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(03/10/2007 14:19:50)
Steve Ballmer en visite diplomatique à l'Assemblée nationale
C'est devant des députés convertis aux logiciels libres que s'est exprimé Steve Ballmer hier. Le PDG de Microsoft, qui avait demandé à rencontrer des élus de l'Assemblée nationale, essaye sans doute de redorer le blason de sa société, qui vient d'être condamnée par la justice européenne. Selon Libération, il aurait affirmé que «Microsoft se conformera aux législations en vigueur». Cela changera de l'attitude de son entreprise vis-à-vis de la Commission européenne depuis des années. Juste avant, Steve Ballmer avait apposé son paraphe sur un accord de partenariat entre sa société et l'IEP de Paris (Science Po). Cet accord est décrit en terme très vague. Les deux signataires ont "décidé de développer, sur le long terme, des collaborations innovantes qui mettent en valeur le rôle clé des TIC comme vecteur de l'égalité des chances, instrument pédagogique, outil de gestion de la vie universitaire et comme objet d'étude." (...)
(03/10/2007 13:40:08)Après le NY Times, le Financial Times s'oriente vers la gratuité sur le Web
Désormais les internautes du Financial Times pourront consulter gratuitement 30 articles par mois sur son site Web. Au delà, le journal entend conserver un accès payant sous forme d'abonnement. Cette annonce fait suite à celle du New York Times qui propose depuis le 19 septembre dernier un accès gratuit à son contenu en ligne. Des rumeurs courent aussi sur l'intention de Rupert Murdoch, qui vient de mettre la main sur le Wall Street Journal, de s'orienter vers la gratuité du prestigieux quotidien économique. Entre gratuit et payant, voire mixte des deux, il semblerait que la presse en ligne ait fait son choix et c'est le modèle gratuit qui s'impose progressivement. Une évolution qui selon les experts serait principalement due au basculement des budgets publicitaires vers le Web. Dès lors, on comprend aisément que l'enjeu est moins d'amener des lecteurs à souscrire des abonnements que de recueillir un maximum d'audience pour optimiser son budget publicitaire. (...)
(03/10/2007 13:37:23)Oracle dope ses solutions d'entreprise au Web 2.0
Difficile d'échapper à la mode du Web 2.0 appliquée à l'entreprise, autrement dit l'« Enterprise 2.0 » ! Chez Oracle, le phénomène a donné naissance à une stratégie qui prévoit l'intégration des technologies Web 2.0 à sa suite Web Center. Les fonctions proposées sont directement inspirées de solutions existantes au sein des blogs, wikis et autres flux RSS ou encore la méthode de développement AJAX. Web Center proposera également des services VoIP, sera capable de gérer les navigateurs d'un PC ou d'un appareil mobile et proposera en standard des services de recherche. Un composant « Anywhere » simplifie également l'intégration avec les terminaux mobiles, la suite bureautique de Microsoft ainsi que le serveur de messagerie Exchange. Enfin, pour faciliter les développements, la suite offre un kit adapté au framework Webcenter basé sur Java ainsi qu'un outil plus particulièrement destiné à la création d'interfaces utilisateurs s'appuyant sur AJAX et le concept de mashup (applications composites sur poste client). L'éditeur a également annoncé à l'occasion d'une conférence qui s'est tenue hier à San Francisco son intention d'ajouter des fonctions Web 2.0 à ses applications à la demande ainsi qu'à la prochaine version de sa suite d'outils de collaboration. Notons toutefois que ces intentions ne datent pas d'hier puisqu'on savait depuis le début de l'année qu'Oracle voulait appliquer le Web 2.0 à Web Center. Reste à souhaiter qu'à l'occasion de la conférence annuelle de la société qui doit se tenir à San Francisco, début novembre prochain, on passera à la phase de concrétisation de ces intentions. (...)
(03/10/2007 13:13:25)Un conteneur spécial pour les vieilles versions de Solaris
Sun disposait déjà d'un partitionnement maison pour les machines virtuelles basées sur ses serveurs, les LDoms (pour Logical Domains), mais ces derniers étaient réservés aux processeurs maison, les Sparc T1 et T2. Pour les serveurs basés sur des processeurs X64 d'Intel ou d'AMD, Sun intégrera les xVM (x pour x64, VM pour virtual machine) à OpenSolaris. Basés sur l'hyperviseur Open Source Xen, ils répondent à la même logique que les LDoms, qui permettent de supporter une instance virtuelle par thread de processeurs. Plus intéressant, ces xVM pourront supporter des instances utilisant de vieilles version de Solaris, au moins jusqu'à Solaris 8 et peut être jusqu'à Solaris 2.1 (lancé en 1993). Pour en avoir l'exacte portée, il faudra attendre mars 2008 et la version finale de Project Indiana. A cette date, les xVM devraient être intégrés à la fois dans Open Solaris et dans Solaris. (...)
(03/10/2007 13:07:41)TechEd : SAP propose aux développeurs de s'abonner à NetWeaver
Pour augmenter le nombre de développeurs familiers de son environnement NetWeaver, SAP propose désormais de s'abonner pendant un an à l'utilisation de ces outils d'infrastructure. Cette offre, présentée à l'occasion du TechEd de Las Vegas (01-05 octobre), est pour l'instant réservée aux Etats-Unis et à l'Allemagne (les autres pays y accéderont l'an prochain). L'abonnement annuel revient à 2 300 dollars aux Etats-Unis, ou 1 750 euros HT en Allemagne. Cela inclut l'accès au serveur d'application, au portail et aux applications décisionnelles, ainsi qu'aux différents outils, correctifs et mises à jour qui seront livrés pendant la période d'abonnement. Une réserve toutefois. Il s'agit d'une licence destinée à permettre d'évaluer NetWeaver. Des développements sont donc possibles, mais pas leur mise en production dans l'entreprise, en revanche. Des outils pour les applications composites et les processus métiers A Las Vegas, SAP a par ailleurs annoncé l'ajout, à sa plateforme NetWeaver, d'un jeu intégré d'outils (SAP NetWeaver Composition Environment) pour constituer et déployer des applications composites. Bien que ces dernières aient d'abord vocation à s'appuyer sur la suite de gestion intégrée, SAP Business Suite, elles pourront néanmoins emprunter à d'autres briques du marché, selon l'éditeur allemand. Ce dernier a également annoncé l'arrivée prochaine de nouveaux outils de gestion de processus métiers (BPM), ce qui devrait renforcer la concurrence avec des acteurs comme BEA Systems (WebLogic), IBM (WebSphere) ou WebMethods. Dans la foulée, les outils d'intégration NetWeaver Exchange Infrastructure changent de nom, devenant NetWeaver Process Integration. Désormais, les processus métiers pourront réagir en temps réel à un événement ou une alerte (la modification d'une donnée, par exemple). Une première version de cette offre sera livrée à quelques clients en décembre prochain. De l'importance du BPM Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Gary Barnett, associé du cabinet d'études britannique Bathwick, fait remarquer que « si les offres de BEA ou IBM présentent l'inconvénient d'être purement technologiques alors que celle de SAP a l'avantage d'associer la technologie et les applications, en revanche, l'offre d'infrastructure de SAP ne sera jamais aussi indépendante des applications sous-jacentes que peuvent l'être celles d'IBM ou de BEA. » Quoi qu'il en soit, Gary Barnett estime que SAP se devait d'étendre les capacités de NetWeaver pour suivre la demande autour des services Web et du BPM émanant de ses clients. « Tout se situe effectivement au niveau des processus métiers. Cela signifie qu'il n'est pas possible de laisser tout un chacun fournir les outils qui vont permettre de modifier les processus que vous exécutez. » Parmi les annonces faites à TechEd figure aussi la mise à jour d'Enterprise Services Repository, le référentiel destiné à gérer les services Web. Celui-ci supporte maintenant la version 3.0 du standard UDDI (Universal Description, Discovery and Integration). (...)
(03/10/2007 12:47:22)La justice retoque le plan de redéploiement d'Atos Origin Integration
Le Tribunal de grande instance de Nanterre a décidé de suspendre le plan de redéploiement annoncé en avril par la SSII française Atos Origin Integration. Une opération qui se devait solder par un plan de sauvegarde pour l'emploi conduisant à la suppression de quelque 988 postes. Saisi en référé la semaine dernière par le comité d'entreprise, le tribunal a estimé que les mesures d'accompagnement du PSE devaient être revues. Le juge a considéré que les sommes allouées au dédommagement, à la formation et à la création d'entreprises étaient dérisoires. De même, le temps accordé aux salariés pour entreprendre leurs démarches est apparu insuffisant. Cependant, le Tribunal a rejeté les arguments du comité d'entreprise, estimant que « c'est à tort que le CE considère que le volontariat serait factice » pour les salariés, ces derniers ayant « la latitude nécessaire pour y répondre ou non ». (...)
(03/10/2007 09:10:06)Yahoo dépoussière son moteur de recherche
Dans la foulée de Microsoft et, moins récemment, de Google, Yahoo donne un coup de jeune à son moteur. Les modifications apportées devraient, assure le groupe, doper la rapidité des recherches et la pertinence des résultats. Inutile toutefois d'espérer assister à une révolution. La principale évolution se matérialise par la mise en place de la fonction Search Assist, qui affiche une liste de suggestions lors de la frappe d'une requête, permettant à l'internaute d'explorer des thèmes qui ne lui sont pas familiers. Notons que ce type d'outil est disponible depuis longtemps déjà avec la barre d'outils Google. Autre nouveauté, Yahoo prévoit d'inclure dans la liste des résultats les vidéos issues de Youtube, Metacafe ou de Yahoo Video, et d'y greffer un lecteur afin de pouvoir les visionner directement. De même, les photos hébergées sur Flickr s'afficheront au milieu des résultats. Les modifications apportées au moteur de recherche ne concernent, pour l'heure, que sa version américaine. La semaine dernière, Microsoft annonçait le lancement imminent de la nouvelle version de Live Search aux Etats-Unis, et insistait sur les progrès réalisés dans l'ergonomie et la pertinence des résultats. Yahoo et Microsoft luttent pour grignoter des parts de marché à un Google hégémonique. En France, le dernier baromètre Xiti estimait que 90% des recherches en ligne étaient réalisées à partir de Google. (...)
(03/10/2007 08:42:39)Microsoft se paye le comparateur de prix Jellyfish.com
Microsoft vient de mettre la main sur le comparateur de prix Jellyfish.com, qui reverse aux consommateurs une partie des commissions perçues sur leurs achats. Pour Microsoft, cette acquisition constitue un levier pour accroître son offre de services liés au e-commerce et à la recherche en ligne, même si aucun détail n'a filtré sur la façon dont l'éditeur compte intégrer le site à ses activités. Microsoft n'a pas davantage indiqué le montant de la transaction. « Nous pensons que la technologie [de Jellyfish] possède un potentiel d'applications intéressant dans notre optique de renforcement dans l'e-commerce en tant que composante de Lice Search », explique simplement le groupe de Redmond. Les annonceurs choisissent le montant de la commission qu'ils acceptent de verse à Jellyfish pour chaque transaction réalisée. Au moins la moitié de ces sommes sont ensuite renversées aux consommateurs après un délai de 30 à 60 jours. Le mécanisme, baptisé « pay per action » permet aux vendeurs, selon Jellyfish, de mener leur activité en ligne sans risque et d'éviter notamment les dérives inhérentes à l'e-commerce comme la fraude au clic. Selon le site, plus de cinq millions de produits sont référencés. (...)
(03/10/2007 08:40:24)GFI met la main sur le Groupe BTD
GFI vient d'annoncer l'acquisition du Groupe BTD, SSII française fondée en 1981 et implantée en région parisienne et à Rennes. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué. " Une entreprise bénéficiaire et complémentaire de GFI Informatique dans ses compétences et ses implantations. Une très belle acquisition ", s'est félicité Jacques Tordjman, PDG de GFI Informatique. Implantée pour l'essentiel en région parisienne avec une agence à Rennes, le Groupe BTD a réalisé, lors de l'exercice 2006, un chiffre d'affaires consolidé de 54 M€ pour un résultat opérationnel courant d'environ 8% et un résultat net de 4,2%. Il regroupe environ 800 personnes et revendique des spécialités verticales dans la banque, les télécommunications et l'industrie, et des expertises horizontales dans les domaines des ERP, la Business Intelligence et les infrastructures. Un cocktail que GFI estime donc très complémentaire du sien, notamment avec des compétences PeopleSoft alors que le Groupe dirigé par Jacques Tordjman est plutôt connu pour son orientation vers Oracle. L'acquisition de 100% des actions du groupe BTD a été financée par un emprunt moyen terme de 30M€, le solde étant assuré par l'autofinancement. L'opération fait grimper l'endettement net de GFI à 45%, mais le pourcentage n'inquiète pas son PDG : " Notre taux d'endettement est encore très raisonnable, parmi les plus bas des grands de ce marché. Il ne nous gênera pas pour atteindre nos objectifs et donc mener à bien d'éventuelles autres opérations de croissance externe." De fait, la croissance organique ne suffira pas à honorer les objectifs du Plan stratégique 2010 de l'entreprise qui prévoit d'atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires de 2010 pour 9% de résultat opérationnel... Le 12 septembre, pour le compte du premier semestre 2007, la SSII a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 3,8% à 331,9 ME pour un résultat opérationnel courant en augmentation de 1,7 ME à 20,9 ME. Avant l'acquisition du Groupe BTD, GFI informatique regroupait environ 5200 personnes dans l'Hexagone pour une quarantaine d'agences, mais aussi 9 implantations en Europe du Sud, Europe du Nord, Canada et Maroc où la plateforme offshore qui regroupe aujourd'hui une soixantaine d'ingénieurs est désormais opérationnelle. (...)
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