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Formation
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(31/05/2006 18:05:28)
60 millions d'euros pour la formation des handicapés.
Les représentants de la branche informatique, les entreprises et les écoles du secteur sont les bienvenus à l'Agefiph (*) pour travailler sur l'élévation du niveau de compétences des handicapés. C'est le moment de se mobiliser puisque l'agence bénéficie d'une rallonge budgétaire de 60 M€ pour monter des actions de formation et de qualification pour la population dont elle s'occupe. Cette somme est engagée pour deux ans dans le cadre de l'opération Handicompétence qui a été officiellement lancée hier. Elle vient s'ajouter aux 80 à 90 M€ (79,8M€ en 2005) que l'Agefiph consacre chaque année à ce type d'actions. Elle répond à ambition de taille : accroître la qualification des personnes handicapées, pour favoriser leur accès plus large à l'emploi. Il faut en effet savoir que 52% d'entre elles ont un niveau Bep/Cap. Seuls 0,3% des étudiants de l'enseignement supérieur sont par ailleurs des handicapés (Source Education Nationale). A contrario, 68% des handicapés qui ont suivi une formation trouve un emploi dans les six mois qui suivent, selon l'Agefiph. C'est par ailleurs le manque de qualification qui rend difficile l'entrée de cette population dans des secteurs comme l'informatique. Concrètement, Handicompétence s'adresse aux demandeurs d'emploi handicapés et vise à doubler le nombre de titulaires de qualifications reconnues. Environ 23 300 ont bénéficié d'une action de formation qualifiante ou préqualifiante en 2005 avec le soutien de l'Agefiph. Il ne s'agit pas de s'inscrire dans une course aux diplômes. Le but est d'identifier les compétences dont ont besoin les entreprises pour engager des formations en conséquence et favoriser l'insertion. Pour se faire, l'Agefiph collabore avec les régions (suite à la décentralisation de la responsabilité de la formation des demandeurs d'emploi, de l'Etat vers les conseils régionaux) pour analyser les besoins des différents bassins d'emploi et monter des actions localement. Parallèlement, elle travaille avec des entités comme les assedic et certains Opcareg (organismes paritaires collecteurs agrées à champ d'application interprofessionnel et régional) afin de monter des contrats de professionnalisation (dispositif de formation en alternance). Elle est aussi prête à lancer des opérations avec des branches professionnelles et des grandes écoles. Elle est d'ailleurs en contact avec la Conférence des grandes écoles. Les deux entités travaillent pour l'instant à l'élaboration d'une charte d'engagement. (*)L'Agefiph est l'agence publique dédiée au développement de l'emploi des personnes handicapées dans le secteur privé. (...)
(30/05/2006 18:11:46)Grandes Ecoles : un pôle de développement de compétences informatiques en pleine gestation
Deux école d'ingénieurs vont unir leurs compétences et leurs approches pédagogiques, l'Eisti (école internationale des sciences du traitement de l'information) et SupMeca, (l'institut supérieur de Mécanique de Paris). Ces établissements ont conclu un partenariat pour quatre ans destiné à étoffer leurs offres de formations et à renforcer leur poids sur le marché. Dans ce cadre, les étudiants de l'Eisti pourront suivre une filière de Supmeca et réciproquement, trois options de l'Eisti seront ouvertes aux jeunes de Supmeca, leur donnant des compétences notamment dans le domaine de l'ingénierie des systèmes informatiques complexes et du conseil aux entreprises. Des projets mixtes de fin d'études seront aussi organisés pour les étudiants, ainsi que des travaux de recherche dans la « méca-info-tronique » des systèmes embarqués. L'Eisti s'engage par ailleurs à assurer un transfert de compétences dans le domaine informatique auprès de Supméca. Les relations et les contacts avec les entreprises seront enfin mutualisées entre les deux écoles, offrant des possibilités de partenariats étendues. Ce rattachement préfigure la création en Ile de France d'un INP (Institut National Polytechnique) associant en priorité l'Ensea (Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications), l'Eisti et Supmeca. A terme, il pourrait aboutir à l'émergence d'un grand pôle d'enseignement supérieur dédié aux sciences conjuguées de l'électronique, de la Mécanique et de l'informatique. Intervenant quelques temps après le rapprochement des écoles Supaero et Ensica , ce mouvement s'inscrit dans la tendance à la concentration qui sévit sur le marché des grandes écoles afin d'accroître leur visibilité. (...)
(30/05/2006 18:11:22)Gestion de compétences : Resadia ouvre ses formations internes aux techniciens
Le groupe Résadia, ce réseau de 42 sociétés spécialisées dans les services et l'intégration en réseaux, informatique, télécom et sécurité, a monté un programme de formation maison qui était jusque là réservé à sa population commerciale. Depuis le début de l'année, il est ouvert aux 2800 personnes (sur 3900 personnes au total) occupant des postes techniques, cadres et techniciens. Ce programme a pour objectif de les former à l'art de la gestion de la relation client. Il ne contient pas de formation aux technologies mais des cursus liés à la connaissance des métiers des clients, à l'écoute active, à la gestion du travail en équipe et des projets. Il a été bâti sur mesure par un groupe de travail qui réunit un consultant externe spécialisé, des dirigeants, des managers des sociétés membres du réseau et des permanents de Résadia. Cette initiative, lancée il y a 4 ans est partie de la difficulté à trouver sur le marché des formations permettant aux équipes commerciales de faire évoluer leur processus de vente orientés produits vers des stratégies commerciales centrées sur le vente de solutions. Par ailleurs, comme l'explique Philippe Limantour, directeur des opérations du réseau, « il était complexe d'identifier des offres de formation nous permettant de créer un cursus de montée en compétences cohérent et adapté à en terme budgétaire ». Pour monter un programme de formation progressif, Resadia s'est attaché à élaborer un référentiel qui recense une centaine de compétences à maîtriser autour de la gestion de la relation client et définit quatre niveaux d'expertise. Ces niveaux sont sanctionnés par l'attribution de certifications internes qui sont délivrées à l'issue de sessions d'examens qui ont lieu une à deux fois par an. Pour les décrocher, les candidats doivent répondre à un questionnaire puis se plier à un exercice oral devant un jury - composé d'un dirigeant, d'un responsable technique et d'un responsable commercial, formés à cet exercice- qui jugera de ses qualités d'écoute et de conseil au client. Chaque niveau d'expertise est accessible après 9 à 10 jours de formation théorique par an en moyenne - une durée variable selon les besoins. Il faut y ajouter des « travaux pratiques » en entreprise, dirigés par des managers qui coachent les collaborateurs concernés. Ces derniers sont également formés dans cette optique. (...)
(29/05/2006 17:41:51)Jeunes diplômés : la reprise se confirme comme les inégalités hommes femmes
L'insertion des jeunes ingénieurs sur le marché du travail est de plus en plus rapide, selon les premiers résultats de l'enquête annuelle (*) de la Conférence des grandes écoles (CGE). A l'instar de l'étude de Télécom Paris sur le même sujet, ils montrent que la hausse du taux net d'emploi (**) des diplômés grimpe. Il approche 80% (79,1% contre 72,7% en 2005) et retrouve les niveaux enregistrés en 1997-1998, au moment de la reprise économique de la fin des années 90. Le nombre de diplômés en recherche d'emploi baisse aussi naturellement. Au moment de l'étude, 16,8 % des ingénieurs interrogés se trouvaient dans cette situation, contre 21,2% l'année précédente. De la même façon, ils ne sont que 16,9% à suivre des études dans le promotion 2005, alors qu'ils étaient 19,1% dans ce cas dans la promotion 2004. Globalement, ces constats valident la reprise sur le marché de l'emploi qui s'était amorcée en 2004 pour les jeunes diplômés. Elle s'était alors traduite par une progression du taux net d'emploi alors que celui-ci était en chute continue depuis 2001. Encourageante, cette tendance doit toutefois perdurer pour que l'on puisse parler de croissance durable. Le nombre de jeunes ingénieurs en recherche d'emploi reste par exemple significatif, même