Flux RSS

Carrière

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2022 documents trouvés, affichage des résultats 1561 à 1570.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(22/03/2007 14:10:20)

Une vague de formations branchées systèmes d'information dans les écoles de gestion

Avis aux informaticiens. Une vague de renfort, du côté de leurs interlocuteurs en maîtrise d'ouvrage, est en train de se préparer, à en croire divers cursus annoncés pour la prochaine rentrée ou déjà lancés dans les écoles de gestion. Ainsi, le 28 mars prochain, le centre de recherche en management et organisation (Crepa) de l'Université Paris Dauphine et l'intégrateur CSC signent un partenariat pour l'organisation d'un master «Consulting & ERP» dont la première promotion sera accueillie en septembre 2007. A la clé, pour les étudiants, une garantie de débouché immédiat parmi les équipes de déploiement de progiciels de gestion intégré de CSC en France ou ailleurs. A Grenoble Ecole de Management, qui organise déjà, avec l'EMSI (Ecole de management des systèmes d'information), plusieurs mastères spécialisés (informatique décisionnelle, conduite de projets SI), a été lancé le 27 février dernier le réseau français de Discontinuous Innovation Lab (DIL) : un réseau international de chercheurs et de managers branchés sur l'innovation de rupture (modèles économiques, procédés et services nouveaux, etc.). Au sein du même groupe, Sup de Co Grenoble propose un mastère spécialisé « Manager agile » (management de la performance, management de la ressource organisationnelle, etc.) en formation à temps partiel (trois jours par mois, pendant quinze mois). De plus, la formation d'ingénieur en management technologique organisée en collaboration avec l'INPG (Institut National Polytechnique de Grenoble) et en formation continue (accès en VAE, validation des acquis de l'expérience) a reçu le 16 janvier 2007 un avis favorable pour habilitation par la commission des titres d'ingénieur. A Nancy, l'ICN lance en septembre 2007 un « master of sciences » accrédité par la conférence des grandes écoles, préparant au métier de l'audit, et fondé sur une collaboration transfrontalière avec les écoles de gestion de l'Université de Liège et du Luxembourg. L'ESC de Toulouse qui, de même, s'était alliée le soutien de Syntec Conseil en Management pour ouvrir en septembre dernier, un MBA de Consulting, s'est également dotée cette année d'une chaire en « e-management », avec le soutien actif d'IBM. Enfin, la plupart des Sup de Co pratique désormais plus ou moins largement la formule de l'apprentissage (ouverte pour les trois années du cursus à l'Inseec de Bordeaux et de Paris, à l'ESC Montpellier). De quoi donner aux futurs cadres une vision du fonctionnement de l'entreprise, notamment dans sa composante système d'information et usages des SI. A Reims, cette volonté d'innovation pédagogique (Reims Management School) est tout aussi manifeste avec notamment 350 étudiants en apprentissage (en seconde année d'étude) et autant d'entreprises partenaires du CFA (centre de formation par apprentissage), ainsi que trois chaires d'enseignement et de recherche (Auchan, Champagne, Crédit Agricole Nord-Est). Cette dynamique d'ouverture trouve prolongation, le 29 mars 2007, avec l'officialisation du lancement de la Fondation RMS qui devrait, grâce aux avantages de ce statut, permettre le lancement de nouvelles chaires et l'extension de l'attribution de bourses, notamment pour les étudiants étrangers. (...)

(21/03/2007 16:59:19)

