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(22/08/2007 17:37:06)

Web Médecin: historique des actes sous contrôle

En juin dernier, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, déclarait à nos confrères du Monde que le DMP, le Dossier médical personnel, qui devrait théoriquement voir le jour en 2008, était « au point mort ». De fait, la ministre s'était engagée à « le relancer très vite ». Ce n'est peut-être pas un hasard si l'assurance maladie a annoncé le lancement d'une mesure qui permettra aux praticiens d'accéder à l'historique des remboursements des patients sur douze mois. Ce système est censé préserver les patients d'interactions médicamenteuses. Il pourrait également permettre de repérer les gros consommateurs de soins, quoique la Sécurité sociale dispose de ses propres contrôles. Après avoir reçu le feu vert de la Commission informatique et libertés (Cnil), le système a été testé dans quatre départements de l'Hexagone: les Yvelines, la Seine-Saint-Denis, le Val d'Oise et les Alpes-Maritimes. Quelque 3 000 praticiens se seraient déjà manifestés pour participer au système, indique la Caisse nationale d'assurance maladie qui mise sur l'inscription de quelque 20.000 intervenants d'ici au mois de novembre. Des données pas assez exhaustives Reste que le projet n'est pas une nouveauté en soi. Il y a deux ans, un prototype, plus connu sous le nom de Web Médecin, avait fait l'objet d'une présentation par la Caisse nationale d'assurance maladie. Non sans provoquer les réactions des professionnels de la santé. « Le problème de la donnée médicale, c'est son exploitabilité, souligne Christian Michaud, consultant en systèmes d'informations télémédecine. Son stockage est loin d'être suffisant. Or, les informations contenues dans Web Médecin ne sont pas assez exhaustives ni suffisamment structurées, pour être utilisables. Elles peuvent même soulever des questions, tant sur le plan juridique que médical. » Pour le consultant, ce système de mise en ligne des remboursements des patients se situe à des kilomètres du dossier médical partagé. Et considère le projet comme un système de flicage, un outil de contrôle supplémentaire au service de l'Etat. (...)

(22/08/2007 16:54:24)

VoiceCon : Les communications unifiées, nouveau cheval de bataille de Microsoft

Alors que le lancement d'Office Communication Server 2007 approche, Microsoft place ses pions un peu partout dans le vaste domaine des communications unifiées. L'éditeur a convaincu six sociétés d'adopter son codec (compression-décompression) pour la VoIP, ajoutera un outil de supervision de la QoS à Office Communication Server et, pour finir, compte lancer un service de communications unifiées pour les PME. Intel, Texas Instruments, AudioCodes, Dialogic, LG-Nortel et Polycom ont pris une licence pour le codec RT (pour Real-Time) Audio qui est aussi utilisé par le service en ligne XBox Live. Ce codec, développé par Microsoft, semble être plus performant que les codec VoIP les plus répandus sur le marché, Spirit DSP et GIPS (Global IP Sound) utilisés par Skype, Google Talk et consorts. A la suite d'Office Communication Server 2007, qui sera lancé à la mi-octobre, Microsoft promet un Quality of Service Monitoring Server. On ignore sa date de disponibilité. Par ailleurs, Microsoft prévoit de proposer des services de communications unifiées aux entreprises qui ne disposent pas en interne des ressources nécessaires à la mise en place d'une infrastructure adaptée. Rappelons que sous le terme de communications unifiées (unified communications) on trouve le projet de fédérer les communications vocales et vidéo ainsi que les échanges par mail dans un process unique. C'est, bien sûr, un des enjeux majeurs de l'informatique d'entreprise puisqu'il a un impact à la fois sur l'infrastructure réseau et sur les postes clients tant au niveau matériel que logiciel. Le projet de service de communications unifiées de Microsoft s'ajoute à d'autres prestations en ligne comme LiveMeeting et s'inscrit dans la ligne de sa stratégie Live de services en ligne. Selon Infonetics Research, le marché des communications unifiées a atteint 363 M$ en 2006 (+21%) et devrait croître tout aussi rapidement jusqu'en 2010, à tout le moins. Sur ce marché, Microsoft est en concurrence directe avec Nortel et Alcatel-Lucent et à peine plus indirectement avec IBM, Cisco et Avaya. Sur le même sujet Cisco et Microsoft en pleine co-opétition (...)

(22/08/2007 15:31:44)

Google aide la suite bureautique en ligne Zoho à garder un pied en local

Writer, le traitement de texte de Zoho, fournisseur de logiciels en ligne, permet désormais la consultation de documents à partir d'un poste déconnecté. Ce petit pas technique en est un grand pour les promoteurs des applications en ligne qui tentent de détourner quelques utilisateurs de Microsoft Office, Star Office et autre OpenOffice de leur suite habituelle. Pour ce faire, Zoho a fait appel à Gears de Google. Ce runtime Open Source permet de faire tourner en local une application sous Ajax. (...)

(22/08/2007 15:28:01)

VoiceCon : IBM transforme Sametime en une gamme de produits

Profitant de la conférence VoiceCon (à San Francisco), IBM a annoncé que Sametime, nom du client de messagerie instantanée de la marque, couvrirait désormais un ensemble de produits. Son objectif : rassembler sous la même étiquette l'ensemble des modules liés à la communication unifiée. Et ainsi être en ligne avec un juteux marché sur lequel Microsoft et Cisco trustent l'essentiel des parts de marché. La communication unifiée est une technologie visant à fédérer les outils généralement utilisés dans les entreprises pour communiquer. Très concrètement, l'idée est d'offrir une unique porte d'entrée et interface aux technologies de mail, de messagerie instantanée, de messages vocaux et vidéo et de téléphonie. La gamme Sametime se déclinera en quatre versions censées clarifier, de façon plus pragmatique, l'offre auprès des clients : une édition entrée de gamme Entry, une autre Standard, et un modèle premium Advanced. La version actuelle du module (7.5.1) deviendra la version Standard dès la sortie de la 8e mouture prévue d'ici la fin de l'année. Entry 8.0 et Advanced 8.0 devront voir le jour, quant à elles, au premier trimestre 2008. Le quatrième composant de la gamme, encore au stade de prototype, est baptisé « Sametime for Unified Telephony ». Selon Big Blue, l'édition Entry proposera en version autonome des fonctionnalités de messagerie instantanée déjà intégrées à d'autres produits de la marque. Un modèle d'entrée de gamme qui doit venir titiller Microsoft et son Office Communication Server sur l'entrée de gamme, l'offre de l'éditeur de Redmond ne proposant pas ce type de version, indiquent les analystes. En outre, elle servira de rampe de lancement vers les versions Standard et Advanced. L'édition Advanced, quant à elle, repose sur le socle de la Standard, en lui ajoutant des fonctionnalités notamment liées au partage d'espace de travail et de stockage de logs. (...)

(21/08/2007 17:18:35)

Trackvia, nouvel acteur des bases de données Web 2.0

Trackvia, petit éditeur américain installé dans le Colorado, vient tout juste de lancer officiellement sa base de données accessible en ligne et vendue par abonnement mensuel. Pourtant, il compte déjà 1 000 utilisateurs payants. Les fonctionnalités du produit le classent naturellement dans la catégorie des outils voués au Web 2.0 : la facilité avec laquelle la base Trackvia peut récupérer des informations issues de formulaires Web, notamment, ou bien sa capacité à gérer une liste de contacts, à faire des tris, des e-mailings ou encore à simplifier la collaboration entre utilisateurs. Ajouté à cela, Trackvia semble disposer d'un moteur de recherche plutôt rapide. Une douzaine d'autres logiciels l'ont déjà précédé sur le créneau des bases de données Web 2.0, parmi lesquelles Matt McAdams, fondateur et PDG de Trackvia, reconnaît comme concurrents potentiels des produits comme WebOffice de WebEx, QuickBase d'Intuit ou encore DabbleDB. Mais le PDG tâche de se différencier, notamment en résistant à la tentation de rejoindre des réseaux sociaux comme Facebook sur lesquels on peut exploiter des applications en ligne. Il confie que l'éloignement géographique de sa société par rapport à la Silicon Valley aide son équipe à rester « intellectuellement humble » et proche de ses clients. La société s'est créée en 2005 avec l'objectif de développer une base de données qui remplacerait avantageusement le recours au tableur (Excel généralement), un outil toujours utilisé, souvent de façon peu appropriée, dans nombre de petites et moyennes entreprises, tout autant qu'au sein de groupes de travail de plus grosses structures. "Quatre-vingts pour cent de nos utilisateurs viennent d'Excel et vingt pour cent du tableau mural", se vante Matt McAdams. Les quatorze premiers jours d'utilisation de la base sont gratuits. Le prix est ensuite de 9,95 dollars par utilisateur et par mois. (...)

(21/08/2007 15:30:01)

Google, n°1 des outils de recherche en France en juillet

Google est toujours la marque préférée des Français quand il s'agit d'effectuer une recherche sur Internet. Selon le baromètre de juillet d'Ad'oc qui observe l'évolution du trafic sur les outils de recherches en France, Google.fr (75,9%) et Google.com (8%) trusteraient presque 84% du trafic dédié aux moteurs. Suit Voilà.fr qui, avec 4,3% du marché, réussit la plus belle montée en un mois, gagnant 0,3 point sur la période. Yahoo.fr et Msn.fr conservent leur quatrième et cinquième place respectives, chacun enregistrant toutefois une très légère baisse de 0,1 ou 0,2 point. En un an, Google France a enregistré une hausse de plus de 14 points, tandis que ses concurrents ont, quant à eux, perdu largement du terrain. Yahoo.fr chute de 2,7 points et Msn.fr de 5,4 points. Voilà.fr n'affichant qu'un petit retrait de 1,8 points dans les préférences des Français. (...)

(21/08/2007 12:58:15)

SciVee un Youtube à la mode scientifique

Le Web 2.0 peut aussi être utile à la recherche scientifique. C'est l'idée du San Diego Computing Center, de la National Science Fondation et de la Public Libray of Science. Ces trois organismes américains viennent en effet de fonder un site de partage vidéo, baptisé SciVee, consacré uniquement à la recherche scientifique. Il s'agit de regrouper des exposés vidéos d'une dizaine de minutes développant des informations contenues dans des publications libres de droits (comme par exemple celles publiées par la Public Library of Science). Le tout étant regroupé par chaînes (domaines d'intérêts), auteurs ou tags. (...)

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