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(01/07/2008 09:36:45)

L'Institut Télécom crée une fondation pour stimuler l'innovation et la recherche

La nouvelle structure lancée à l'initiative de l'Institut Télécom (ex Groupe des écoles des télécommunications - 4 700 étudiants et 800 ingénieurs diplômés par an) prend aujourd'hui le relais de l'ancienne fondation Louis Leprince-Ringuet, dédiée à l'enseignement et à la recherche en France. Baptisée Fondation Télécom, elle vise à associer les entreprises au développement des écoles de l'Institut. Elle souhaite collecter 25 M€ en 5 ans pour financer des actions dans les domaines de la formation, de la recherche, de l'innovation et de la prospective. L'organisme a constitué, mi-juin, son comité exécutif présidé par Didier Lombard, président de France Télécom, et compte parmi ses premiers membres fondateurs Alcatel-Lucent, BNP Paribas, France Télécom-Orange et SFR. D'autres partenaires comme Atos Origin, Bouygues Telecom, Ericsson ou StreamWide viennent également de le rejoindre. Fondateurs, partenaires et amis pourront ainsi utiliser différents services mis à leur disposition par la Fondation : accès aux viviers de diplômés hautement qualifiés, mise à disposition de profils d'étudiants étrangers sélectionnés par des programmes de bourses internationales, de thèses et de post-doctorats, consultation de projets d'innovation et de transfert technologique, information des rapports de veille scientifique et des travaux de prospective réalisés dans le domaine des technologies de l'information par la Fondation. (...)

(30/06/2008 12:06:42)

La communauté scientifique de nouveau en grève

La recherche française subit actuellement une vague de contestations. Après France Télécom R&D la semaine dernière, et la manifestation des chercheurs en informatique du CNRS le 19 juin dernier, de nouvelles manifestations sont prévues demain, mardi 1er juillet, à l'initiative des syndicats des chercheurs du CNRS, à Paris et en province. Les organisations (SNCS-FSU, SNESUP-FSU, SNTRS-CGT, SGEN-CFDT-Recherche-EPST, SNPTES-UNSA, SLU, SLR, UNEF, SNASUB-FSU, SNETAP-FSU, CGT-INRA) entendent protester contre la précipitation du vote du Conseil d'administration sur le nouveau plan proposé par le gouvernement : celui-ci aurait été porté à sa connaissance moins de deux jours à l'avance. Les syndicats du centre national de recherche se mobilisent pour le transfert de moyens de l'Agence nationale de la recherche vers les organismes de recherche et les universités dès le budget 2009, et la création de postes de titulaires pour la recherche et l'enseignement supérieur d'ici à l'année prochaine. Le projet de regroupement de l'organisme en instituts spécialisés (l'informatique sera copilotée avec l'Inria), qui laisserait de côté des pans entiers de la recherche, figure également au rang des revendications. (...)

(26/06/2008 16:58:55)

L'Epita et Prologin livrent les résultats d'un concours réservé aux jeunes développeurs

L'école d'informatique Epita et Prologin, une association regroupant des membres de l'Epita, de l'Ecole Polytechnique, de l'Epitech et de l'UPMC, viennent de communiquer les résultats de l'édition 2008 du concours national d'informatique. Ce dernier a été mis sur pied pour promouvoir les métiers de l'informatique auprès des jeunes. Destiné aux étudiants jusqu'à vingt ans, il met à l'épreuve leur capacité à résoudre des problèmes d'algorithmique dans le cadre d'une rencontre de trente-six heures, au cours de laquelle les participants planchent sur un sujet d'intelligence artificielle. Durant un week-end, 100 jeunes sélectionnés à travers la France se sont donc affrontés sur un sujet établi par le comité scientifique du concours qui leur proposait cette année de modéliser le comportement de hamsters récoltant des pommes. A l'issue de cette épreuve, et après la mise en concurrence de tous les projets rendus, les 10 meilleurs ont soutenu leurs travaux devant un jury composé de personnalités du monde informatique, de professeurs et des responsables de l'association. Pour l'édition 2008, c'est Antoine Amarilli, étudiant en classe préparatoire, qui a remporté le premier prix (un ordinateur portable, des accessoires de jeux vidéo, notamment). L'association Prologin est parrainée par la Délégation aux usages de l'Internet (ministère de l'enseignement supérieur). (...)

