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(28/09/2006 17:50:36)

Bull rachète la SSII française Agarik

Bull a annoncé aujourd'hui le rachat d'Agarik, une petite SSII spécialisée dans l'hébergement et l'infogérance. Créée en 1997, Agarik emploie près de 30 collaborateurs et a réalisé un CA de 5,2 ME en 2005. La société, qui compte parmi ses clients SFR, Canal+ et Dassault Systèmes, est selon Bull reconnue pour son expertise technique et pour la qualité et la disponibilité de ses services. Les salariés d'Agarik devraient intégrer la division infogérance de Bull. Le montant du rachat n'a pas été précisé par le constructeur informatique français. (...)

(28/09/2006 17:53:45)

HP : la chambre des représentants débute ses auditions

La Chambre des représentants à commencé, via la sous-commission de l'énergie et du commerce, ses auditions visant à faire la lumière sur l'espionnage mis en place par HP. Au total, 14 personnes devraient être entendues, dont Mark Hurd, Patricia Dunn et Ann Baskins, respectivement PDG, présidente démissionnaire du conseil d'administration, et directrice juridique. Cette dernière vient également de remettre sa démission après 24 ans passés chez HP. "Elle a placé les intérêts de HP au-dessus des siens et cela doit être souligné", a commenté Mark Hurd, qui n'a pas (encore) abandonné ses fonctions et qui, selon un membre du conseil d'administration, bénéficierait du soutien de l'ensemble des administrateurs. A leurs côtés, la chambre des représentants a appelé à témoigner plusieurs représentants d'agences de détectives, censés apporter leur éclairage sur les méthodes utilisées dans leurs enquêtes. Dans sa déposition, Mark Hurd estime que "l'équipe enquêtrice s'est tellement focalisée sur les sources des fuites qu'elle en a perdu de vue le respect de la vie privée des journalistes. Elle a perdu de vue les valeurs que HP a toujours représentées". Alors que le degré d'implication du PDG dans les opérations d'espionnage mises en place n'est pas clairement établi, celui-ci s'est "engagé à ce que HP prenne toutes les mesures nécessaires pour qu'une telle chose ne se reproduise jamais". Patricia Dunn, de son côté, pensait que l'enquête sur les fuites était légale, a-t-elle indiqué dans sa déposition. Mais s'il est important de faire la lumière sur les viles méthodes employées par les détectives, Patricia Dunn estime qu'une attention équivalente doit être consacrée aux fuites elles-mêmes. Et l'ex-présidente du conseil d'administration de rappeler que des informations cruciales avaient été révélées impudemment, comme le remplacement prévu de Carly Fiorina, la précédente directrice générale. "Si vous étiez candidat au poste de DG, voudriez-vous travailler pour une société dont le conseil d'administration n'est pas capable de garder des informations confidentielles", s'interroge-t-elle, justifiant par là même à demi-mot l'espionnage mis en place. La SEC, le gendarme de la bourse américaine, et l'Etat de Californie ont également ouvert des procédures relatives aux méthodes employées par HP. (...)

(28/09/2006 17:52:09)

Sopra bétonne la division de sa division Business Consulting

La SSII Sopra renforce sa division Business Consulting en nommant sept nouveaux membres de l'équipe dirigeante, sous l'égide de James Daly, le directeur de la branche. "Dans le cadre de notre développement et pour répondre aux besoins croissants de nos clients, nous avons décidé de renforcer nos équipes et comptons continuer dans cette direction en portant nos effectifs de 100 à 500 personnes d'ici à fin 2010", explique James Daly. Pour accompagner ce développement, Sopra a recruté Jean-Bernard Nonnon, un ancien de Cap Gemini et de BT Consulting, à la direction de l'activité Business Intelligence. Il sera rejoint par Sandrine Salaün à la DRH ainsi que par Philippe Héaulmé, Richard Wolff et Thierry Biyoghé qui deviennent respectivement directeurs des activités Oracle, SAP et Peoplesoft. Stéphane Berger s'occupera de l'activité architecture et solutions collaboratives et François Ducrot dirigera la branche CRM. (...)

(28/09/2006 17:51:07)