s'il est difficile de tirer des conclusions fermes sur ce ratio eu égard à la diversité des situations considérées au moment de l'étude - la CGE estime qu'un tiers des diplômés était sortis de l'école depuis plus de six mois, un tiers depuis 4 mois, et le dernier depuis moins de 2 mois- Parallèlement, les salaires proposés sont en hausse (+2% sur l'ensemble des jeunes diplômés d'écoles d'ingénieurs et de management). Leur progression reste toutefois relativement corrélée à l'évolution du coût de la vie, l'indice des prix à la consommation ayant crû de 1,7% entre avril 2005 et avril 2006 (source Insee). Elle ne traduit pas une tension particulière sur le marché de l'emploi avec une offre d'emploi prépondérante sur la demande. 2400 euros d'écart de salaire entre les hommes et les femmes Cette étude montre parallèlement que les inégalités hommes femmes perdurent puisque le taux de jeunes diplômées en activité professionnelle s'élevait à 59,4% pour les femmes au moment de l'étude et à 65% pour les hommes. Cette disparité se retrouve au niveau des salaires. Le revenu brut moyen annuel des femmes ingénieurs est celui qui progresse le plus (+ 3,6%) pour atteindre 28500 euros. Mais il reste inférieur à celui des hommes (+1,8%) qui se monte à 30 900 euros. (*) Insertion des jeunes diplômés. Enquête lancée en janvier 2006. (**) le taux net d'emploi est mesuré par Dap / (Dap+Dre), avec Dap : diplômés ayant une activité professionnelle et Dre: diplômés en recherche d'emploi. Utilisé pour mieux rendre compte de la réalité de l'insertion professionnelle car exclut les diplômés en poursuite d'études, en volontariat international et sans emploi volontaire. (...)
(23/05/2006 17:48:03)Technologie : le premier Master pour devenir chef de projet open source
L'Université du littoral-Côte d'Opale (Calais) lance à la rentrée 2006, le premier Master en Ingénierie du logiciel Libre (I2L), soit deux ans de formation technique informatique, dont l'une est focalisée sur les environnements et les technologies du libre. Rattaché à l'IUP de Calais, ce cursus de niveau bac +5 comprend des enseignements techniques et de gestion de projet qui visent à fournir toutes les compétences pour mener à bien des projets d'installation et de migration de logiciels libres. Il est supporté par un ensemble de partenaires issus du milieu de l'open source, les structures Linagora Mandriva, Itaapy, Alcôve, Wengo et le projet OpenWengo, OpenWide, Emencia, Wallix, Linux Conseil, Entr'ouvert, Easter-eggs, INL. Toutes interviendront durant le cursus, via des cours, des travaux pratiques ou des conférences ainsi qu'en soutenant des projets d'études menés par les étudiants. Ce Master est ouvert à des étudiants, mais aussi à des salariés en formation continue. Ces derniers ont surtout intérêt à suivre la deuxième année, plus marquée en enseignements sur les logiciels libres. Pour qu'ils puissent y accéder directement, un parcours de remise à niveau est prévu sous forme de stages intensifs de 5 demi-journées par semaine entre les mois d'avril et de juillet avant de démarrer les deux derniers semestres. Une validation des acquis de l'expérience (Vae) est aussi possible pour les non titulaires d'un Bac +4 qui souhaitent postuler. La création de cette formation témoigne d'une reconnaissance croissante et d'une professionnalisation du secteur open source identifié comme une « discipline » de l'informatique à part entière. Il existe encore peu d'enseignement dédié à ce domaine. L'université permanente de Nantes a mis au point des stages et des formations dans ce domaine, mais elles sont non diplômantes. Parmi les pionniers, l' école ouverte francophone a ouvert ses portes en janvier dernier et propose des formations à distance sur le même mode de fonctionnement que les communautés du logiciel libre. (...)
