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(27/10/2006 10:19:20)

Introduction en bourse réussie pour Neuf Cegetel

L'entrée en bourse de Neuf Cegetel est un succès : l'opération a été sursouscrite 15 fois. L'engouement pour le titre s'est confirmé dès le début de la cotation. Introduite à 22,08 € (17,67 € pour les salariés), l'action de l'opérateur alternatif a ouvert en hausse de 9 % pour finalement clôturer à 22,94 €, dans un volume d'échange de plus de 17 millions de titres. Pour son second jour de cotation, ce jeudi 26 octobre, l'action, plus sage, a oscillé entre 22,95 € et 23,50 € dans un volume d'échange de plus de deux millions de titres. L'introduction en bourse a permis à Neuf Cegetel d'augmenter son capital de 216 M€, sur un total de 818 M€ ouverts au marché. L'exercice de l'option de sur-allocation - possible jusqu'au 23 novembre - pourrait permettre à l'opérateur alternatif de lever 32 M€ supplémentaires sur 93 M€ mis, en plus, sur le marché. Neuf Cegetel entend consacrer le produit des nouvelles actions émises au financement du rachat des activités d'accès à Internet d'AOL France. (...)

(26/10/2006 17:07:30)

Oracle lance Unbreakable Linux 2.0 dans les jambes de Red Hat

Après avoir officiellement effectué la clôture du NASDAQ pour le 20e anniversaire de la cotation d'Oracle en bourse, Larry Ellison a annoncé hier le lancement d'Oracle Unbreakable Linux 2.0. Cette offre, qui se présente en surface comme une offre de support Oracle pour le système d'exploitation Linux de Red Hat, marque en fait l'entrée officielle d'Oracle sur le marché des distributions Linux. Selon Larry Ellison, deux obstacles entravent encore la progression de Linux dans les entreprises. Le premier est l'absence d'un véritable support entreprise pour l'OS. Oracle indique notamment que les entreprises doivent souvent attendre la prochaine version du kernel linux pour bénéficier d'un correctif, sans possibilité de régression sur le kernel existant. "Pour les grands comptes, c'est tout simplement inacceptable. Un vrai support entreprise nécessite des correctifs pour la mouture en production et non pas sur une version à venir". L'autre obstacle selon Ellison est le coût élevé du support Linux et la menace de violation de propriété intellectuelle qui pèse toujours sur l'OS. "Accélérer l'adoption de Linux dans les entreprises" C'est officiellement pour résoudre ces problèmes et accélérer la diffusion de Linux dans les entreprises qu'Oracle lance Unbreakable Linux 2.0. La nouvelle offre résonne comme un défi à Red Hat. Ce que propose en effet Oracle est de supporter la distribution du numéro un mondial Linux pour 50 à 66% moins cher que Red Hat. Le programme n'est pas limité aux clients des autres produits Oracle, mais ceux-ci bénéficient d'une période d'essai gratuite de 50% sur les tarifs de lancement Concrètement quand Red Hat facture 999$ par serveur bi-processeur pour son support de base, Oracle propose une offre équivalente pour 399$. Pour un nombre illimité de processeurs, le prix d'Oracle est de 999$ contre 2499$ pour Red Hat. Oracle propose aussi un support "Premier" 24/24 au niveau mondial avec notamment la correction des bugs, l'indemnisation et la protection juridique contre toute violation de propriété intellectuelle et le portage des correctifs sur les versions existantes ou antérieures du Kernel. Ce support est facturé 1199$ quelque soit le nombre de CPU. Plus qu'un programme de support, une vraie distribution Dans la pratique, Oracle supporte l'ensemble des versions de Red Hat advanced Server (3 et 4) sur plates-formes x86 32 et 64 bit (le support d'autres plates-formes comme Itanium et Power est à l'étude). L'éditeur fournit un programme de configuration qui en quelques secondes reparamètre l'OS pour aller chercher ses mises à jour et correctifs sur l'Unbreakable Linux Network (ULN) en lieu et place de Red Hat Network (RHN). Oracle ne s'arrête toutefois pas là et propose sa propre version de Red Hat sous la forme de binaires et d'images ISO. Selon Oracle, il ne s'agit pas d'un fork (une version autonome parallèle). Comme l'explique Wim Coekaerts le vice-président de l'ingénierie Linux de la firme, "Nous récupérons le code source de Red Hat et en retirons les marqueurs ainsi que les éléments copyrightés [tels que les logos, NDLA]. Ce code est ensuite recompilé pour générer nos exécutables". Coekaerts assure qu'Oracle synchronisera systématiquement les correctifs qu'il apportera à "son" Linux avec le code de Red Hat de façon à éviter la fragmentation. Oracle communiquera également le code source de ses correctifs dès leur publication aux autres distributeurs Linux ainsi qu'à la communauté. Menace pour l'avenir de Red Hat ? Interrogé sur le risque d'affaiblir voire à terme de menacer l'existence de Red Hat, Larry Ellison, provocateur, a rappelé que le but d'Oracle est "d'accélérer l'adoption de Red Hat Linux. Je ne pense pas que cela va tuer Red Hat. Cela relève la barre du support et les amènera peut-être à revoir leurs prix. C'est le capitalisme. C'est la concurrence". A un utilisateur qui l'interrogeait sur la volonté d'oracle de baisser les coûts de support de ses propres produits, Ellison a également rétorqué, moqueur, qu'Oracle " étudie toujours la baisse de ses prix". Comme le rappelle dans son blog Dave Dargo, le CTO d'Ingres, il est facile de mettre en avant des économies de quelques centaines de dollars sur le support Linux quand on continue à facturer 35000 dollars pour le support de sa propre base de données. Et Oracle ne court aucun risque que Red Hat vienne riposter sur son terrain. Le code source de son SGBD et de ses logiciels est fermé et les dirigeants de la firme ont confirmé que cela n'était pas près de changer. En attendant, l'action Red Hat plongeait de plus de 10% dans les transactions après la clôture du NASDAQ effectuée par Ellison. (...)

(26/10/2006 17:11:43)

Capgemini se renforce aux Etats-Unis en rachetant l'Indien Kanbay

Capgemini poursuit sa politique d'acquisition en Inde. Un mois après avoir mis la main sur Indigo, filiale d'Unilever, le groupe de Paul Hermelin se paye Kanbay International pour 1,25 Md$. Capgemini se porte ainsi acquéreur de l'ensemble des titres du groupe indien à 29$ l'unité, soit près de 30% de plus que le cours moyen observé lors du mois écoulé. Kanbay est spécialisé dans les services financiers, notamment la gestion de transaction de cartes de crédit, presque exclusivement à destination de clients occidentaux. Cette acquisition permet au spécialiste français du conseil de se renforcer dans le domaine de la finance et du service aux institutions bancaires, un domaine d'activité représentant 22% de la demande mondiale sur le marché IT. Le groupe conduit par Paul Hermelin deviendrait alors le premier acteur, tous pays confondus, sur ce marché. Surtout, l'achat de Kanbay offre l'opportunité à Capgemini de conforter, par ricochet, sa présence aux Etats-Unis. Kanbay y compte en effet 80% de ses clients, les 20% restants étant partagés entre le Royaume-Uni et l'Inde. Parmi ces clients figurent quelques grands noms de la finance, HSBC et Morgan Stanley en tête. L'Inde devient le deuxième pays, en effectifs, de Capgemini L'arrivée de Kanbay dans le giron de Capgemini permet à ce dernier d'accroître considérablement son implantation en Inde : l'ensemble des deux entités représente ainsi environ 12 000 salariés. Le Sous-continent devient par conséquent le deuxième pays en terme d'effectifs pour Capgemini, avec 16% de l'ensemble des employés mondiaux, juste derrière la France et ses 20 000 salariés. Sur les neuf premiers mois de l'année, Kanbay a réalisé un chiffre d'affaires de 294 M$, en hausse de 74% par rapport à l'année précédente, et un bénéfice net de 24,7 M$, stable d'un année sur l'autre. (...)

(26/10/2006 12:08:08)

Trimestriels Amazon : le marché rassuré malgré un bénéfice en berne

Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 2,31 Md$ (+24%) Bénéfice : 19 M$ (-37%) Malgré un bénéfice en net repli au troisième trimestre (-37%, à 19M$) au regard de celui enregistré un an plus tôt, les résultats présentés par Amazon ont largement contribué à rassurer les observateurs. Ceux-ci s'attendaient en effet à des chiffres inférieurs pour la période : alors que le chiffre d'affaires progresse de 24%, à 2,31 Md$, ils tablaient sur des revenus de 2,25 Md$. De même, ils attendaient un bénéfice par action de 0,03$, là où il s'élève à 0,07$. Si le site marchand a vu fondre ses profits, c'est essentiellement en raison de lourds investissements qu'il a dû consentir pour rester à flot sur un marché hautement concurrentiel. Amazon a ainsi consacré près de 240 M$, contre 165 un an plus tôt, pour mettre à niveau la technologie sur laquelle il s'appuie, ainsi que son contenu et son action marketing. Il en a résulté le lancement de nouveaux services comme EC2, la solution destinée aux développeurs, Webstore, l'offre de cyberboutiques réservées aux entreprises, ou Unbox, le service de téléchargement vidéo. Au quatrième trimestre, traditionnellement le plus fort de l'année, le chiffre d'affaires devrait naturellement atteindre un niveau supérieur. Le groupe table sur une progression comprise entre 22 et 32%, soit une fourchette de revenus de 3,62 à 3,95 Md$. De plus, la croissance des investissements devrait ralentir et satisfaire les investisseurs, ces derniers préférant amplement des bénéfices à court terme que des dépenses visant à assurer un avenir radieux. Rassurés, ils le sont, et en témoignent en faisant une haie d'honneur au titre Amazon : sa valeur gagnait plus de 10% sur le Nasdaq dans les heures suivant l'annonce des résultats. (...)

(26/10/2006 12:08:36)

Counterpane de Bruce Schneier racheté par British Telecom

British Telecom vient de racheter le spécialiste de la sécurité des réseaux Counterpane. Avec cette opération, l'opérateur britannique entend répondre à la demande croissante de ses clients en matière de sécurité du système d'information : « tandis que de plus en plus de nos clients cherchent à profiter des opportunités de la globalisation, nous constatons qu'un nombre croissant d'applications critiques est dépendant de la résilience et de la sécurité de leur infrastructure. » Avec Counterpane, British Telecom prévoit d'étendre son offre que ses clients « ont identifié comme des questions clés » et « renforcer ses activités aux Etats-Unis. » De fait, Counterpane va permettre à l'opérateur britannique de disposer d'une offre de services de sécurité hébergés. Le célèbre fondateur de Counterpane, Bruce Schneier, et son PDG, Paul Stich, resteront aux commandes. Counterpane surveille près de 550 réseaux de grandes entreprises à travers le monde. Ses actifs étaient évalués à près de 7 M$ fin 2004, pour un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 20 M$. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué par British Telecom mais il pourrait se compter en dizaines de millions de dollars. (...)

(25/10/2006 17:43:27)

OpenWorld : John Chambers enjoint le DSI d'innover

Suivant l'exemple de Mark Hurd, patron de HP, John Chambers, le patron de Cisco a plaidé devant les participants d'OpenWorld pour plus d'innovation et pour un peu plus de courage de la part des responsables informatiques. "Mon rôle est de bousculer votre façon de penser" a lancé Chambers en expliquant que la plupart des dirigeants informatiques ont une aversion au changement alors que c'est l'innovation qui permet aux sociétés de rester concurrentielles. Prêchant pour sa paroisse, Chambers a explique que de plus en plus l'intelligence du SI résiderait dans le réseau, allant jusqu'à parier qu'une partie des applications, middleware et OS résideraient sur des équipements réseaux, comme c'est déjà le cas pour certains outils de virtualisation de stockage. Chambers a aussi présenté le nouveau système de visioconférence haut de gamme de la marque, baptisé Telepresence. Lancé la veille, Telepresence est un système de visioconférence haute définition (1080P) dont chaque unité est vendue entre 79000$ et 299000$ selon la version. L'installation de tels systèmes à travers ses sites devrait permettre à Cisco "d'économiser 120M$ par an en voyages", a expliqué le patron de Cisco. Et comme, la dernière mode en Californie est à l'éco-responsabilité, la firme ne manque pas de rappeler que Telepresence permettra de réduire de 10% des émissions de CO2 de la marque. Vu le prix du système, il n'est pas sûr que cet argument suffise à séduire les clients. On se souvient ainsi du lancement fin 2005 par HP des studios de visioconférence HALO (500 000$ l'unité). Des studios dont l'adoption est restée confidentielle. (...)

(25/10/2006 17:49:15)

OpenWorld : Mark Hurd veut plus d'innovation dans les budgets informatiques

Les entreprises ne consacrent que 10% de leur budget informatique à l'innovation et les 90% restant à la maintenance de leurs opérations existantes et aux salaires. Pour Mark Hurd, le patron d'HP, cela revient largement à appliquer au quotidien un emplâtre sur une jambe de bois. S'exprimant lors d'un Keynote d'OpenWorld, la conférence utilisateurs Oracle, à San Francisco, Hurd a expliqué qu'il avait découvert une situation similaire lors de son arrivée chez HP. 50% de nos équipes informatiques étaient affectées à des travaux de maintenance de l'existant tandis que l'autre moitié travaillait sur des projets innovants. "Notre objectif est de ramener ce ratio à 20/80 en deux ans" a expliqué Hurd. Selon Hurd, la rationalisation de son informatique va permettre a HP de couper ses coûts mais aussi d'améliorer ses relations et son service aux clients. Et quelle rationalisation ! HP va concentrer sa production informatique sur trois datacenters mondiaux contre 85 aujourd'hui et ramener son nombre de serveurs de 22000 à 14000, réduisant au passage sa consommation électrique de moitié. Cette réduction s'opérera sur des serveurs "standards" (x86 et Itanium en langage HP) et sur des OS tels que Linux. Une autre victime de la concentration va être le nombre de datamarts de la firme. HP entend construire un gigantesque datawarehouse mondial pour unifier ses quelques 762 datamarts actuels. HP va également réduire le nombre de ses applications à 1500 contre 5000 aujourd'hui. "Je pourrai vous faire peur en vous disant combien de fournisseurs nous avons utilisé au cours des deux dernières années" a expliqué Hurd en indiquant que le nombre de ses fournisseurs et de ses partenaires serait largement revu à la baisse : "Nous allons nous concentrer sur un nombre limité de partenaires clés", a-t-il ajouté. Dans cette réorganisation, qui coûtera 1 Md$ sur 3 ans et qui laissera sans emploi une partie des équipes informatiques d'HP, Oracle sera un parrtenaire précieux a indiqué Hurd. Le constructeur californien utilise en effet la base Oracle comme son principal moteur de SGBD et est en passe de standardiser ses instances de bases de données sur Oracle 10g RAC. HP utilise aussi le middleware Fusion d'Oracle au côté de WebLogic et les outils de PeopleSoft pour ses ressources humaines, ainsi que ceux de Siebel pour son CRM. (...)

(23/10/2006 18:02:05)

Plus 6,5% dans le secteur des logiciels et services pour le début de l'année, annonce le Syntec

Reprise d'activité accrue dans l'informatique : le Syntec Informatique (chambre professionnelle des SSII et des éditeurs de logiciels) indique une hausse de 6,5% au premier semestre 2006 par rapport à la même période l'an dernier, dans le secteur des logiciels et services. Son président, Jean Mounet, ose même augurer « une croissance comprise entre 6,5% et 7,5% sur l'année 2006 ». La plus forte progression pourrait être réalisée dans le domaine du conseil (entre 7% et 8%). Ces données sont dans la haute moyenne européenne (de 5% à 7%). « Seuls les Pays-Bas à égalité avec l'Espagne font mieux (7%-9%) », indique-t-on du côté du Syntec, sans omettre toutefois d'évoquer les Etats-Unis qui devraient connaître une croissance dans une fourchette de 7,5% à 8,5%. Quant à la Chine et l'Inde, elles sont toutes deux classées hors catégorie avec une augmentation annuelle de 20%, prévue jusqu'en 2010. 10 000 créations nettes d'emploi en 2006 « La croissance est fondée sur une reprise de l'investissement IT des entreprises », analyse Jean Mounet. Cette bonne santé économique doit être mise en corrélation avec le redémarrage de nombreux projets, après les années noires qui ont suivi l'explosion de la bulle Internet. Conséquence directe : un recrutement en forte hausse - confirmé par l'APEC. Ainsi, le Syntec prévoit 40 000 créations d'emplois dont 10 000 nettes sur l'ensemble de l'année 2006. La moitié de ces offres concerne des Bac+5 et près d'un quart des jeunes diplômés entreraient dans le domaine des L&S. Aucun secteur de l'informatique n'est à la traîne, même si, une autre conséquence inhérente à ce nouveau cercle vertueux se profile : dans cette véritable « guerre des talents » que se livrent les entreprises, faire venir les meilleurs peut poser quelques soucis. Selon le Syntec en effet, deux tiers des entreprises déploreraient avoir des difficultés à recruter. Dans le même temps, plus de 30 000 informaticiens issus du secteur L&S sont encore au chômage (ils étaient plus de 51 000 en 2003)... (...)

(23/10/2006 18:05:48)

OpenWorld : Oracle toujours avide d'acquisitions

En ouverture de la conférence utilisateurs Oracle OpenWorld à San Francisco, Charles Phillips, le président d'Oracle, a justifié la politique d'acquisitions de l'éditeur (plus de 20 ces deux dernières années). Histoire de rassurer ceux que ces dépenses somptuaires inquiéteraient, Charles Phillips a indiqué pouvoir se le permettre, dans la mesure où, vu sa taille, Oracle peut élargir aisément la base d'utilisateurs de tel ou tel produit qu'il rachète. C'est typiquement ce qui devrait se passer avec l'acquisition annoncée aujourd'hui de MetaSolv Software (pour 219 M$), éditeur d'un outil d'activation de services et de ressources pour les opérateurs. En outre, a souligné Charles Phillips, le système back-office d'Oracle serait suffisamment flexible pour intégrer facilement ses proies. Quant à la justification de ces achats, Oracle estime que cela complémente sa R&D, et lui fournit « des experts de l'industrie ayant des dizaines d'années d'expérience ». (...)

(23/10/2006 14:40:56)

Bruxelles approuve le rachat de Mercury par HP

La Commission européenne vient de donner son feu vert au rachat de Mercury par Hewlett-Packard. Bruxelles estime que le rapprochement n'est pas susceptible d'avoir d'effet négatif sur la situation concurrentielle, bien que les offres des deux éditeurs en matière de gestion des performances applicatives soient partiellement redondantes. Hewlett-Packard a annoncé en juillet son intention de racheter Mercury, un spécialiste des outils du management du SI, des outils de performance applicative et des outils de gestion de la qualité logicielle pour 4,5 Md$. Ce rachat doit conforter l'offre logicielle OpenView dans des secteurs jusqu'alors mal couverts par HP, tels que la qualité des logiciels, la gestion du cycle de vie des applications et les SOA (au travers du rachat de Systinet). Reste que l'offre de HP sur Mercury n'a pas encore su convaincre tous ses actionnaires. Hewlett Packard vient en effet de se voir contraint de proroger son offre de deux semaines, au 27 octobre prochain. (...)

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