Refroidissement liquide : IBM va licencier sa technologie

IBM va licencier sa technologie de refroidissement liquide pour racks de serveurs à Panduit, un fabricant américain de systèmes de câblage pour les datacenters. Lancé l'an passé, l'IBM Rear Door Heat eXchanger est un panneau à refroidissement liquide d'environ 15 cm d'épaisseur qui s'installe sur l'arrière d'un rack dans un centre de données et optimise son refroidissement. Selon IBM, le système permettrait de réduire de près de 55% la quantité de chaleur dissipée dans le datacenter, diminuant d'autant les besoins en climatisation. L'échangeur de chaleur de Big Blue fait partie de la famille CoolBlue dont l'objectif est de permettre une meilleure gestion de la dissipation thermique dans les datacenters. Selon IBM, le recours au refroidissement liquide est la conséquence de la densité croissante des serveurs x86, mais aussi un moyen de réduire les coûts de climatisation. Les technologies de refroidissement liquide sont en effet très efficaces par rapport à leur coût. Michael Bell, un analyste de Gartner, souligne toutefois la grande réticence des responsables de datacenter à réintroduire de l'eau dans leurs centres, du fait notamment de leurs craintes de dégâts en cas de fuite. Mais, selon lui, le retour de l'eau dans les datacenters est inévitable du fait de la hausse continue des factures d'électricité pour le refroidissement par air des grands centres informatiques. Bell note ainsi que le refroidissement d'un serveur coûte désormais presque aussi cher que son acquisition. IBM n'est d'ailleurs pas le seul à s'intéresser au refroidissement liquide. HP a lancé son propre système pour ses racks serveurs en janvier et Egenera a dévoilé le même mois sa solution CoolFrame basée sur la technologie de refroidissement X-Treme Density de Liebert, une filiale d'Emerson Electric. (...)

(28/09/2006 12:24:49)

Semestriels Neurones : la rentabilité en berne

Résultats premier semestre Chiffre d'affaires : 61,4 M€ (+14%) Résultat net : 2,4 M€ (-13%) La SSII Neurones a conclu son premier semestre sur une croissance de son activité mais une rentabilité en recul. Pour les six premiers mois de son exercice fiscal 2006, Neurones voit son chiffre d'affaires atteindre 61,4 M€, soit une progression de 14%, dont 9,6% en organique. Sur les chiffres communiqués par le groupe, seuls les revenus s'affichent en hausse. Le résultat opérationnel perd 17%, à 3,4 M€. Cela représente une marge opérationnelle de 5,5%, contre 7,7% pour la même période de l'année précédente. Neurones explique cette contre-performance par "la forte hausse des effectifs (+132 personnes net)" au cours du semestre. Une campagne de recrutement réalisé "en avance de phase" et qui a donc finalement pesé sur la profitabilité. Le résultat net s'en ressent également : il perd 13%, à 2,4 M€. La suite de l'exercice devrait toutefois être moins douloureuse. Le groupe prévoit en effet que la saisonnalité, traditionnellement favorable à la deuxième moitié de l'année, devrait conduire à une amélioration de la marge opérationnelle. Neurones confirme sa précédente estimation de chiffres d'affaires pour l'ensemble de l'exercice ; les revenus devraient s'établir entre 125 et 130 M€ pour une résultat opérationnel compris entre 6,5 et 7%. La bourse ne semble pas convaincue par l'optimisme de la SSII. Le titre Neurones entame, ce 28 septembre, sa troisième séance de chute consécutive. (...)

(28/09/2006 10:59:02)

Les opérateurs mobiles se mettent à la portée des handicapés

Le travail des opérateurs auprès des handicapés avance doucement mais sûrement. Tel était le ton donné hier à l'occasion du premier bilan de la Charte signée en mai 2005 qui stipulait une série d'engagements à suivre pour mettre le mobile à la portée des handicapés. L'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), l'Association française des opérateurs mobiles (AFOM) qui réunit les trois grands opérateurs et cinq opérateurs virtuels et le délégué interministériel aux Personnes handicapées Paul Chamsaur ont salué le dialogue instauré entre les professionnels et les associations de personnes handicapées pour cerner les besoins des handicapés. Et si bien du chemin reste à parcourir notamment pour mieux informer les consommateurs des offres et produits adaptés à leurs handicaps, des mesures concrètes ont été appliquées. Des téléphone compatibles avec chaque handicap ont été sélectionnés. On peut les identifier par des pictogrammes sur les sites Web des opérateurs. Un handicapé moteur a par exemple besoin d'un téléphone à dos plat pour tenir sur l'accoudoir de son fauteuil, solide en cas de chute ou avec la fonction décroché depuis n'importe quelle touche. La visiophonie à la place de la voix Des contenus spécifiques ont également été distingués. Sur le principe de la compensation, les opérateurs ont estimé que les malvoyants devaient bénéficier gratuitement d'un logiciel de vocalisation, a expliqué un responsable de l'AFOM lors d'un entretien téléphonique. Cette offre, déjà effective chez SFR, Bouygues Telecom et Orange, ne l'est pas encore chez les opérateurs virtuels, précise ce même responsable. Parmi les offres tarifaires dédiées, les usagers peuvent bénéficier d'un forfait visiophonie au prix de la voix ou de forfaits SMS spéciaux. Enfin, les trois opérateurs fournissent des factures en braille ou en caractères agrandis sur simple demande. Doucement mais sûrement donc, le secteur tente de s'adapter aux handicapés malgré l'absence des constructeurs qui ne se sont pas encore engagés. (...)