(22/05/2006 17:56:06)Grandes Ecoles : Microsoft et l'Eisti unissent leurs forces pour 3 ans
Eric Boustouller, le Président de Microsoft France interviendra demain 23 mai sur le campus de l'Eisti (Ecole internationale des sciences et du traitement de l'information, Cergy, Val d'Oise) sur le thème "Entreprenariat et Economie du logiciel". Cette conférence marquera le lancement officiel du partenariat qu'il vient de conclure pour trois ans avec l'école d'ingénieurs en vue d'un échange et d'un partage de compétences. Les termes de cet accord vont en effet permettre à Microsoft d'avoir un accès privilégié aux étudiants et aux chercheurs de l'école. Il donne à ces derniers de la même façon, la possibilité d'entrer en contact avec des spécialistes de Microsoft, des responsables opérationnels, des développeurs et des chercheurs et d'utiliser ses technologies. Ces échanges visent plusieurs objectifs. Le premier est de favoriser des projets de recherche au sein l'Eisti. L'établissement de formation aura un accès aux appels d'offre de l'unité de recherche Microsoft Research Cambridge, le soutien de l'éditeur pour y accéder, des prêts de produits et des contacts avec ses chercheurs. Il aura aussi le support de l'éditeur pour la réalisation d'un MédiaLab, autrement dit d'une plateforme de tests et de démonstration autour des technologies multimédia. Parallèlement, le partenariat se traduira par le développement des rencontres entre Microsoft et les enseignants afin d'étudier des axes de collaboration, et avec les étudiants pour soutenir voire sponsoriser leurs projets et aider leurs futures insertions professionnelles. Microsoft favorisera enfin l'accès à ses logiciels et aidera l'Eisti à déployer certaines de ses technologies pour son usage en infrastructure interne. (...)
(11/05/2006 12:34:00)Géomatique, géomarketing: des métiers en phase avec l'essor de la mobilité et de la mutualisation
Du 16 au 18 mai, à Paris, Porte de Versailles, le salon Géo-événement 2006 fournit une tribune aux métiers concepteurs et utilisateurs des systèmes d'information géographique (SIG). Avec, dès le premier jour, la tenue des "1ères assises des géomaticiens" qui fait suite au colloque emploi/formation de l'Afigeo (association professionnelle) qui s'est tenu le 1er décembre dernier. Car les questionnements et les raisons de se remettre en cause ne manquent pas pour ce milieu en forte mutation sous les impacts cumulés de l'évolution des technologies (l'effet du logiciel Google Earthnotamment, et les risques de la banalisation), de l'émergence de débouchés fort diversifiés (santé, sécurité civile, transports et logistique, géomarketing, mobilité) mais aussi des difficultés de positionnement. En voie de structuration, la filière des métiers liée à l'exploitation des données géographiques s'appuie sur un réseau de formation initiale (masters et licences) relativement fourni. Au dernier recensement présenté par l'université d'Orléans au colloque de décembre 2005, plus de cent géomaticiens débutants sont issus chaque année des huit licences professionnelles dédiées. Ils sont chefs de projet SIG, projeteurs, chargés d'études ou de mission, gestionnaire de bases de données, technico-commercial ou tout simplement informaticien de collectivité territoriale. Mais en dépit de l'essor des débouchés depuis vingt ans (65% des emplois dans le secteur public, 35% dans les entreprises, en 2005, contre une répartition 50% public-50% privé en 2003), la filière n'en est pas moins marquée par la précarité. Selon l'étude faite en 2003 et en 2005 auprès des professionnels en activité (étude Afigeo, CNIG, GeoRezo.net), 46% d'entre eux ont déjà connu une période de chômage. Signe d'une certaine dynamique intra-professionnelle, 40% des "pro" du SIG, en poste ou non, sont en recherche d'emploi. Plus encourageant encore, les nouvelles pousses nées de cette activité multifacette trouvent écho à leur offre, avec des services spécialisés, des logiciels de géomarketing notamment, y compris auprès des petites entreprises qui commencent à les trouver à leur portée. En Bretagne et en pays nantais, le Réseau géomatique de l'Ouest s'en fait le porte-drapeau en fédérant les entreprises (Alkante, Archivideo, Artefacto/Aiga, G2B/Memoris, Geobs, Netagis, Thales Navigation), les laboratoires (Institut de géographie et d'aménagement régional de l'université de Nantes, Ecole supérieure des géomètres et topographes, master Sicat de l'université de Rennes 2), les collectivités et services de l'Etat travaillant dans ce domaine. Autre pan de questionnement qui trouvera écho durant le Géo-événement 2006, les enjeux du géomarketing avec, notamment, la diversité des systèmes d'information auxquels doit s'intégrer l'apport de cette utilisation de l'information géographique, les conséquences et besoins générés par la mobilité des consommateurs, la sophistication croissante des outils masquant une pauvreté de l'analyse, etc. Sans oublier l'apport de l'Open source, des pratiques de coopération et de mutualisation et autres "géoloufoqueries" (sic, organisateur Ortech). (...)
(09/05/2006 18:09:51)Management : des outils pour personnes dyslexiques aux communautés de blogs
Le mastère spécialisé en « Création et production multimédia » monté en 2005 par l'Ina (Institut national de l'Audiovisuel) et l'ENST (Ecole nationale supérieure des télécommunications) recrute sa deuxième promotion qui fera sa rentrée en octobre 2006. Elle attend des personnes titulaires d'un Bac + 5 ou d'un Bac + 4 avec trois ans d'expérience professionnelle, des étudiants ou des salariés en formation continue. Il seront formés à la conception et la réalisation de contenus numériques et interactifs, à l'ingénierie, la stratégie, le droit et la gestion multimédia. La première promotion du mastère regroupe dix stagiaires, six étudiants et quatre salariés. Parmi ces derniers, il y a un ingénieur informaticien, un designer web, un ingénieur du son et un salarié de l'audiovisuel. Tous s'apprêtent à démarrer leurs stages de fin de cursus (4 mois). Ces stages se feront pour la plupart dans le cadre de projet de développement de sites web et d'applications multimédia. Les stagiaires occuperont essentiellement des fonctions marketing et de chef de projet. Les projets sur lesquels ils vont travailler concernent par exemple les technologies sensitives et leurs usages, les outils d'aide aux gens dyslexiques, des applications éducatives multimédia, des solutions d'envoi d'informations sur des téléphones mobiles et les communautés de blogs. (...)
(09/05/2006 18:10:12)Technologie : un pôle d'enseignement européen dans l'aéronautique
Les informaticiens qui souhaitent travailler et faire évoluer leur carrière dans l'aéronautique pourront désormais se renseigner auprès de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (ISAE). Cette entité devrait voir le jour en 2007. Elle sera le fruit du rapprochement des deux écoles d'ingénieurs phares de ce secteur professionnel, Supaero et l'Ensica qui proposent une large palette de formations continues qui inclut des enseignements en informatique, réseaux et électronique. L'objectif de ce rapprochement est d'accroître la visibilité des écoles et de construire les bases d'un pôle de formation et de recherche européen. Il est directement lié à la création du pôle de compétitivité « Aéronautique, Espace et Systèmes embarqués » des régions Aquitaine et MidiPyrénées et doit contribuer aux projets qui en émergeront. (...)
(04/05/2006 17:56:23)Le Cnam élargit son offre de formation pour la professionnalisation
Par la formation en alternance, le réseau du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) répond aux évolutions du secteur informatique et télécoms avec une douzaine de cursus couverts par des contrats d'apprentissage (formation initiale) ou contrats de professionnalisation (formation continue). Une formule à laquelle, toutes disciplines et métiers confondus (*), les grandes entreprises souscrivent de longue date (Alcatel, France Telecom, Thales, SNCF, etc) avec l'accueil d'apprentis ou pour la promotion de cadres maison qui décrochent ainsi le titre ou diplôme convoité. En informatique, depuis la conception de systèmes décisionnels jusqu'à la gestion de projet, de l'administration de systèmes et réseaux jusqu'à l'ingénierie d'intégration de systèmes, l'éventail des formations en alternance menant à des certifications/diplômes (ou unités de valeur) se déploie sur une dizaine de centres en région parisienne (Paris, Orsay, Saint-Denis) et en régions (Valenciennes, Le Havre, Lyon, Amiens, Avignon, Marseille). Depuis l'été 2004, le Cnam et son institut du management (IIM) dirigé par Raymond Leban, ont renforcé la plateforme de formations managériales à destination de cadres en activité ou d'étudiants en quête d'une formation complémentaire avec une série de masters (conseil en organisation et conduite du changement, stratégies et techniques du métier d'organisateur, ingénierie de projets internationaux, gestion de projet et d'affaires, MBA). A la rentrée de septembre 2006, cette fois, c'est au niveau bac+2 que l'éventail sera renforcé avec, notamment, un DUT d'informatique (Saint-Denis). En vue, également, un soutien au développement de l'apprentissage en banlieue parisienne et dans les régions, passant notamment par des centres dédiés (la Maison de l'alternance en Seine-St Denis, CFA de Lorraine...). (*) Pour rappel: Le Cnam présent dans 150 villes en France délivre chaque année quelques 7000 diplômes (toutes disciplines) dont 1000 titres d'ingénieurs. (...)
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