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(10/09/2007 16:44:45)

Google, autorisé à conseiller dans le procès antitrust contre Microsoft

Colleen Kollar-Kotelly, la juge fédérale en charge du procès antitrust contre Microsoft aux Etats-Unis, vient d'autoriser Google à intervenir en tant que conseiller (amicus, une particularité en droit américain) dans les débats autour du litige sur les fonctionnalités de recherche intégrées à Vista. En juin 2007, Microsoft prenait la décision de modifier les fonctions d'indexation et de recherche de Vista (qui seront actives avec le SP1), suite à une plainte de Google. Selon ce dernier, Vista détournait les utilisateurs des autres programmes de recherches. Google estimait toutefois ces modifications insuffisantes. Bien que la juge n'approuve toujours pas l'intervention de Google en tant que partie - une position qu'elle soutient depuis juin -, elle donne à Google la possibilité d'agir en tant que conseiller en fournissant notamment un document. Selon elle, le ministère de la Justice « représente suffisamment les consommateurs ». (...)

(10/09/2007 15:07:54)

L'Oréal assigne eBay pour contrefaçon de flacons de parfum

L'industrie du luxe poursuit sa croisade contre la vente de contrefaçons en ligne. Après LVMH, c'est au tour de L'Oréal, n°1 du cosmétique, d'assigner le site d'enchères en ligne eBay en justice, pour « contrefaçon de flacons de parfum ». L'information a été révélée samedi 8 septembre par le quotidien Libération qui explique que la société de cosmétique a déposé une assignation en août dans cinq pays (Allemagne, France, Angleterre, Espagne et Belgique) après plusieurs mois de négociations entre les deux parties. En vain. L'information a été confirmée par un porte-parole du groupe à l'AFP. Interviewé par le quotidien, José Monteiro, directeur des marques de L'Oréal, explique qu'« eBay, en n'empêchant pas la ventes de ces produits, se rend coupable de fautes et de négligences et ce d'autant plus que des solutions existent ». Il parle également de « plusieurs millions d'euros » de préjudice. Il pointe également du doigt les procédures de filtrage appliquées a posteriori par le n°1 des enchères en ligne. Un système - jugé à retardement - également adopté par Google et son service de vidéos en ligne, qui avait notamment suscité l'ire de Jean-Français Lepetit (Flach Film), producteur du film « Le monde selon Bush ». En novembre 2006, ce dernier assignait Google France pour contrefaçon et parasitisme pour avoir distribué sans autorisation et gratuitement le film dans sa totalité sur Google vidéo. De son côté, eBay se défend dans Libération en mettant en avant les exigences trop contraignantes de L'Oréal : « On ne peut pas accepter de fermer des catégories entières, sous prétexte qu'il circule quelques sacs ou parfums contrefaits ». Après avoir admis que la vente de contrefaçons nuit également « à notre image et à la confiance de nos usagers ». (...)

(10/09/2007 12:58:51)

Restructuration annoncée chez Juniper

Face à des analystes financiers, Stephen Elop, directeur opérationnel de Juniper Networks, a affirmé que la société se lance dans une phase de transformation pour adapter les « 4P » (Planning, Productivité, Personnel et Processus) à l'entreprise. Le but étant de s'adapter aux évolutions du marché : gagner des parts de marché dans des secteurs clés, faire des économies d'échelle et de processus en s'appuyant sur des stratégies de vente plus claires, et des prises de décisions plus rapides. Ces changements interviendront notamment sur le marché des entreprises où, malgré ses 5 milliards de dollars d'investissements en trois ans (principalement par le biais d'acquisitions), la société n'a encore pas convaincu. « Les forces de vente pour les prestataires de services sont adéquates, la partie entreprise est plus disputée », précise Stephen Elop en soulignant le point principal à améliorer via les « 4P ». (...)

(10/09/2007 12:57:56)

Keljob.com simplifie le dépôt de CV grâce à l'analyse sémantique

Mettre son CV en ligne est souvent une opération fastidieuse, car il faut généralement remplir plusieurs pages de formulaires en ligne, avec des menus déroulants qui ne correspondent pas toujours au profil du candidat. Pour que cette démarche ne constitue plus un obstacle, le site d'offres d'emploi Keljob.com lance cv@keljob.com, un nouveau service de dépôt de CV en ligne qui intègre un moteur d'analyse sémantique. Il suffit aux candidats d'adresser leur CV par mail, le logiciel d'analyse sémantique se charge du reste : il reconnaît automatiquement les champs propres au CV, nom, adresse, profession, langue, dernière expérience professionnelle, etc. Ces données sont immédiatement intégrées dans un formulaire, lequel est retourné au candidat pour validation. Afin d'éviter les doublons, un contrôle est opéré dès l'envoi du CV qui vérifie si le candidat est déjà inscrit dans la base de données du site. Dans le cas contraire, le formulaire pré-rempli lui est adressé. Une fois cette étape finalisée, les informations sont exportées au format XML, puis un compte utilisateur est créé. De plus, et pour un traitement plus rapide, Keljob.com a développé une application spécifique en langage Java (J2EE), qui se charge de créer automatiquement le compte du candidat et de lui envoyer son login et son mot de passe, pour lui permettre d'accéder à son espace personnel. Le CV est, quant à lui, intégré dans la CVthèqueKeljob. (...)

(10/09/2007 14:22:54)

La fibre optique G652 devrait suffire aux futurs grands réseaux haut débit

C'est à l'occasion de la grande conférence européenne sur les communications optiques se tenant à Berlin (ECOC 2007) du 16 au 19 septembre, que le résultat d'une étude comparative sur les fibres optiques à employer pour accroître les débits véhiculés dans les réseaux de transport optiques longue distance sera divulgué. Selon cette communication, la fibre ITU-T G.652, traditionnellement utilisée par les opérateurs historiques de télécommunications, permet d'acheminer un flux de données multiplexées en longueur d'onde (WDM) à un débit par longueur d'onde de 40 Gbit/s sur des distances de l'ordre de 2000 km avec une bonne qualité de signal en réception. Les futurs systèmes de transmission WDM à 40 Gbit/s devraient être à même de transporter 40 à 80 longueurs d'onde, soit un débit total par fibre de 1.6 à 3.2 Tbit/s. Il s'agit d'une nouvelle étape dans le travail du laboratoire CORE/MCN de la Division Recherche et Développement de France Télécom (Orange Labs), qui étudie la problématique de la montée en débit dans son réseau de transport optique. Des fibres optiques meilleur marché Selon Erwan Pincemin, ingénieur R&D du laboratoire CORE/MCN de France Télécom à Lannion, et cosignataire de l'étude : « Au début des années 2000, on ne connaissait pas très bien le potentiel de la fibre ITU-T G.652 face à la montée en débit et notamment à 40Gbit/s par longueur d'onde. On sait désormais que l'on pourra faire évoluer les réseaux de fibre optique longue distance et haut débit sans changer le type de fibre, ni avoir recours à des fibres optiques trop coûteuses. » En effet, les dernières générations de fibres optiques (fibre à gestion de dispersion type UltraWave), plus chères que leurs ainées, sont capables de transporter les signaux à 40 Gbit/s sur plus de 4000 km. Ce travail est la suite de celui publié le 3 septembre dans la revue Optics Express, où la même équipe montrait que le format CSRZ-DPSK (qui se sert de la phase du signal pour coder l'information) était plus approprié que le format CSRZ-ASK (qui lui se sert de l'amplitude du signal) pour transmettre des informations sur une longue distance. Le format DPSK transmettant les mêmes données deux fois plus loin que son "cousin", c'est ce format qui a été retenu pour faire les tests de la nouvelle publication. Pour Erwan Pincemin, « la prochaine étape consistera à faire les mêmes tests, mais en incluant des OADM (Optical Add Drop Multiplexers), c'est à dire des noeuds qui permettent d'insérer et/ou d'extraire des longueurs d'onde à un multiplex WDM "en cours de route" sans repasser par de coûteuses conversions optique-électrique-optique.» (...)

(10/09/2007 12:14:30)

Sage prend 70 % de XRT, éditeur de logiciels financiers

En moins d'une semaine, Sage procède à une deuxième acquisition en France. Le groupe d'origine britannique, éditeur de logiciels de gestion, acquiert cette fois 70 % du capital de XRT, un spécialiste des logiciels couvrant la chaîne de la valeur financière : trésorerie, recouvrement, règlements et communication bancaire, mais aussi signature électronique, réconciliation et collecte (crédit client). Cette offre s'adresse aux moyennes et grandes entreprises et le domaine qu'elle couvre est totalement différent de l'expertise GRC (gestion de la relation client) pour PME qui a motivé la semaine dernière le rachat de KDP Informatique. Le montant des actions XRT acquises par Sage s'élève à environ 44 M€, payés en numéraire. Avec le catalogue de XRT, Sage renforce de façon significative les solutions de gestion de trésorerie et des paiements qu'il avait constituées en 2003 en rachetant Concept. Les produits qu'il accueille maintenant, la suite financière XRT Universe et XRT Business Exchange (pour les entreprises ayant des salles de marché), sont eux-mêmes le fruit de fusion et de rachats successifs : Cerg Finance, Beyers & Partners et Coveris. A noter que XRT est présent en Espagne. L'offre acquise présente par ailleurs l'intérêt de pouvoir être exploitée en ligne (XRT ASP), l'éditeur assurant lui-même l'hébergement de ses applications pour certains clients, tout en s'appuyant aussi sur des partenaires en région. (...)

(10/09/2007 12:11:46)

Sopra Group se renforce dans le secteur financier avec BAI

Sopra Group projette d'acquérir Business Architects International, un éditeur belge spécialisé dans la gestion des crédits pour les banques et autres établissements financiers. La transaction devrait être finalisée avant la fin du mois de septembre, pour un montant non communiqué. Elle permet à Sopra d'accroître sa présence européenne, ainsi que de consolider sa position dans le secteur de la finance. La SSII propose déjà une panoplie de solutions applicatives, baptisée Evolan, couvrant des domaines comme le crédit à la personne, les moyens de paiement et le reporting. De son côté, BAI compte sur cette opération pour améliorer sa couverture commerciale. Son principal actionnaire, GIMV, a d'ailleurs approuvé le projet. BAI prévoit de réaliser un chiffre d'affaire de 11 M€ en 2007. La société possède des bureaux en Belgique, en France, aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne. (...)

(10/09/2007 11:54:56)

VMWare lance ESX Server 3i, hyperviseur embarqué

VMWare, champion de la virtualisation, se lance dans l'hyperviseur préchargé. Les constructeurs devraient avoir embarqué en mémoire flash cette version 3i d' ESX Server sur leurs serveurs d'ici le quatrième trimestre. Par rapport à ESX Server 3, ESX Server 3i a subi une impressionnante cure d'amaigrissement. Le volume de code est passé de 2 Go à ... 32 Mo. VMWare a recréé un noyau hyperviseur sur lequel viennent se greffer toutes les fonctionnalités d' Infrastructure 3, sa suite d'outils d'administration. L'arrivée de cette version 3i préfigure probablement un nettoyage de l'offre de VMWare qui compte pas moins de trois hyperviseurs différents (VMWare Serveur, ESX 3 et 3i). Même si l'annonce de VMWare suit celle de XenSource, il convient de souligner que c'est bien le second qui court après le premier. Aujourd'hui, la ligne ESX Server fait figure de référence en matière d'hyperviseur. (...)

(10/09/2007 11:22:32)

Capgemini proposera le support de Google Apps aux entreprises

Peu à peu, les briques de l'offre bureautique professionnelle en ligne de Google se mettent en place. Le moteur de recherches a signé un accord avec Capgemini : la SSII fournira le support aux grandes entreprises choisissant d'utiliser la version payante, Premier Edition, de Google Apps. Forte des fonctionnalités classiques d'une suite bureautique - traitement de texte, tableur, et bientôt un éditeur de diaporamas - Google Apps offre surtout des éléments liés au travail collaboratif : email, agenda, travail en commun sur un document... C'est justement cette dernière fonctionnalité qui fait la différence, pour Capgemini. Comme l'explique dans son blog le directeur technique de la SSII, Andy Mulholland (dans une note écrite avant l'annonce officielle de l'accord), il ne s'agit pas d'opposer Microsoft Office et Google Apps en termes binaires - l'une étant bien, l'autre pas, ou l'une étant pour les grands groupes l'autre non -, mais de s'interroger sur leur utilisation. De fait, la SSII installe et supporte Microsoft Office et continuera de le faire, il lui faut donc trouver un positionnement relatif des deux offres. Andy Mulholland écrit ainsi : « Pour moi, la question est : cherchez-vous un environnement de document hébergé pour travailler de façon collaborative sur une base ad hoc, ou bien cherchez-vous un environnement interne contrôlé pour la gestion de l'information ? » Malgré ses quelque 450 millions d'utilisateurs, et les services en ligne (la gamme Live) récemment lancés, Microsoft Office n'a pas d'offre hébergée équivalente. Pour Microsoft, Office sert la productivité individuelle, tandis que la productivité en équipe est du ressort des autres offres de la gamme Office System, à commencer par le portail Sharepoint. Google est donc en avance sur ce point, mais tous les analystes soulignent le défaut majeur de ce type d'offre : la sécurité. Que celle-ci concerne le fonctionnement, pour des serveurs qu'on n'héberge pas soi-même, ou les documents proprement dits, stockés hors des pare-feu de l'entreprise. En sus des services de mise en place et de synchronisation que Capgemini assurera en vertu de cet accord, la SSII voit donc se profiler devant elle la gestion des applications clientes et la sécurité des données hébergées. (...)

(10/09/2007 11:11:11)

La France, quatrième victime de hackers

Après l'Allemagne, la Grande-Bretagne et dernièrement les Etats-Unis, c'est au tour de la France d'admettre avoir été la cible d'attaques informatiques. Les réseaux concernés font partie de services de l'Etat. « J'ai l'indication certaine que la France n'est pas à l'abri d'attaques ciblées », a confié Francis Delon, secrétaire général de la défense nationale (SGDN), à nos confrères du Monde, avant de préciser : « on peut parler d'affaires sérieuses ». Les cyber-attaques, qui ont débuté peu après l'élection du président de la République Nicolas Sarkozy, auraient « les mêmes origines que les autres pays », toujours d'après le SGDN. Sous-entendu : la Chine. Fin août, la chancelière allemande Angela Merkel se plaignait d'intrusions par des militaires chinois dans les réseaux informatiques gouvernementaux. Le 4 septembre dernier, on apprenait par le Financial Times que la déconnexion simultanée de 1500 messageries aux Etats-Unis au courant du mois de juin avait la même explication. Le lendemain, The Guardian emboîtait le pas, en annonçant que le service informatique du ministère des Affaires étrangères, basé à Londres, avait également été visité. Visée, la Chine s'est empressée de démentir formellement une quelconque responsabilité du gouvernement dans ces affaires successives. Elle évoque une implication des « hackers rouges » de l'Armée populaire de libération, un groupuscule nationaliste chinois. Pour le moment, la France considère cette possibilité comme une simple « hypothèse ». Techniquement parlant, la source exacte de ces intrusions est difficile à déterminer, car ces attaques se font « par rebonds » (elles changent très souvent d'adresse) afin de mieux brouiller les pistes. (...)

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