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(22/03/2006 17:07:44)
Témoignage: Axon'Cable partage à l'aide d'une plate-forme d'ingénierie collaborative
L'ingénierie collaborative n'est pas réservée aux grandes entreprises. Il existe en effet des plates-formes proposées en mode hébergée, comme celle de pi3c. Cette société loue au mois l'utilisation de sa plate-forme, qui permettra à plusieurs personnes ne se trouvant pas au même endroit, et pas forcément au sein de la même entreprise, de travailler ensemble en partageant les mêmes informations. Le bureau d'études d'Axon'Cable est l'un des utilisateurs de la plate-forme de pi3c. Cette société qui conçoit et fabrique des câbles et des systèmes d'interconnexion pour l'électronique est aujourd'hui présente dans de nombreux pays, a gardé, en France, la taille d'une bonne PME. « Le rôle de notre bureau d'études est de trouver avec nos clients des solutions techniques optimisées pour leur permettre de résoudre leurs problèmes de liaisons électriques, électroniques, optiques ou fluidiques » explique Joseph Puzo, président d'Axon'Cable. Sa société équipe par exemple les trois-quarts des voitures européennes dotées d'airbag dans le volant. La mise au point d'un produit demande un grand nombre d'échanges d'informations avec les donneurs d'ordres ainsi qu'avec les sous-traitants chargés de réaliser les outillages de fabrication. Axon'Cable a choisi de travailler sur le logiciel de CAO 3D Inventor d'Autodesk, ses clients travaillant sur différents autres produits. Cela ne pose pas de problème, explique Joseph Puzo : « Plutôt que de s'envoyer des modèles CAO et de travailler chacun de son côté, mieux vaut partager ces modèles en temps réel à travers un outil d'ingénierie collaborative, car cela facilite la prise de décision. L'investissement, 800 euros par mois pour quatre utilisateurs simultanés est modeste, et nous continuons à travailler sur nos équipements existants. La solution s'imposait d'elle même. » Axon'Cable utilise la plate-forme depuis le mois de mai 2005, et a déjà convaincu une dizaine de clients et de fournisseurs de travailler en mode collaboratif. « Avec ce type de plate-forme, il devient possible de discuter d'un point technique avec un client en évoquant différentes solutions et de trancher rapidement », argumente Frédéric Didier, le responsable du bureau d'études produits. (...)
(21/03/2006 17:35:23)Oracle perd Sony Online, qui bascule vers l'open source
Sony Online Entertainment, réseau de jeu en ligne sur abonnement, vient d'annoncer qu'il allait entamé une migration de ses bases de données Oracle, vers EnterpriseDB Advanced Server 8.1, serveur de base de données open source d'EntrepriseDB. Il est à noter qu'EnterpriseDB repose sur la base open source PostgreSQL, à laquelle elle greffe une offre de support et de compatibilité avec les bases plus propriétaires. Le long processus s'effectuera progressivement, indique la société. Les bases Oracle seront en premier remplacées au niveau du back-office (tel que le système de gestion des paiements), puis couvrira à terme la plate-forme de jeu en ligne. La raison mise en avant par Sony est bien le coût de licence et de support Oracle, « peu flexible », selon lui. La société a également choisi EnterpriseDB pour sa compatibilité avec les systèmes Oracle, et ses possibilités d'évolution à la carte. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. Sony Online indique toutefois avoir investit dans EnterpriseDB, sans en indiquer le montant. (...)
(21/03/2006 17:31:26)Nette progression du bénéfice net d'Oracle
Oracle vient de déclarer un bénéfice net de 765 M$ pour le troisième trimestre de son exercice fiscal en cours, contre 540 M$ un an plus tôt. Cette progression remarquable - de 42 % - profite de celle, bien que moindre, du chiffre d'affaires de l'éditeur : pour la période, celui-ci s'établit à 3,47 Md$ contre 2,95 Md$ au troisième trimestre de l'exercice précédent. Cette croissance s'explique notamment par l'arrivée de nouvelles entreprises au sein d'Oracle, en particulier PeopleSoft et Siebel - mais également par des ventes en hausse. D'une année sur l'autre, les revenus liés à la vente de licences ont ainsi augmenté 77 % à 269 M$. Le phénomène est particulièrement marqué en Europe où les ventes de licences d'Oracle au progressé de 100 %. Malgré ces bons résultats, la bourse semble légèrement bouder Oracle. Ce phénomène s'explique par une déception face aux résultats des ventes de bases de données - seulement 4 % de mieux que l'année dernière alors que les spécialistes attendaient 12 %. La concurrence directe de SAP nuit également à l'image d'Oracle. L'Allemand a en effet joué les annonces via un communiqué qui soulignait que 200 entreprises avaient quitté le giron d'Oracle pour venir chez eux. Mauvais joueur, Oracle a d'ailleurs récemment déposé un référé auprès du tribunal administratif de Paris pour obtenir d'annulation de l'attribution du marché de mise en conformité du SI de l'administration française avec la Lolf à SAP. Enfin, les nombreuses acquisitions d'Oracle - au total 19 Md$ dépensés sur deux ans - pèsent sur la confiance. La fusion de toutes les structures et de tous les produits laissent certains dubitatifs. Ainsi, l'acquisition de Siebel, se remarque aujourd'hui par une digestion lente et une roadmap compliquée, en plus de 2 000 suppressions de postes. (...)
(15/03/2006 17:35:24)Exalead lance la version 4 de son moteur de recherche
Le Français Exalead vient d'annoncer la dernière mouture de son moteur de recherche, exalead one:enterprise 4.0, une version qui propose notamment de nouvelles capacités de recherche sémantique et des performances en hausse. Selon son éditeur, la nouvelle version d'exalead one:enterprise intègre des fonctionnalités sémantiques supplémentaires, offrant à l'utilisateur une plus grande richesse et davantage de précision dans ses recherches. Par mi les fonctions mise en avant figurent notamment une technologie exclusive de filtrage temps-réel haute performance, l'unification complète des filtrages lexicaux, grammaticaux, XML, et par règles, l'extraction d'entités nommées (personnes, lieux, dates, et quantités monétaires), une intégration fine des dictionnaires sémantiques, un module de catégorisation sémantique par règles et la possibilité pour des éditeurs tiers de venir leurs propres modules sémantiques dans le logiciel. Exalead met aussi en avant une plus grande simplicité d'administration et les gains en termes de ressources, de déploiement et de maintenance apportées par la nouvelle version. Un même serveur peut par exemple indexer jusqu'à 200 millions de documents. Exalead one:enterprise 4.0 sera présenté par l'éditeur sur le salon Documation les 15 et 16 mars. (...)
(15/03/2006 17:29:50)SAP envisage la création d'un comité d'entreprise sans représentants syndicaux
SAP AG a pris l'initiative de créer un comité d'entreprise composé de salariés non syndiqués. L'éditeur allemand illustre ainsi sa volonté de limiter l'influence des syndicats sur sa culture d'entreprise "start-up". "Si SAP doit se doter d'un comité d'entreprise, il doit être représentatif de ce qu'est réellement l'entreprise", indique ainsi Henning Kagermann, le PDG du groupe. "Nous avons le devoir de conserver notre culture d'entreprise unique ainsi que nos valeurs". L'initiative fait suite à la tentative, par des salariés membres du syndicat IG Metall, de créer un Betriebsrat. Aussitôt, les hauts responsables du groupe avaient dénoncé le projet et menacé d'une délocalisation en cas de succès. Par la suite, 91 % des salariés s'étaient prononcés contre la création d'une telle organisation. (...)
(14/03/2006 17:47:24)Cegid renforce son offre PMI à travers deux acquisitions
Après avoir enfin finalisé l'acquisition de CCMX- et tiré un trait sur presque un an de procédures judiciaires - Cegid indiquait désirer rattraper le temps perdu et réaliser "au moins une acquisition" en 2006. C'est chose faite avec les rachats des sociétés PMI Soft et GTI Industrie. Grâce à cette double opération, l'éditeur étend son offre en solutions de gestion à destination des petites et moyennes entreprises du secteur industriel. Un créneau vers lequel entendent se tourner les ténors du PGI, à l'image de SAP qui veut augmenter la part représentée par les PME dans son chiffre d'affaires de 15 points, à 45 %. Si les deux sociétés rejoignant le groupe de Jean-Michel Aulas ne sont pas des géantes - elles totalisent 6,5 ME de chiffre d'affaires et regroupent une cinquantaine de salariés - elles vont néanmoins permettre à Cegid de se rapprocher de la taille critique dans un marché en perpétuelle consolidation. Surtout, elles viennent doper la stratégie de verticalisation de l'éditeur : elles enrichissent ainsi son catalogue et lui permettront d'adresser ses offres de solutions de gestion "métiers" à davantage de secteurs d'activité : aéronautique, mécanique, plastique, électronique, etc. En procédant aux acquisitions de PMI Soft et de GTI Industrie, Cegid réaffirme son intérêt pour les petites structures et indique tabler sur un doublement de sa base installée avec plus de 1300 sites sous contrat. Enfin, l'éditeur lyonnais souhaite poursuivre le partenariat mis en place entre GTI Industrie et SAP. Distribuée sous le nom d'Industry One, la solution de gestion de production développée par GTI est intégrée à SAP Business One et se destine aux PME et PMI. Elle continuera d'être distribuée par SAP et GTI. Les acquisitions - dont les montants n'ont pas été communiqués - portent sur l'ensemble des actions des deux cibles. Cegid indique qu'elles devraient conduire à une augmentation du bénéfice par actions dès l'exercice 2006. (...)
(09/03/2006 17:34:40)Oracle conteste l'attribution de Chorus à SAP
Oracle accepte mal d'avoir perdu Chorus, le juteux marché de mise en conformité le SI de l'administration française avec la Lolf. Alors que SAP vient de remporter l'appel d'offre lancé par Bercy dont le montant oscille entre 20 et 40 ME, Oracle, jusqu'alors déployé via Peoplesoft, a déposé un référé auprès du tribunal administratif de Paris. En attendant l'audience, prévue au maximum pour la fin du mois de mars, la signature du contrat entre Bercy et SAP est donc ajournée. Le contenu précis du référé reste inconnu : il peut porter sur la forme de l'appel d'offre aussi bien que sur son fond. Oracle n'a pas souhaité apporter de commentaire. (...)
(09/03/2006 17:47:32)CEBIT 2006 : Virtualisation et mises à jour, SAP joue à domicile
Fidèle à la tradition, c'est au premier jour du Cebit que SAP, représentant phare de l'industrie du logiciel allemand, a décidé de lever le voile sur le futur de ses offres, devant un parterre particulièrement attentifs aux propos de Henning Kagermann, PDG du groupe. Outre les mises à jour de la plate-forme de supply-chain de la marque (MySAP SCM Supply Chain Management) ainsi que son outil de gestion d'application (SAP Solutions Manager), SAP a annoncé étendre les fonctionnalités de virtualisation de sa plate-forme Netweaver, aux environnements Microsoft. L'objectif, explique Kagermann, est de permettre aux entreprises utilisatrices de Netweaver et de solutions de l'éditeur de Redmond, de lancer plusieurs instances de leurs applications sur un unique serveur. Et d'ajouter que ce nouveau support autorisera non seulement la virtualisation de MySAP Business Suite et de SQL Server, par exemple, mais également des futurs produits de la marque, ou issus de ses partenaires. Rappelons également que Microsoft et SAP ont déjà scellé un partenariat autour de Mendicino, reliant Office au PGI de l'allemand. Parmi les autres annonces de l'allemand, notons la mise à jour de Solution Manager, ensemble gratuit d'outils, services et "bonnes pratiques" dédiés notamment à l'analyse de performances. Cette mouture améliore la gestion de projet en facilitant les échanges entre l'application et les équipes de support help-desk. Elle offre également un module de contrôle plus étendu, autorisant l'analyse d'un système basé entièrement sur Netweaver. Egalement dans la besace de SAP, la mise à jour de MySAP SCM. L'éditeur indique avoir étendu sa plate-forme à d'autres secteur et renforcer ce qu'il appelle l'"after-sales market' (un support après vente), en développant un module de synchronisation produit / services issus de partenaires tiers. Rappelons que SCM repose sur Netweaver et autorise le développement d'une couche fonctionnelle supplémentaire, via notamment les services web. Enfin, dernière annonce, SAP devrait sortir mi-2006 une mise à jour de All-in-One, version de MySAP Business Suite adaptée au marché des PME. Elle devrait notamment intégrer Netweaver pour permettre aux PME de migrer leurs applications vers les services web, a déclaré Kagermann. (...)
(08/03/2006 17:50:21)NetCustomer propose de prendre en charge le support des clients Peoplesoft
Netcustomer vient d'annoncer qu'il prendrait en charge le service de support pour les utilisateurs des applications Peoplesoft, Oracle et JD Edwards. La société prévoit également de proposer le support des solutions SAP, selon Punita Pandey, PDG de netCustomer. Oracle a procédé l'an passé à l'acquisition de Peoplesoft, qui avait auparavant mis la main sur JD Edwards. Conséquence de cette fusion : la feuille de route est devenue floue et les montants facturés par les éditeurs pour le support ont augmenté. Alors que la plupart des vendeurs fournissent leurs services sur les sites où se trouvent les consommateurs, netCustomers prévoit de le faire à distance, depuis l'Inde, et de facturer, par conséquent, des tarifs moindres. Le groupe promet à ses clients une diminution de 50 % du montant qu'ils acquittent annuellement pour la maintenance et le support. "Non seulement les consommateurs font faire des économies, mais il se verront aussi proposer plus de services adéquats" précise Punita Pandey. (...)
(07/03/2006 17:59:45)Des salariés de SAP en appellent à la justice pour la création d'un Betriebsrat
Trois salariés syndiqués de SAP se tournent vers la justice allemande pour favoriser la création d'un Betriebsrat, après qu'une majorité d'employés se sont prononcés contre cette idée la semaine dernière. Le syndicat IG Metal a ainsi confirmé qu'une requête visant à mettre en place un comité électif a été déposée auprès de la cour de Mannheim. SAP précise qu'il acceptera la création d'un Betriebsrat si une majorité de salariés se prononce pour. Une opinion qui ne fait cependant pas l'unanimité : Dietmar Hopp, un des cofondateurs du groupe, a ainsi exprimé son plus profond scepticisme à propos de l'influence d'IG Metall. Selon lui, la création d'un Bretriebsrat pourrait ouvrir la porte à une influence non désirée d'IG Metall. Le même Dietmar Hopp avait fait planer la menace d'une délocalisation du siège en cas de succès de la consultation. Sur les 5632 salariés ayant pris part au vote du 2 mars, seuls 509 se sont prononcés en faveur de la création d'un Betriebsrat. (...)
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