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Fusions/Acquisitions

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(13/12/2010 11:19:52)

Quand Microsoft voulait racheter Facebook pour 15 milliards de dollars

Selon Fritz Lanman, directeur en charge de la stratégie et des acquisitions chez Microsoft, « Mark Zuckerberg, CEO de Facebook, a refusé l'offre de 15 milliards de dollars que lui a fait en 2007 Steve Ballmer, le CEO de Microsoft. » Interviewé après sa prestation, celui-ci a donné quelques détails sur la transaction et son échec : « Oui, nous avons essayé d'acquérir Facebook, » comme le rapporte TechCrunch. « À l'époque, Facebook présentait beaucoup de similitudes avec Microsoft. » Après le refus de Facebook, l'éditeur a pris une participation à hauteur de 240 millions de dollars dans l'entreprise de Mark Zuckerberg. Les deux sociétés ont depuis continué à travailler ensemble. En octobre, elles ont annoncé une association pour rendre la recherche du moteur Internet Bing plus sociale. Dans le cadre de ce partenariat, le moteur de recherche de Facebook, alimenté par celui de Microsoft, facilite la recherche de personnes sur le site de réseautage social.

Un rachat qui n'était pas une garantie de succès

Pour Fritz Lanman, Facebook pourrait valoir un jour autant que Microsoft. «On peut dire que Microsoft a raté une énorme occasion d'acheter Facebook lorsque Steve Ballmer a rencontré Mark Zuckerberg, » renchérit Dan Olds, analyste au Gabriel Consulting Group. «Plusieurs fois, Microsoft a offert une énorme quantité d'argent, mais sa proposition a toujours été refusée. Comme Facebook est une entreprise privée, la meilleure chose à faire pour Microsoft était de prendre une petite participation (240 millions de dollars). » La décision de Mark Zuckerberg pour sa startup naissante a peut-être été la bonne. « Qui peut dire si Facebook aurait eu autant de succès si elle avait été rachetée et dirigée par Microsoft ? »  se demande Dan Olds. « De ce que nous connaissons de Microsoft, on peut se dire que l'éditeur aurait pu tout gâcher ! »

Illustration :  Fritz Lanman, directeur en charge de la stratégie et des acquisitions chez Microsoft, crédit D.R.

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(10/12/2010 10:40:42)

Afone rachète la filiale française de Primus et revend ses parts dans Tutor

Tutor est un opérateur de réseaux d'infrastructures en fibre optique pour les collectivités locales. Cet opérateur, basé à Amiens, est intervenu dans les DSP de la Somme, du Grand Nancy, du Cher et auprès du Sipperec (région parisienne nord et est). « Nous avions investi dans cette société en pensant détenir un avantage concurrentiel, nous avons révisé notre jugement », nous explique Philippe Fournier, le PDG d'Afone.

Très clairement, il pointe trois sujets : la lenteur du déploiement des réseaux fibre optique en France, la réticence du consommateur à payer plus que son offre adsl, le modèle financier très consommateur en fonds propres pour les opérateurs. « La conjonction de ces trois paramètres nous a conduit à arbitrer notre participation ». C'est la société de venture capital, Clean Energies qui reprend les parts de Afone dans Tutor, Clean étant un spécialiste des infrastructures électriques.

Primus revend ses filiales européennes

La reprise de Primus France s'inscrit dans un autre contexte. Primus Telecommunications, opérateur américain, spécialiste des backbone d'opérateurs se retire de l'Europe. La filiale française est rachetée en partie par Afone, qui va l'intégrer totalement dans ses propres structures, et reprendre 22 salariés. L'autre partie, est reprise en direct par Primus uk et us. Dans les deux cas, il s'agit de 15 millions d'euros de chiffre d'affaires.

Afone trouve un intérêt direct dans ce rachat. Il lui apporte un accès moins cher aux réseaux internationaux, fixes et mobiles. Afone passait par France Télécom et SFR. Les services VoIP de Primus complèteront par ailleurs ceux de Afone. « Nous avons terminé l'intégration de Carte et Services, nous sommes dans une très bonne situation financière, Afone est donc configuré pour aller encore de l'avant » conclut Philippe Fournier.

 

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(09/12/2010 16:41:34)

Dell en pourparlers pour racheter le spécialiste du stockage Compellent

La société Dell a annoncé ce jeudi qu'elle est en pourparlers avancés avec le fournisseur de solution de stockage Compellent Technologies.  Le Texan propose 27,50 dollars par action, ce qui valorise l'entreprise à 876 millions de dollars. Les deux compagnies n'ont pour l'instant donné aucune assurance quant à la signature d'un accord et elles ont clairement indiqué qu'elles n'ont pas l'intention de faire de commentaires supplémentaires « jusqu'à ce qu'un accord soit atteint ou les discussions terminées. »

L'offre de Dell est nettement en dessous du prix de l'action Compellent à la clôture du marché mercredi soir, soit 33,65 $. Le marché du stockage est aujourd'hui en pleine ébullition. Un peu plus tôt cette année, en septembre exactement, Dell a perdu la bataille d'enchères pour 3Par tombée dans le giron de Hewlett-Packard pour un total de 2,3 milliards de dollars, et en novembre EMC a annoncé qu'il paierait 2,25 milliards de dollars pour Isilon Systems.

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(09/12/2010 16:40:20)

Juniper se renforce dans la sécurisation de la virtualisation avec Altor

Il y a quelques semaines, Juniper avait racheté Trapeze Networks, aujourd'hui  le spécialiste réseaux et sécurité a déboursé 95 millions de dollars en cash, pour acquérir Altor.  Cette dernière a développé un pare-feu basé au niveau de l'hyperviseur, une détection des intrusions (IDS), des outils de visibilité et de surveillance du réseau, ainsi qu'un reporting pour la mise en conformité.

La solution d'Altor vise à vérifier et contrôler la sécurité à travers l'infrastructure de machines virtuelles. L'objectif est de comprendre comment s'effectue l'échange d'applications, de services et de trafic entre les VM. Altor Networks avait été fondée en 2007 par des spécialistes de la sécurité et des réseaux venus de Check Point Software, Cisco, et Oracle. Au début de 2010, Juniper Networks avait investi via son fonds d'investissement, Junos Innovation Found. (...)

(08/12/2010 15:57:11)

Dreamforce 2010 : Chatter de Salesforce.com s'offre une version gratuite

Chatter emploie des fonctionnalités classiques de réseau social comme les profils utilisateur, la mise à jour du statut, l'information en temps réel et le partage de fichiers. Maintenant, quand une personne acceptera une invitation Chatter , il recevra gratuitement ce service. Cette version aura cependant quelques limitations par rapport à d'autres versions du logiciel, tels que Chatter Plus, qui permet aux utilisateurs de « suivre » les données d'entreprises et de personnaliser leurs outils. Salesforce.com mise sur cette action marketing pour migrer les utilisateurs gratuits vers le modèle premium (15 euros par mois)

Quelques 60 000 clients de Salesforce.com sur 87 000 ont déployé Chatter depuis sa sortie, selon la société. Cette solution de collaboration a eu un impact important sur l'industrie IT, souligne Denis Pombriant, analyste chez Beagle Research. « En premier lieu, il a créé ou renforcé un marché de niche sur les technologies de collaboration. Deuxièmement, il est une nouvelle preuve de la robustesse du modèle de cloud computing et [de Salesforce.com plate-forme Force.com] en particulier. Et enfin, il popularise les médias sociaux », écrit-il sur son blog.  Il ajoute « Chatter évite beaucoup de pièges vus dans d'autres médias sociaux car  il est orienté vers l'entreprise et semble bien fonctionner d'après les retours ».

Marc Benioff, PDG de Salesforce a annoncé lors de sa présentation que le groupe lancera en février prochain, Chatter.com, qui sera disponible pour tout le monde, sans frais. Comme pour Chatter Free, le dirigeant espère que ce site permettra de recruter d'autres utilisateurs.

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(06/12/2010 16:36:16)

Moneo tombe dans le giron d'un fond d'investissement

Nos confrères de La Tribune ont signalé que la société BMS (Billettique Monétique Services) a été vendue par ses actionnaires historiques au fond d'investissements BlackFin Capital Partners. BMS a pour activité principale le porte-monnaie électronique Moneo. BMS a confirmé cette information en précisant que la SFPMEI (Société Financière du Porte Monnaie Electronique Interbancaire), établissement de crédit qui émet et garantit les encours de monnaie électronique, faisait également partie du périmètre de la cession.

Les actionnaires historiques de BMS se répartissent en trois blocs : le secteur bancaire (BNP-Paribas, Banques Populaires, Caisse d'Epargne, CIC, Crédit Agricole, HSBC, LCL, Crédit Mutuel, La Banque Postale, Société Générale), le secteur des transports publics (SNCF et RATP) et France Télécom. Simple porte-monnaie électronique autonome sur une carte à puce distincte, le système n'a pas cessé d'évoluer et de se repositionner : fonctionnalité embarquée sur des cartes bancaires classiques, en complément de cartes multiservices (comme pour payer sa cantine avec une carte d'étudiant), etc. Le manque de succès du système Moneo a sans doute incité les actionnaires historiques à jeter l'éponge.

Remplacer la monnaie pour les petits paiements

A la base, le système semble pourtant être une bonne idée : il s'agit d'éviter les échanges de pièces et de billets, notamment pour les très petites sommes. La manipulation des espèces est en effet fastidieuse. Elle implique en plus, pour le commerçant, de disposer d'une encaisse pour rendre la monnaie et conserver les paiements. De ce fait, elle est, enfin, génératrice de risques (détournements par le personnel, vols, pertes, erreurs de décomptes...).

Pour éviter les échanges télématiques coûteux entre banques et commerçants, comme avec les cartes bancaires classiques, le porte-monnaie électronique contient une certaine somme d'argent (chargée par une carte classique via un terminal comme un publiphone ou distributeur automatique de billets) qui peut être débitée par le porteur sans frais pour celui-ci, exactement comme s'il emportait des espèces dans un porte-monnaie classique, mais sans avoir à se préoccuper d'avoir de la monnaie.

Un système boudé par les commerçants

Or, le premier problème est que, justement, le coût du système est porté essentiellement par le commerçant qui se retrouve à devoir payer des commissions bancaires sur des petits montants, ce dont il n'a pas à souffrir avec des espèces. La rentabilité est limitée, étant donnée que l'encaisse reste obligatoire tant que Moneo n'est pas le seul système possible de paiement. Côté utilisateurs, les cartes spécifiques (téléphone, parking...) ont creusé leurs sillons tandis que les cartes bancaires classiques sont de plus en plus utilisables pour des montants faibles, notamment sur Internet. Enfin, d'autres systèmes plus adaptés (comme Paypal) se sont imposés dans les transactions entre particuliers qui ne peuvent pas se faire en espèces. La place pour Moneo s'est donc réduite comme peau de chagrin.

En perdant ses actionnaires historiques qui, tous, étaient intéressés au succès du système et disposaient d'une force de frappe importante, Moneo perd sans doute le dernier espoir de s'imposer. Du moins comme porte-monnaie électronique généraliste.

Crédit photo : D.R.
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(03/12/2010 16:50:06)

BMC s'offre GridApp Systems, pour gérer les bases de données dans le cloud

Le logiciel Clarity GridApp est déjà intégré à la plate-forme BladeLogic Automation Server de BMC. Il devrait aussi s'insérer dans les autres technologies de BMC comme la gestion des cycles de vie dans le cloud. Les capacités d'automatisation libèrent du temps et des ressources. Cette acquisition donne à BMC des produits d'automatisation de base de données de niveau international.

La plate-forme Clarity de GridApp est compatible avec Oracle, DB2 UDB, MySQL, Sybase et SQL Server, ainsi que les systèmes d'exploitation Linux, Windows, Solaris, HP-UX et AIX. Elle prend en charge les clusters de base de données comprenant Oracle RAC, Microsoft Cluster Server et Veritas. Elle peut également être utilisée pour gérer les bases de données sur les clouds publics, y compris Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) et Go Grid. Les clients de GridApp sont Bank of America, General Electric, Lockheed Martin et Merrill Lynch. La société a noué aussi des partenariats avec Hewlett-Packard, Quest Software, Oracle, IBM et Microsoft.

Avec ce rachat, BMC entend bien concurrencer les autres «Big Four» (CA, IBM, HP) des fournisseurs de systèmes de gestion. HP a en août dernier racheté le concurrent de GridApp,  Stratavia.

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(01/12/2010 12:51:36)

Red Hat acquiert Makara, spécialiste du PaaS

L'éditeur Open Source prévoit d'utiliser les technologies de Makara, dans le portefolio de sa Cloud Foundation. « Cette dernière donne aux clients et aux développeurs un accès plus facile au monde du cloud. Avec l'ajout du savoir-faire de Makara, nous cherchons à simplifier davantage le déploiement d'applications et de gestion », a déclaré Paul Cormier, responsable produits et technologies chez Red Hat.

Plus précisément, les logiciels de Makara pourront être utilisés dans le cadre de la Platform-as-a-Service (PaaS) de Red Hat. Lorsqu'ils seront combinés avec JBoss Enterprise Middleware, la plate-forme disposera de fonctionnalités supplémentaires de surveillance, de restauration et des outils d'évolutivité.

En mode PaaS

« Le PaaS devient un autre marché pour les éditeurs de logiciels qui cherchent à fournir des solutions d'entreprise convaincantes dans le cloud », a déclaré Rachel Chalmers, directrice de recherche au sein de 451 Group. « En rachetant les technologies développées par Makara dans le cloud, Red Hat est maintenant en mesure de répondre à ce marché en créant des solutions pour les entreprises à la recherche de déploiement, de gestion et des capacités d'auto-évolutivité au sein de la plate-forme initiale », dit-elle.

Nommé d'après une créature aquatique de la mythologie indoue, Makara est basé à Redwood City, en Californie. La société a reçu le soutien financier de Shasta Ventures, Sierra Ventures, Marc Andreessen et Ben Horowitz.

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(25/11/2010 11:01:16)

SSII : iOrga rachète Itaque

La SSII iOrga vient de racheter Itaque, cabinet de conseil qui sera intégré dans sa filiale consulting. Ce cabinet (basé à Avignon) lui apporte deux compétences : le conseil stratégique pour les ETI (les Entreprises de taille intermédiaire entre 250 et 2 000 salariés) et le conseil RH. Itaque va d'ailleurs publier un livre sur les transferts de compétences.

iOrga se développe ainsi par croissance organique et croissance externe. En 2009, la société  a réalisé un chiffre d'affaires (CA)  de 25 millions d'euros (ME) et compte dépasser les 28 ME sur son exercice 2010. En organique, la croissance s'élève à 3%. 75% du CA est réalisé en France, le quart restant à l'international. iOrga vient de s'implanter à Bruxelles et à Amsterdam en rachetant l'activité locale de Business et Décision en intégration JD Edwards / Oracle. La société est déjà implantée en Espagne, en Suisse et au Portugal. Elle compte deux collaborateurs au Canada, une tête de pont qui sera renforcée, si la Coface contribue à développer l'implantation de iOrga sur place. 

Quatre actionnaires fidèles

iOrga est détenue par quatre actionnaires : Promelys Participations (société de capital développement de la famille Gorgé), Alto Invest (société indépendante de gestion de portefeuille), BNP Paribas Développement (société de capital investissement), Turenne Capital (société indépendante de capital développement). Ils souscrivent aux augmentations de capital nécessaires à la croissance externe de la société, 1,3 ME en juin 2010, 3 ME en juin 2009.

« Nous avions trois axes forts, lors de notre création souligne Eric Patrux, P-dg d'Iorga Groupe : cibler les ETI;  couvrir l'Europe, la France étant un département de l'Europe ; ne pas se développer seuls, nous sommes très liés à Oracle et gardons 4 actionnaires fidèles. Ces trois éléments fondateurs sont restés à l'ordre du jour. »

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