NetAcad, le programme de Cisco destiné à mettre les TIC à la portée de tous

NetAcad, programme de formation de Cisco, veut s'inscrire dans une initiative de développement durable par l'emploi en marquant son soutien des femmes d'Europe Centrale et de l'Est, du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Amérique du sud. Lors de la journée internationale de la femme, le 8 mars dernier, Cisco a développé plusieurs initiatives allant dans ce sens : la maison numérique et les petites entreprises (partenariat entre sa filiale Linksys et le Women's College de Dubaï afin de favoriser la compréhension des technologies et le développement des projets entrepreneuriaux) ; le projet « F-email » pour aider les femmes de Hongrie, de Serbie et de Turquie en recherche d'emploi, à développer leurs compétences en informatique. Enfin, les activités menées de concert avec le Fond de développement des Nations Unies pour la femme (Unifem) en Afrique et au Moyen-Orient pour favoriser la formation des jeunes femmes aux technologies qui ont permis de créer 34 académies dans lesquelles plus de 500 femmes ont reçu une qualification. Des partenariats avec les pouvoirs publics en France pour lutter contre « la pénurie d'ingénieurs réseaux à venir » NetAcad, lancé en 1997 aux USA, est un projet original : à but non lucratif et sans obligation de rejoindre Cisco à l'issue de la formation, il est destiné à « pallier la pénurie d'ingénieurs réseaux à venir ». D'où sa présence en France depuis 2000. Il offre la possibilité aux étudiants ou à des personnes en reconversion d'acquérir les connaissances nécessaires pour concevoir, mettre en place et maintenir un réseau informatique. NetAcad, qui se veut une école de reconversion professionnelle, a signé en France des partenariats avec le ministère de l'Education nationale, notamment avec des lycées (Léonard de Vinci à Melun, Ampère à Marseille, Jacques Prévert à Combs la Ville), universités (Luminy à Marseille, Toulouse, Nancy), IUT (Nancy, Valence), écoles d'ingénieurs (Centrale Paris, Lille, Supinfo) ainsi qu'avec les Greta (Groupements d'établissements publics locaux d'enseignement) et le Cnam (Conservatoire national des arts et métiers). D'autres accords ont été conclus avec l'Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), l'Afpi (Association de formations professionnelles de l'industrie) et des programmes de formation pour les TPE sont mises en oeuvre. Directeur de programme NetAcad, Christophe Dolinsek souligne que cette formation « est généraliste, qu'elle ne se fait pas seulement sur du Cisco. Elle se donne pour objectif de favoriser l'employabilité des jeunes et des moins jeunes. D'après une étude d'IDC, le différentiel entre l'offre et la demande sur les nouvelles technologies est de 16%, ce qui représente 40 000 personnes à former environ. Notre ambition est de poursuivre notre action, nous allons lancer d'autres cours, notamment sur les réseaux sans fil pour attirer davantage de monde. » En 2007, avec près de 14 000 étudiants répertoriés dans l'Hexagone (en progression de 15% par rapport à l'année dernière), au sein de 268 académies dont 50 à Paris, NetAcad qui s'inscrit dans une démarche d'emploi durable commence à être (re)connu par les institutions et ceux qui veulent évoluer dans les nouvelles technologies. (...)

(20/03/2007 17:00:54)

Dix mesures pour l'industrie française du jeu vidéo

Considérée comme une activité pionnière, qui défriche et popularise à la fois des avancées technologiques (la 3D, la modélisation, etc.) et des usages (comportements sociaux, réactions aux interfaces), l'industrie de la production et de l'édition de jeu vidéo a fait l'objet, à la demande du ministère de l'Industrie d'une étude de l'Idate visant à cerner les caractéristiques de la R&D de ce secteur : ses forces, ses faiblesses, ses risques et les opportunités de développement dans la compétition internationale. Sachant que la France se situe à la troisième place européenne pour cette activité (derrière le Royaume-Uni et l'Allemagne) avec près de 330 entreprises et 2500 emplois directs. Cet état des lieux a été présenté au ministère et aux professionnels concernés le 13 mars, avec une dizaine de préconisations que le ministère s'engage à prendre en compte rapidement, dès 2007. Après quelques mesures phares - comme le crédit d'impôt accordé aux éditeurs de jeu vidéo, la création d'un fonds d'aide à l'édition multimédia, le financement d'un réseau thématique ou encore la labellisation de deux pôles de compétitivité dédiés et de certains de leurs projets, finances à l'appui -, l'état des lieux de l'Idate montre en effet que ce secteur, bien que dynamique, reste particulièrement fragile. La concurrence est vive et certaines politiques publiques se montrent particulièrement volontaristes (au Canada, aux Etats-Unis, en Corée, en Chine) pour soutenir leurs acteurs nationaux. De plus, pour ce secteur soumis à des contraintes technologiques fortes, imposées notamment par les fabricants de terminaux, dont la R&D est encore peu structurée, faiblement collaborative entre industriels et avec les autres secteurs, et où les investissements en R&D ont tendance à se confondre avec les coûts de développement, il est quasiment vital de rechercher une certaine mutualisation de ces efforts. D'où les préconisations mises en avant par l'Idate : encourager les processus de standardisation ; soutenir la R&D des outils et processus communautaires ; développer une culture commune entre l'industrie et la recherche ; s'assurer de l'adéquation de la formation aux besoins des entreprises et de la recherche ; mettre en place une réflexion collective sur jeu vidéo et cultures... Parmi la dizaine de recommandations ainsi listée, le ministre François Loos a retenu dès à présent l'objectif concret de mettre en place un observatoire des marchés et des usages et un « Think tank » dédié au jeu vidéo. Au delà des mécanismes de soutien et de mutualisation générés par les deux pôles de compétitivité (Cap Digital en Ile-de-France et Imaginove en Rhône-Alpes) et par le réseau de recherche thématique Riam (Recherche et innovation en audiovisuel et multimédia), ce « nouveau » dispositif (observatoire, lieu d'échange) fédérateur devrait être présenté à Bercy, avec sa feuille de route, « dans les tous prochains mois », dixit le ministre. Autre suggestion retenue, pour une mise en pratique dès que possible, l'organisation d'un « carrefour annuel de l'innovation » destiné à valoriser la recherche, la formation et l'innovation industrielle des diverses branches du secteur. Affaire à suivre. Sur le même sujet : - L'adoption officielle, en février 2007, du crédit d'impôt pour les éditeurs de jeux vidéo -L'industrie des jeux vidéo dessine l'informatique de demain (...)

(20/03/2007 16:50:14)

Plus d'écologie au bureau souhaité par 82% des employés français

Avec une moyenne de 35 pages imprimées par jour par salarié, les bureaux français consomment moins de papier que leurs voisins méridionaux (43 pages pour les italiens et les espagnols) et septentrionaux (40 pages pour les britanniques et les allemands). Selon une étude commanditée par Lexmark, fournisseur de solutions d'impression, les mentalités ont effectivement évolué quant à la nécessité de prendre en compte l'impact de l'activité quotidienne au bureau sur l'environnement. Selon l'enquête, réalisée par Ipsos auprès d'un échantillon de 500 employés français (7100 salariés dans neuf pays d'Europe), dans l'Hexagone, plus de huit salariés sur dix estiment déjà adopter un comportement écologique au bureau. Ainsi, 88% d'entre eux disent lire souvent leurs e-mails et autres documents à l'écran plutôt que de les imprimer. Et 90% d'entre eux disent éteindre la lumière en quittant leur bureau, ainsi que leur ordinateur et leur écran. Des employeurs mis en cause Pourtant, une bonne part des personnes interrogées remarque que leur entreprise ne leur facilite pas la tâche. 46% d'entre elles avancent que leur employeur ne se préoccupe pas plus du gaspillage de papier que de la «chasse au gaspi » énergétique. Ce qui tranche avec le constat des employés allemands et britanniques qui se révèlent moins critiques quant à l'attitude de leur employeur, alors que deux tiers d'entre eux affirment que leur entreprise prend le gaspillage de l'énergie (65%) et du papier (62%) très au sérieux. La palme de la sensibilité « écolo », tant au bureau que sur le plan domestique, revenant selon cette étude aux Autrichiens. En France, 38% des salariés pensent que le passage à la pratique peut relever de mesures gouvernementales (ou de l'Union européenne) qui incitent voire contraignent à changer les méthodes de travail. Près d'un tiers (29%) estiment que les constructeurs devraient jouer un rôle plus important dans l'information des employés de bureau en les informant sur ce qu'ils doivent acheter et pour quelles raisons. Concernant l'aspect sécurité du comportement à l'égard de l'impression, selon une autre étude présentée le 6 mars par Lexmark à l'occasion d'une présentation sur son site francilien de Suresnes, (étude TNS Sofres, septembre 2006), 60% des salariés admettent qu'il leur est arrivé, au moins une fois d'oublier ou de trouver un document sensible sur une imprimante réseau. De plus, 80% d'entre eux reconnaissent que leur réputation peut souffrir de cet oubli et 20% avouent que cela peut leur coûter leur emploi. Les documents sensibles les plus fréquemment trouvés sur une imprimante sont des informations personnelles sans rapport avec le travail (63%, contre 21% des informations confidentielles sur les clients et 5%% des informations relatives à l'entreprise). (...)

(19/03/2007 17:02:02)

Ecoles d'ingénieurs : mutualiser ses forces pour rester dans la course

Par un drôle de paradoxe, d'un côté le secteur de l'informatique est extrêmement tendu et les prévisions osent chiffrer 600 000 informaticiens à horizon 2015, de l'autre les jeunes diplômés sont très recherchés mais il y a pléthore de formations dont certaines semblent souffrir. Deux raisons majeures peuvent être avancées : une rude concurrence entre les écoles et la désertion annoncée des jeunes qui conduit le Syntec Informatique à promouvoir l'image des métiers de l'informatique dans une campagne intitulée « changeursdemonde ». Lors de son lancement, Thierry Siouffi, vice-président du Syntec Informatique, a martelé « qu'il fallait en finir avec l'image de l'informaticien », représenté dans l'imaginaire collectif comme solitaire, voire autiste... L'heure semble donc relativement préoccupante pour qu'au moins deux écoles de renom et d'expérience, l'Esigetel (Ecole supérieure d'ingénieurs en informatique et génie des télécommunications), et Supmeca pensent aux meilleurs moyens pour se démarquer et parviennent à une conclusion similaire à l'issue d'une réflexion qui a commencé en 2006 : rester seule revient à se condamner à disparaître.

Des filières suivant l'évolution de l'emploi


L'Esigetel a fêté ses 20 printemps quelques mois après avoir fait le choix de se constituer en association. Son directeur Nacef Berkoukchi en a profité pour dessiner l'avenir en quatre axes : formation ; rayonnement international ; recherche appliquée ; ancrage avec les entreprises. « En termes de formation, nous réfléchissons aux nouvelles filières qui suivent l'évolution de l'emploi. 60% de nos cours sont assurés par des professionnels, nous allons proposer deux masters spécialisés en 2010 qui concernent les réseaux et télécoms ainsi que les services. » L'Esigetel n'est pas encore adhérente à la Conférence des Grandes Ecoles mais elle met tout en ?uvre pour entrer dans ce cercle très fermé et suit à la lettre les préconisations du rapport Hetzel et des ministres de l'Enseignement supérieur et de la Recherche d'une part et de l'Industrie d'autre part, qui ont pris conscience des lacunes de la recherche française et multiplient les actions en ce sens : François Loos (ministre de l'Industrie) a annoncé vouloir donner une visibilité internationale aux écoles des Mines et avec François Goulard (ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche), ils ont signé un contrat quadriennal avec l'Inria. Au-delà des symboles, les ministres ont rappelé l'importance d'une visibilité sur le plan international d'une part, et d'autre part, la nécessité de rapprocher davantage encore les entreprises du secteur high-tech des écoles ou des universités pour mutualiser la recherche en vue d'être performantes et innovantes.

Rapprochement avec les entreprises


Sur le premier point, Nacef Berkoukchi annonce « vouloir faire venir davantage d'Erasmus à l'Esigetel et qu'en 2010, 30% de nos étudiants soient trilingues, étape nécessaire pour rayonner dans le monde. Aujourd'hui, tous nos étudiants doivent faire un stage à l'étranger mais ces stages sont malheureusement encore trop courts. » Quant au rapprochement avec les entreprises, le directeur souligne la nécessité « d'accentuer l'implication des entreprises du 77. Nous allons également lancer un contrat en alternance et créer un club de partenaires autour des métiers émergents. » Dernier axe, la recherche. « L'Esigetel est membre du polytechnicum de Marne-la-Vallée. Nous sommes également partenaires avec l'université de Marne-la-Vallée pour que nos élèves puissent obtenir des licences en informatique ou en électronique par équivalence. Nous souhaitons que 10% de nos étudiants soient inscrits en thèse de doctorat en 2012 et allons poursuivre des partenariats avec des laboratoires de recherche. Nous avons 12 personnes en recherche appliquée et l'ambition de monter ce chiffre à 24 en 2012 », conclut Nacef Berkoukchi.

Des synergies dans l'aéronautique et l'informatique


L'enthousiasme du directeur de l'Esigetel est partagé par Supmeca (Institut supérieur de mécanique de Paris, un demi-siècle cette année) et l'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information). Le rapprochement des deux écoles a été officialisé en avril 2006 dans le but de créer, à terme, un INP (Institut National Polytechnique). D'ailleurs, à la rentrée 2007, l'Eisti intègrera le même concours que Supméca (Concours Communs Polytechniques). L'opération s'avère « une opération très réussie » pour les deux parties qui ont échangé et partagé leurs compétences pour proposer à leurs étudiants une plus grande diversité de formations et d'opportunités à l'international. Elle a également permis d'effectuer des travaux de recherche pointus dans le domaine de l'aéronautique, à la demande d'un acteur issu de l'industrie aéronautique française. Associées à l'Ensea (Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications), Supméca et l'Eisti ont collaboré à la réalisation d'un système de commandes électriques destiné aux avions de tourisme. Le prototype devrait être présenté au Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace de Paris (le Bourget du 18 au 24 juin 2007). Enfin, le rapprochement a permis une meilleure coopération en matière d'enseignements informatiques : les étudiants de Supméca ont suivi des cours dispensés par les enseignants de l'Eisti sur des thématiques non enseignées à Supméca (l'option « ingénierie financière » est prévue pour 2008) et de leur côté, les élèves de l'Eisti se verront proposer la possibilité de suivre les options « systèmes de production » et « mécatronique » qu'ils pourront suivre à Supméca. (...)

(19/03/2007 17:00:15)

Les crèches d'entreprises et le coaching pour se sentir mieux au travail

Les analyses sur le management se multiplient au même rythme que les salons qui réunissent les professionnels du recrutement, et une tendance semble se dégager : faire le bonheur du salarié dans l'entreprise afin qu'il soit plus performant ! Cette évidence revêt plusieurs aspects : pour Futur Telecom, opérateur télécom spécialisé sur le marché des entreprises qui s'est installé à Marseille en 2001 et compte aujourd'hui plus de 100 salariés, cela passe par une participation à la crèche inter-entreprise du pôle d'affaires Euroméditerranée. Futur Telecom anticipe une situation qui existe - comment faire garder un enfant non-scolarisé lorsqu'on travaille - mais qui risque de s'aggraver dans les prochaines années, en raison de l'évolution démographique, du taux d'activité croissant des deux parents, de la constante progression du travail en horaires décalés et de l'augmentation des familles monoparentales. Autre initiative : une prime de 500 E que L4-Logistics (éditeur de solutions logicielles et prestataire logistique pour le e-commerce, la VAD et les réseaux de distribution) donnera à ses salariés qui ont arrêté de fumer (49% de fumeurs sur un site de 85 collaborateurs au total), suite à l'opération « Ensemble contre le tabac ». Cette initiative vise à accompagner les salariés qui souhaitent arrêter la cigarette dans le cadre de l'adoption du décret sur le tabac entré en vigueur le 1er février 2007. Quant à Horses Coaching, cette structure propose tout simplement de manager un cheval pour mieux manager ensuite les hommes dans l'entreprise. C'est, selon ses dirigeants, « une expérience vivante où le cheval intervient comme un révélateur fiable des comportements, un effet miroir. Il s'agit ni plus ni moins d'utiliser les capacités du cheval à percevoir et à réagir de manière immédiate aux attitudes de leader en instituant un rapport de confiance et en gommant tout sentiment de défiance ou d'appréhension ! Et contrairement au chien... il ne s'agit pas de rapport dominant/dominé ! » Tous ces apports semblent montrer une innovation des cabinets de conseil et de coaching qui anticipent la démotivation des salariés et tentent de la juguler ! (...)

(16/03/2007 17:15:29)

Cebit 2007 : « il nous faut plus de salariés bien formés », estiment les professionnels de l'IT

Face aux difficultés à recruter du personnel qualifié, les industriels du secteur des technologies de l'information et les pouvoirs publics se rejoignent, au moins dans les discours, pour prendre le problème à la source. « Nous ne formons pas assez de spécialistes pour nos métiers », a lancé, lors de la soirée d'ouverture du Cebit, Willi Berchtold, président du Bitkom (Association des professionnels des technologies de l'information, des télécommunications et des nouveaux médias). « Pour nos entreprises, il est de plus en plus difficile, et parfois impossible, d'embaucher pour des postes ouverts. Ce qui restreint la capacité à innover de l'industrie nationale : sans une masse critique de spécialistes qualifiés, maintenir son rang dans la compétition internationale est intenable », ajoutait ce représentant des industriels allemands. Comme le rappelait, ce soir là, la chancelière allemande, Angela Merkel : « le problème n'est pas limité à l'Allemagne, mais général dans l'Union européenne ». Et d'invoquer, comme Willi Berchtold, la baisse du vivier de jeunes diplômés, alimentant ce secteur. Mais, ajoutait-elle, « les industriels pourraient faire mieux pour retenir ou recruter les générations plus anciennes, en les re-formant ». Et d'enfoncer le clou : « les professionnels plus âgés ne devraient pas être mis sur le côté de la route ». Ironie du calendrier, alors que les salariés européens d'Alcatel-Lucent s'apprêtaient à manifester en nombre, le lendemain à Paris, contre le délestage annoncé par leur direction, leur PDG Patricia Russo a cru bon souligner, à l'occasion du Cebit, le lien entre ce besoin « d'irriguer en amont la capacité à innover de l'industrie IT » et la prise en compte de la fracture numérique. Son slogan : « Bridging the digital divide ». Et de rappeler que « en Amérique du Nord, 70% de la population a accès à Internet, contre 40% en Europe, 10% en Asie, et seulement 4% en Afrique ». D'où le bien-fondé, selon elle, d'initiatives comme le programme « Broadband for all » et le projet d'équipement informatique à 100 dollars lancé par le MIT (Boston Massachusetts Institute of Technology). (...)

(16/03/2007 16:23:13)

Sopra place au coeur de sa campagne d'embauche un partenariat avec le réseau d'écoles Polytech

Onze écoles d'ingénieurs d'un coup : la convention que vient de signer le groupe Sopra avec le réseau Polytech vise à « informer au mieux les étudiants sur les métiers du conseil et de l'intégration de systèmes, à leur proposer des stages et leur fournir les éléments nécessaires à leur choix d'orientation professionnelle », selon le directeur de Polytech Orléans, coordinateur du réseau. Dans le cadre de cet accord, la SSII s'engage à déployer un plan d'action spécifique à chaque école. Les actions envisagées portent sur des thèmes variés et néanmoins classiques : interventions de professionnels sur des sujets techniques et métiers, soutien aux écoles sur le plan académique, aide aux projets des étudiants y compris sur le plan associatif. Les écoles concernées sont celles des universités de Clermont-Ferrand, Grenoble, Lille, Marseille, Montpellier, Nantes, Sophia-Antipolis, Orléans, Paris, Annecy-Chambery et Tours. Soit un vivier de 9000 élèves-ingénieurs et 900 doctorants. Les effectifs du groupe Sopra, qui emploie 9600 personnes en Europe, ont augmenté l'an dernier de 800 salariés dont 710 recrutements nets. (...)

(16/03/2007 16:07:04)

