Flux RSS
ERP
1519 documents trouvés, affichage des résultats 1271 à 1280.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(03/03/2006 18:01:49)
Les salariés de SAP, sous pression, rejettent la création d'un Betriebsrat...
La dernière tentative des syndicats de SAP de créer un Betriebsrat chez SAP Allemagne vient d'échouer. Il faut dire que plusieurs hauts responsables de la firme dont le fondateur, Dietmar Hopp, avait menacé d'une délocalisation du siège en cas de succès. Hérité des concepts de cogestion à l'allemande, le Betriebsrat a bien plus de pouvoir qu'un CE et il peut notamment imposer à l'entreprise le strict respect des horaires de travail ou contraindre l'entreprise à embaucher de nouveaux salariés en cas de recours trop fréquent aux heures supplémentaires. Un pouvoir considéré par Hopp comme une atteinte à la nécessaire flexibilité, que doit avoir un acteur international comme SAP. (...)
(03/03/2006 18:55:58)Bercy se dote de SAP pour adapter sa gestion de la loi de finances
Le budget de l'Etat a désormais son progiciel, et il est signé SAP. L'éditeur allemand vient de remporter une victoire importante sur Oracle en s'octroyant, pour 20 à 40 M€, le marché de mise en conformité des administrations avec la Lolf (Loi organique relative à la loi de finances adoptée en août 2001, nouvelle organisation de la loi de finances, donc de l'administration des budgets de l'Etat). Déjà, il y a quelques jours, SAP avait marqué des points dans le secteur public français en remportant - au côté d'Accenture et face à la paire Bull/Unilog - le marché du SI financier de la Ville de Paris pour 7,8 M€. Pour ce qui est de l'Etat, on se retrouve loin des pharaoniques 400 M€ initialement prévus dans le projet Accord - matrice historique de la refonte du système d'information du Minefi - voir même des 250 M€ prévus par Accord 2, abandonné à son tour en mai 2004. Devant les retards pris dans la mise en oeuvre d'un SI adapté, l'Etat avait fait le choix d'un colmatage transitoire fondé sur une mise aux nouvelles normes, par Accenture, de la solution Peoplesoft (à présent propriété d'Oracle) jusqu'alors utilisée par le Minefi. Reste désormais à trouver l'heureuse SSII qui sera chargée de la maîtrise d'ouvrage en matière d'intégration du progiciel. Un marché de plusieurs dizaines de millions d'euros qui devrait être bouclé d'ici juillet 2006. Historiquement les défunts marchés Accord 1 et 2 avaient vu s'affronter trois consortiums regroupant consultants, éditeurs et SSII : Accenture, PeopleSoft et Capgemini, Steria-Bull-SAP-Deloitte & Touche, ainsi que Sema-Sopra-Oracle-Bearing Point. L'Etat pourrait donc confirmer Accenture dans son rôle de gestionnaire du changement ou faire appel à Steria, historiquement lié à SAP dans cette affaire, voir changer totalement d'option. (...)
(02/03/2006 17:49:50)IBM met à jour son offre RFID
Après Sun et Sybase hier, IBM a annoncé aujourd'hui une nouvelle extension de son offre RFID avec le lancement d'un service de suivi des immobilisation basé sur la technologie d'étiquettes électroniques. L'IBM RFID Solution for Asset Tracking est destiné à toutes les organisations qui souhaitent améliorer la gestion de leurs inventaires matériels et la gestion de leurs immobilisations. Le logiciel peut par exemple être utilisé pour suivre un parc informatique mais aussi un stock de pharmacie, des composés chimiques... Big Blue a aussi annoncé WebSphere RFID Premises Server un serveur J2EE destiné aux organisations qui doivent gérer un fort trafic de pièces ou de composants par exemple dans des entrepôts, ou sur des lignes de production. Le logiciel permet notamment de filtrer et d'agréger les événements collectés par les lecteurs. Séparément, IBM a aussi annoncé l'ouverture d'un centre de test RFID à Dublin, le 11ème du genre à travers le monde. Il permet aux clients de la firme de tester et de voir fonctionner en temps réel les solutions RFID de Big Blue. (...)
