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(16/01/2009 18:23:00)

Nathalie Kosciusko-Morizet bien accueillie par les acteurs de l'IT

Sans tarder, l'arrivée de Nathalie Kosciusko-Morizet, pour succéder à Eric Besson au poste de secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, a été accueillie favorablement par différents acteurs professionnels de la IT. L'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) apprécie en premier lieu de voir pérennisé un secrétariat d'Etat créé il y a moins d'un an et, de surcroît, confié à une personne qui « dispose de toutes les compétences requises par le sujet » et qui « a fait preuve lors de ses précédentes responsabilités de dynamisme et de volontarisme ». L'association espère y voir le signe que le gouvernement place, à l'instar de l'administration Obama, « l'économie high-tech et l'innovation au coeur de son programme de relance ». Au passage, l'Afdel salue le bilan « très positif » d'Eric Besson, avec lequel elle a collaboré à l'occasion des Assises du numérique. Un nouvel élan pour le plan France numérique 2012 De son côté, Syntec Informatique, la fédération des SSII et des éditeurs de logiciels, souhaite que cette nomination marque « un nouvel élan » dans la mise en oeuvre du plan France numérique 2012, une étape qui « doit être transformée aujourd'hui ». Jean Mounet, président du syndicat patronal, soulignait la semaine passée, à l'occasion de ses voeux, qu'une gouvernance devait être mise en place, avec un ministère spécifique en citant lui aussi en exemple la démarche engagée aux Etats-Unis par Barak Obama. Réaction très positive aussi de la part du club Renaissance numérique qui cherche à développer les nouvelles technologies en France et qui compte parmi ses membres Pierre Kosciusko-Morizet, PDG du site d'achat/vente PriceMinister et frère de la nouvelle secrétaire d'Etat à l'économie numérique. Parallèlement au remaniement ministériel, le patron de PriceMinister a reçu dans ses locaux Hervé Novelli, secrétaire d'Etat aux PME, pour faire un premier bilan du statut de l'auto-entrepreneur, quinze jours après son entrée en vigueur, le 1er janvier dernier. Nathalie Kosciusko-Morizet a balayé le risque de conflit d'intérêt avec son frère [[page]]Pierre Kosciusko-Morizet est une figure connue du monde Internet et ses liens de parenté avec la secrétaire d'Etat ont immédiatement été rappelés. Interrogée ce matin sur France-Inter, Nathalie Kosciusko-Morizet a balayé le risque d'un conflit d'intérêt : « Nous avons une culture Internet commune qui nous a amenés à nous intéresser aux mêmes sujets, mais de manière complètement différente, a-t-elle répondu au journaliste Nicolas Demorand. C'est comme si vous me disiez : vous ne pouvez pas devenir ministre des PME parce que vous avez des PME dans votre famille. » Pierre Kosciusko-Morizet est également président de l'Acsel, association de l'économie numérique et vice-président de l'IE-Club, qui s'est donné pour mission de rapprocher les PME high-tech des autres acteurs de l'innovation. La passation de pouvoirs a eu lieu hier soir, jeudi 15 janvier, à 17 heures, à l'hôtel de Broglie, entre Nathalie Kosciusko-Morizet et Eric Besson. Ce dernier a reconnu que son plan, France numérique 2012, ne constituait qu'une étape et que tout restait à faire : « la fibre optique, la télévision numérique terrestre, l'utilisation généralisée d'Internet. Ce ne sont que des bases, des principes ». S'appuyer sur le numérique pour créer de l'emploi La secrétaire d'Etat a pris ses fonctions en rappelant d'emblée qu'elle avait fait « beaucoup de prospective depuis 10 ans, en particulier dans l'écologie » alors que ce n'était pas un thème privilégié dans sa famille politique. Sur l'économie numérique, elle a rappelé qu'elle appartenait à la culture Internet : « j'ai beaucoup cherché à développer cela dans mes activités ; je sais tous les espoirs que cela porte pour les territoires, sur les plans culturel, personnel, économique... ». Interrogée sur les projets, elle a indiqué vouloir s'appuyer sur le numérique pour créer de l'emploi. Ce matin, sur France-Inter, elle n'a pas souhaité commenter « à chaud » l'amendement voté par le Sénat sur l'assujettissement des possesseurs d'ordinateurs à la redevance audiovisuelle. « J'aime faire les choses de manière très sérieuse. Sur l'écologie, j'ai tout étudié à fond avant de mettre en place les projets du Grenelle de l'environnement. Donc, je ne vais pas réagir, nommée hier, sur un événement de cette nuit ». Enfin, questionnée sur la nécessité de montrer plus de fermeté sur la question du téléchargement illégal, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé que le projet en discussion allait à la fois dans le sens de la fermeté et de la lisibilité. « Ce qu'il y a de formidable dans l'outil numérique et dans Internet, c'est qu'il y a beaucoup plus de convivialité, c'est beaucoup plus participatif, de nouvelles communautés émergent mais, en même temps, l'outil peut nous couper de certaines réalités. C'est l'un des problèmes du téléchargement illégal : c'est indolore, il y a le sentiment que cela ne fait pas de mal. Il faut réussir à faire passer aussi le message, quitte à trouver de nouveaux vecteurs, des incitations, que, si, (...) ça déstructure, ça déconstruit, ça appauvrit et donc, finalement, cela peut tuer la création. » (...)