Il faut sauver la filière Télécoms

Hier, jeudi 15 mars, le ministre délégué à l'Emploi, au travail et à l'insertion professionnelle des jeunes, Gérard Larcher, et son homologue délégué à l'Industrie, François Loos, ont mis en place le tant attendu groupe de travail sur les perspectives du secteur des télécommunications en France et en Europe. Initié par le gouvernement suite à l'annonce du vaste plan de restructuration d'Alcatel-Lucent, ce groupe de travail a pour objectif de dresser un état des lieux du secteur et d'exprimer un certain nombre de recommandations stratégiques, visant notamment à ancrer les emplois de R&D du secteur sur le territoire européen. Il est présidé par Pascal Faure, vice président du conseil général des Technologies de l'Information, et est constitué de 14 membres. Y siègent des représentants des équipementiers (Nortel, Alcatel-Lucent, Nokia, Ericsson), des syndicats (FO, CDFT, CGT, CFE-CGC) et des experts du secteur (IDATE, SUPELEC, HSBC, EICTA..). Le premier rapport est attendu pour le 12 avril. L'Etat entend ainsi jouer un rôle moteur face aux mutations du secteur ; il n'envisage pas de rester inactif, sans pour autant se substituer au dialogue social. Ce n'est qu'avec des acteurs forts, opérateurs et équipementiers, que l'Europe numérique pourra se construire. (...)

(16/03/2007 11:31:36)

Viveo invoque l'argument du DIF et de la mobilité pour recruter

Pour assurer une centaine d'embauches de consultants, concepteurs et chefs de projet dans l'année, le groupe Viveo (500 personnes) oeuvrant sur le créneau particulièrement concurrentiel de l'informatique bancaire, a choisi de faire la différence avec une politique volontariste de formation. Et de mise en exergue du droit individuel à la formation (DIF). Pour Véronique Gentet, DRH de Viveo, la nomination de son entreprise parmi les cinq PME retenues pour recevoir le Trophée du DIF de cette catégorie, ce 15 mars au soir, n'est pas une surprise. « Dans l'abondant dossier mis en forme pour postuler à ce trophée, nous avons pu faire état de l'évolution parallèle de notre plan de formation et de la mise en place du DIF, ainsi que les résultats obtenus », explique-t-elle. En tant qu' « outil supplémentaire », et non pas en remplacement du dispositif organisant les formations d'adaptation au poste de travail, le DIF a permis, pour les 330 salariés de l'entité française de Viveo, de bénéficier de formations destinées à « élargir leur vision du métier », précise la DRH. Formation métier hors plan de formation Exemple : en tant que prestataire-partenaire des banques et établissements financiers, le personnel informaticien de Viveo évolue principalement dans un environnement cobol/mainframe. Une des quatre formations suggérées, en 2006, au titre du DIF (et hors plan de formation), était une session de trois jours de synthèse-état de l'art des nouvelles technologies. Deux autres formations visaient à « savoir décrypter l'information économique », et « la connaissance des marchés financiers ». Le quatrième thème étant le renforcement des compétences en anglais. Un renforcement de culture générale, donc, « pour mieux appréhender leur environnement de travail » par lequel, en 2006, 21% des salariés ont ainsi amorcé leur utilisation du DIF (vingt heures par an). Avec l'espoir, pour la DRH, qu'en 2007, l'initiative de la demande de formation vienne plus du côté des salariés (comme le veut la philosophie du DIF). Et avec le soutien volontariste de la direction : entre 2005 et 2006, le budget de formation a augmenté de 57%, dont 30% de cette hausse dus au DIF. Le rapport avec l'embauche ? « C'est un argument qui peut nous démarquer de la concurrence. Au-delà de la croissance, et de la diversité des activités, qui permet d'organiser la mobilité interne. La politique de formation est un critère qualitatif important pour se distinguer des grands groupes qui interviennent sur ce même marché », commente Véronique Gentet. « En tant que structure à taille humaine, l'on souhaite que les personnes qui intègrent la société comprennent qu'elles vont bénéficier d'un cursus qui, sur le plan de leurs compétences, va les enrichir personnellement ». Un engagement affirmé, dans le communiqué d'annonce de la centaine d'embauches prévues pour l'année, par le directeur général adjoint, Martin Hubert en ces termes : « Cette campagne de recrutements s'inscrit dans la stratégie du groupe, de conforter son positionnement de leader dans l'Hexagone et de consolider son rayonnement européen. Interlocuteur stratégique des directions générales du monde de la banque, nous nous devons en permanence d'étoffer notre vivier de compétences et d'expertises afin d'anticiper et d'accompagner nos clients dans toutes leurs mutations comme la mise en oeuvre de la réforme Bâle II, de la directive MIF (Marchés d'Instruments Financiers)... » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >