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(07/03/2005 19:04:40)

Bouygues Telecom assigne son équipementier pour la panne de novembre 2004

Bouygues Telecom estime que Tekelec, le groupe américain lui fournissant ses serveurs, est responsable de la panne exceptionnelle du 17 novembre 2004. L'opérateur français a porté plainte contre son équipementier auprès d'un tribunal californien.
Bouygues avait profité de la publication de ses résultats pour communiquer le montant de la perte généré par la panne. L'excédent brut d'exploitation avait ainsi été amputé de 20 M¤. Suite à cet incident, Bouygues et Tekelec, par ailleurs fournisseur des deux autres opérateurs mobiles français, avaient ouvert une enquête afin de déterminer les responsabilités des protagonistes. Les résultats n'ont pas été communiqués.
Incapables de s'entendre, Tekelec et Bouygues se rejettent la faute. Pour l'équipementier, l'infrastructure de Bouygues serait "incompatible avec un algorithme largement utilisé dans l'industrie". L'opérateur français, joint ce jour par téléphone, s'estime quant à lui "très serein". Il se repose ainsi sur les conclusions de l'enquête initiée par le ministre délégué à l'Industrie, Patrick Devedjian, au lendemain de la panne, selon laquelle Bouygues n'aurait commis "ni faute, ni négligence caractérisée", et met en cause les équipements fournis par Tekelec.
Bouygues Telecom travaille depuis 2000 avec son équipementier américain. En, dépit du différend qui les oppose, et du procès qui va en découler, les deux entreprises n'entendent pas cesser leur collaboration. (...)

(03/03/2005 18:55:38)

Résultats Bouygues 2004 : la branche télécoms, première contributrice aux bénéfices

Les résultats 2004 présentés par Bouygues font état d'un chiffre d'affaires en progression de 7 % à 23 402 M¤, et d'un résultat net en hausse de 49 % à 670 M¤. Ce chiffre n'inclut pas la plus-value réalisée sur la cession de la Saur.
Si la branche télécoms reste dominée par SFR et Orange, elle n'en est pas moins la première contributrice aux bénéfices du groupe Bouygues. Le chiffre d'affaires de l'activité télécommunications s'élève à 3 674 M¤ (+ 12 %), pour un résultat d'exploitation de 549 M¤ (+20%). Le bénéfice net fait un bond de 120 % par rapport à 2003 et atteint 266 M¤.
Le groupe Bouygues est revenu, au cours de la présentation de ses résultats, sur la panne du 17 novembre dernier, qui avait paralysé les abonnés. L'impact de ce dysfonctionnement sur l'excédent brut d'exploitation a ainsi été chiffré à 20 M¤.
L'entreprise de Martin Bouygues a également donné quelques nouvelles précisions sur Edge, sa technologie de transition des communications mobiles, sorte de "3G maison". Celle-ci devrait sortir au mois de mai pour les entreprises et au quatrième trimestre pour les particuliers. L'investissement consenti pour son lancement atteint 230 M¤, dont plus du tiers a déjà été affecté en 2004.
Les estimations pour 2005 tablent sur une progression du chiffre d'affaires d'environ 25 %. Bouygues Télécom devrait en effet profiter de la mise en place de la facturation entre opérateurs mobiles. Le groupe, dans sa globalité, mise sur un CA 2005 de 22,7 Md¤, soit une croissance de 7 %. (...)

(03/03/2005 18:51:58)

Inmarsat prépare le lancement de ses satellites de nouvelle génération

Inmarsat s'apprête à mettre en orbite une nouvelle génération de satellites qui vont lui permettre d'offrir des services avancés de communication voix et données à ses utilisateurs. Le premier des satellites Inmarsat I-4 sera lancé depuis Cap Canaveral, jeudi et deviendra le plus gros satellite commercial en orbite. I-4 est la 4e génération de satellites Inmarsat. Elle va permettre de décupler les capacités de communications de l'opérateur satellite. Dans la pratique les deux premiers satellites I-4 vont permettre à Inmarsat d'offrir dans le courant du premier semestre des services de données à des débits pouvant atteindre 432 Kbit/s. Ces deux appareils couvriront 90 % de la surface du globe (à l'exclusion des pôles) et seront à terme épaulés par un troisième satellite qui servira de secours en cas d'incident.
Parallèlement aux satellites I-4, Inmarsat va commencer la commercialisation de nouveaux terminaux plus compacts et moins coûteux (entre 2 000 et 5 000 $). Les terminaux actuels restent compatibles moyennant une mise à jour logicielle.
Un autre atout important des satellites I-4 sera leur interopérabilité avec les reseaux de téléphonie 3G (via le service Swift Broadband), qui permettra aux compagnies aériennes d'offrir des services en vol de téléphonie et de données à leurs passagers équipés de téléphones mobiles. (...)

(02/03/2005 18:27:16)

3Com renforce ses routeurs, licencie 220 personnes

3Com va ajouter à sa gamme de routeurs et de routeurs VPN des fonctionnalités de filtrage de contenus web en partenariat avec SurfControl. Selon la société, l'objectif est de fournir aux entreprises des moyens de fitlrer les contenus Web inappropriés ou malicieux à même de nuire à la productivité des salariés. La technologie de filtrage sera progressivement intégrée aux routeurs et passerelles VPN OfficeConnect mais nécessitera un abonnement annuel aux services de Surfcontrol (99 $ par an).
Séparément, 3Com a confirmé dans un document à la SEC le licenciement de 220 de ses salariés, dont 120 au Royaume-Uni et en Irlande. Ces employés ont tous été avertis de la suppression de leurs emplois entre le 18 et le 23 février. 3Com devrait poursuivre la réduction de ses effectifs à Edinbourg et Dublin dans le cadre d'un plan d'économies qui s'étalera sur l'ensemble de l'année 2005. (...)

(01/03/2005 19:00:24)

Les ventes d'équipements Wi-Fi ont poursuivi leur croissance en 2004

Les ventes mondiales d'équipements Wi-Fi ont atteint 2,8 Md$ en 2004, soit une progression de 15 % sur un an. La croissance des ventes en unités à été encore plus impressionnante puisque les constructeurs ont livré 36,1 millions de cartes et points d'accès soit 51 % de plus qu'en 2003.
Selon Infonetics, la croissance devrait se poursuivre à un rythme soutenu jusqu'en 2008 pour atteindre 80,4 millions d'unités, notamment du fait de l'adoption rapide de Wi-Fi par les particuliers. Le cabinet d'études est en revanche moins optimiste pour ce qui est du chiffre d'affaires des différents fournisseurs. L'intense concurrence tarifaire a ainsi fait s'effondrer les prix des équipements au 4e trimestre 2004, entraînant un recul de 21 % du revenu des fournisseurs à 619,4 M$. La spirale baissière devrait se poursuivre dans les trimestres à venir
Dans ce marché tourmenté, Cisco conserve son premier rang mondial avec 17 % des ventes au 4e trimestre (soit plus de 100 M$). Sa filiale Linksys se classe au second rang avec 15 % des ventes devant D-Link et NetGear. Tous les autres fournisseurs sont sous la barre des 10 %. Il est à noter que les ventes SOHO et grand public représentent désormais 52 % du CA des équipementiers tandis que les ventes aux entreprises et aux opérateurs atteignent 48 %. La moitié des ventes se font en Amérique du Nord, un quart en Europe, 20 % en Asie/pacifique et le solde en Amérique centrale et en Amérique latine. (...)

(28/02/2005 18:25:31)

France Télécom : Lombard à la barre

Le conseil d'administration de France Télécom, réuni dimanche 27 janvier, a choisi Didier Lombard pour succéder à Thierry Breton, parti remplacer Hervé Gaymard à Bercy.
Proche de son prédécesseur, le nouveau PDG occupait jusqu'alors la fonction de directeur exécutif en charge de la mission "technologies, partenariats stratégiques et nouveaux usages". Un changement qui n'appelle pas de réorganisation en profondeur de l'entreprise. Michel Combes et Olivier Barberot, tous deux proches de Breton, conservent ainsi leurs postes de directeur financier et de directeur exécutif chargé du développement des compétences humaines. Ils occupent les deuxième et troisième places dans la hiérarchie de FT.

En ce qui concerne le plan stratégique, le changement se fera également dans la continuité. Didier Lombard a en effet affirmé qu'il entendait poursuivre la ligne tracée par Thierry Breton, alliant désendettement (France Télécom reste endetté à hauteur de 44 Md¤) et réintégration des filiales Orange, Wanadoo et Equant.
Polytechnicien et diplômé de l'école nationale supérieure des télécommunications, Didier Lombard, 63 ans, a intégré France Télécom en 1967 (alors ministère des PTT), avant de rejoindre les ministères de la Recherche puis de l'Economie. Il est également administrateur de Thomson.
Son prédécesseur, Thierry Breton, a été nommé ministre de l'Economie et des Finances le vendredi 24 février, en remplacement d'Hervé Gaymard, mis à mal par « l'affaire » de son appartement de fonction. (...)

(28/02/2005 18:45:18)

Interview : Montavista le champion du Linux embarqué

A l'occasion du récent 3GSM World Congress, "Le Monde Informatique" a récemment pu rencontrer James Ready, le CEO et fondateur de Montavista, et Kelly Herrel (ex-Cobalt) , le directeur de la stratégie de l'éditeur. L'occasion de faire le point sur l'un des distributeurs Linux les plus discrets mais aussi parmi les plus appréciés par les équipementiers et constructeurs d'équipements embarqués.

Montavista est fréquemment cité par les grands équipementiers télécoms qui utilisent Linux dans leurs équipements opérateurs. D'où vient votre succès sur ce marché ?
K.H. : Nous sommes le leader mais comme dans tout marché porteur nous avons des concurrents. Notre premier produit carrier grade n'a pas eu de concurrents pendant deux ans. Cela nous a permis d'acquérir de l'expérience. Notre produit originel n'a rien a voir avec notre produit actuel. Un de nos clients Linux a ainsi mis le logiciel en test intensif pendant 6 mois, puis l'a retesté 6 mois avec ses applications. A l'arrivée nous avons un produit à l'épreuve du feu comme celui que nous proposons à Alcatel. C'est un marché énorme. Et nous en connaissons bien les exigences...

D'où proviennent aujourd'hui les revenus de Montavista
K.H. : Comme la plupart des fournisseurs dans l'embarqué, nous avons deux modèles. Le premier est un modèle développeur. Nous avons aussi un modèle de facturation par unité. Un dollar par unité est la seule chose que nous demandons.

C'est plus cher que Microsoft ?
J.R. : Je ne suis pas sûr que Microsoft puisse durablement facturer sous le prix de Linux. D'ailleurs nos prix peuvent être bien inférieurs à un dollar, fonction du volume. De plus il y a bien d'autres paramètres à considérer que le prix, notamment en termes d'indépendance, de fonctionnalité et de sécurité. Par exemple avec Symbian, votre fournisseur d'OS est aussi votre concurrent. Dans le cas de Microsoft, rien ne différencie un téléphone Windows d'un autre. L'interface doit se conformer à une spécification.

K.H. : Avec Linux, les constructeurs sont libres de personnaliser l'interface. C'est ce qui explique qu'un constructeur de terminaux comme Motorola est autant intéressé par Linux.

Un jeu dans l'industrie est de fournir des plates-formes complètes. Qu'en est-il de Montavista.
K.H. : C'est un des objectifs de l'initiative Mobilinux, de développer un écosystème complet pour raccourcir le temps de développement d'un téléphone (NDLR : Mobilinux réunit ARM, Intel, Motorola, NEC, NTT DoCoMo, OpenWave, Panasonic, TI, TTPCom, PalmSource et RealNetworks). Traditionnellement, l'une des difficultés pour construire un téléphone était de personnaliser les OS embarqués dans les terminaux. Avec Mobilinux, cette limitation disparaît, puisque les constructeurs pourront puiser dans un large portefeuille de composants applicatifs, telles que les machines virtuelles Java, navigateurs Web, PIM... Linux est donc libérateur pour les fabricants de terminaux.... Pour les opérateurs, la perspective d'utiliser Linux comme plate-forme pour uniformiser leur service est également extrêmement tentante.

Les opérateurs semblent avoir choisi Java comme plate-forme favorite pour la distribution d'applications, jeux... Imaginez-vous Linux concurrencer un jour Java pour cet objet?
J.R. : L'un des problèmes avec Java sur les téléphones est que l'on n'est jamais assuré que l'application fonctionnera sur tous les terminaux. Avec Linux, on peut assurer la portabilité des applications d'une plate-forme à l'autre, PowerPC, ARM MIPS. Pour nous toutes les plates-formes sont identiques.

Ce qui veut dire à terme un packaging "Fat binary" afin de distribuer des applications capables de fonctionner sur toutes les plates-formes ?
K.H. : C'est une des possibilités. Les opérateurs souhaitent opérer une "delabélisation" de leur catalogue. Linux est le "délabelizer" pour les opérateurs.

Lorsque l'on discute avec Symbian ou Microsoft, ces éditeurs visent à effectuer le minimum d'optimisation et conservent une approche assez générique
J.R. : C'est un des avantages de Linux. Avec Intel, nous avons par exemple passé des mois à optimiser le noyau et des librairies spécifiques pour l'architecture Xscale. Lorsque l'on travaille avec les gens des semi-conducteurs, ils nous poussent au maximum à optimiser pour leurs architectures par exemple en termes de multimédia, de gestion de l'énergie. Dans le cas d'Intel, ils nous ont stressés jusqu'au bout (NDLR : Intel est avec NTT DoCoMo l'un des investisseurs dans Montavista)...

De quoi apprendre la paranoïa ?
J.R. : Oui en fait j'ai eu l'occasion de dîner avec Andy Grove. On peut donc dire que j'ai appris d'un maître...

Qu'en est-il de Linux et du temps réel ? Habituellement il y a deux OS sur les terminaux et on parle aujourd'hui de design monochip avec un seul OS.
K.H.: c'est un enjeu de réduction de coût. Un seul processeur et un seul OS permet de réduire la facture de composant d'un terminal.
J.R. : On me disait, c'est impossible avec Linux. L'an passé j'avais un déjeuner avec des responsables de l'industrie des semi-conducteurs et ils me disaient : Jim, il faut absolument résoudre les problèmes de temps réel et de Linux. Nous avons dit OK, on le fera. Nous avons des experts des systèmes temps réel au sein de Montavista et nous avons commencé à travailler il y a plus de trois ans sur le sujet. Nous savions que c'était possible.

Un an après, ce problème est réglé. Linux peut être l'OS unique gérant la partie radio et les applications sur un téléphone. Un de nos partenaires fera d'ailleurs une annonce en ce sens au second trimestre. (...)

(28/02/2005 17:43:12)

UWB : Freescale rêve d'un monde sans fils

Grillant la politesse à l'ensemble de ses concurrents, Freescale, l'ex-division semi-conducteurs de Motorola, lancera au second semestre son premier jeu de composants utilisant la technologie radio Ultra Wideband (UWB), le XS110. Selon Freescale, la puce permet des débits de l'ordre de 110 Mbit/s dans un rayon de 5m, le tout avec une consommation limitée à 30mW. Le fondeur montrait sur le salon un prototype de téléphone Samsung utilisant la technologie pour échanger des fichiers MP3 avec un PC. Freescale estime aujourd'hui disposer de plus d'un an d'avance sur ses concurrents comme Intel et entend tirer parti de son avantage. La firme devrait lancer un chipset UWB à 660 Mbit/s au premier trimestre 2006 (avec support de TCP/IP, Wireless USB et Firewire) puis une version à 1,6 Gbit/s au second semestre.Objectif : permettre à un PC ou à un PDA d'afficher sans fil sur un téléviseur à haute définition… (...)

(25/02/2005 18:48:48)

Terminaux nomades : Microsoft progresse mais reste dominé par Symbian

Selon les derniers chiffres rendus publics par le cabinet d'études britannique Canalys, Microsoft a vu sa part de marché des OS mobiles progresser fortement au cours du dernier trimestre 2004. Avec plus de 71 % du marché des PDA, Windows Mobile dépasse désormais largement l'ex-leader mondial Palm OS, affaibli par le retrait de Sony mais aussi par le relatif désintérêt du public pour les PDA. La position globale de Microsoft sur le marché des PDA et smartphones est toutefois moins forte. En Europe, ce marché reste dominé par Symbian avec 41 % de parts de marché tandis que Palm OS et Windows Mobile se situent chacun aux environs de 22 %. La position de Microsoft sur les téléphones mobiles intelligents reste précaire avec une part de marché d'un peu plus de 7 % soit le double de l'an passé mais très loin de Symbian qui truste l'essentiel des ventes... (...)

(25/02/2005 19:02:35)

Colt choisit le Chinois Huawei pour son réseau VPN IP européen

Colt Telecom va déployer les plates-formes de routage Quidway du constructeur chinois Huawei dans son réseau pour proposer des services VPN (réseau privé virtuel) IP à ses clients. Commentant son choix, Ken Starkey, le chief operating officer de Colt explique que Colt « a été impressionné par la qualité et le support » offerts par Huawei. Pour le COO de l'opérateur, la technologie de Huawei devrait permettre à Colt d'offrir de nouveaux services innovants à ses clients.
Colt n'est pas la première conquête d'Huawei en Europe. Le constructeur chinois a déjà fourni des systèmes à Telefonica, British Telecom, Neuf Telecom et Free. Ses ventes ont progressé de 45 % en 2004 pour atteindre 5,58 Md$ au niveau mondial. (...)

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