(02/03/2006 17:41:57)OpenWorld Japon : Oracle lance une appliance de recherche pour intranet
Oracle a profité du salon OpenWorld de Tokyo pour dégainer sa réplique aux appliances de recherches de Google. Baptisée Oracle Secure Enterprise Search (SES) 10g, le moteur de recherche autonome d'Oracle est destiné aux entreprises qui cherchent à simplifier la recherche documentaire sur leur réseau tout en s'assurant que personne n'accède à des documents pour lesquels il ne dispose pas du niveau d'autorisation nécessaire. Oracle SES 10g est capable d'indexer des sources de données sturcturées et non-structurées (bases de données, fichiers, gisements de données, portails Web, sites intranet et internet...). Sans donner plus de détails, l'éditeur indique que son moteur de recherche embarque plusieurs systèmes d'authentification des utilisateurs. C'est d'ailleurs sur le point de la sécurité et de la confidentialité, qu'Oracle entend faire la différence par rapport à l'offre concurrente de Google. Oracle SES 10g devrait être disponible d'ici le mois de mai à partir de 30 000 $ par processeur. La tarification définitive appliquée à l'outil sera connue dans le courant de la semaine prochaine. (...)
(01/03/2006 17:13:23)SAP menace de quitter l'Allemagne
Dietmar Hopp, cofondateur et actionnaire de SAP, vient de brandir la menace d'une délocalisation du siège de l'éditeur dans le cadre de négociations avec les salariés. Dietmar Hopp, qui détient 10 % du capital de SAP, s'inquiète notamment de la position du syndicat IG Metall sur les horaires de travail : « si vous devez leur demander s'il est possible de travailler plus tard pour organiser une téléconférence avec la Californie à 23h, alors bonne nuit SAP ». En conséquence, Dietmar Hopp s'interroge sur l'opportunité de déplacer hors des frontières allemandes le siège de SAP, sans indiquer de destination propice. Les 10 000 salariés du siège de SAP à Walldorf doivent voter ce jeudi 2 mars en faveur ou non de la création d'un comité d'entreprise. Jusqu'ici, les tentatives de création de ce type de comité avaient échoué faute de soutien de la part des salariés. (...)
(01/03/2006 18:31:16)Oracle sort enfin sa base gratuite XE
La version gratuite d'Oracle Database 10g, nommée Express Edition (XE), est désormais disponible, avec plus de deux mois de retard. L'éditeur indique avoir délibérément choisi de reporter le lancement d'Oracle Database 10g XE à la fois du mois de février afin de pouvoir intégrer des fonctions de sécurité supplémentaires à son SGBDR. Dans un entretien téléphonique accordé à nos confrères de IDG News Service, l'éditeur indique ainsi avoir voulu s'assurer « que la base de données est extrêmement sûre. » Pour autant, Oracle a maintenu les restrictions prévues à l'automne dernier pour Database 10g XE : 4 Go de stockage, 1 Go de mémoire vive et 1 processeur au maximum par serveur. Le logiciel fonctionne sous Windows (32 bits) et les distributions Linux de Red Hat - y compris Fedora - et de Novell, mais également Mandriva Linux 2006, Debian et Ubuntu. Le SGBDR supporte les environnements de développement Java, .Net et PHP mais intègre le sien : Application Express. Mais, si Database 10g XE est gratuit, il n'est pas question d'en ouvrir le code source. Oracle Database 10g XE est basé sur le code source d'Oracle Database 10g Release 2. En fait, l'éditeur espère bien que les utilisateurs de XE seront tentés de passer à son SGBDR d'entreprise. Avec XE, Oracle se donne en outre les moyens d'attaquer Microsoft, IBM et MySQL sur le terrain des SGBDR gratuit. En effet, chacun propose désormais le sien, une manière de rivaliser avec l'open source : Microsoft, avec SQL Server 2005 Express et IBM, avec DB2 Universal Express-C. Parallèlement à l'annonce d'Oracle, Zend Technologies a annoncé le lancement d'une mise à jour de son moteur d'interprétation Zend Core pour Oracle, une mise à jour certifiée pour XE qui supporte notamment PL/SQL. (...)