(27/09/2006 12:25:59)

L'intégration de JBoss met Red Hat à la peine

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 99,7 M$ (+52%) Bénéfice net : 11 M$ (-34%) Les résultats publiés par le spécialiste de l'Open Source Red Hat au deuxième trimestre - ainsi que la décision du groupe de revoir à la baisse ses objectifs pour l'année - ont déçu les analystes et les investisseurs. Si les revenus atteignent 99,7 M$ et progressent de 52% sur un an, le bénéfice net affiche une tendance différente : il s'écroule de 34%, à 11 M$ aux normes Gaap. La raison de cet effondrement tient, selon Red Hat, à des changements de méthodes comptables entre les exercices 2006 et 2007. A données comparables - c'est-à-dire sans référence aux normes Gaap - le bénéfice progresserait de 34%, à 23,7 ME. Pour la suite de l'exercice, Red Hat révise ses précédentes estimations à la baisse et table désormais sur un flux de trésorerie compris entre 210 et 215 M$ (contre 225 à 235 M$ jusqu'alors). Une baisse due, selon le directeur financier Charlie Peters, aux dépenses liées à l'intégration de JBoss, acquis en avril 2006. Cette acquisition a également contraint le groupe à consacrer beaucoup de temps à la formation des forces de vente aux produits JBoss. Autant de temps non consacré à la vente effective. Mais la bourse est cruelle et n'a cure de ces explications : le titre a décroché de près de 15% à New-York. (...)

(27/09/2006 09:29:07)

Devoteam s'offre deux SSII et étend sa présence en Europe

Devoteam poursuit son expansion en Europe en se payant successivement Tertio et Guidance, situés en Angleterre et au Benelux. Tertio Service Management Solutions est spécialisé dans l'administration du SI. Le Britannique - 5,8 M£ en 2005 et 40 salariés - compte parmi ses clients plusieurs grands comptes comme T-Mobile, Euronext ou encore Siemens. Il rejoint Guidance dans le giron de Devoteam, un spécialiste du conseil, de l'intégration et de la formation implanté en Belgique et au Luxembourg. Avec 120 salariés, Guidance vient doubler la taille de Devoteam au Benelux et ajoute 13 ME de CA annuel (données 2005) à sa désormais maison-mère. Il apporte également ses compétences .Net - Guidance est partenaire Gold de Microsoft - Citrix et ITIL. (...)

(27/09/2006 09:28:41)

Vivendi propose 2,5 MdE pour PTC

Vivendi vient de proposer à Deutsche Telekom de lui racheter sa participation dans l'opérateur polonais Polska Telefonica Cyfrowa (PTC) pour 2,5 MdE. Si elle est acceptée, cette offre pourrait marquer la fin d'une querelle vieille de près de sept ans. Pour autant, l'opérateur allemand n'a pas encore répondu à l'offre de Vivendi. En 1999, Vivendi est entré au capital de PTC par le biais d'une co-entreprise fondée avec Elektrim. La prise de contrôle de la participation d'Elektrim au sein de PTC - 48 % - par Videndi pour 1,8 MdE a été invalidée en 2004 par un tribunal de Vienne : la scession avait eu lieu sans l'accord de Deutsche Telekom. Le tribunal autrichien a accordé à l'opérateur allemand une option sur la participation d'Elektrim au capital de PTC. Deutsche Telekom revendique aujourd'hui 97 % du capital de PTC, après avoir levé cette option en juin dernier. De son côté, Vivendi ne reconnaît pas les conclusions du tribunal de Vienne et revendique 51 % du capital de PTC. Si Deutsche Telekom accepte l'offre de Vivendi, ce dernier soldera enfin ce litige et renforcera sa présence sur le marché polonais, un marché doté d'un fort potentiel de croissance. (...)

(26/09/2006 17:47:57)

DivX séduit Wall Street

La société américaine DivX Networks, fondée en 2000 par le Français Jérôme Rota et éditrice du célèbre codec vidéo, vient de faire son entrée à la bourse de New-York. Et l'engouement que suscite le titre dépasse toutes les prévisions au premier jour de cotation. Alors que les dirigeants espéraient une cotation comprise entre 12 et 14 $, le titre a entamé la journée à 16 $ pour la conclure à 18,7 $. Les investisseurs ont été enthousiasmés par la bonne santé de l'entreprise. Plus de 180 millions de copies du codec ont été téléchargées au cours des quatre dernières années, dont 50 millions durant les douze mois écoulés. En 2005, DivX Networks réalisait 29,3 M$ de chiffre d'affaires et 2,3 M$ de bénéfice. Des chiffres qui devraient être largement dépassés en 2006 : pour le seul premier semestre les revenus atteignent 27,2 M$ et le bénéfice s'aligne à 5,9 M$. Le groupe réalise l'essentiel de ses revenus - environ 70% - en vendant ses licences pour embarquer le format DivX à des constructeurs d'appareils grand public (lecteurs DVD, lecteurs multimédia, camescopes, etc.). (...)

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