(16/01/2009 18:01:27)

HP Software toujours à la recherche d'acquisitions dans la BI

Non seulement la crise économique n'entame pas la volonté de HP Software de procéder à des rachats, mais en outre, la branche logicielle du constructeur pourrait en profiter pour faire de bonnes affaires. C'est ce que nous a déclaré Steen Lomholt-Thomsen, vice-président & directeur général HP Software EMEA, au cours d'un entretien exclusif. Le patron Europe de HP Software estime que la partie administration de systèmes de son portefeuille est déjà bien remplie. En revanche, la partie BI (Business intelligence, ou décisionnel) présente encore des lacunes, que HP compte combler avec un rachat (ou plusieurs). Fin 2007, le patron monde de HP Software expliquait que le constructeur était prêt à dépenser encore plusieurs milliards pour faire de HP le numéro 1 ou le numéro 2 de chacun des marchés logiciels qu'il a investis. (...)

(16/01/2009 17:58:05)

Trimestriels : Dassault Systèmes en dessous de ses prévisions

La crise financière est telle que même le champion français du logiciel n'a pas réussi à y échapper. Outre la situation économique difficile, Dassault Systèmes a subi le report de la signature de certaines commandes qui expliquerait un quatrième trimestre décevant. En attendant l'annonce officielle de ses résultats annuels le 11 février, l'éditeur publie des chiffres préliminaires non Gaap pour son quatrième trimestre, moins bons que prévu. Il annonce ainsi un chiffre d'affaires estimé à 382 millions d'euros (+3% par rapport au dernier trimestre 2007, -5% à taux de change constant) alors qu'il s'était fixé un objectif situé entre 385 et 395 millions d'euros. Mais sur l'ensemble de l'année, l'éditeur devrait réaliser 1,34 milliard d'euros. Il s'agit, certes, de la valeur basse de la fourchette que Dassault Systèmes visait, mais cela représente néanmoins une hausse de 5 à 6% par rapport à 2007. Qui plus est, la part récurrente du chiffre d'affaires logiciel dans ces résultats a augmenté d'environ 12%, à taux de change constant. L'éditeur continuera ainsi de mener la danse du logiciel en France et devrait également conserver la tête du marché du PLM (Product Lifecycle Management) dans le monde, devant Siemens PLM Software et PTC. Ce dernier a néanmoins réalisé le meilleur trimestre de son histoire à l'automne dernier. Les dirigeants de l'éditeur n'avaient pas manqué de faire remarquer que, contrairement à leur grand rival, PTC avait pris garde à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. Alors que Dassault Systèmes commence seulement à investir ailleurs que dans les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique, PTC réalise un CA réparti entre aéronautique (20%), high-tech (25%), automobile (15%), équipement industriel (20%), etc. « Des incertitudes pesant sur les décisions d'investissement » Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes, s'est exprimé sur ces résultats préliminaires dans un communiqué dans lequel il précise : « Nos résultats préliminaires du quatrième trimestre reflètent un environnement économique qui a continué à se détériorer à la fin de l'année. En conséquence, le chiffre d'affaires du quatrième trimestre est inférieur d'environ 3 millions d'euros à notre objectif en monnaie courante, ou environ 30 millions d'euros à taux de change constant, principalement en raison de reports de contrats prêts à être signés en décembre. [...] Nous regrettons de ne pas atteindre nos objectifs en raison des incertitudes pesant sur les décisions d'investissement, mais nos discussions avec un nombre important de clients ayant reporté leurs commandes ce dernier trimestre confirment clairement leur besoin et leur intention d'acheter nos solutions logicielles. » (...)

(16/01/2009 17:25:40)

Les salariés de FM Logistic manifestent pour sauver leurs emplois

Lundi dernier, entre 150 (selon la police) et 300 salariés (selon les organisateurs) du groupe Faure et Machet (FM Logistic) ont manifesté devant la préfecture de Metz pour protester contre les 500 suppressions de postes du site de Woippy (Moselle) prévues d'ici au printemps 2010. Cet appel à débrayer avait été lancé la semaine dernière à l'initiative des syndicats de FM Logistic, ces deniers estimant que leur entreprise avait été contrainte de prendre cette décision après que son principal client, HP, eut décidé de délocaliser en Malaisie. Depuis 1993, la société sous-traitait au géant californien, sur sa base logistique de Woippy (Moselle), le conditionnement d'imprimantes laser et à jet d'encre destinées au marché européen. Mais fin décembre, HP décidait d'attribuer ce marché au néerlandais Flextronics, condamnant la totalité de l'effectif mosellan. (...)

(16/01/2009 17:08:40)

L'édifiant portrait de Marc L, fruit de ses traces numériques

C'est un exercice original et inquiétant auquel se sont livrés les journalistes du Tigre, un bimestriel présenté comme un « curieux magazine curieux ». L'idée : dresser le portrait d'un parfait inconnu à partir d'informations glanées sur le Web. Le sujet - ou plutôt la victime - de ce portait Google est Marc L, un architecte d'intérieur de 29 ans habitant dans l'ouest de la France, utilisateur de réseaux sociaux et autres outils du web 2.0. Des instruments pratiques pour rester en contact avec ses amis mais néanmoins redoutables : en y éparpillant des morceaux de vie privée, les internautes s'exposent à être dépossédés de leur identité numérique. En témoigne ce portrait « violemment impudique » de Marc L, écrit « pour la bonne cause » avec une pointe de sarcasme : « après tout, c'est de ta faute, tu n'avais qu'à faire attention. » L'enquête sur la vie de Marc L débute à partir de quelques photos trouvées sur Flickr. En explorant les quelque 17 000 clichés mis en ligne par le jeune homme, on retrace ses voyages et découvre ses fréquentations et ses centres d'intérêt : séjour au Canada avec Helena et Jose en 2008, groupe de musique monté à la fin des années 1990 puis abandonné en 2002, retrouvailles avec Dom pour la fête de la musique en 2008. « Dom, c'est Dominique F., il est thésard à Bordeaux III », précise le Tigre. Un passage sur Facebook nous apprend que Marc L est hétérosexuel, qu'il a fréquenté Jennifer, puis Claudia, dont les parents vivent boulevard V, à Bordeaux. Claudia travaille avec Lukas au Centre culturel franco-autrichien de la préfecture de Gironde. Les trois amis se voient régulièrement, pour jouer à la pétanque à Arcachon ou « fêter les sous de la CAF », comme le 31 mai dernier. L'histoire avec Jennifer avait duré deux ans. En 2006, les amoureux sont partis en vacances en Bretagne. « Tu avais les cheveux courts à l'époque, ça t'allait moins bien. » La suite de l'article du Tigre regorge de détails sur la vie privée de Marc, que n'importe quel internaute curieux aurait pu dénicher en fouinant sur Google, Youtube, Pagesjaunes, les sites des journaux régionaux, etc. Ce qui est valable pour Marc l'est évidemment pour une multitude d'individus : si certains prennent grand soin de ne pas diffuser des informations personnelles, la plupart se laissent séduire par les outils qu'ils utilisent et éparpillent des pans de leur existence de ci, de là, sans avoir conscience de la facilité avec laquelle il est possible de rassembler les pièces du puzzle. (...)

(16/01/2009 16:47:16)

Pertes record en vue pour Hitachi

Selon le Nikkei Business Daily, principal journal financier japonais, le groupe Hitachi devrait annoncer des pertes record en 2008 dépassant les 100 milliards de yen (soit 836 millions d'euros) en lieu et place des profits attendus de 15 milliards de yen (soit 125 millions d'euros). Ces déconvenues seraient dues à un yen fort, mais également à la décroissance du marché des semi-conducteurs. Cette chute touche plus particulièrement Renesas, co-entreprise détenue par Hitachi et Mitsubishi, et septième fabricant de semiconducteurs mondial (en particulier pour l'automobile, la télévision et les disques durs). Malgré une restructuration de son activité stockage et les gains attendus dans la production d'énergie (centrales thermiques et nucléaires), Hitachi souffre dans son ensemble du ralentissement de ses ventes, notamment dans l'activité électronique grand public. Sans démentir totalement l'article du Nikkei Business Daily, Hitachi s'est fendu d'un communiqué officiel pour préciser que celui-ci n'est pas fondé sur des données officielles provenant de la société. Si ces pertes étaient confirmées le 31 mars prochain, ce serait la troisième année consécutive dans le rouge pour le groupe japonais. (...)

(16/01/2009 16:30:26)

Les responsables des datacenters sous pression

Faire plus avec moins, ainsi se résume le rapport que Symantec consacre aux datacenters. Publiée en pleine crise, la deuxième édition de cette enquête annuelle stigmatise la double pression mise sur les responsables de datacenter. D'un côté, ils doivent réduire leurs coûts, de l'autre la demande des utilisateurs va croissante. Pris dans cette tenaille, ils peinent aussi à recruter les compétences qu'ils recherchent et ils ne parviennent pas à optimiser l'exploitation des ressources serveur et stockage dont ils disposent. Pour achever le tableau, les plans de reprise d'activité (PRA) font figure de parent pauvre. Et le green computing dans tout cela ? Et bien, les motivations qui poussent à opter pour une informatique respectueuse de l'environnement relèvent avant tout des économies d'énergie qu'elle permet. Près de 50% des répondants indiquent qu'ils trouvent plus difficile que l'an dernier de répondre aux exigences des utilisateurs. Et ils sont dans le même temps 34% à avoir comme priorité de réduire les coûts. Pour y parvenir, l'automatisation des tâches quotidiennes arrive en tête (44% des répondants), suivie par la formation des informaticiens à plusieurs compétences (41% ). La première réponse technique, la virtualisation / consolidation des serveurs est à l'ordre du jour de 34% des entreprises. Il est vrai que les estimations actuelles portent sur une utilisation du parc installé à 60% de sa puissance. Ces projets s'inscrivent dans un contexte humain tendu. 37% des responsables déplorent un manque d'effectifs et 48% parlent du gros, voire de l'énorme problème, de trouver des professionnels compétents. Réalisée pendant l'explosion putride de la bulle spéculative, l'enquête indique que les budgets des datacenters étaient, à l'époque, orientés à la hausse dans 53% des entreprises (de 5 à 10% dans 50% des cas). Les postes de dépenses le plus en vue sont ceux des applications, de la consommation électrique et de la qualité de service.Bien évidemment, les responsables de datacenters concentrent leurs efforts sur les serveurs et le stockage. Pour les deux, dans 88% des entreprises, le maître mot est standardisation, avec une couche logicielle identique pour tous. Toutefois, les projets n'en sont qu'aux premiers balbutiements. Même situation en ce qui concerne tant la consolidation des serveurs que leur virtualisation : elles sont l'ordre du jour dans 87% des entreprises, mais elles n'en sont qu'aux prémisses. Enfin le rapport souligne que, plus les entreprises s'intéressent à la virtualisation, plus elles découvrent des écueils. En 2007, 31% déploraient un manque de maturité des solutions proposées, elles sont désormais 42%. Même évolution en ce qui concerne l'administration. Elles n'étaient que 18% à se plaindre de difficultés d'administration en 2007. Elles sont désormais 39%. Pour cette étude, Symantec a demandé à Applied Research d' interroger les responsables de 1 600 sociétés de plus de 5 000 personnes de par le monde. Parmi elles figurent 536 sociétés européennes, dont 95 françaises. (...)

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