Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 2321 à 2330.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(20/03/2009 12:22:28)
LaCie s'offre le service de stockage en ligne Wuala (MAJ)
LaCie se diversifie, tout en restant dans le stockage : le fabricant français de solutions de stockage a conclu un « un contrat d'acquisition portant sur 100% du capital de la société Caleido, société suisse spécialisée dans le stockage sécurisé de fichiers en ligne grâce à son logiciel Wuala ». Wuala propose un stockage en ligne à la mode Web 2.0, c'est-à-dire permettant de partager du contenu avec des internautes choisis. Le premier gigaoctet est gratuit (Google et Microsoft, pour ne citer qu'eux, sont donc largement plus accommodants), puis plusieurs formules payantes sont proposées pour étendre le stockage. Il faut compter entre 15 € / an pour 10 Go et 640 € / an pour 1 To. Sachant que le prix d'un disque dur externe LaCie, justement, de 1 To, démarre à environ 120 euros, le stockage en ligne revient donc beaucoup, beaucoup plus cher. Toutefois, insiste Caleido, la souplesse qu'il propose est sans égal. A tel point que l'éditeur du service en ligne propose une autre option pour étendre sa capacité de stockage : échanger de la capacité sur son propre disque contre de la capacité en ligne. En clair, cela signifie que les fichiers sur son disque dur seront accessibles en ligne, comme s'ils étaient sur les serveurs distants de l'éditeur. Une option intéressante - surtout vu le prix de location du gigaoctet - mais qui est déjà aussi proposée par de nombreux services gratuits. Des « conditions suspensives usuelles pour ce type de transaction » doivent être levées avant que la transaction ne puisse se clore. Cela devrait intervenir « dans le courant du deuxième trimestre 2009 ». LaCie indiquera alors précisément ce qu'elle compte faire de Wuala. Mise à jour : LaCie a publié un communiqué indiquant que cette acquisition d'un service de stockage dans le 'cloud' transformait le fabricant en "fournisseur de solution", d'où le nouveau logo. (...)
(19/03/2009 15:59:41)Seules les pages partenaires de Google News auront des liens sponsorisés
Google News, qui agrège les informations publiées par les médias en ligne, a suscité une polémique particulièrement vive en s'ouvrant aux liens sponsorisés. Les éditeurs de presse, qui voient déjà d'un mauvais oeil Google servir de portail d'information à leur frais, trouvent encore plus injuste qu'il puisse se rémunérer directement sur le travail de collecte, de tri, de validation et de mise en forme de leurs titres. Afin de couper court à cette polémique, Google France a tenu à préciser que « les liens sponsorisés ne concernent que les pages qui hébergent les dépêches des agences partenaires dans Google News et non les résultats de recherche Google News. » Le géant héberge en effet les dépêches d'agences de presse comme l'AFP, AP, UK Press Association ou Canada Press. En Europe, c'est désormais aussi le cas d'EPA (European Pressphoto Agency) qui regroupe une petite dizaine d'agences photographiques. D'un coté, les recherches classiques dans Google News renvoient une page de résultats, qui eux-mêmes renvoient vers les sites des médias auteur de l'article. Mais de l'autre côté, pour les agences de presse partenaires de Google, la dépêche s'affiche dans une page « hébergée » de type www.google.com/hostednews/afp et non sur le site de l'agence. « C'est sur ces pages que des liens sponsorisés seront affichés, ce qui leur permet de monétiser leurs contenus. », insiste donc Google France. (...)
(19/03/2009 13:07:44)Le torchon brûle entre Dailymotion et Nathalie Kosciusko-Morizet
Martin Rogard, directeur de Dailymotion, et son directeur juridique et réglementaire monde Giuseppe de Martino, ont adressé un courrier à Nathalie Kosciusko-Morizet le 24 février dernier, pour lui demander de mieux défendre Internet en France face à un courant de pensée qui le dénigre. Dans cette lettre dévoilée par LeFigaro.fr, ils interpellent la secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique sur son silence face à plusieurs actions en cours. Le courrier évoque en particulier la proposition du député des Hauts-de-Seine Frédéric Lefèbvre de créer une commission paritaire appelée à enquêter sur les plateformes vidéo. Le porte-parole de l'UMP stigmatisait ainsi le "piratage industriel" qui se développe avec certains sites diffusant en streaming des contenus protégés. Dans leur missive à Nathalie Kosciusko-Morizet, les responsables de Dailymotion se disent "surpris par l'absence de communication de votre ministère sur ce sujet et regrettons qu'en laissant ce courant de pensée anti-Internet prospérer, vous ne concouriez pas à donner une image de notre industrie plus proche de la réalité". « Tu as une idée, je te taxe, je te régule. » C'est sur ce ton que le courrier continue, décrivant l'atmosphère qui règne autour du business Internet dans l'Hexagone. « Pour nous, entrepreneurs du net, c'est là une conjugaison bien malheureuse, déconnectée du temps numérique, celui des nouvelles générations. » Dans un entretien à l'AFP, Martin Rogard a estimé que "la France est le seul pays où on parle d'Internet en le décriant, alors qu'outre-Atlantique, il est considéré comme un vivier pour la croissance". Martin Rogard est « le moins bien placé pour écrire cette lettre », estime la secrétaire d'Etat [[page]] Nathalie Kosciusko-Morizet a réagi mercredi 18 mars, entre autres dans un communiqué à l'AFP, estimant que Martin Rogard était "l'acteur de l'Internet le moins bien placé pour écrire cette lettre, ou dénoncer (mon) soi-disant silence". La ministre assure en effet avoir rencontré le patron de Dailymotion à plusieurs reprises. "A l'heure où Internet est trop souvent et injustement mis en cause, comme un havre de brigands et de criminels, ou comme le responsable de toutes les faillites, les défenseurs d'Internet, de son bon usage, comme moi et, j'en suis sûre, comme Martin Rogard, feraient bien mieux de s'unir, plutôt que de polémiquer, on se demande bien pour le bénéfice de qui", conclut NKM. Mais c'est aussi avec un ton très direct et exaspéré que la ministre s'indigne sur son profil Facebook : Martin Rogard « a été invité à dîner avant même que je sois nommée à l'économie numérique, alors que j'étais encore à l'écologie ; Il faut des couverts en or pour recevoir Martin Rogard ? » Pour NKM, le discours sur Internet porte trop souvent sur les risques Dans un entretien accordé au MondeInformatique.fr le 4 mars, la ministre avait en effet expliqué combien elle était frappée par une forme de « schizophrénie, un peu étrange, dans laquelle on est tous utilisateurs d'Internet. Et en général utilisateurs plutôt heureux [...]. Mais le discours public qui se développe aussi bien dans l'ordre du politique que dans l'ordre du médiatique [...] porte beaucoup sur les risques. En fait, de manière très exclusive sur les risques. » Selon elle, il est important de voir aussi des exemples positifs de l'usage d'Internet : « Les réseaux sociaux, ce n'est pas que la déchéance de l'humanité. Ça peut être aussi des mises en relation sympathiques ou du lien social. Ce que je veux, c'est simplement rééquilibrer le discours. Qu'on parle d'Internet comme on le vit, c'est-à-dire avec les mêmes inquiétudes parfois vis-à-vis de l'usage qu'en font nos enfants, mais avec le même intérêt, le même goût pour ces nouveaux services, ces nouveaux modèles qui se développent qui sont extrêmement attractifs, intéressants ». Sur la loi Création et Internet et la Haute autorité Hadopi, interrogée par nos confrères de CIO-online, la ministre s'était quelque peu défaussée sur sa collègue de la Culture : « Le secrétariat d'État n'est pas très fortement impliqué sur cette loi, parce qu'en fait la loi était écrite, était travaillée avant que j'arrive et c'est vrai qu'elle est beaucoup portée par le ministère de la Culture », avant d'évoquer de nouveaux modèles économiques pour le téléchargement légal tels que l'abonnement par exemple. (...)
(19/03/2009 12:15:49)Mix'09 : Silverlight 3 disponible en bêta
A chaque Mix son Silverlight. Microsoft dévoilait sa technologie de client riche lors de Mix'07, nouveau rendez-vous pour les designers et développeurs de l'éditeur. La bêta de la version 2 était dévoilée lors de Mix'08, et le Mix'09 de Las Vegas tient ses promesses avec le lancement de la bêta de Silverlight 3. Alors que Microsoft présentait Silverlight face à Flash, et toute sa plateforme cliente face à AIR (Adobe Integrated Runtime), la technologie de RIA (Rich Internet Application) d'Adobe, voilà que Silverlight 3 se dote d'un mode déconnecté autonome : les applications Silverlight pourront ainsi passer de façon transparente du mode connecté au mode déconnecté. Avec quelques avantages par rapport à ce que propose Adobe, souligne Thomas Serval, directeur de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France : l'intégration dans Windows sera transparente, puisque les applications SIlverlight seront accessibles depuis le menu Démarrer, et les accès aux ressources de bas niveau seront « très limitées », « Microsoft privilégiant la sécurité ». Silverlight 3 proposera toutefois une accélération matérielle profitant des GPU (puces graphiques). La visualisation est l'un des grands points d'amélioration de cette troisième version de Silverlight, puisque l'outil bénéficiera du support du codec H.264 (utilisé pour la diffusion de vidéo HD) et de la technologie Smooth HD, permettant de diffuser la meilleure qualité possible de vidéo en fonction de la connexion de l'internaute. La « superpreview », pour vérifier le rendu dans tous les navigateurs Les développeurs pourront de leur côté ajouter des fonctions cartographiques - de la Terre comme du ciel - avec le support des technologies maison Virtual Earth et Worldwide Telescope. Les outils dont ils disposent dans Visual Studio seront évidemment mis à jour en conséquence, et Microsoft a continué de financer Soyatec pour étendre le support de Eclipse4SL aux environnements MacOS. Côté designers - où Microsoft sait qu'il doit faire des efforts pour rivaliser avec Adobe - la gamme Expression gagnera quelques fonctions bienvenues. Ainsi, Expression Web permettra de « visualiser le rendu d'une page sur tous les navigateurs du marché », une fonction dite « superpreview », ressemblant à ce que proposait il y a peu un ingénieur d'Adobe. Et Expression Blend offrira un mécanisme de « sketchflow » que Thomas Serval juge « bluffant » : la capacité d'importer des dessins crayonnés et/ou des illustrations venant de Photoshop ou Illustrator, afin de s'appuyer dessus pour définir rapidement le design et la cinématique d'une application, et pouvoir travailler dessus de façon collaborative. A noter enfin que des efforts ont été faits en matière de référencement (SEO, search engine optimization) par les moteurs de recherche, pour lesquels les clients riches représentent généralement des boîtes noires. Là, point d'accord avec les moteurs comme pour Flash, mais les objets manipulés par SIlverlight peuvent ainsi être automatiquement transcrits en équivalents HTML, si bien qu'il est possible de « voir une application Silverlight comme un ensemble de pages ». (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |