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Fusions/Acquisitions
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(22/12/2011 17:26:53)
Akamai rachète Cotendo, spécialiste du CDN
Le marché du CDN (Content Delivery Network) se consolide avec l'annonce du rachat de Cotendo par Akamai pour un montant de 268 millions d'euros. Il s'agit de la confirmation d'une rumeur lancée à la fin du mois de novembre. Aujourd'hui, la plate-forme de mise en cache d'Akamai est utilisée pour accélérer de 15 à 30% du trafic web mondial. L'acquisition de Cotendo lui permettra d'offrir des services aux entreprises qui migrent vers le cloud et cherchent à rendre disponibles leurs applications sur les terminaux mobiles. Par exemple, la solution CDN mobile de Cotendo prend en compte les capacités des terminaux (y compris la taille de l'écran), l'évolution des conditions du réseau et des données de géolocalisation pour adapter aux mieux l'acheminement du trafic. La société propose également la plateforme Cloudlet, qui est utilisée pour optimiser le trafic cloud.
Akamai n'a pas fourni de détails sur la future intégration de la technologie Cotendo dans ses offres existantes, ni sur l'avenir des produits de Cotendo.
Cotendo a été fondée en 2008 et est basée à Sunnyvale, en Californie, avec un centre technologique en Israël. La société compte environ 100 employés, dont plus de 50 sont basés en Israël. L'acquisition devrait être finalisée au premier semestre de 2012.
Imation acquiert la technologie de déduplication de Nine Technology
Imation, qui propose des bandes, de disques durs, de lecteurs flash, etc. a annoncé l'acquisition de propriétés intellectuelles et d'autres ressources de la société Nine Technology, spécialisée dans la sauvegarde. Celle-ci dispose d'une technologie brevetée de déduplication en deux étapes au niveau des blocs. La dédup élimine les données redondantes, ce qui permet des temps de sauvegarde plus courts, une restauration plus rapide et des coûts d'infrastructure plus faibles. Cette technologie a été à l'origine de quelques rachats ces dernières années comme Data Domain racheté en 2009 par EMC et Ocarina Networks acquis en 2010 par Dell.
Imation a déclaré que Nine Technology gardera son autonomie pour fournir des services de protection des données. . « L'acquisition par Imation de cette technologie de déduplication représente une étape majeure dans notre stratégie de croissance de stockage évolutive » évoque dans un communiqué Ian Williams, vice-président en charge de la gestion produits et marketing international chez Imation ».
Les conditions financières du contrat n'ont pas été divulguées
Apple aurait bien acquis Anobit, spécialiste du stockage Flash
Les informations publiées la semaine dernière par Calcalist, quotidien économique hébreu, sur l'acquisition d'Anobit par Apple semble se concrétiser. Les employés de la société israelienne auraient été informés de la revente selon le journal. Ce dernier évoque toujours la somme de 400 à 500 millions de dollars pour l'opération, soit la plus grosse acquisition de la firme de Cupertino depuis le rachat en 1997 de NeXT fondée par Steve Jobs. Cette information serait corroborée par un tweet du Premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui souhaite « la bienvenue à Apple pour sa première acquisition. Je suis certain que vous bénéficierez du savoir-faire israélien ». Selon le quotidien économique, l'acquisition d'Apple comprendrait également la création d'un centre de R&D en Israël. Il reste maintenant à attendre les communications officielles des deux protagonistes qui ne devraient plus tarder.
La mémoire flash un enjeu stratégique
Anobit, société israélienne, fondée en 2006, a inventé un circuit spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité et la longévité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs. Son produit s'adresse aux tablettes et aux smartphones pour améliorer la performance de la mémoire flash. Avec cette acquisition, Apple mettra aussi la main sur un portefeuille de 25 brevets validés (sur 91 au total). Anobit propose également des disques SSD baptisés Genesis.
La fiabilité et la performance des disques SSD vont devenir un enjeu important pour les prochaines années. Plusieurs cabinets d'analystes estiment que le prix de ces supports va baisser et que la demande en la matière va croître fortement, aussi bien pour un usage personnel que professionnel. Apple a donc tout intérêt à se positionner sur ce marché avec un acteur doté d'une bonne technologie.
Amazon et Nokia-Microsoft convoiteraient RIM
En lançant un avertissement sur ses résultats et en retardant la sortie de son prochain BlackBerry, RIM s'expose à des demandes de rapprochement pour faire face aux difficultés. Cet été, selon Reuters, c'est Amazon qui se serait dévoilé pour acquérir le fabricant canadien. Le spécialiste du commerce en ligne aurait mandaté une banque de conseil pour réfléchir sur un potentiel rachat. Les sources citées par l'agence de presse ont indiqué qu'Amazon n'avait pas fait d'offre formelle, devant le refus des dirigeants de RIM. Le nom d'Amazon avait été également cité sur le rachat de WebOS de Palm. L'éditeur souhaite acquérir un écosystème mobile complet pour se démarquer de sa dépendance à Android de Google.
Nokia et Microsoft auraient travaillé également sur un projet de reprise conjointe de RIM selon le Wall Street Journal. Le quotidien précise que rien n'a été formalisé en raison de la complexité du dossier. On notera que RIM a déjà des partenariats avec Microsoft pour l'utilisation du moteur de recherche Bing.
(...)
AT&T renonce au rachat de T-Mobile USA
Après avoir retiré son dossier auprès de la FCC (régulateur américain des télécoms), AT&T a officiellement renoncé à acquérir T-Mobile USA, filiale de Deutsche Telekom. L'opération d'un montant de 39 milliards de dollars se trouvait confronté à plusieurs obstacles réglementaires. Le département de la Justice et la FTC s'étaient saisis du dossier et avaient exprimé des doutes sur l'impact concurrentiel et sur l'emploi d'un tel rapprochement. AT&T jette donc l'éponge et versera au passage à T-Mobile la modique somme de 4 milliards de dollars (dont 3 en cash et 1 milliard en fréquences ) en guise de réparation. (...)
(16/12/2011 11:58:01)Après SAP, Salesforce.com se paie un acteur des RH
Une semaine après le rachat de SuccessFactors par SAP, c'est au tour de Salesforce.com de racheter un éditeur spécialisé sur la gestion des ressources humaines en mode SaaS (software as a service). Il s'agit de la société canadienne Rypple dont l'application se concentre sur la gestion des performances des collaborateurs. La transaction, dont le montant n'a pas été indiqué, devrait se clore d'ici fin avril 2012.
Pour se payer SuccessFactors, engagé dans le SaaS dès sa création en 2001, SAP a déboursé la coquette somme de 3,4 milliards de dollars, pour une offre fonctionnelle étendue qui va de l'alignement sur les objectifs de l'entreprise à la gestion de la rémunération, en passant par le recrutement et la formation.
Une offre renommée Successforce !
Avec un culot certain, Salesforce.com a annoncé qu'il relancerait l'application de Rypple dans le cadre de Successforce, une entité qui sera dirigée par John Wookey. Pendant quelques années, ce dernier a conduit la stratégie menée par SAP autour des solutions SaaS complémentaires à son offre. Il a quitté l'éditeur allemand en avril et rejoint Salesforce.com en novembre.
Pour Marc Benioff, Salesforce.com et Rypple partagent la même vision sur l'intérêt d'étendre les fonctions de type réseau social dans l'entreprise pour transformer la façon de travailler. Dans un communiqué, il précise que la nouvelle génération d'applications HCM (human capital management, gestion du capital humain) ne relève pas seulement d'un mode de déploiement dans le cloud, mais d'une manière fondamentalement meilleure de recruter, de gérer et de donner de nouveaux moyens aux collaborateurs. John Wookey ajoute de son côté que Rypple va apporter à Salesforce.com les bases pour révolutionner le marché HCM.
Des mécanismes empruntés au jeu
Ce rachat braque les projecteurs sur une application de gestion de la performance des salariés utilisée par le premier des réseaux sociaux, Facebook. L'approche de Rypple évite le recours aux statistiques et l'examen périodique des performances. A la place, son logiciel permet aux managers de communiquer des feedbacks et des remerciements publics individuels aux équipes et aux personnes.
Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, voit dans l'offre de Rypple une convergence entre la gestion des performances, l'utilisation de mécanismes de jeux (gamification) et de fonctions de réseau social. « Ils essaient de rendre amusante la gestion de performances », estime-t-il. 
Rypple propose d'adresser des remerciements.
[[page]]C'est aussi le type d'application qui peut toucher potentiellement chaque utilisateur dans une entreprise, ce qui donne à Salesforce.com l'opportunité de déployer ses applications de façon significative, comme il pourrait le faire avec la gestion des notes de frais, ajoute Ray Wang. [Un calcul également fait par SAP avec le rachat de SuccessFactors].
La technologie de Rypple est par ailleurs appréciée par Naomi Bloom, spécialiste des logiciels de RH, associé de la société de conseil Bloom & Wallace. « Tout le monde déteste les évaluations de performances ». Selon elle, si l'on pouvait les faire ressembler davantage à un outil de type Facebook, ce serait une bonne chose. Elle juge que Rypple a bien su intégrer cela dans son produit. D'un point de vue stratégique, la gestion de performances est une bonne porte d'entrée pour les éditeurs de logiciels HCM. Elle explique que ce n'est pas soumis à des réglementations, ce qui évite d'être submergé par ce type de contraintes. « Cela concerne davantage la culture d'entreprise »
Quid du partenariat avec Workday
A long terme, la stratégie HCM de Salesforce.com pourrait soulever des questions autour de son partenariat avec Workday, pense par ailleurs Naomi Bloom. Workday a décroché plusieurs mises en oeuvre importantes sur son logiciel HCM dans le cloud, dont un contrat portant sur 57 000 utilisateurs chez le fournisseur de biens de consommation Kimberly-Clark, annoncé hier.
« Ce ne serait pas déraisonnable de la part de Salesforce.com de construire quelque chose de substantiel dans la gestion du capital humain », estime l'analyste. « Je ne pense pas que John Wookey serait là s'il était simplement question d'étoffer cette gestion des performances. » La plateforme Force.com de Salesforce.com n'a peut-être pas toutes les capacités pour le faire, ajoute-t-elle, mais John Wookey saura au moins quels sont les besoins.
Google s'empare de Clever Sense et de son assistant personnel
Google s'est offert la start-up Clever Sense, créatrice d'Alfred, une application mobile de recommandations personnalisées de lieux, pour un montant non encore divulgué. Le géant des bons de réduction Groupon aurait également été sur les rangs pour racheter Clever Sense. Mais c'est la firme de Moutain View qui a eu le dernier mot avec ce rachat qui lui permettra de se renforcer dans le domaine des recommandations locales. En septembre dernier, Google s'était emparé de Zagat et de ses guides gastronomiques, ce qui lui avait permis de disposer des meilleures offres de restaurants et des recommandations des consommateurs sur leurs endroits favoris.
Alfred est un assistant personnel qui fournit des suggestions sur les restaurants, les bars et sur la vie nocturne dans la localité où l'utilisateur se trouve.
Une application pour le grand public et les professionnels
Babak Pahlavan, co-fondateur et PDG de Clever Sense, a précisé, dans une note publiée sur le site Internet de la start-up, que l'application Alfred pouvait inclure d'autres sources de données et services. Pour lui, la découverte de l'information locale est importante et les particuliers, comme les professionnels, profiteront de l'acquisition de la société.
Le patron de Clever Sense estime aussi qu'aujourd'hui, il est devenu plus que nécessaire d'avoir un assistant personnel compétent, toujours prêt à ses côtés, qui passera au crible la surcharge d'information quotidienne et offrira des choix réellement pertinents en fonction de ce que l'on aime ou ce que l'on veut faire.
Andy Rubin, vice-président de l'activité mobile chez Google, avait cependant déclaré, lors de la conférence AllThingsD Asiad en octobre dernier, qu'il ne pensait pas qu'un smartphone devait faire office d'assistant. « Vous ne devriez pas communiquer avec votre smartphone, mais plutôt être en communication avec quelqu'un grâce à celui-ci », avait-il souligné.
La plateforme, autour de laquelle Alfred est bâti, est décrite par son éditeur comme étant conçue « pour connecter le monde en ligne avec le monde hors ligne en fournissant des recommandations aux utilisateurs, en tenant compte de leur temps, du lieu et de leurs intentions ».
L'assistant est disponible pour les terminaux sous Android et également pour les iPhone et les iPad.
Un moteur d'extraction intégré dans la plate-forme Clever Sense traite d'importants volumes de données non structurées en utilisant le traitement du langage naturel, l'apprentissage automatique statistique, et des algorithmes de data mining. Il est informé des intérêts des consommateurs et de leurs préférences en se fondant sur des interactions avec diverses sources, comme les applications de Clever Sense, mais aussi avec Facebook et Twitter.
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ASG Software Solution acquiert Atempo, spécialiste du backup et de l'archivage
Le fournisseur américain de logiciels professionnels, ASG Software Solution a annoncé le rachat de la société californienne, Atempo. Celle-ci est spécialisée dans les solutions d'archivage et la protection des données. Basée à Palo Alto, elle va enrichir le portefeuille d'AGS Software en matière d'archivage et de sauvegarde des données. Atempo possède 13 bureaux dans le monde et plus de 4500 clients manipulant de larges volumes de données, dans différents secteurs d'activités comme notamment l'industrie, l'audiovisuel, la santé, les télécommunications, le secteur public et l'éducation. La technologie d'archivage d'Atempo permet la préservation des contenus numériques sur le long-terme, l'optimisation des ressources de stockage et la gestion des métadonnées répondant aux besoins de recherche/e-discovery et de conformité réglementaire.
Une orientation vers le cloud
Michael Wall, président directeur général d'Atempo, explique que « ASG apporte à Atempo une plateforme de croissance et d'expansion sur le marché du cloud ainsi qu'une plus grande couverture à l'échelle mondiale. » De son côté, Arthur Allen, président directeur général d'ASG, estime que « la flexibilité d'Atempo est idéale pour renforcer plusieurs de nos champs de compétence comme notamment notre offre cloud et nos solutions de gestion de l'information et d'infrastructure ». Si l'orientation vers le cloud computing ne fait aucun doute, les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été dévoilés.
Apple désire acheter Anobit, spécialiste du stockage flash
Cela fait longtemps qu'Apple n'a pas fait d'acquisition notamment sur la partie hardware, les dernières étant Intrinsity et P.A Semi. Les rumeurs reviennent en force sur une probable acquisition dans le domaine. Selon un article d'un quotidien économique hébreu Calcalist, Apple serait en négociation pour racheter Anobit. La société israélienne, fondée en 2006, a inventé un circuit spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité et la longévité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs.
Son produit s'adresse aux tablettes et aux smartphones pour améliorer la performance de la mémoire flash. La firme de Cupertino pourrait débourser entre 400 et 500 millions de dollars pour acquérir les technologies d'Anobit, qui dispose de 25 brevets validés (sur 91 au total). Apple fait déjà partie des clients d'Anobit, tout comme Samsung et Hynix qui fournit la mémoire de l'iPhone 4S.
Le fonds Thoma Bravo acquiert Blue Coat pour 1,3 milliard de dollars
La société d'investissements Thoma Bravo acquiert Blue Coat, société spécialisée dans la sécurité et l'optimisation WAN, pour un montant de 1,3 milliard de dollars. Le conseil d'administration de l'entreprise a accepté cette offre et la recommande aux actionnaires. Selon les termes de l'accord, les actionnaires de Blue Coat recevront 25,81 $ par action, ce qui représente une prime d'environ 48 % par rapport au cours de clôture de Blue Coat, le 8 décembre dernier.
David Hanna, PDG de Blue Coat, a déclaré: « Au cours des six derniers mois, notre conseil d'administration a entrepris un examen exhaustif de toutes les options stratégiques disponibles pour Blue Coat. Après une évaluation approfondie des alternatives stratégiques avec nos conseillers indépendants, le Conseil a conclu que l'accord avec Thoma Bravo constitue une offre attrayante pour nos actionnaires »
Orlando Bravo, directeur associé chez Thoma Bravo, a ajouté: « En tant que société privée, Blue Coat sera mieux positionnée pour innover à un rythme accéléré et atteindre un niveau de croissance supérieur. »
L'opération est soumise à l'accord des autorités de concurrence ainsi qu'à l'approbation des actionnaires de Blue Coat. Cette dernière prévoit la finalisation de la transaction au premier trimestre 2012.
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