(26/06/2008 13:17:11)

L'Esigelec ouvre ses portes aux lycéens des quartiers sensibles

En rejoignant le Cercle passeport télécoms, l'école d'ingénieurs généralistes Esigelec s'engage à aider des jeunes issus de milieux modestes. Grâce à cette initiative, les lycéens des classes préparatoires technologiques situés en Zones urbaines sensibles (ZUS) peuvent bénéficier de l'accompagnement de tuteurs salariés d'une des entreprises partenaires du Cercle, tout au long de leurs études, jusqu'à l'obtention de leur diplôme. Créée sous l'impulsion de l'opérateur SFR, le Cercle passeport télécoms regroupe actuellement huit entreprises des télécommunications (Alcatel-Lucent, Ericsson, Motorola, Nokia, Nokia Siemens Network, Orange, SFR et Siemens), l'Etat, des lycées et des grandes écoles. En 2007 et 2008, 370 tuteurs se sont mobilisés au sein du Cercle pour accompagner les étudiants grâce à des tutorats collectifs ou individuels mettant en relation des collaborateurs des entreprises partenaires et des étudiants. Les tuteurs informent les élèves sur les réalités du monde de l'entreprise et son fonctionnement, et sur la diversité des métiers, les possibilités de stages ou de contrats d'alternance. Outre la préparation aux oraux, les jeunes peuvent aussi compter sur un accompagnement dans leurs démarches d'accès à l'emploi (rédaction de CV, préparation des entretiens de recrutement, etc.). Des partenariats spécifiques ont été mis en place pour faire face aux problématiques de financement des études. (...)

(25/06/2008 17:29:18)

Plus d'un tiers des chercheurs de France Telecom en grève

[Mise à jour] Chez France Télécom, la menace qui pèse actuellement sur les activités françaises de R&D a provoqué la colère des chercheurs. Près de 1300 salariés des Orange Labs - 37% sur un effectif global de 3 500 salariés - ont répondu présents à l'appel à la grève lancé hier mardi 24 juin, par les organisations syndicales CFDT, CGT, SUD, FO, CFE-CGC, et CFTC. Ils manifestaient pour protester contre une diminution des effectifs de près de 10 %, programmée sur l'ensemble des sites R&D de France Telecom en France, soit 325 emplois de moins d'ici fin 2008. Un premier plan vient d'être mis en place portant sur 92 suppressions d'emplois dont la moitié à Lannion, sans aucune proposition de reclassement. 325 petits bateaux en papier pour symboliser les suppression d'emploi En réaction, le mouvement de protestation a été suivi sur l'ensemble des sites de R&D français (Issy-Moulineaux, Rennes, Caen, Grenoble, Sophia Antipolis et Belfort). A Lannion, en particulier, où plusieurs centaines de chercheurs ont mis à l'eau 325 petits bateaux en papier. Un geste symbolique pour matérialiser l'annonce en avril dernier par la direction des suppressions de postes. Ces réductions s'inscrivent dans le cadre de la poursuite - du plan stratégique Next qui prévoit 22 000 suppressions de postes entre 2006 et 2008. Des délocalisations en Egypte et en Jordanie Et si la pilule passe mal, c'est aussi parce que les investissements en R&D sont présentés comme stratégiques par la direction du groupe. Et celle-ci préfère pourtant les installer à l'étranger pour réaliser des économies : « Didier Lombard, le PDG, a décidé de délocaliser la R&D dans des pays dits à bas coûts, comme l'Egypte ou la Jordanie », signale Sébastien Crozier, délégué syndical CFE-CGC. Maxence d'Epremesnil, délégué syndical et coordinateur CFE-CGC ajoute même : « La direction a même annoncé 90 embauches dans ces laboratoires à l'étranger ». En janvier dernier, l'opérateur ouvrait ainsi son 18ème Orange Labs dans le monde, au Caire. De quoi s'interroger sur le devenir de la recherche et du développement de France Télécom, en France. (...)

(25/06/2008 16:37:32)

Cisco veut convaincre les filles de s'engager dans des carrières scientifiques

Cisco a tenu dans ses locaux le 14 juin dernier la deuxième édition de sa manifestation Connected Girls. Objectif : mieux informer les jeunes filles de l'intérêt des métiers scientifiques en général, et des métiers de l'informatique en particulier. L'équipementier avait convié ses employés, ses clients et ses partenaires à venir avec leurs filles pour découvrir l'éventail de ces métiers, présentés par des femmes qui les exercent. Mais quelle mouche les a donc piqué ? « Nous manquons cruellement de candidatures féminines, répond Sylvie Houliere-Mayca, responsable secteur public chez Cisco et en charge de l'initiative Women's Action Network (WAN). Et nous ne sommes pas les seuls. C'est une problématique partagée par toutes les sociétés de l'informatique et des télécoms. » Comme beaucoup d'entreprises du secteur, Cisco a donc décidé de réagir en sensibilisant les jeunes filles à la variété et à l'intérêt de ces carrières. « Notre souci est d'attirer les jeunes filles en leur montrant que cela peut être passionnant, insiste Sylvie Houliere-Mayca. Quand elles font un choix de carrière, elles ne voient pas tout le champ des possibles. Ça ne sert à rien ensuite de mettre la pression sur les cabinets de recrutement, si de toutes façons, elles ne sont pas suffisamment nombreuses à avoir opté pour ces filières. » Des rencontres entre des collégiennes et des femmes scientifiques La journée Connected Girls qui s'est tenue le 14 juin, a donc été émaillée de présentations et d'ateliers, et surtout de rencontres entre les jeunes filles et des femmes scientifiques ou techniques. Un des ateliers était animé par trois femmes ingénieurs avant-vente dont deux employées par Cisco. « Elles travaillent sur les technologies de communication unifiée : la téléphonie sur IP, les call centers, la téléprésence, etc. Des techniques facilement démontrables qui ont plu aux plus jeunes. Nous avons fait des expériences de téléprésence avec la Suisse, par exemple, qui les ont beaucoup impressionnées. » La responsable d'un programme de développement dans la téléphonie mobile a, quant à elle, organisé un quiz au cours duquel elle a demandé à l'auditoire combien de métiers pouvaient bien collaborer avant qu'un téléphone arrive entre leurs mains. « Les jeunes filles ont d'abord évoqué le marketing, le design, la publicité, avant d'identifier enfin les carrières scientifiques raconte Sylvie Houliere-Mayca. Mais elles ne savaient pas, par exemple, que leur mobile contenaient des circuits imprimés. » Rassurée sur les études scientifiques et les carrières associées [[page]] C'est une des présentations qui a particulièrement intéressé Charlotte. Cette élève de 4ème, 14 ans, dont la maman s'occupe du site web de Cisco, a adoré la journée. Certes, elle rêve toujours d'être médecin et ne compte pas opter pour une carrière informatique. Mais elle est rassurée sur les études scientifiques et les carrières auxquelles elles mènent. « Lors de la présentation sur les téléphones mobiles, on nous a montré comment ils pouvaient nous aider à mieux vivre, raconte-t-elle. Et c'était vraiment intéressant par exemple, d'écouter ces femmes (NDLR : en charge de téléphonie mobile) qui exercent des métiers techniques, informatiques, qu'on ne connaît pas forcément bien. » Il faut les convaincre dès le collège Les lycéennes et les étudiantes ont en général déjà fait un choix de carrière et « il faut donc les informer plus tôt encore dans leur vie scolaire, » comme le rappelle Sylvie Houliere-Mayca. C'est donc aux collégiennes que Cisco s'est adressé cette année, et non aux lycéennes comme en 2007. Par ailleurs, l'entreprise ne souhaite pas que des événements comme Connected Girls restent sans lendemain. Elle tient à garder le contact avec les jeunes filles qui remplissent une fiche d'évaluation en fin de journée. « Elles peuvent retrouver des présentations ou poser des questions sur le site Connected Girls, détaille Sylvie Houliere-Mayca. Mais nous allons aussi essayer de les inviter à venir cette fois dans nos locaux pour découvrir aussi les ambiances de travail. » Aujourd'hui, Cisco ne compte que 22% de femmes dans son effectif global, et pas plus de 19% en France. Selon lui, la gent féminine ne représenterait que 27% des étudiants en sciences fondamentales et appliquées à l'université. Et parmi les titulaires d'un Bac S mention « Très bien », si 75% des garçons s'orientent vers des écoles préparatoires scientifiques contre seulement 53% des filles. Enfin, dans les grandes écoles et les écoles d'ingénieurs, 25% seulement des inscrits sont des étudiantes. « Et je pense qu'on tourne autour de 18% si l'on parle d'ingénieur purement informatique, conclut même Sylvie Houliere-Mayca. » (...)

(25/06/2008 14:36:04)

ESDI recrute 100 informaticiens dans le grand Est

La société de services ESDI European Line recrute une centaine d'informaticiens pour accompagner sa croissance. Son un chiffre d'affaires a augmenté de 25% par rapport à l'année précédente pour atteindre 12 M€. Et elle compte déjà 250 collaborateurs. ESDI veut « briser son image de simple spécialiste des centres d'appel, et s'imposer comme véritable SSII, depuis le support jusqu'au développement », comme le souligne son PDG, Bernard Barsznica. Elle s'intéresse aussi bien aux jeunes diplômés qu'au seniors, et est en quête de techniciens en support et maintenance, d'analystes développeurs, d'experts ERP, chefs de projet, consultants et développeurs SAP...) Etendre aussi la couverture nationale Située à Belfort, en Franche-Comté, ESDI souhaite principalement, avec ces recrutements, asseoir sa présence dans le grand Est (de l'Alsace à Lyon). Mais elle prévoit aussi de recruter une vingtaine de personnes en région parisienne dans les mois à venir. A long terme, la SSII pourrait étendre sa couverture nationale en s'attaquant à l'Ouest. Elle entend par ailleurs maintenir son turn-over actuel qui s'établit entre 8 et 10%, une proportion relativement faible par rapport à la moyenne observée dans d'autres sociétés de services (plus de 20%). (...)

(25/06/2008 11:18:48)

Les jeunes informaticiennes, moins bien employées et moins bien payées

La livraison 2008 de l'étude annuelle de la Conférence des grandes écoles sur l'insertion de ses jeunes diplômés confirme le retour actif des chargés de recrutement sur les campus des écoles d'ingénieurs. Avec un taux net d'emploi proche de 90%, un délai de recherche toujours plus court, des contrats et des statuts pérennes, la situation des jeunes diplômés de l'ingénierie est plus que satisfaisante. Mais cette amélioration est moins visible chez les jeunes femmes : ainsi, chez les hommes ingénieurs, le taux net d'emploi a augmenté de plus de 5 points pour atteindre 92%, alors que chez les femmes, il a reculé de 0,7 points à 83%. Du coup, les jeunes filles sont proportionnellement plus nombreuses que leurs collègues masculins à se retrouver en recherche : 13,6% contre 7,3% pour leur homologues masculins. La filière informatique préfère les garçons Même constat sur le plan du contrat de travail, où le recours aux CDI est plus élevé pour la population masculine : 84% des hommes ingénieurs sont en CDI contre 72% de femmes. L'écart se vérifie aussi sur le plan du statut : 95% de la population masculine est cadre, contre 88% de filles. Par ailleurs, si filles et garçons se dirigent ensemble vers la même filière, en l'occurrence celle de la recherche et du développement, certaines fonctions préfèrent employer des garçons. C'est le cas de l'informatique qui concentre 21,5% de jeunes hommes ingénieurs pour leur premier emploi, contre seulement 10,6% de filles ! Idem dans le secteur banque assurance qui compte 23% d'hommes ingénieurs, contre seulement 15% de femmes. La différence de traitement se fait également sentir sur les salaires : l'augmentation la plus forte est constatée chez les jeunes hommes diplômés d'écoles de management (+11,2%). Suivent les diplômés masculins des écoles d'ingénieurs (+10%), puis enfin, les filles de la même filière (+9,2%). Ainsi les hommes perçoivent 32 800 € de rémunération annuelle moyenne (hors prime) alors que les filles ne perçoivent que 30 800 €, à diplôme équivalent ! Les jeunes hommes ingénieurs spécialisés en informatique, mieux rémunérés, peuvent compter entre 38 000 et 39 000 € de salaire annuel. Les jeunes informaticiennes, elles, devront se contenter d'un peu moins. (...)

(24/06/2008 12:25:52)

Index Freelance.com : les spécialistes des langages remplacés par les experts des bases de données

L'index relève quelques changements en fin de classement : cette semaine, les spécialistes du langage XML quittent le top 10, au profit des experts de la base de données Microsoft SQL Server. Dans cette catégorie, la demande concerne des intégrateurs, des développeurs et des administrateurs. En revanche, le haut du tableau ne subit pas d'évolution notable : les spécialistes d'Unix - des administrateurs pour la plupart - confortent leur place de leader au palmarès des compétences les plus demandées. Les profils Oracle suivent de très près, avec une demande tournée vers des administrateurs et des développeurs, Java complétant le trio de tête. Du côté des spécialités, l'index est marqué par quelques modifications en début de classement : les spécialistes des logiciels de gestion perdent du terrain face aux professionnels des systèmes d'exploitation qui se classent, cette semaine, en 3e position. Enfin, l'index Freelance.com de la rémunération des experts indépendants, reste stable et avoisine les 475 euros. Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 502 offres de projets informatiques disponibles au 23 juin 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande); (...)

(20/06/2008 14:45:36)

Les salaires des informaticiens stagnent

Selon une étude du cabinet américain Janco Associates, l'évolution des salaires des informaticiens a quasiment stagné en un an, sur le marché américain. Cette tendance s'explique par la réduction les dépenses informatiques cette année aux Etats-Unis, et indirectement en Europe, sous l'influence de la crise des crédits hypothécaires américains à risque et des menaces de récession aux Etats-Unis. En un an, les salaires (tous postes d'informaticiens confondus) ont augmenté en moyenne de 0,71% dans les grands comptes, contre 0,28% pour les entreprises moyennes. L'enquête montre que les augmentations dans l'informatique ont à peine dépassé les 1% pour les plus hauts postes, et frôlé le zéro (0,5% ) en moyenne pour le reste du personnel informatique, entre juin 2007 et juin 2008. Et ce pour des salaires annuels compris en moyenne entre 71 000 et 82 500 dollars, selon la taille de la société. Tout est aussi question d'offre et de demande. Les DSI, les responsables de la sécurité informatique et de l'administration de datacenters ont, eux, vu leurs rémunérations progresser depuis 2006. Ce sont des profils très demandés par les grandes entreprises, selon l'étude. Alors que les directeurs de la planification qui voient leurs salaires stagner, seraient de profils très prisés dans les plus petites structures. (...)

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