(28/02/2006 17:21:30)HP intègre les outils Peregrine à OpenView
Hewlett-Packard vient de finir d'intégrer les outils de Peregrine, rachetés en septembre dernier, à sa gamme OpenView de logiciels d'administration de systèmes. L'outil AssetCenter de Peregrine a ainsi été associé à OpenView Service Desk pour permettre l'extension de la supervision des systèmes aux logiciels, aux PC et aux mainframes et, surtout, le suivi des données d'inventaire et financières. HP intègre Service Desk dans sa stratégie Active Configuration Management Database (CMDB) pour l'administration de systèmes. CMDB permet notamment de suivre les erreurs, les incidents et les changements mais aussi les données d'entreprise sur les salariés, les fournisseurs et les divisions. (...)
(24/02/2006 17:40:09)Les utilisateurs US de PeopleSoft affichent encore des doutes après le rachat par Oracle
Sur un panel d'une douzaine de grand clients américains interrogés par nos confrères de Computerworld, cinq conservent des doutes sur la stratégie d'Oracle, dont l'objectif officiel est de combiner les meilleures fonctions héritées des différents logiciels avant la fusion dans sa prochaine génération de progiciels. Depuis le rachat, Oracle a veillé à ne pas donner l'impression qu'il entend contraindre ses clients à migrer vers la future ligne Fusion tout en discutant avec des groupes utilisateurs établis comme Quest et l'Oracle Applications User Group (OAUG). Un concurrent comme SAP indique toutefois que les incertitudes nées de la fusion PeopleSoft Oracle, lui ont permis de conquérir près de 200 clients grâce à son programme Safe Passage. "Je pense qu'il n'est pas l'heure du verdict" explique Mark Scherer, un responsable informatique de Flatiron Construction qui s'interroge encore pour savoir s'il migrera vers Fusion ou changera de fournisseur. Scherer précise néanmoins qu'oracle a jusqu'alors respecté ses engagements et a pris soin de son installation. Pour Robert Robinson, de Durr Systems, un équipementier automobile américain, les avancées sur la roadmap se sont faites à un rythme d'escargot. Robinson, qui a déployé les progiciels de J.D.Edwards, juge qu'il n'y a pour l'instant pas grand chose à critiquer dans Fusion, mais indique qu'il surveillera de près les premiers déploiements du produit. Dave Richards, de Pacific Steel,s'interroge de son côté sur la taille et la complexité de Fusion par rapport à JD Edwards OneWorld XE. Il indique également que de nombreuses questions sur le prix des licences, de la maintenance et sur la migration restent pour l'instant sans réponses. "Il faudra vraisemblablement attendre un an après la prochaine mise à jour pour avoir un jugement définitif sur la Fusion" explique quant à lui John Schindler, le CIO de Kichler Lighting, un client de PeopleSoft Enterprise. Schindler avoue sa nervosité à propos de Fusion, et explique qu'il attend de voir ce que sera réellement Fusion avant de se faire une opinion définitive. Il y a aussi ceux qui jugent que leur situation a beaucoup progressé avec la fusion. Oracel a par exemple annoncé un support basique à vue pour ses applications et a poursuivi les développements sur J.D. Edwards et PeopleSoft. Pour John Matelski, le président de Quest et CIO de la ville d'Orlando, "il ne fait aucun doute que les clients PeopleSoft et J.D. Edwards sont mieux traités qu'il y a un an" et du fait qu'Oracle continue ses développements sur PeopleSoft, il n'y a pas de stagnation en attendant l'arrivée de Fusion. adapté d'un article en anglais de Marc L. Songini, Computerworld US (...)
(23/02/2006 17:58:41)SAP prépare un nouveau moteur de recherche pour NetWeaver
SAP intègrera un nouveau moteur de recherche à la prochaine révision majeure de NetWeaver. Ce nouveau moteur doit permettre aux utilisateurs de lancer des requêtes sur des données structurées et non-structurées, simultanément et de manière transparente. Lothar Schubert, directeur de SAP NetWeaver, souligne l'importance de la recherche dans les données non-structurées dans le cadre de la gestion de connaissances. Selon lui, le nouveau moteur de recherche de NetWeaver doit permettre « d'étendre la recherche dans un gisement de données SAP de sorte à fournir une recherche holistique ». Et de souligner que "l'impossibilité de lier données structurées et données non-structurées entraîne une perte importante pour les entreprises qui cherchent à obtenir une vue complète de leurs perspectives". La date précise de sortie de la prochaine révision majeure de NetWeaver n'a pas été communiquée. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |