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Développement

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(10/11/2005 17:33:37)

Borland détaille sa roadmap d'outils de développement sous Windows

Borland a profité de sa conférence développeur DevCon, qui se tient à San Francisco, pour dévoiler ses plans en matière d'outils de développement pour Windows. Citant les difficultés que rencontrent certains développeurs dans leur transition depuis des outils comme Visual Basic vers la plate-forme .Net , mais aussi le rythme rapide auquel Microsoft fait évoluer ses outils, Borland a insisté sur les évolutions en douceurs de ses propres logiciels. D'ici la fin 2005, Borland devrait livrer Borland Developer Studio 2006, nom de code "Delphi DeXter.". Cet atelier de développement incorpore le support du langage C++ en plus de c# et des technologies Delphi. Il intègre également des outils améliorés de modélisation UML ainsi qu'une mise à jour d'ECO (Enterprise Core Objects). En 2006, Borland devrait lancer un successeur du logiciel , nom de code "Delphi Highlander," puis une nouvelle mouture en 2007, connue sous le nom de code "Delphi Longhorn". Highlander apportera le support de .Net 2.0 et permettra une conversion aisée des projets.Net 1.1 vers 2.0. il supportera aussi le développement pour le framework.Net Compact Framework et le développement et le déboguage d'applications 64 bit .net. LongHorn, de son côté embarquera le support des nouvelles technologies promises par Microsoft avec le lancement de Vista, notamment Windows Presentation Foundation et Microsoft Communications Foundation for Web services (ex Avalon et Indigo). Séparément, Borland a annoncé cette semaine la nomination de Tod Nielsen, un ex d'Oracle et BEA, au poste de CEO pour remplacer Scott Arnold, qui assurait l'interim depuis le départ de Dale Fuller en juillet 2005. (...)

(10/11/2005 17:39:57)

Développement : Sun offre gratuitement Java Studio Enterprise 8

Sun a publié hier la version 8.0 de Sun Java Studio Enterprise , son outil de développement intégré. L'outil est disponible gratuitement en téléchargement pour les utilisateurs enregistrés du Sun Developer Network (enregistrement gratuit sur http://developers.sun.com). La version 8.0 de l'IDE de Sun embarque un nouveau module de modélisation visuelle conforme au langage UML 2.0 et généralise l'utilisation du glisser-déposer. Elle inclut aussi des outils spécifiques pour le développement d'applications destinées aux terminaux mobiles tels que PDA et smartphones. L'IDE de Sun est aussi disponible dans le cadre de l'abonnement à l'offre de middleware de la société, le Sun Java Enterprise System, une solution proposée à 140$ par salariés et par an. (...)

(09/11/2005 18:17:02)

La Liberty Alliance veut accélérer la généralisation de solutions d'authentification forte

La Liberty Alliance vient de fonder un groupe d'experts chargé de définir des spécifications ouvertes pour l'interopérabilité des systèmes d'authentification forte. Avec cette démarche, le consortium entend accélérer l'adoption des solutions d'authentification forte par les entreprises. Dans un communiqué, Timo Skytta, vice-président de la Liverty Alliance, explique « qu'il n'y pas plus de doute que le temps pour une authentification forte universelle est venu », évoquant « la demande croissante de l'industrie pour une meilleur protection contre la fraude en ligne et l'usurpation d'identité. » Selon Timo Skytta, le nouveau groupe d'experts du consortium « s'investit pour apporter rapidement des solutions bien définies et largement déployables. » Le groupe d'experts de la Liberty Alliance pour l'authentification forte (SAEG, pour Strong Authentification Experts Group) s'appuiera notamment sur les travaux du consortium portant sur la définition des besoins du marché en matière d'authentification forte sur un réseau fédéré. Le groupe prévoit d'aller au-delà de ces travaux pour produire ID-Sage, une plateforme ouverte de construction de solutions d'authentification forte avec jetons matériels et logiciels, cartes à puces, SMS, biométrie, etc. Le SAEG réunit Axalto, BMC, Diversinet, Falkin, HP, Intel, Kantega, Oracle, RSA Security, VeriSign, Wave Systems, le département américain de la défense et le consortium Financial Services Technology. (...)

(09/11/2005 18:08:57)

Gartner Symposium : Scott McNealy vante les mérites d'un Sun de nouveau compétitif

Dans un keynote de 45 minutes, le patron de Sun a tenté de convaincre les CIO des mérites de l'offre de Sun tout en brocardant joyeusement ses concurrents IBM et HP. La clé de l'intérêt de Sun : un respect des standards, un rapport performance/prix retrouvé et une vision efficace et pragmatique des problèmes des entreprises. Selon Scott McNealy, Sun a ce qu'il appelle des iPod moments, en fait des axes clés de développement pour les mois à venir. Le premier est la conversion à l'Opteron pour ses serveurs x86. "Nous étions n°99 mondial des serveurs x86 il y a 2 ans, Avec l'adoption de l'Opteron, nous sommes désormais numéro 4", a ainsi expliqué le patron de Sun. "Nous venons de lancer nos serveurs galaxy.et nous sommes désormais le seul fournisseur a avoir des serveurs x86, notre propre OS et une couche complète de middleware. Personne pas même IBM n'a cela[sur x86]" a -t-il ajouté. Scott McNealy a aussi souligné le retour à l'open source la société. "Nous étions le RedHat de l'Unix lorsque nous avons lancé Solaris" a t-il affirmé avant d'annoncer que Sun entend à terme donner l'ensemble de ses logiciels. "Notre objectif est d'avoir tous nos logiciels sur un CD open source et gratuit, libre d'utilisation et on va le faire avec tous nos logiciels. On va fournir des contrats de supports pour ces logiciels adaptés à tous les types de besoin de la PME au grand compte avec des besoins critiques". Se gaussant de Red Hat, Scott McNealy a expliqué qu'il ne croyait pas au modèle Linux où selon lui lorsqu'un bug est détecté on le poste sur le web et on attend sa résolution. Sun, a-t-il expliqué, maîtrise l'ensemble de son code, du noyau (pour Solaris) au middleware, et peut donc s'engager en terme de contrat de support et de réactivité vis à vis de ses clients.". Répondant à une question d'un analyste de Gartner sur les dangers du gratuit pour son chiffre d'affaires, McNealy a expliqué "qu'il y a des modèles gratuits magnifiques,(...) à l'exemple de Google. Il suffit de trouver la façon de les monétiser. (...) Une des jolies choses avec ce modèle du gratuit est que l'on ne peut pas télécharger de serveur gratuitement sur l'Internet". Selon lui, une partie du budget que les sociétés économiseront sur le logiciel permettra d'investir sur des infrastructures matérielles plus performantes. "Ne confiez pas les clés de votre IT à IBM" Assimilant le SI à un camion, McNealy a expliqué que les CIO ont d'abord essayé d'assembler eux même leurs camions, puis qu'il sont passé à une approche best of breed en couplant le file système de Veritas, l'annuaire de Novell, le serveur d'application de BEA et la base de données d'Oracle avant "de devoir faire appel à IBM Global Services pour faire fonctionner ce bordel"... "Nous essayons de désormais d'expliquer à nos clients qu'ils peuvent nous acheter un camion prêt à l'emploi. Nous avons des architectures de références pour la messagerie d'entreprise, SAP... (...)Nous tentons même de les faire passer à un quatrième niveau qui consiste à nous donner les clés du camion. Nous sommes plutôt bons à l'exploitation des SI de nos clients. Mais quoique vous fassiez, ne confiez jamais les clés du camion à IBM Global Services" a lancé Scott McNealy. "Vous connaissez l'histoire du punk bardé de tatouages et de piercing auquel vous confiez votre Mercedes toute neuve et qui vous la rend à l'Etat d'épave. Ce n'est rien par rapport à ce que peut faire notre concurrent [avec votre SI], a également plaisanté Scott Mc Nealy, sous les rires et applaudissements des DSI présents. In fine, l'ambition de Sun est de migrer ses clients vers un cinquième modèle qui consiste à louer de la puissance CPU et des applications sur une grille. Quand Sun lancera-t-il son programme d'hébergement ? Réponse inattendue du PDG De Sun : "il se trouve que le programme était prêt à être lancé et nous avons lancé un défi en interne à nos ingénieurs en leur demandant de le tester et d'essayer de le casser. (...)La mauvaise nouvelle est qu'ils y sont parvenus" a alors expliqué un Scott McNealy hilare, avant d'ajouter plus sérieusement que "la bonne nouvelle est que cela avait permis de renforcer significativement l'offre, au pris toutefois d'un retard sur le calendrier prévu". L'offre devrait débuter dans les prochaines semaines. Un message de responsabilité Sur un plan plus général, Scott McNealy a laissé entendre que la société allait mettre en avant un message plus écologique et plus respectueux de l'environnement dans les mois à venir. Faisant allusion à l'utilisation par la compagnie de processeurs efficaces comme les Opteron ou les futurs Sparc T1 (nom de code Niagara), mais aussi à son soutien continu des technologies de clients léger (Sun Ray, Tarantella), ainsi qu'à la volonté de Sun de rendre open source l'ensemble de ses technologies, Scott McNealy a résumé la stratégie de la compagnie par un message simple :"Nous voulons contribuer à éliminer la fracture numérique sans faire flamber la planète au passage. Nous professons l'utilisation de technologies efficaces [ d'un point de vue énergétique], (...)de standards et (...) partageons nos connaissances et savoir-faire". Revenant plus tard sur le sujet lors d'une session de questions/réponses avec la presse, Scott McNealy a précisé son propos en affirmant qu'à son avis, la meilleure façon de résoudre la fracture numérique et les problèmes qui se posent à la planète, n'était pas de mettre un PC consommant 200W entre les mains de 6 milliards de personnes. Autant dire que Scott McNealy n'a pas oublié ses rêves de clients légers. Il faut dire qu'il a aussi inventé le concept "The Network is the computer"... (...)

(08/11/2005 17:37:35)

Computer Associates se désengage d'une partie d'Ingres, pour ne conserver que les services associés

Computer Associates vient de vendre la majorité de ses parts d'Ingres - spécialisée dans les bases de données - à une entreprise privée nommée Garnett & Helfrich Capital. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. Dans son nouveau rôle d'entreprise indépendante, Ingres devrait garder la grande majorité de ses 150 employés. Garnett & Helfrich Capital a pour ambition de faire d'Ingres une société sur le modèle de Red Hat à savoir, pas de frais de licences mais des revenus issus de l'installation des logiciels et de leur mise à jour. Computer Associates explique son désengagement par une volonté de se recentrer sur quatre métiers : la sécurité, le stockage, l'administration de systèmes et l'optimisation des services métiers. Ingres est ainsi la première unité à prendre son envol, mais elle pourrait bien être suivie par d'autres dans les prochains mois. (...)

(07/11/2005 17:34:19)

BEA sort Workshop 3.0

BEA Systems a dévoilé ce matin la version 3.0 de son atelier de développement Java intégré, BEA Workshop. La version 3.0 de l'IDE de BEA est en fait le résultat de la fusion entre les outils de l'éditeur et ceux rachetés lors de l'acquisition en septembre de M7, un spécialiste des outils Eclipse. Grâce aux outils de M7, Workshop 3.0 supporte des frameworks comme Struts, JavaServer Faces, Spring, et Hibernate. Le logiciel est aussi optimisé pour tirer parti de WebLogic Server 9.0 même s'il supporte aussi le déploiement d'applications sur des serveurs tiers comme JBoss, Tomcat, IBM WebSphere 5.0 et Resin. Selon un billet posté sur son blog par Bill Roth, le vice-président de BEA en charge des outils Workshop, l'un des points clés à noter est que BEA supporte désormais le déploiement sur des serveurs d'applications tiers. La seconde chose importante est qu'au travers du support d'autres serveurs d'applications et d'autres frameworks, BEA entend fournir des outils à des développeurs au delà du spectre de J2EE et un jour peut être au delà du seul langage Java" (...)

(07/11/2005 17:33:17)

Sun veut rapprocher Indigo de Java

Dans le but d'améliorer l'interopérabilité entre java et le framework .Net de Microsoft, Sun a annoncé qu'il développerait, puis distribuerait sous licence open source, l'implémentation d'une série de spécifications de services web (*) (WS-*), à travers son projet de serveur d'application open source GlassFish. L'idée selon Sun est d'interfacer Java à Indigo (Windows Communication Foundation), qui intégrera selon Microsoft ces mêmes standards. Une première ébauche devrait être disponible d'ici trois à six mois. Sun entend par ailleurs livrer les spécifications à la communauté de développeurs java via Java WSDP (Web Services Developer Pack), mi-2006. (*) liés à la sécurité, transmission de message, metadata et qualité de services : WS-Addressing, WS-Policy, WS-MetadaExchange, WS-Security, WS-Trust et enfin WS-SecureConversation. (...)

(08/11/2005 17:14:01)

Microsoft finit par lancer les versions 2005 de Visual Studio et SQL Server

C'est en grande pompe que Microsoft livre enfin les très attendues éditions 2005 de Visual Studio (environnement de développement) et SQL Server (serveur de base de données). Initialement prévu pour mi-2004, Visual Studio 2005 avait été repoussé à début 2005. Puis de nouveau stoppé dans son élan -pour notamment quelques "problèmes de performances et d'incompatibilité du Framework .Net 2.0 avec la version 1.1"- et reporté enfin à fin 2005. Il est vrai que l'enjeu est de taille. Il s'agit pour Microsoft d'optimiser au plus près l'imbrication des deux plate-formes, tout en y ajoutant des composants critiques. En clair, faire de Visual Studio, l'EDI unique de la marque. Outre l'intégration étroite à SQL Server, Visual Studio porte désormais son champ d'application à la gestion de cycle de vie, via Team System Foundation. Une version serveur du module, actuellement en beta 3, étant par ailleurs prévu pour début 2006. Jihad Dannani, chef de produit Visual Studio, explique que Microsoft s'est focalisé à améliorer le développement en équipe. Et précise que cette mouture « améliore également le support des applications critiques, en y intégrant notamment le support du 64 bits et en multipliant les performances établies avec la précédente version ». Autre clin d'?il au développeurs : « les procédures de sécurité sont désormais noyées dans les phases de développement », poursuit-il. SQL Server 2005, de son côté, inaugure d'un côté une kyrielle de composants, et d'améliorations. Mais souffre de l'absence de « data Mirroring », pourtant éléments-clé de l'application exclu par Microsoft de la version finale. Renaud Marcadet, responsable Marketing Microsoft France, souligne que le module souffrirait encore de problèmes de performances, mais « toutes équipes sont actuellement à l'?uvre, et le data-mirroring sera supporté prochainement, fin 2005-début 2006». Pour autant, SQL Server 2005, outre l'intégration en natif de Visual Studio, se pare, comme promis, d'outils liés au décisionnel, via « Analysis Services » et « Reporting Services », et propose des fonctionnalités de data-mining, ainsi qu'un « Integration Service » ré-écrit. Le serveur de base de données supporte enfin le XML en natif ainsi que le moteur d'exécution CLR (Common Language Runtime). Enfin dernier ajout au couple Visual Studio/SQL Server 2005 : le support du langage Linq (Language Integrated Query), sur lequel Microsoft souhaite, pour l'heure, rester discret. Une offre qui s'adossera à Biztalk En parallèle au lancement de Visual Studio 2005 et de SQL Server 2005, Microsoft a annoncé la sortie de Biztalk Server 2006, pierre angulaire de l'intégration chez Microsoft, dès l'année prochaine. Un lancement qui devrait parachever l'offre de l'éditeur de Redmond, pour y apporter l'orchestration de services, ainsi que la synchronisation de processus métier. Côté tarifs, Visual Studio 2005 devrait coûter 1000E en version seule. Il faudra débourser 5000E supplémentaires pour obtenir Team System. La suite complète avoisine les 11 000E par développeur. Quatre versions de SQL Server 2005 : Workgroup à 3 900 $ par processeur, 6 000E pour la version standard, et 23 000E pour l'édition Entreprise. Et également une version Express, gratuite (voir encadré). Reste à migrer, opération généralement douloureuse chez les entreprises. Microsoft ne s'en cache pas : passer sur une édition 2005, tant Visual Studio que SQL Server sera plutôt difficile. L'éditeur de Redmond y a pour cela inclus des assistants de migration. « L'ajout de nouveaux composants et donc de nouvelles classes à Visual a rendu difficile la migration vers Visual Studio 2005 », explique Jihad Dannani. Mais la procédure reste toutefois « plus fluide pour une « bascule » depuis VB6, que depuis un .Net ». (...)

(04/11/2005 17:24:05)

BEA rachète Solarmetric, un spécialiste des technologies Java

BEA Systems a acquis jeudi SolarMetric un éditeur américain connu pour ses travaux sur les EJB3.0 et sur les moteurs de persistance Java . SolarMetric édite notamment un moteur de persistance baptisé Kodo qui se conforme à la spécification Java Data Objects (JDO). BEA prévoit d'intégrer Kodo dans la prochaine mouture de son server d'application J2EE WebLogic Server, attendue pour la fin 2006. BEA espère aussi ajouter le support des EJB 3.0 à sa ligne d'outils de développement WebLogic Workshop. La douzaine de salariés de SolarMetric devrait rejoindre BEA et permettre à l'éditeur de combler son "retard" sur des acteurs comme Oracle ou JBoss qui ont été très rapide à mettre l'accent sur le support des EJB 3.0. (...)

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