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Carrière

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(28/09/2010 12:16:38)
1 500 offres IT accessibles depuis Viadeo
En lançant « Career IT », le réseau professionnel Viadeo met à disposition de ses membres un espace d'opportunités, d'échanges, et de partage d'opinion autour d'une thématique commune : le recrutement de profils IT. En effet, depuis lundi de la semaine dernière, les candidats ayant un profil d'informaticien peuvent accéder et postuler, directement depuis le site, aux 1 500 offres d'emploi proposées par les quatre grandes SSII partenaires de cette opération, à savoir Atos Worldline, Micropole Univers, Sogeti et Groupe One Point. Ils y retrouvent notamment des postes de concepteurs/développeurs, d'architectes IT, de chefs de projet, d'ingénieurs d'étude, de business managers, de consultants analystes fonctionnels, de développeurs Java et .Net, et également de consultants en maîtrise d'ouvrage (MOA).
Conseils et réponses à l'intention des membres
Un espace baptisé « Hub Corporate », créé à l'intention des postulants, est dédié à l'information et à l'échange : les quatre SSII y présentent leur activité, leurs métiers et les compétences IT qu'elles recherchent. Des experts du recrutement prodiguent leurs conseils et répondent aux questions des membres. En mode forum, les candidats ont ainsi la possibilité de visualiser les dernières réponses postées et classées par rubrique, sur des sujets comme les perspectives du marché de l'emploi informatique, l'agilité dans l'IT, les e-communautés et le partage de l'information dans l'entreprise, ou le Web 2.0 et les réseaux sociaux comme outils de recrutement pour des profils IT.
Viadeo compte par ailleurs pérenniser cette initiative sur d'autres marchés et mettre ainsi prochainement et régulièrement en avant les sociétés et les métiers des secteurs bancaires et financiers et de l'énergie.
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Le patron de Facebook lance une fondation dotée de 100 millions de dollars
Le fondateur et PDG du célèbre réseau social a annoncé la création d'une Fondation baptisée Startup: Education. Les capitaux reviendront initialement aux écoles de Newark, N.J. Il semble, par ailleurs, que le jeune milliardaire ne soit pas seul dans cet efforts, car Cory A. Booker, le maire de Newark, a annoncé la mise en place d'un fond de développement destiné à la jeunesse et à l'éducation (the Newark Education and Youth Development Fund), une ONG qui apportera 100 millions de dollars supplémentaires. « Je me sens très chanceux des opportunités qui me sont données, à cause de mon parcours éducatif, qui m'a permis de travailler avec des personnes talentueuses et de créer, très jeune, ma propre entreprise », a déclaré le patron de Facebook dans un billet posté sur son blog, ajoutant : « plutôt que d'attendre, en me concentrant sur ce qui s'est passé avant, j'ai passé beaucoup de temps, l'an dernier, à rechercher et à réfléchir aux différents moyens qui pourraient contribuer au développement de l'éducation en Amérique. »
Redorer une image quelque peu ternie
Il a également apporté son soutien à Chris Christie, gouverneur du New Jersey pour ses efforts mis au service de la réforme des écoles de Newark. Cette ville est malheureusement devenue un symbole en matière d'échec éducatif. En effet, en 2009, seulement 40% des enfants savaient lire et écrire à la fin de leur niveau trois (ce qui correspond au CE2 en France), un peu plus de la moitié (54%) sortaient diplômés du collège et seuls 38% y étaient inscrits. " Aller dans une école aux vitres brisées ne devrait pas faire partie de notre expérience du monde éducatif", a poursuivi Mark Zuckerberg. Il a précisé que le projet qui devrait aider les écoles de Newark à se remettre sur pied comprend l'installation d'un établissement "amiral", et la création d'un programme prenant en compte la qualité des enseignements et la réussite des étudiants. Le fait que des dons de 100 millions de dollars profitent bientôt aux 40 000 étudiants de Newark, constitue une bonne nouvelle à l'heure où l'image de Mark Zuckerberg est quelque peu ternie, notamment au sujet de la protection de leur vie privée.
Enfin, cette annonce intervient quelques jours avant la sortie, le 1er octobre, du film « The social network » détaillant la création de Facebook et mettant l'accent sur la carrière et la fortune De son créateur. Or, d'après les critiques, il semblerait que le film n'ait pas dépeint le jeune dirigeant sous un angle positif. Le don tombe à point nommé.
Améliorer son profil numérique pour faire face aux recruteurs
Travailler son identité sur le web est un complément indispensable à toute recherche d'emploi. Pour aider les postulants à construire ou à enrichir leur identité numérique, Cadremploi a eu l'idée d'éditer un site de conseils baptisé jesuisvisiblesurleweb.fr. Le portail rappelle les bonnes pratiques de base, telles que le fait de bien travailler son CV, de le mettre à jour dans des CVthèques et de le faire de manière régulière. Il se compose de rubriques et de sous rubriques ayant la forme d'onglets qui abordent différentes thématiques : diagnostic, réflexion, action, problèmes possibles, témoignages et réactions.
Protection de la vie privée, droits et devoirs sur le web
Au menu une longue liste de conseils qu'il faut connaître avant de se lancer : quels outils choisir pour être visible sur le web, comment protéger son nom, où et comment mettre un CV en ligne, choisir entre blog et site personnel, l'art du microblogging, la prise de parole dans une communauté, etc. Le service répond également à des questions relatives à la protection de la vie privée, aux droits et aux devoirs sur le web, à la rectification d'une identité numérique, et donne quelques contre-exemples en matière de réputation numérique. Enfin, les candidats, comme les recruteurs, peuvent avoir accès à des témoignages d'acteurs qui livrent les recettes de leur succès grâce à leur présence sur des blogs ou sur des réseaux sociaux, tels que Twitter.
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Gérald Karsenti attendu à la direction de la division services de HP
Avant la nomination de Gérald Karsenti dans ces nouvelles fonctions, elles étaient occupées par Howard Hughes. Il dirigeait la division services de HP France depuis le départ de Eric Leveugle qui n'est resté qu'un an en fonction.
Un site d'emploi qui s'intègre à LinkedIn et à Google Maps
Jobpartners, spécialiste de la gestion de carrières, lance la version 9 d'ActiveRecruiter, un site d''emploi qui gère l'ensemble du processus de recrutement et de mobilité interne, de l'expression des besoins jusqu'à l'intégration du collaborateur. L'interface graphique du portail a été refondue, des raccourcis ont été ajoutés, et des évolutions ont été apportées au niveau du back-office. De plus, grâce à une couverture fonctionnelle enrichie, les recruteurs peuvent « tagger » les postulants, créer des profils de candidats par import de fichiers (par exemple issus d'un forum de recrutement) et piloter les critères de recherche d'un vivier de CV.
Importer des données depuis son profil
Autre évolution majeure apportée à cette dernière version : son intégration avec le réseau social LinkedIn, qui donne aux candidats la possibilité de pré-renseigner leur dossier en important des informations depuis leurs profils. De leur côté, les recruteurs peuvent visualiser le contenu des CV directement depuis le portail. En outre, la géolocalisation des offres d'emploi via Google Maps, de même que des fonctions de référencement naturel auprès des principaux moteurs de recherche, améliorent la visibilité des annonces et des candidatures. Enfin, des fonctionnalités d'administration et des possibilités de configuration ont été ajoutées pour les entreprises qui souhaitent déployer une solution prenant en compte des besoins spécifiques locaux.
Basé au Royaume-Uni et disposant de neuf bureaux en Europe et aux États-Unis, Jobpartners est spécialisé dans la fourniture de solutions de gestion du capital humain et des carrières dans le cadre du modèle SaaS
(Software as a Service). Le groupe compte parmi ses clients des SSII comme Steria et des entreprises telles qu'Adidas, Technip, la Société Générale, Deutsche Post DHL, Nationwide, Nike, Crédit Agricole, Rabobank Group ou encore Xerox.
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France Télécom annonce la mise en place d'un « contrat social »
La direction de France Télécom/Orange, représentée par Stéphane Richard, Delphine Ernotte et Bruno Mettling, a présenté aux syndicats un « contrat social » qui sera bientôt envoyé par courrier aux salariés du groupe en France. Ce projet intervient alors qu'en avril dernier, le parquet de Paris décidait d'ouvrir une information judiciaire sur la série de suicides - 48 cas depuis 2008 - de salariés de France Télécom. Il a été présenté, mercredi dernier, sous forme d'une vidéo en interne. Un service SVP a permis de faire remonter 800 questions SMS aux dirigeants du groupe. Les préoccupations majeures des salariés portaient à la fois sur la reconstruction du projet industriel mené par l'opérateur, sur son organisation, ses changements managériaux et sur sa politique d'innovation. Ce contrat social sera matérialisé par six chapitres : la politique de l'emploi, l'organisation du travail, l'évolution du management, la qualité de la vie au travail, la rétribution et la fonction ressources humaines.
Selon le document, les responsables de terrain retrouveront des marges de manoeuvre pour prendre des décisions locales, notamment en matière d'emploi de promotions, de formations et de congés. « Après cinq ans de décroissance massive des effectifs (30 000 emplois supprimés) France Télécom annonce un retour à une politique de recrutement », se félicite Sébastien Crozier, président du syndicat CFE-CGC/Unsa chez France Télécom-Orange et d'ajouter : « d'ici fin 2012, 10 000 personnes seront recrutées en CDI, prioritairement parmi les apprentis qui sont déjà dans le groupe France Télécom. C'est une bonne nouvelle, même si, au final, il ne s'agit que d'une stabilisation des effectifs. »
La section syndicale salue également le retour à la prise en compte de la dimension sociale de l'entreprise, et la mise en oeuvre d'une partie des recommandations qu'elle a régulièrement formulées depuis plusieurs mois, notamment sur la base des travaux de l'Observatoire du stress et des mobilités forcées, qu'elle anime avec le syndicat Sud depuis 2007.
Mettre un terme aux délocalisations
Le syndicaliste estime également que le groupe doit aller encore plus loin, pour mettre fin à la logique de sous-traitance, en particulier dans les métiers en relation avec les clients, et notamment dans les unités d'intervention. « Chez France Télécom, aucun système d'information n'est homogène, les fichiers ne sont pas communs, il est donc difficile de suivre les dossiers des clients », signale Sébastien Crozier. Selon ce dernier, la prise en charge du client par un salarié de l'entreprise dès le début de la relation permettrait de mieux cerner les besoins et d'assurer la qualité de service idoine, que la direction générale de France Télécom souhaite également retrouver.
Un projet industriel qui mobilise les énergies
Enfin, pour que l'entreprise ne soit pas défavorisée sur le plan concurrentiel, la CFE-CGC/Unsa recommande à l'État de prendre ses responsabilités, et d'interdire les délocalisations - notamment pour les centres d'appels - à tous les opérateurs de télécommunications desservant le territoire national. Pour la section syndicale, une telle mesure permettrait de retrouver des emplois, absolument nécessaires dans le contexte de crise économique, sans pour autant pénaliser la compétitivité des opérateurs français, puisqu'ils seraient tous soumis aux mêmes règles.
Reste que les engagements pris par l'opérateur historique devront néanmoins être sous-tendus par un projet industriel permettant de remobiliser les énergies autour d'enjeux positifs. « Il manque encore un véritable projet industriel, nécessaire pour mobiliser les énergies autour d'un objectif qui permette de laisser la crise sociale derrière nous, et de rendre de la sérénité aux équipes en assurant la pérennité de l'entreprise », regrette Sébastien Crozier. Pour lui, un projet industriel ne peut se déployer efficacement que s'il en a les moyens financiers.
Illustration: Stéphane Richard, directeur général de France Télécom. Crédit photo: France Télécom
(...)(20/09/2010 16:03:09)
Temenos-Viveo au Tribunal: le rachat passe mal
Le 16 septembre s'est tenue au Palais de justice de Paris l'audience du Tribunal de Grande Instance pour examiner le recours en référé engagé par les représentants des salariés de l'éditeur de logiciels bancaire Viveo, suite au rachat de l'entreprise par son concurrent Suisse Temenos. Le litige portait sur l'annonce d'un projet de restructuration visant à supprimer plus d'un tiers des emplois de Viveo France (soit 64 postes sur un total de 180 salariés).
Des communiqués trompeurs, selon la CGT
Deux semaines avant l'audience, la direction de l'éditeur tentait de justifier son plan de restructuration « dans un souci de transparence » Dans un communiqué, elle avait indiqué que l'entreprise avait dû réorganiser ses activités « en vue d'en rétablir les fondamentaux économiques tout en limitant les impacts sociaux ». Or, selon la CGT, la direction aurait tenté, durant plus de sept mois, de cacher l'existence du conflit. Dans un tract, le syndicat n'hésite pas à qualifier les communiqués de trompeurs, ceux-ci indiquant que l'intégration de Viveo était sur la bonne voie et qu'elle avançait bien. La section syndicale avance, en outre, que les marges de Viveo sont insuffisantes, qu'elle restent inférieures au taux de 20 % promis à la Bourse, et que, seules, les économies réalisées grâce aux licenciements permettraient d'atteindre cet objectif. La tempête sociale et juridique qui souffle chez Viveo depuis plus de sept mois semble désormais tourner à l'ouragan.
L'affaire a été mise en délibéré pour un jugement qui sera prononcé le 30 septembre.
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Le FEMII ouvre ses portes aux étudiants et aux entreprises IT
Le groupe Ionis qui rassemble une quinzaine d'écoles de commerce, d'ingénieurs et d'expertise dans différents domaines (informatique, ingénierie, création, communication, etc.) organise dans ses locaux le Forum des entreprises des métiers de l'ingénierie et de l'informatique (FEMII), les 13 et 14 octobre 2010 de 13h à 19h30.
Objectif de cette initiative : rassembler des acteurs des métiers de l'ingénierie et de l'informatique qui présenteront leurs projets de recrutement aux étudiants. Ce sont les établissements Epita (École pour l'informatique et les techniques avancées), Epitech, (École pour l'Informatique et les nouvelles technologies), Ionis-STM (School of technology and management) et également Etna (École de la nouvelle alternance en informatique) qui accueilleront les entreprises de différents secteurs. Seront présentes de grandes SSII françaises (Capgemini, Sopra Group, Steria , Atos Origin, Logica, CSC, etc.) et des sociétés de conseil (Accenture, Infotel Conseil, Alten, Altran).
Assurer la promotion du volontariat international
A leur côté, les trois principaux opérateurs télécoms de l'Hexagone, des grands comptes industriels (Thales, Ubifrance) et des entreprises du secteur bancaire (Société générale, Crédit agricole). Cette 13ème édition accueillera le groupe Ubifrance pour assurer la promotion du Volontariat international en entreprise (VIE), initiative mise en avant par l'Epita afin que les étudiants réalisent un de leurs semestres à l'étranger.
Lors de la dernière édition de ce forum, 800 étudiants étaient venus rencontrer les sociétés présentes. Plus de 200 stages de fin d'études ont été signés, dont 72% se sont concrétisés par une embauche. Le FEMII est ouvert à tous les étudiants et jeunes diplômés qui se destinent au secteur des technologies de l'information sur préinscription par mail à forum2010@epita.net.
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Cartes compétences et talents : un revenu au moins égal à 1,5 fois le SMIC
La Commission nationale des « compétences et des talents » qui s'est réunie le lundi 28 juin 2010 et dont le délibéré est paru au Journal Officiel, aujourd'hui, ce jeudi 16 septembre, a adopté la disposition suivante: à l'occasion du renouvellement de son titre de séjour, le titulaire de la carte « compétences et talents » devra démontrer pouvoir vivre de son projet. A cette fin, le projet pour lequel il aura obtenu sa précédente carte devra lui assurer un revenu mensuel d'un montant au moins égal à 1,5 fois le salaire minimal en vigueur en France (1 343, 80 €), sans préjudice d'autres sources de revenu éventuelles.
Immigration choisie plutôt que subie
La carte de séjour « compétences et talents » est, selon le gouvernement, destinée à faciliter l'accueil des étrangers dont « la personnalité et le talent constituent des atouts pour le développement et le rayonnement de la France ». D'une durée de trois ans, renouvelable une seule fois, ce titre est délivré à des personnes « dont la présence est une chance pour la France mais n'est pas vitale pour leur pays d'origine », selon le gouvernement Prônant une immigration choisie plutôt que subie, il avait été indiqué que ce titre serait accordée de préférence à des informaticiens indiens, mais pas à des médecins originaires du Bénin.
Crédit photo : Ministère de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et de développement solidaire
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Accenture investit 100 millions de dollars pour soutenir l'emploi
D'ici à la fin 2015, un quart de million de personnes, à travers le monde, devraient posséder les compétences nécessaires au renforcement de leur employabilité. Tel est l'ambitieux défi relevé par la société de conseil informatique Accenture. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de Skills to Succeed, un programme créé par l'entreprise qui regroupe plus de 80 initiatives dans le monde, toutes axées sur la formation (voir encadré).
Les collaborateurs à disposition des associations humanitaires
En outre et afin de soutenir son engagement humanitaire, la société de conseil a choisi de poursuivre sa collaboration avec des partenaires partageant les mêmes objectifs. Il s'agit des associations et des organisations humanitaires Enablis, Genesys Works, Oxfam, Passerelles Numériques et Youth Business International.
Par ailleurs, les employés d'Accenture qui le souhaitent auront la possibilité de s'investir personnellement dans cette aventure en menant des missions pour le bien public (pro bono). Enfin, d'ici fin 2013, l'entreprise et sa fondation devraient consacrer plus de 100 millions de dollars de dons pour soutenir ce projet. Ce qui permettra de former des femmes et des hommes qui seront alors en mesure de contribuer à l'activité économique et sociale de leur région.
Crédit photo: Accenture
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