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(24/03/2006 12:34:30)

Forte progression en vue pour les investissements réseaux des opérateurs mobiles

Les opérateurs devraient fortement accélérer leurs investissements réseaux d'ici 2007, selon Infonetics. L'objectif des opérateurs est de mettre en place les infrastructures nécessaires pour proposer de nouveaux services, de nouvelles applications et réduire les coûts. Sur les 18 opérateurs interrogés par le cabinet d'analyse, et répartis aussi bien en Amérique du Nord, qu'en Europe ou en Asie, tous ont déjà fortement investi dans la nouvelle génération de réseaux IP. En 2005, les opérateurs ont dépensé 2,9 Md$ pour leurs investissements. Ce chiffre devrait augmenter de 41 % d'ici 2007 et passer à 4,1 Md$. Ainsi en 2007, la plupart des opérateurs comptent proposer des services de réseaux privés virtuels alliant les téléphones mobiles et les réseaux sans fil et 83 % d'entre eux pensent proposer des jeux interactifs. Des services tels que l'identification du numéro, les MMS ou encore la vidéo seront disponibles sur les mobiles de 72 % de ces opérateurs dès l'année prochaine. Pour être à la hauteur de leurs espérances, les opérateurs vont ainsi déployer en force la VoIP alliée au Wifi - l'augmentation devrait être de 44 % d'ici 2007 -, mais ce sont les infrastructures 3G et WiMAX qui devraient connaître les plus fortes évolutions. Par exemple, le nombre de stations de base 3G déployées dans le monde devraient pratiquement tripler en 2006 et 2007. (...)

(23/03/2006 18:20:54)

Bruxelles veut combler le fossé du haut débit

Parce que "la disponibilité de connexions large bande à Internet est une condition indispensable pour le développement des affaires électroniques et l'emploi dans l'ensemble de l'économie", la Commission européenne souhaite s'investir pour offrir au plus grand nombre un accès haut débit d'ici 2010 et "combler le fossé existant". Si 90 % des entreprises et des ménages en zones urbaines disposaient, en 2005, d'un accès haut débit, bien plus faible était ce taux pour les nouveaux membres de l'Union européenne. Même constat en ce qui concerne le débit de l'accès, plus élevés en zone urbaine qu'en rase campagne. Bruxelles déplore que "la large bande n'a pas encore touché certaines des régions les moins développées de l'UE, en raison du rendement faible et incertain escompté des investisseurs". Au final, 13 % de la population dispose d'un accès à Internet en haut débit, soit environ 60 millions de lignes. Un chiffre que la Commission compte faire progresser en utilisant, notamment, les Fonds structurels de l'UE qui "ont un rôle vital à jouer en stimulant les investissements dans l'infrastructure et les services à large bande". Pour mener à bien son projet, l'exécutif européen prévoit deux volets d'action. En premier lieu, la Commission entend renforcer les stratégies nationales en faveur du haut débit, lesquelles doivent "fixer des objectifs clairs et correspondre aux besoins régionaux, et inclure une approche stratégique pour utiliser les moyens de financement de l'UE et nationaux". La Commission va, ensuite, créer un site Internet permettant aux autorités locales et aux acteurs du secteur d'échanger informations et expérience. Elle organisera, dans cette même optique, une conférence au début de 2007 afin de présenter les avantages du haut débit aux collectivités rurales. (...)

(21/03/2006 17:34:57)

Hotlines : le temps d'attente ne sera plus facturé

Le temps passé à attendre qu'un appel téléphonique vers une hotline de FAI ou d'opérateur mobile soit traité sera gratuit avant la fin 2006. C'est ce vient d'annoncer François Loos, le ministre délégué à l'industrie, après avoir déjà évoqué cette idée en septembre 2005. Quelques fournisseurs d'accès ont pris les devants et font de la gratuité des appels vers leur assistance téléphonique un argument commercial. "Les autres devront suivre, a indiqué le ministre. La non facturation du temps d'attente sera obligatoire fin 2006. tous ceux qui facturent le temps d'attente seront concernés". Les FAI avaient discuté de cette idée en septembre 2005 et en avaient profité pour exposer toutes les difficultés que sa mise en oeuvre engendrerait. Une position qui n'a, semble-t-il pas changé. En témoignent les propos de Stéphane Marcovitch, le délégué de l'AFA (Association des Fournisseurs d'Accès), qui insiste sur les mêmes difficultés liées à distinction devant être faite entre le temps d'attente et le temps de conversation. Rappelons que le montant des appels passés aux hotlines l'an dernier a atteint 172 ME. Sur cette somme, 54 ME seraient liés à du temps d'attente. François Loos a, par ailleurs, présenté la création de fiches standardisées censées permettre les comparaisons entre FAI ou opérateurs. Elles seront disponibles sur les sites Internet des prestataires de services concernés. Parallèlement à ces initiatives, le ministre délégué à l'industrie a annoncé la prochaine publication de deux décrets : l'un enjoignant les hotlines d'annoncer le tarif et la durée estimée de l'appel, et l'autre précisant les conditions contractuelles des opérateurs et FAI en matière de niveau de qualité de service. (...)

(21/03/2006 17:39:26)

Roaming : réactions partagées des opérateurs mobiles européens

Selon le Financial Times, les opérateurs mobiles européens réagiraient en ordre dispersé mais généralement peu favorablement à la volonté de Bruxelles de légiférer sur les tarifs de l'itinérance, ou roaming. Les analystes estiment que le roaming représente 10 à 15 % des profits des opérateurs mobiles. Vivianne Reding, commissaire européenne à la société de l'information, s'est saisie du dossier estimant les tarifs de ces services « outrageusement élevés ». Le quotidien financier britannique évoque un texte - non communiqué - qui serait la cause de ces divergences entre opérateurs du nord de l'Europe et ceux du sud. En raison du tourisme, les opérateurs du sud seraient largement bénéficiaires du roaming au détriment de leurs concurrents nordiques. Un porte-parole de la commission a expliqué que le processus de législation était en cours mais que rien n'était définitif. La commission préférerait que les opérateurs s'autorégulent et trouvent une solution par eux-mêmes. Ce qui ne devrait pas l'empêcher de présenter rapidement un brouillon du texte au public, histoire de faire monter la pression sur les opérateurs... (...)

(20/03/2006 18:03:33)

OKi atteint la barre de 160 Gbps sur fibre optique

Oki Electric Industry vient de réussir à transmettre des données à 160 Gb/s, soit 20 Go/s, sur fibre optique, sur une distance de 635 km. L'essai conduit par Oki s'inscrit dans le cadre d'un projet de recherche sur les backbones optiques à ultra haut débit emmené par l'institut national japonais des technologies de l'information et des communications. Pour la démonstration, Oki a utilisé un câble optique de 63,5 km contenant 10 fibres optiques combinées avec cinq retours pour simuler une distance effective de 625 km. La transmission optique mise en ?uvre par Oki utilise un multiplexage temporel à modulation individuelle. Le japonais a notamment développé le module de multiplexage en s'attachant à réduire les pertes par couplage optique. Dans un communiqué, Oki estime que son expérimentation confère à sa solution de transmission optique à 160 Gbps toute la crédibilité nécessaire à un déploiement commercial entre Tokyo et Osaka (500 km) à l'horizon 2010. (...)

(15/03/2006 17:37:22)

CeBIT 2006 : La voix sur IP s'invite sur les portables

De plus en plus présente dans les entreprises et sur les téléphones fixes, la Voix sur IP - l'utilisation du réseau Internet pour la transmission des communications - se décline désormais sur les portables. La généralisation de cette technologie permet à l'utilisateur de pouvoir téléphoner à moindre coût et ainsi de profiter d'un panel de services améliorés. De nombreux constructeurs développent ainsi des modèles utilisant le WiFi comme le 6136 de Nokia ou le P51 (voir photo) de BenQ. Le déploiement de la technologie HSDPA (High Speed Downlink Packet Access), plus rapide que la 3G, doit également permettre d'augmenter les débits descendants pour accéder à une meilleure qualité sonore et de diminuer les temps de latence. Mais c'est le débit montant qui pourrait poser souci selon Lucent Technologies. La mise en place de l'HSUPA (High Speed Uplink Packet Access) doit permettre de résoudre ce problème et d'atteindre un taux théorique de 2 Mb/s. Il semble cependant qu'il faudra attendre avant de pouvoir profiter de ce très haut débit. John Giere, responsable marketing chez Lucent, estime que la commercialisation d'un vrai réseau VoIP sur portable n'interviendra pas avant 2007, voire 2008 ! La norme 3G, qui plafonne à 128 kb/s, reste cependant suffisante pour les simples communications VoIP en utilisant le logiciel Skype par exemple. Sauf que les forfaits proposés par les opérateurs sont encore limités et l'arrivée de la Voix sur IP menace quelque peu leur économie. En retrait sur les forfaits classiques, l'opérateur suédois Hutchinson 3 s'est ainsi allié avec Skype pour proposer prochainement un forfait VoIP illimité sur les terminaux 3G. (...)

(10/03/2006 17:53:57)

VoIP : la réduction des coûts n'est pas un argument majeur selon Avaya

Don Peterson, le PDG d'Avaya, a surpris de nombreux responsables IT en leur conseillant, à l'occasion du VoiceCon Spring 2006, de ne pas déployer de solution VoIP dans le but de réduire les coûts. Ils devraient plutôt y voir un moyen de rendre plus effectif leur activité. Une prise de position qui contraste pour le moins avec le discours ambiant entourant la VoIP. "Don essaie de poser un constat réaliste, a précisé Jorge Blanco, le vice-président du groupe. Les réductions de coûts [liées au recours à la VoIP, NDLR] existent mais nous essayons de faire comprendre qu'il ne faut pas décider de déployer cette technologie pour les seules économies qu'elle pourrait engendrer. A la place, il faut y voir les fondations pour bâtir une stratégie économique". Certains responsables IT indiquent qu'ils n'auraient jamais mis en place une solution de téléphonie sur IP si celle-ci ne leur avait pas permis de réaliser des économies. D'autres estiment que les avantages commerciaux sont immensément positifs et ne peuvent se quantifier en unité monétaire. C'est le cas de Catherine Brune, DSI d'Allstate Insurance : "après que l'ouragan Katrina eut anéanti le réseau près de la Nouvelle-Orléans, Allstate a été en mesure de basculer vers un autre centre en moins de 24 heures grâce à la flexibilité de la VoIP", explique-t-elle. Selon Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group Research à Boston, "il faut avant tout se focaliser sur l'amélioration de la productivité qu'est susceptible d'apporter la VoIP. Le retour sur investissement sera meilleur en prenant en considération la productivité qu'en se contentant de réfléchir en termes de réduction des coûts". (...)

(08/03/2006 17:47:20)

La circonspection de rigueur avant d'adopter Skype

Le Burton Groupe vient, dans une étude, d'inviter les entreprises à la circonspection avant d'adopter Skype : « si le risque est trop élevé, bânissez Skype. Si les gains surpassent le risque, tenez compte de Skype dans votre réflexion globale sur les télécommunications. » En matière de risque, Irwin Lazar, analyste chez Burton, fait référence aux protocoles utilisés par Skype, des protocoles propriétaires susceptibles d'enfreindre la politique de sécurité appliquée dans l'entreprise sur, notamment, les échanges en pair-à-pair et la gestion du risque associé à d'éventuelles portes logiques dérobées. Irwin Lazar relève en outre que Skype n'intègre pas de procédé d'authentification forte, ni les garanties de qualité de service qui pourraient être importantes pour la vidéo. Enfin, Skype est susceptible de contrevenir à des réglementations locales sur les possibilités d'écoutes téléphoniques et de localisation des appelants. Bien que son étude concerne essentiellement Skype, Irwin Lazar estime que ses résultats peuvent être étendus à des services tels que AIM, Gizmo, MSN, Tello et Yahoo IM, entre autres. En septembre dernier, le Toly Group avait déjà relevé le fait que Skype consomme de la bande passante à l'insu de ses utilisateurs. (...)

(08/03/2006 15:47:15)

Une solution de sauvegarde à distance pour les PME

Le fournisseur de solutions d'hébergement Amen lance Amen Backup Pro, une offre de sauvegarde à distance en continue adaptée aux sociétés de taille moyenne. Il suffit aux utilisateurs de télécharger un logiciel sur leur poste : celui-ci détecte les données modifiées et les compresse pour les transmettre au serveur de sauvegarde. La sauvegarde peut être paramétrée pour s'effectuer en continu ou bien à la demande de l'utilisateur, celui-ci faisant alors glisser les documents qu'il souhaite copier sur le serveur distant. La solution préserve les différentes versions d'un même fichier grâce à des fonctions d'horodatage. Elle conserve également les arborescences de fichiers. Un moteur de recherche permet de retrouver les fichiers transférés. Ceux-ci peuvent être récupérés à tout moment depuis le logiciel ou une interface Web sécurisée. Les données sont transférées de manière sécurisée grâce au protocole SSL (Secure Socket Layer). Les serveurs de sauvegarde sont déployés au sein d'une infrastructure redondante, protégée des intrusions et sécurisée par télésurveillance 24h/24. Les tarifs démarrent à 120 € HT/ an pour 1 Go d'espace disque, 1 Go supplémentaire revenant à 4 € HT / mois (pour 20 Go maximum). (...)

(07/03/2006 17:53:59)

Salesforce.com se met à l'illimité

Le spécialiste de GRC hébergée Salesforce.com étend son offre en inaugurant une formule « illimitée » et haut de gamme (Unlimited Edition) de son service. L'objectif explique l'éditeur, est d'encourager le déploiement d'applications métiers depuis AppExchange, plate-forme d'hébergement de solutions tierces ouvertes aux ISV. Pour cela, cette formule propose un espace de stockage de 120 Mo par utilisateurs « pour les soulager de la contrainte de l'hébergement ». La formule Entreprise n'offrant, quant à elle, que 20 Mo par utilisateurs. Le concept « d'illimité » réside davantage dans la capacité de la formule à supporter un nombre indéfini applications tierces. Alors que la version Entreprise n'autorise, quant à elle, que dix applications. En outre, Unlimited Edition propose un outil de type SandBox, pour tester les déploiements avant mise en production. Salesforce prévoit de commercialiser son offre 195$ par utilisateur et par mois. L'éditeur décline désormais son service selon quatre formules : Unlimited, Entreprise, Professional et Team. Rappelons que SAP a récemment mis un pied dans le modèle hébergé, rivalisant en direct avec Salesforce. (...)

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