé la démission de Edward Kozel de son conseil d'administration. Dans un document de la SEC (Securities and Exchange Commission), l'entreprise explique que celui-ci avait prévu de quitter le conseil en février mais était finalement resté pour suivre la proposition de rachat par Microsoft. Après ce départ, Yahoo a officiellement réduit la taille de son conseil de dix à neuf membres. D'évidentes dissensions au sein du conseil d'administration face au refus de l'offre de Microsoft Les raisons de cette démission sont officiellement familiales mais selon Karsten Weide il y aurait une autre explication : « cela signifie qu'il y a des dissensions au sein du conseil. » Selon l'analyste, il se pourrait qu'Edward Kozel n'ai pas été d'accord avec le refus d'une négociation avec Microsoft et aurait même craint une action en justice contre le conseil pour avoir failli à son devoir. Yahoo a recruté Edward Kozel au sein de son conseil d'administration en 2000. Il avait passé 11 ans chez Cisco où il a aussi été membre du conseil d'administration après avoir assuré les fonctions de directeur technique (CTO). Il avait auparavant travaillé chez Boeing et McDonnell Douglas, et comme 'managing partner' pour Open Range Ventures, un venture capitalist privé. Le 1er février, Microsoft avait proposé 44,6 Md$ en cash et en actions pour racheter Yahoo avant d'abandonner 3 mois plus tard face au refus de Yahoo. Après son retrait, le géant de Seattle a affirmé pouvoir gagner davantage de parts de marché sur le moteur de recherche par ses propres moyens. Mais, dernier épisode du feuilleton, dimanche dernier, il s'est dit de nouveau ouvert à une négociation , mais cette fois pour racheter seulement une partie des activités de Yahoo. (...)

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