Flux RSS
Green IT

297 documents trouvés, affichage des résultats 31 à 40.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(24/12/2010 10:45:31)
Bilan datacenter 2010 : Consolidation et automatisation
L'informatique à la demande a remis au centre du débat les datacenters et notamment leur efficacité et leur architecture. Après une année de crise, les sociétés se sont penchées sur leur centre de coût et donc sur leur datacenter avec comme objectif la consolidation.
Le tout en un et le modulaire
Conscient de ce changement, les grands groupes IT se sont focalisés sur la création d'équipements qui sont capables de gérer l'ensemble des composantes d'un datacenter. EMC, Cisco et VMware ont ainsi présenté leur VBlock, assemblage d'élément serveur, réseau et stockage.. De son côté, HP propose son offre Blade System Matrix, qui reprend les mêmes caractéristiques. Oracle n'est pas en reste avec son produit Exalogic. Des intégrateurs et des opérateurs seront les prescripteurs de ces produits. Pour certains analystes, nous sommes dans une phase de guerre des stacks. Il n'en demeure pas moins que l'adoption de ce type d'équipements se fera progressivement et entre en compétition avec les sociétés qui disposent d'un savoir-faire sur chaque brique.
Opérateurs et constructeurs s'intéressent également au datacenter modulaire. HP a présenté son POD, Colt a suivi aussi sur ce modèle et une autre société I/O prévoit des datacenters modulaires autonomes. Enfin SGI prévoit un conteneur avec un refroidissement par l'air extérieur.
Green IT et automatisation
Un peu délaissé, la consommation énergétique des datacenters est de nouveau, un sujet d'importance pour les entreprises. Le développement de processeurs moins gourmands, d'une meilleure utilisation des serveurs, via la virtualisation ont permis de diminuer ce poste de coûts. Des organismes comme le Green Grid affinent leur métrique pour évaluer le PUE (Power Usage Effectivness) en intégrant de nouvelles mesures comme l'eau et le charbon. L'objectif est de trouver un standard pour calculer l'efficience énergétique des datacenters.
Un autre sujet préoccupe les responsables IT avec l'évolution de leur infrastructure, la répétition de certaines tâches et donc de la mise en place de solutions d'automatisation. Lors d'un entretien, Yves de Talhouet, PDG de HP France, nous indiquait « Sur le plan technologique, il est important d'avoir une infrastructure bien intégrée pour disposer de puissance machine, de stockage, de pouvoir reconfigurer des aspects réseaux. Il est nécessaire d'envelopper tout cela dans une couche logicielle, qui sert à automatiser la gestion de cette plateforme. » Beaucoup d'éditeurs et de constructeurs se sont donc lancés dans la création de logiciel d'automatisation, sur différents axes. Certains s'orientent vers les environnements de développement et de tests, d'autres s'inscrivent dans l'interopérabilité entre cloud privé et public. Il est probable que d'autres annonces interviennent sur ce sujet dans les prochains mois.
SGI propose un container refroidi par l'air extérieur
Parmi les trois modèles proposés par SGI, le plus petit mesure 2,50 mètres de long, assez grand cependant pour accueillir quatre racks de serveurs, pour un prix démarrant à 75 000 euros environ, équipement informatique non compris. Les clients peuvent aligner ensemble quatre modules pour une capacité de 16 racks. Le concept particulièrement modulaire est aussi très économe en énergie. « Notre objectif est de rendre l'achat de centres de calcul modulaires plus facile. Notre produit permet de commencer petit, tout en offrant un bon rapport d'évolutivité,» a déclaré Bill Mannel, vice-président du marketing produit chez SGI.
