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(08/06/2009 12:49:06)
Tribune : attention à l'impact judiciaire si l'adresse IP devient une donnée personnelle
L'adresse IP doit-elle devenir une donnée personnelle ? Des sénateurs planchent actuellement sur le sujet. Cela permettrait de mieux encadrer les pratiques des mastodontes du Web tels que Google, qui collectent les adresses IP à des fins marketing. Mais, dans une tribune publiée sur le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr, Alexandre Diehl, avocat spécialisé dans l'informatique et la propriété intellectuelle, précise que cela aurait aussi des implications sur l'arsenal législatif en matière de répression du téléchargement illégal, notamment. Car aujourd'hui, l'ambiguïté profite aux internautes, écrit Alexandre Diehl : "Cette adresse donne, dans le meilleur des cas, l'abonné, pas la personne qui utilise l'ordinateur. En matière pénale, un grand principe est celui que le doute profite toujours au suspect (c'est dans le corpus des droits de l'Homme). Dès lors, les juges ne pouvaient pas prononcer que cette donnée était « personnelle » au sens de la loi pénale. Ces jurisprudences étaient donc conformes.... aux droits de l'Homme." Tribune à lire ici. (...)
(08/06/2009 12:30:56)Bing séduit puis fait plouf
Microsoft y a cru, Google et Yahoo ont frémi. Puis le soufflet est retombé, aussi vite qu'il était monté. Bing, le moteur de recherche lancé par Microsoft au début du mois, a connu des débuts prometteurs, se payant même le luxe d'enregistrer une part de marché temporairement supérieure à celle de Yahoo aux Etats-Unis. Le 4 juin, Bing totalisait ainsi quelque 16,3% de l'ensemble des visites sur les moteurs de recherche par les internautes américains, contre 10,2% pour Yahoo et 71,5% pour Google. Des chiffres issus des observations réalisées par StatCounter, qui montrent que la fréquentation de Bing se fait presque exclusivement au détriment de Google. Cet engouement pour le moteur de Microsoft n'aura finalement duré que peu de temps, l'effet nouveauté étant, par définition, fugace. Aujourd'hui, la part de marché de Bing aux Etats-Unis est retombée à 4,7%, derrière Yahoo (10,7%) et Google (82,3%). Le constat est plus sévère encore au niveau mondial : alors que Google culmine à 88% de parts de marché et que Yahoo dépasse à peine les 7,1%, Microsoft doit se contenter de 2,8%. (...)
(05/06/2009 17:08:36)La recherche en carré de Google Squared ne tourne pas bien rond
La version bêta de Squared, le nouvel outil de recherche en ligne de Google, est disponible depuis hier sur les pages des Google Labs. Annoncé en mai dernier, Google Squared ('en carré' en français) organise les résultats de recherche sous forme de tableaux comparatifs, et non pas de listes de liens. En ordonnée, l'outil classe les résultats trouvés et en abscisse il propose des colonnes thématiques qui changent en fonction de la requête : nom, image, description, prix, caractéristiques techniques, localisation, nombre de pages... Comme sur un tableau Excel, l'utilisateur peut supprimer les colonnes ou en ajouter d'autres en cliquant dans une fenêtre. Le but de Google Squared consiste à agréger un ensemble de résultats de manière synthétique, afin d'éviter à l'utilisateur de devoir fouiller dans de nombreuses pages Web. « Certaines informations sont faciles à trouver, explique Alex Komoreske, chef de produit sur le blog de Google. D'autres questions sont plus complexes et vous obligent à visiter une dizaine ou une vingtaine de sites avant de collecter ce dont vous avez besoin. » Autrement dit, avec Google Squared les recherches devraient être plus rapides et plus ergonomiques. L'outil s'inspire largement de WolframAlpha, lancé en mai dernier, mais il est moins performant car il ne s'appuie pas sur un logiciel scientifique capable de calculer des données de toutes sortes et de fournir des résultats de recherche qualifiés. Beaucoup d'erreurs et d'omissions à corriger A l'usage, Google Squared est d'ailleurs loin de tenir ses promesses. Plutôt brouillon, il présente de nombreux défauts et autres bugs. Tout d'abord il est loin d'être complet. Pour exemple, il ne déniche que sept planètes, éjectant ainsi Mars et Uranus du système solaire et laisse Pluton en troisième position des résultats alors que ce dernier est passé au statut d'astéroïde en 2006. Les résultats sont également très inégaux. Steve Jobs, patron d'Apple, est absent alors qu'il est possible de connaître la date de naissance de Steve Ballmer ou le salaire de Larry Ellison, PDG d'Oracle. Et si on pousse un peu le moteur de recherche, il cale rapidement. Il peut par exemple fournir une liste - très incomplète - des présidents français, mais il est incapable de les ranger par ordre chronologique si l'internaute le lui demande. Le blog Blogoscoped a par ailleurs découvert que des personnalités étaient prématurément enterrées par le site, certaines - comme l'actrice Merill Streep -, le jour même de leur naissance. Google précise que son outil reste pour le moment expérimental. Visiblement il y a encore beaucoup de travail à faire et en attendant, mieux vaut se retourner vers des encyclopédies payantes ou des outils gratuits comme Wikipedia. Si l'encyclopédie en ligne pèche légèrement par son manque de fiabilité, elle reste néanmoins beaucoup plus complète et plus simple d'utilisation que Squared. (...)
(05/06/2009 16:46:15)Libération songe à une contribution des FAI au profit de la presse
Une nouvelle fois, un recours aux fournisseurs d'accès Internet (FAI) est évoqué pour rééquilibrer un manque à gagner, en l'occurrence celui que subissent les éditeurs de presse et de sites Internet. Le quotidien Libération vient ainsi d'ébaucher l'idée d'une « répartition » qui permettrait de « trouver un financement pour les sites d'information qui s'appuient sur des rédactions papier », rapporte l'AFP en citant la co-gérante du quotidien, Nathalie Collin. En décembre, déjà, les députés avait adopté le principe d'une taxe sur les revenus des FAI pour compenser la suppression de la publicité sur France Télévisions. La contribution imaginée par Libération pourrait représenter, selon Nathalie Collin, « un très faible pourcentage » du chiffre d'affaires des FAI. Cela pourrait se traduire par l'ajout d'une somme forfaitaire de quelques euros à la facture des abonnés au Web, rapporte de son côté le magazine Challenges qui cite Laurent Joffrin, directeur de Libération : « Il s'agit de rectifier les flux d'argent actuels au profit des rédactions, qui sont les auxiliaires du bon fonctionnement de la démocratie ».
(...)(05/06/2009 12:57:35)Goojet lève 6 M€ et lance sa deuxième version de widgets pour mobiles
Goojet, éditeur toulousain d'une application de personnalisation des interfaces mobiles, vient de lever 6 M€, fruits d'un deuxième tour de table auprès de ses investisseurs historiques, Elaia Partners, l'IRDI-ICSO et Partech International, rejoints par un nouveau, Orkos Capital, grand habitué des investissements dans des sociétés média et télécoms. En un an et demi, la startup a ainsi récolté 8,3 M€. Créé début 2007 par Marc Rougier, fondateur de Meiosys, un spécialiste de la virtualisation racheté en 2005 par IBM, et Ludovic Le Moan, fondateur d'Anyware Technologies (spécialiste des technologies mobiles et M2M revendu à Openwave), Goojet revendique 300 000 utilisateurs en France. La société (16 salariés) n'est pas encore rentable, mais espère le devenir à l'horizon de 2010. La levée de fonds lui servira à développer un modèle économique fondé sur trois piliers : l'intégration de services sponsorisés par des opérateurs mobiles (des accords sont en cours de discussion mais Goojet refuse de communiquer à ce sujet), des campagnes de publicité ciblée et l'ouverture d'un accès payant à certains services premium (pour le moment l'application est entièrement gratuite). Goojet compte également sur ce financement pour se développer à l'international, notamment en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne. L'application est téléchargeable sur plus de 500 terminaux mobiles différents (dont l'iPhone et le Blackberry) et elle est référencée par Android MarketPlace. Goojet propose à l'utilisateur de sélectionner une série de widgets - les 'goojets' - pour personnaliser son interface mobile plutôt que de se servir de celle proposée par les opérateurs. Les goojets sont à la fois des services Web (comme Twitter, FlickR, YouTube...), des mini applications et des services mobiles (conference call par exemple). La nouvelle version se divise en trois onglets : MyGoojet (qui regroupe les favoris de l'utilisateur), Messages et News, la partie sur laquelle la R&D de la société a le plus planché. Cet onglet regroupe les flux RSS, les activités des contacts, les recommandations de la communauté... Le profil est par ailleurs entièrement modifiable depuis le mobile, la version accessible par le Web a été simplifiée et un système de notification par SMS avertit l'utilisateur lorsqu'il a dépassé un certain nombre de messages non lus. (...)
(05/06/2009 12:34:20)Forrester IT Forum : « Les DSI doivent nager dans les mêmes eaux que la génération Y »
Comment les directions informatiques des grandes entreprises peuvent-elles économiser de l'argent et minimiser les risques ? C'est à cette question que se sont efforcés de répondre cette semaine les analystes de Forrester Research pendant trois jours, à Berlin, en abordant les grands thèmes du moment, comme les technologies de 'cloud', la stratégie 'lean', le Green IT... ou les réseaux sociaux et le Web 2.0. En ouverture de cet IT Forum européen, et même si cela commence à faire un peu tarte à la crème, le PDG de Forrester n'a pas manqué de rappeler que la crise actuelle constitue aussi l'opportunité de prendre des décisions radicales. Des décisions censées propulser les entreprises à des kilomètres devant leurs concurrents dès que la récession aura pris fin. Mais des décisions qui demandent de rajeunir considérablement les points de vue sur le métier des entreprises, sur les nouvelles générations de clients et les nouvelles générations de collaborateurs. Pour George Colony, CEO de Forrester Research, les DSI et autres décideurs IT doivent considérer et agir sur six points clés. 1) Quelle que soit l'activité de l'entreprise, tout va désormais passer par l'informatique ; autrement dit, il faut que les DSI ne considèrent plus seulement l'IT, mais les BT (« business technologies »), ou comment les nouvelles technologies s'articulent dans une vision orientée business. 2) Le temps où les clients étaient fidèles à une marque est révolu. Aujourd'hui, l'attachement à une marque ou un produit passe par les outils sociaux ; il faut donc que les BT prennent en compte les réseaux sociaux et autres outils de type Web 2.0. 3) « Les nouvelles générations de clients vous paraîtront étrangères », a aussi prévenu George Colony, en faisant référence aux habitudes de la génération Y (les 'digital natives', âgés de 18 à 27 ans), née avec le numérique. Son conseil : nager dans les mêmes eaux. 4) La bataille pour les talents va faire rage, et pour attirer les jeunes, justement issus de cette génération Y, il faudra que les systèmes d'information et les nouveaux projets soient attractifs. 5) La façon de vendre à cette nouvelle génération va changer ; là encore, c'est au département informatique de prendre les devants, et de proposer des solutions adaptées au département marketing. 6) Enfin, la façon dont les entreprises innovaient jusqu'à présent change également. Aujourd'hui, l'innovation provient de la collaboration avec les partenaires et les clients (plus tard pendant la conférence, un analyste a cité le cas de Starbucks, qui fait plancher ses clients sur leurs boissons préférées au travers d'un site Web communautaire. L'industrie automobile américaine a souffert de ne pas avoir compris cela, a expliqué George Colony. Permettre cette collaboration avec l'extérieur est un impératif pour les DSI, a conclu le fondateur de Forrester Research. (...)
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