La méthode utilisée par l'Ice Cube Air, qui consiste à aspirer l'air extérieur pour refroidir les matériels est considérée comme la plus économe en énergie. Si le climat devient moins adapté, s'il fait trop chaud notamment pour récupérer de l'air frais, SGI propose d'installer en secours des systèmes de refroidissement par expansion ou par évaporation. Elle peut ajouter aussi le refroidissement traditionnel pour les clients qui le souhaitent. Mais SGI estime que la climatisation par récupération de l'air extérieur peut être mise en oeuvre quel que soit le climat, au moins pour une utilisation partielle. « Cette solution peut être utilisée partout, même si elle ne fonctionne pas tout le temps, et cela quel que soit le lieu où est installé le datacenter. C'est la raison pour laquelle nous proposons des systèmes de refroidissement annexes, » a déclaré le vice-président marketing. « Un Ice Cube Air refroidi à l'air frais affiche une PUE de 1,06, » a-t-il ajouté.
Flexibilité et réalisme
Les deux autres modèles proposés par SGI sont un Ice Cube Air de 6 mètres, assez grand pour contenir 10 racks, et un autre composé de deux modules de 6 mètres mis en sandwich. Tous les modèles, petit, moyen, grand, peuvent également être emboîtés entre eux pour former des groupes de 4. « Les trois modèle sont en vente dès maintenant, partout dans le monde, » a déclaré Bill Mannel. « Les conteneurs sont compatibles avec les équipements de n'importe quel fournisseur.» a t-il précisé. SGI peut pré-installer les racks ou ils peuvent être posés sur site par les clients eux-mêmes. Les racks sont tous capables de supporter une charge énergétique au maximum de 25 kW, suffisante pour la plupart des clients.
La commercialisation de datacenters conteneurisés a décollé progressivement depuis que Sun Microsystems a lancé sa BlackBox, il y a trois ans. Ces centres modulaires sont maintenant vendus par plusieurs fournisseurs, dont IBM, Dell, Colt et Hewlett-Packard, lequel a récemment créé un centre de production entièrement dédié à ce type de produit. Cette solution permet aux clients d'ajouter rapidement de la capacité de calcul supplémentaire, dans le cas par exemple où un projet d'agrandissement est retardé. Elle est également utilisée dans des endroits éloignés, par les militaires et autres. Comme SGI, de plus en plus de vendeurs s'éloignent de la version basée sur le conteneur standard. I/o Data Centers, l'un des derniers entrants sur le marché, a déclaré il y a quelques mois son intention de vendre des centres de calcul portatifs sur mesure. SGI recommande ses modèles refroidis à l'air extérieur pour tous les clients, sauf s'ils doivent les transporter sur de longues distances. Dans ce cas, le vendeur continue à préconiser les conteneurs standards, qu'il juge plus robustes.
Le Green Grid mesure l'eau et le carbone utilisés dans les datacenters
Un document décrivant l'indicateur CUE ou Carbon Usage Effectiveness, devait être affiché sur le site web du Green Grid. Les documents décrivant la métrique WUE, ou Water Usage Effectiveness, sera publié en mars 2011. Le PUE, ou Power Usage Effectiveness, a été largement adoptée ces dernières années. Google et Microsoft se vantent souvent de leurs chiffres de PUE et de plus en plus d'entreprises le détermine comme point de départ de leurs projets d'efficience énergétique.
Le PUE mesure la part de l'électricité totale utilisée par un datacenter et consommée par les équipements informatique, plutôt que de prendre en compte celle perdue par les systèmes de refroidissement ou les alimentations électriques inefficaces. « La métrique CUE aidera les gestionnaires à déterminer le montant des émissions de gaz à effet de serre généré par le matériel IT dans un datacenter » a déclaré le Green Grid dans un communiqué. « L'indicateur WUE aidera les responsables à déterminer la quantité d'eau utilisée par l'installation, et le montant utilisé pour accompagner la charge de travail informatique. » précise l'organisme.
Elargir les mesures pour une meilleure évaluation
Les datacenters sont sous pression pour être plus respectueux de l'environnement. Greenpeace a ciblé le cloud computing comme une source de réchauffement de la planète, et en Europe il existe déjà des taxes sur le carbone pour les gros consommateurs d'énergie. La plupart des centres de calcul utilisent de grandes quantités d'eau pour le refroidissement, ce qui en fait un point à prendre en considération. La question est devenue importante aux États-Unis après un rapport du Congrès estime que les datacenters ont représenté 1,5 % de la consommation totale d'énergie nationale, et que ce chiffre pourrait doubler d'ici 2011.
Les nouvelles mesures seront discutées en mars lors d'un Forum technique du Green Grid qui se déroulera à Santa Clara, en Californie. Le consortium est composé principalement de fournisseurs IT, dont Microsoft, Oracle et HP, ainsi que quelques sociétés spécialisées, comme Target, qui propose des solutions pour améliorer l'efficacité énergétique des datacenters.
IBM en tête du Green500
Tandis que la Chine a pris la tête de la liste mondiale des supercalculateurs les plus puissants, l'Américain IBM s'est de son côté distingué dans la catégorie des systèmes présentant la consommation d'énergie la plus efficace par rapport à leur puissance de calcul. La prochaine génération de Blue Gene d'IBM, le supercalculateur Blue Gene/Q, arrive à la première place du Green500 publié la semaine dernière.
Le Blue Gene/Q est 165% plus efficace que le supercalculateur chinois Tianhe-1A qui occupe la première place du Top500 publié mi novembre. Et il est 77% plus efficace que le système qui le suit immédiatement au Green500, le Tsubame 2.0 de l'institut de technologie de Tokyo. En termes de données brutes, il a été constaté que le Blue Gene/Q exécutait 1,684 megaflops par watt, alors que le Tsubame 2.0 affiche 948 megaflops par watt. A la troisième place du classement figure encore un système américain. Il s'agit de l'EcoG du NCSA (National Center for Supercomputing Applications), avec 933 megaflops par watt.
1 milliard de watt d'ici dix ans si rien n'est fait
Cette liste fait apparaître que les supercalculateurs les plus puissants ne font pas nécessairement le meilleur usage de l'énergie consommée. Au chapitre des performances pures, le pic de performance atteint par le Blue Gene/Q, par exemple, plafonne à 653 teraflops en comparaison des 2,57 petaflops du Chinois Tianhe-1A. En revanche, l'efficacité énergétique de ce dernier ne dépasse pas les 635 megaflops par watt, ce qui le place à la onzième place du Green500.
L'idée de ce classement a pris forme en 2005, à l'instigation du chercheur en informatique, Wu-chun Feng, directeur du laboratoire Synergy de l'Université Virginia Tech. Deux ans plus tard, la première liste sortait, avec l'objectif d'attirer l'attention sur l'augmentation de la consommation d'énergie des supercalculateurs. Wu-chun Feng considère que l'efficacité énergétique doit être prise en compte dans les contraintes de conception des systèmes. Dans une interview accordée à nos confrères d'IDG News Service, le chercheur signale qu'à la fin de la décennie, si la conception des systèmes ne change pas de trajectoire, le supercalculateur de pointe consommera un gigawatt (un milliard de watts). Par ordre de comparaison, l'état de New-York a lui seul consomme une moyenne de 62 gigawatts par an.
IBM exploite sa puce PowerXCell
Le Green500 est mis à jour deux fois par an. La participation des candidats est volontaire et le classement repose sur le nombre d'opération en virgule flottante exécutées par watt d'électricité. Seuls les ordinateurs figurant dans le Top500 sont pris en compte.
La dernière liste montre que l'utilisation des processeurs graphiques (GPU) constitue une façon d'augmenter la puissance qui se trouve être relativement peu gourmande en énergie. Ainsi, quatre des dix premiers utilisent des GPU Nvidia, ce qui aurait été impensable il y a quelques années.
Le Blue Gene/Q d'IBM n'intègre pas de GPU. Il s'appuie sur un autre type de carte d'accélération, basée sur sa puce PowerXCell. Pour le professeur Wu-chun Feng, 2010 peut être considérée comme 'l'année de l'accélérateur'. « C'est une plateforme informatique alternative qui convient bien à des tâches différentes. L'autre avantage, c'est qu'il se trouve qu'elle présente un très bon rendement énergétique ».
Les entreprises considèrent le Green IT comme un réel enjeu
La SSII Devoteam a livré les résultats de sa seconde enquête européenne consacrée au Green IT. Cette année, 134 entreprises et organisations ont répondu depuis 11 pays européens aux questions mises en ligne par le groupe sur son site. Même si quelques répondants (14%) considèrent que le Green IT n'est qu'un prétexte à la mode pour réduire les coûts, l'immense majorité d'entre eux (67%) l'envisage comme un enjeu important pour le développement durable et un moyen de répondre aux attentes des clients. Par ailleurs, le datacenter concentre toute l'attention des directions informatiques. En effet, 65% des entreprises connaissent la facture électrique de leurs datacenters contre moins de 40% pour les postes de travail et les infrastructures réseaux. Reste que la situation a très peu évolué depuis l'année dernière : seules un quart des directions informatiques payent elles-mêmes leur facture énergétique. Pourtant, c'est lorsque la DSI informatique paye la facture électrique que le plus d'initiatives sont lancées. L'enquête montre 35% d'initiatives supplémentaires lancées dans ce cas.
Poste de travail : priorité aux actions à faible coût
Les actions telles que la sensibilisation (55% des utilisateurs) et le paramétrage économique des postes (51% des sondés) apparaissent, en outre, comme largement menées dans les organisations interrogées. S'agissant des bonnes pratiques mises en place pour les impressions, les personnes sondées estiment, en moyenne, imprimer 13 pages par jour. La généralisation des imprimantes multifonctions arrive en tête (62%). L'enquête montre également que les solutions de réunion à distance sont devenues incontournables. L'utilisation d'outils destinés à réduire les déplacements est en augmentation de près de 50% depuis l'année dernière : ainsi, 56% des entreprises interrogées indiquent utiliser des solutions de vidéoconférence, 34% s'appuient sur du webmeeting et 24%, sur de la téléconférence. Mais, si travailler en dehors de son bureau est technologiquement possible, pourtant, seulement 16% des employés télétravaillent en raison de freins sociaux. Néanmoins, les entreprises s'ouvrent progressivement au télétravail. Le pourcentage de répondants l'ayant intégré dans les contrats et conventions a doublé, passant de 30% en 2009 à 67% cette année.
Le bilan carbone à l'arrêt faute de réelles évolutions règlementaires
La part des entreprises à avoir réalisé un bilan carbone n'a pas évolué depuis 2009 et se stabilise à 32%.Cependant, les disparités sont considérables au sein de l'Europe. Le Royaume-Uni fait figure de bon élève avec plus de 90% des entreprises interrogées à avoir conduit un bilan carbone. Ce fossé s'explique par l'arrivée, depuis avril 2010, d'une législation contraignante : le Carbon Reduction Commitment, un système de bourse carbone pour les entreprises.
Enfin, seulement 21% des organisations connaissent le volume de leurs déchets électroniques et suivent leur fin de vie. Outre l'impact que ces déchets ont sur l'environnement s'ils ne sont pas traités dans des filières conformes aux normes en vigueur, ils constituent un risque important d'image pour l'organisation.
(...)
Avec RHEL 6, Red Hat se prépare pour les prochains serveurs
Red Hat vient de livrer la version 6 de RHEL, sa distribution pour l'entreprise du système d'exploitation Linux. Une évolution que Paul Cormier, président responsable des produits et des technologies de Red Hat, présente comme le couronnement de dix années d'enseignements et de partenariats. Il positionne le produit à la fois comme un environnement de déploiement dans le cloud et comme une solution de remplacement pour Windows Server. « Nous voulons pousser Linux davantage dans chaque département informatique ; c'est un bon produit pour éroder l'écosystème serveur de Microsoft, explique-t-il dans un webcast présentant la mise à jour de l'OS.
L'offre est présentée comme très « optimisée pour les déploiements centralisés, à grande échelle ». Elle comporte plus de 2 000 packages d'installation et son volume de code s'est enrichie de 85% par rapport à la version précédente, indique de son côté Jim Totton, vice-président de la plateforme entreprise de Red Hat. L'éditeur dit avoir ajouté 1 800 fonctionnalités au système d'exploitation et corrigé plus de 14 000 bugs.
Plus de 3 500 modifications sur le kernel Linux
Les efforts de développement se sont concentrés sur l'amélioration du kernel Linux, avec plus de 3 500 modifications, assure Jim Totton. Des avancées ont été également réalisées sur la gestion de la consommation d'énergie. L'OS exploite les nouvelles techniques d'économie apportées par les processeurs Opteron séries 4000 et 6000 d'AMD. Il détecte à quel moment les serveurs ne sont pas utilisés et éteint certains composants pour qu'ils consomment moins d'électricité.
Les responsables de Red Hat ont aussi cherché à voir bien plus loin. La nouvelle version pourrait supporter jusqu'à 16 téraoctets de mémoire utilisable, même si aucun système physique ne peut actuellement exploiter autant de mémoire dans un seul serveur. RHEL 6 a été configuré pour piloter jusqu'à 4 000 processeurs à partir d'une seule installation de l'OS. La mise à jour de l'OS améliore sa gestion des architectures Numa (non-uniform memory access) en permettant au kernel d'appréhender les diverses ressources mémoire à travers une variété de processeurs. Des fonctions nécessaires avec les systèmes multicoeurs, multinoeuds, explique Jim Totton.
Parallèlement à cette mise à jour, Red Hat a également annoncé un programme de certification pour ses partenaires. Celui-ci délivrera des certifications qui assureront aux clients que les applications écrites pour RHEL 6 seront en mesure de fonctionner pendant toute leur durée d'utilisation de l'OS.
Un guide informatique pour acheter plus vert
Pour faire entrer un produit dans son catalogue, la SSDD s'assure qu'il remplisse plusieurs critères. Elle prend en compte le fait qu'il ait reçu différents labels de l'industrie (Energy Star, Epeat...), la façon dont il est fabriqué ou distribué, ou encore le niveau de maturité du fabricant en matière développement durable... A l'issu de ce passage au crible, deux notes sont attribuées au produit : l'une mesure l'engagement de l'entreprise en matière de développement durable, l'autre le respect environnemental du produit.
L'ensemble des fiches techniques constituées, dans lesquelles figurent également les caractéristiques techniques des produits, est accessible via un moteur de recherche ou à travers différentes rubriques (périphériques, systèmes d'impression, matériel informatique...).
Un outil qui se veut indépendant des fournisseurs
Si l'accès à l'ecoguide de greenflex est totalement gratuit, la SSDD n'en poursuit pas moins un but commercial. Opérationnelle depuis environ un an, greenflex propose en effet des prestations d'audit et de conseil en développement durable, une aide à la mise en oeuvre d'une politique d'achat responsable, et une offre de financement. Cette dernière est accompagnée d'outils de pilotage qui permettent aux entreprises de mesurer l'écologie et l'économie de leurs achats. « Nous ne nous faisons en aucun cas rétribuer pour faire apparaître un produit sur nos pages. Seul compte le fait qu'il remplisse nos critères de sélection », tient à préciser Frédéric Rodriguez, l'autre co-président de greenFlex. En revanche, la possibilité pour une entreprise de gérer ses achats à travers un espace personnalisé sur le site est payante. Plus précisément, cette prestations sera accessible aux entreprise étant entrées dans une relation contractuelle avec greenflex intégrant un ou plusieurs autres de ses services.
A terme, l'entreprise souhaite également mettre en place une place de marché où fabricants ou distributeurs et clients pourront se rencontrer. Là encore, greenflex indique ne pas avoir l'intention de percevoir de commission sur les achats qui seront réalisées via son outil. Ces achats devront toutefois être financées par ses contrats de leasing.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |