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(21/12/2006 17:16:40)

Trois sociétés ont choisi l'offre de support Suse par Microsoft

Microsoft vient de révéler les noms de deux banques et d'une filiale de compagnie d'assurance spécialisée dans la gestion de documents ayant souscrit à son offre de support technique pour la distribution Linux de Novell (Suse Enterprise Linux) : le Crédit Suisse, Deutsche Bank et AIG Technology. Cette annonce fait suite à l'accord de partenariat conclu en novembre dernier entre Microsoft et Novell. Dans le cadre de cet accord, Microsoft s'est engagé à distribuer des certificats ouvrant droit à du support technique pour un serveur fonctionnant sous Suse Enterprise Linux. Microsoft prévoit de distribuer 70 000 de ces certificats au cours des cinq prochaines années. Seize mille certificats auraient déjà été activés. Peu de détails ont été communiqués sur les déploiements concernés chez le Crédit Suisse, Deutsche Bank et AIG Technology. Le montant facturé par Microsoft pour les prestations de support reste notamment sous silence. Mais Microsoft et Novell ont néanmoins relevé le fait que le Credit Suisse n'était pas, jusqu'alors, utilisateur de Linux. (...)

(21/12/2006 17:12:51)

La Cour des comptes dénonce : trop d'universités nuit à l'Université

Pas moins de 4368 cursus proposés par 17 universités sur 182 sites, auxquels s'ajoutent 40 grandes écoles publiques : au vu du foisonnement qui caractérise l'enseignement supérieur en Ile-de-France, la Cour des comptes appelle, dans un rapport publié ce 20 novembre, à la « recomposition nécessaire » de la carte universitaire de la région. Toutes les disciplines sont concernées. L'éclatement géographique, cause d'un surcoût pour l'Etat et pour les usagers-étudiants, se double d'une complexité de l'offre de formations qui dessert plus qu'elle n'aide à l'orientation des jeunes et aggrave l'effet de dispersion des moyens. Le développement des formations « professionnelles » illustre l'effet d'émiettement et de stratification que fustige le rapport de la Cour. Pour le second cycle (licence professionnelle, master, ingénieur), on en dénombre 314 en 2005 (200 de plus qu'en 1998)... « sans que disparaissent dans des proportions comparables les formations désuètes ou en sous-effectifs chroniques ». Sans compter la myriade d'écoles privées qui complique encore la compréhension du système éducatif (tant pour les Français que pour les étudiants et observateurs étrangers). Besoin d'une "politique explicite, dotée de moyens conséquents Face à cet état des lieux, la Cour préconise, pour renforcer l'attractivité des universités, « d'articuler leur offre de formation autour d'établissements forts et visibles, capables de se mesurer à leurs concurrents étrangers ». Plus facile à résumer qu'à réaliser. L'alignement européen sur le système LMD (trois niveaux de diplômes, licence, maîtrise, doctorat) engagé depuis quatre ans, selon la méthode non directive voulue par l'Etat, n'est pas suffisamment probant et se solde, pour l'instant, par une démultiplication des diplômes. La place des grandes écoles dans le dispositif LMD est abordée dans cet état des lieux avec l'exemple des Ecoles normales supérieures qui ont transformé leurs anciens magistères en masters cohabilités avec des universités partenaires. Justement : il y a bien des rapprochements amorcés (cohabilitation de diplômes, constitution de pôles Paris Universitas, UniverSud Paris, Paris Centre Universités, Polytechnicum de Marne-la-Vallée, ParisTech pour les grandes écoles d'ingénieurs) mais sans que l'Etat se soit pour l'instant prononcé à leur égard. D'où le signal tiré par la Cour des comptes : la prise de conscience du manque de régulation, responsable historiquement de la dispersion actuelle, doit rapidement se transformer en « politique explicite, dotée de moyens conséquents » qui devrait, du même coup, permettre aux universités d'assumer le « surcroît d'autonomie » indispensable pour une refonte efficace de l'offre universitaire. (...)

(21/12/2006 17:14:40)

Les sénateurs refusent de soutenir les éditeurs de jeux vidéo

L'industrie française du jeu vidéo se lamente depuis le rejet par le Sénat d'un amendement à la loi de finance 2007 qui prévoyait l'octroi un crédit d'impôt pour les éditeurs. Une mesure qui équivaut à "faire courir un marathon avec un sac à dos de quarante kilos", déplore Guillaume de Fondaumière, le président de l'Apom (association des producteurs d'oeuvres multimédia), par ailleurs directeur général de Quantic Dream. Selon lui, les 20% de crédit d'impôts (sur la partie artistique, ce qui exclut donc les coûts inhérents à la R&D) qu'aurait permis l'amendement étaient indispensables à la pérennité de l'édition française des jeux vidéos, sévèrement concurrencée par de nombreux pays bénéficiant déjà d'aides. Ainsi, "au Québec, les producteurs reçoivent automatiquement un crédit d'impôts de 37,7% sur la totalité de leur production ainsi que des aides fédérales. Ce qui leur permet de diviser par deux les coûts de conception". De fait, plaide Guillaume de Fondaumière, les effectifs des studios français ne cessent de diminuer : de 12 000 en 1995, ils seraient moins de 2000 aujourd'hui à travailler dans l'industrie vidéoludique. Dans le même temps, les revenus du jeu vidéo s'envolent - ils dépassent désormais ceux du cinéma - tout comme le nombre de salariés dans le monde. Le président de l'Apom est d'autant plus déçu qu'un accord semblait avoir été trouvé avec le gouvernement pour la mise en oeuvre d'un crédit d'impôts. "Une demande formelle avait été adressée à Bruxelles pour obtenir l'aval de la Commission de la concurrence. Il n'y avait pas d'objection à notre requête et l'accord devait intervenir dans les six prochains mois au maximum. En parallèle, le législateur français devait intégrer dans la loi de finances 2007 le crédit d'impôts ce qui permettait d'en faire bénéficier les éditeurs dès l'accord européen". Au lieu de ça, 184 sénateurs se sont opposés à l'amendement, contre 122 qui le soutenaient. Si une partie du gouvernement était favorable au texte, "il semblerait que ce soit Jean-François Copé [le ministre délégué au Budget, NDLR] qui ait décidé de faire en sorte que la mesure ne soit pas adoptée, explique Guillaume de Fondaumière. Deux arguments seraient avancés par Bercy pour justifier le rejet du crédit d'impôts : il ne profiterait qu'à un petit nombre d'entreprises et créerait une nouvelle niche fiscale, insupportable pour le budget de l'Etat. Deux arguments fallacieux, rétorque le président de l'Apom : "la mesure profiterait à 60% des développeurs français de jeux vidéos et ne coûterait que 15 ME par an, pas de quoi déséquilibrer le budget de la France". "Il faut savoir si on veut garder en France des emplois hautement qualifiés, des bac +5 ou +8, conclut Guillaume de Fondaumière. Si la réponse est oui, alors il faut aider le jeu vidéo. Si on préfère se spécialiser dans le textile ou l'extraction minière, il n'y a effectivement aucune nécessité à soutenir l'industrie vidéoludique". (...)

(21/12/2006 17:15:25)

L'Allemagne se retire du projet européen de moteur de recherche Quaero

Le partenariat noué entre le gouvernement allemand et le gouvernement français autour du projet de moteur de recherche sémantique européen Quaero a vécu. Hartmut Schauerte, le secrétaire d'Etat allemand à l'économie et à la technologie, a ainsi confié à un auditorium rempli de responsables gouvernementaux allemands et de responsables d'entreprise que Berlin entendait se retirer du consortium Quaero pour se concentrer sur un projet national, baptisé Theseus. "Il y aura désormais des programmes séparés, l'Allemand Theseus et le Français Quaero" a confirmé le porte-parole du ministère, Hendrik Luchtmeier."Il devrait subsister des coopérations au sein de groupes de travail, mais le consortium entre les gouvernements allemand et français a vécu". De ce côté-ci du Rhin, les responsables gouvernementaux jouent la carte de la diplomatie et expliquent que le projet continue avec une implication allemande (l'Université d'Aix-la-chapelle continuerait à être partie prenante du projet Quaero). "Le dossier Quaero n'est pas clos" explique ainsi Armelle Ceglec, une porte-parole de l'agence française de l'innovation industrielle (AII) qui finance les projets de recherche labellisés par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie. "Il subsiste des partenaires allemands au sein du projet Quaero, mais la configuration de ces partenaires évolue. Lorsqu'on travaille sur un projet international, les choses sont toujours plus compliquées que pour les projets purement français". Le consortium Theseus est mené par Empolis GmbH, une filiale de Bertelsmann AG et il implique plusieurs géants allemands, dont Siemens, SAP et la Fraunhofer Gesellschaft. Lycos, qui est dirigé par Christoph Mohn, dont la famille détient la majorité de Bertelsmann, participe aussi au projet. Luchtmeier a refusé d'expliquer pourquoi le gouvernement fédéral allemand avait décidé de se retirer du projet Quaero. Il s'est borné à faire remarquer que l'objectif n'est pas de bâtir un rival de Google, mais plutôt d'aider les sociétés travaillant sur les technologies de recherche et sur les réseaux du futur. L'incertitude demeure aussi sur le financement des deux projets et notamment sur le sort de la quote-part allemande de Quaero. Notons pour terminer que la position pragmatique des Allemands détonne singulièrement avec l'ambition nationale affichée par le Président Jacques Chirac, qui avait récemment expliqué que le but de Quaero est de "répondre au défi posé par les géants américains comme Google et Yahoo". Une position qui avait immédiatement été moquée par les médias étrangers pour son caractère nationaliste. (...)

(21/12/2006 17:17:55)

HP acquiert Bitfone pour l'administration de terminaux mobiles

Hewlett-Packard vient d'annoncer son intention de racheter Bitfone, un éditeur d'outils d'administration de terminaux mobiles. HP entend proposer les logiciels développés par Bitfone aux entreprises pour les aider à améliorer la gestion de leurs flottes d'ordinateurs de poche. L'offre de Bitfone comporte notamment mProve, un outil de déploiement de logiciels à distance pour terminaux mobiles, et FusionDM, un logiciel utilisé par les opérateurs mobiles pour gérer leurs comptes clients. Parmi ses clients, Bitfone compte notamment T-Mobile USA, SK Telecom, Freescale, Qualcomm, Motorola et Samsung mais aussi des concurrents de HP sur le marché des terminaux mobiles tels que Palm, Kyocera, LG et Sony Ericsson. Hewlett-Packard n'a pas indiqué s'il entend continuer à leur proposer les outils de Bitfone à la vente. Les 134 employés de Bitfone vont venir grossir les rangs de la division des systèmes personnels de HP. L'acquisition doit être finalisée au mois de février prochain. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué. (...)

(21/12/2006 17:19:33)

Citrix rachète la technologie de diffusion temps réel d'Ardence

Le spécialiste du contrôle d'accès Citrix poursuit sereinement sa stratégie de croissance externe en se payant Ardence (100 employés, plus de 3000 clients), éditeur d'une technologie qui permet de diffuser en flux tendu (streaming) un OS et ses applications vers des clients légers, depuis un serveur central (concept du déport d'écran). Le montant de la transaction n'a pas été mentionné, mais l'opération devrait se finaliser au premier trimestre 2007. La technologie d'Ardence donnera la possibilité à Citrix de provisionner en temps réel un ensemble d'applicatifs, Windows ou Linux, vers des stations de travail sans disques durs. D'où, selon lui, une économie de coût d'administration et un environnement plus sécurisé. Couplé au produit-phare de la marque, Presentation Server, plate-forme de gestion d'applications centralisées, "les outils Ardence permettront aux administrateurs d'ajouter plus rapidement des serveurs à un ensemble de Presentation Server et favoriser la configuration dynamique des serveurs dans des centres de données". Pour construire son offre, Citrix s'est appuyé sur les rachats de notamment NetScaler en juin 2005 (optimisation des performances réseau) pour 300 M$, d'Orbital (optimisation WAN) pour 50 M$ et de Reflectent (supervision des performances) en mai 2006 pour 16,7 M$. (...)

(21/12/2006 16:03:18)

Hummingbird France : le tribunal se prononcera sur le PSE le 4 janvier

La section CFDT de Hummingbird France assignait ce matin en référé la direction de l'entreprise ainsi que son comité d'entreprise (CE), afin d'obtenir l'annulation du plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) en cours au sein de la filiale française de l'éditeur, suite à son rachat par OpenText. La délégation syndicale s'appuyait sur un constat de carence dressé par l'Inspection du Travail pour demander au tribunal d'obliger Hummingbird France à revoir entièrement sa copie. Pour la CFDT, l'avocate a dénoncé l'insuffisance du PSE notamment sur l'aspect du reclassement, évoquant les « quatre offres de reclassement, toutes à l'étranger » (« neuf postes », corrigea plus tard l'avocate de la direction). Elle a aussi souligné que dans la mesure où OpenText et Hummingbird avaient fusionné (le nom OpenText étant utilisé à l'accueil ainsi que pour les emails), des reclassements devraient pouvoir avoir lieu au sein d'OpenText. L'avocate de la direction a estimé que cet argument ne tenait pas, les sociétés restant des entités juridiquement séparées : « OpenText France est une société distincte, qui a elle-même des difficultés économiques ». L'autre grand pan de la plaidoirie de l'avocate de la section CFDT consistait à dénoncer les critères de suppression de postes. « La société a fait la liste des salariés par service, a-t-elle indiqué, et mis en face des postes à supprimer, [...] or on retrouve des emplois qui ont la même appellation, tels que managers ou ingénieurs d'affaires. » Conséquence : « les personnes sont identifiables ». Or dans un PSE on commence par supprimer des postes, et on regarde ensuite qui, selon les critères retenus, est licencié. « Pour une réelle application des critères, il aurait fallu prendre l'ensemble des managers, l'ensemble des ingénieurs d'affaires, etc. », a poursuivi l'avocate. Plus tard, l'avocate de la direction est revenue sur ce qu'elle a qualifié de « reproche totalement infondé ». « Si c'est indiqué dans le PSE, a-t-elle affirmé, c'est pour la clarté des débats, mais les critères seront bien évidemment appliqués à l'ensemble des catégories des différents services, cela va de soi ! » Charge au président du tribunal d'apprécier la pertinence de l'argument. Premières lettres de licenciement juste après Noël Au grand dam du président, qui pressait les avocats de s'en tenir aux seuls éléments du PSE, les plaidoiries dérivaient souvent sur des attaques personnelles et des procès d'intention de part et d'autre. Dernière à parler, l'avocate du CE a ainsi dénoncé « un véritable réquisitoire contre le CE ». Plus théâtrale que ses consoeurs, elle a expliqué : « nous subodorions que cet intérêt soudain [du délégué CFDT pour le syndicalisme] cachait quelque chose. Et hier au soir, nous apprenons que [quelques personnes] du service commercial, qui sont les plus gros salaires, font cela afin de pouvoir créer une structure qui distribuerait un des produits d'Hummingbird. » Comprendre Genio, un ETL (outil d'extraction et de chargement de données) plutôt en perte de vitesse, d'ailleurs, et qui n'entre pas du tout dans la stratégie produits d'OpenText. La seule manifestation de la salle s'est produite lorsque l'avocate du CE et celle de la CFDT ont tenté de prendre avantage des rangs remplis derrière leurs clients. Le public (plus de quarante personnes) a bruyamment rappelé que ce n'était pas aussi simple. Toutefois, à voir se former les clans à la sortie du tribunal, on pouvait constater que celui autour du délégué CFDT était le plus réduit. Le tribunal donnera sa décision le 4 janvier. Sachant que la procédure n'est pas suspensive, et que les premières lettres de licenciement devraient partir le 27 décembre. Si la procédure devait repartir à zéro, les gens concernés devraient alors être réintégrés. Mise à jour du 28/12/06 : le nom du délégué CFDT a été supprimé à sa demande, dans la mesure où il considérait que les propos tenus par l'avocate de la partie adverse pouvaient être considérés comme diffamatoires. (...)

(21/12/2006 13:09:55)

Linedata révise à la baisse ses prévisions de marge

Linedata, spécialiste de l'informatique financière, revoit à la baisse son objectif de marge opérationnelle pour 2006. Alors que le groupe tablait sur une marge pas inférieure à celle de 2005 - soit 16,7% du chiffre d'affaires - il indique désormais viser une fourchette de 14 à 15%. Deux raisons principales expliquent ce glissement : d'une part, les renouvellements de licences "importantes" n'ont pu se faire, comme prévu, au cours du quatrième trimestre et sont décalés sur 2007 ; d'autre part, le groupe fait état de "désaccords commerciaux avec deux clients", l'obligeant à provisionner 1,9 M€ sur ses créances. Même si Linedata affirme que son objectif de croissance du chiffre d'affaires reste inchangé - à 7% en organique - la bourse a réservé un mauvais accueil à l'annonce sur la marge. Le titre perdait ainsi plus de 7%. (...)

(21/12/2006 13:08:00)

Gestion prévisionnelle de l'emploi: l'Etat finance, les associations informent, les éditeurs préparent les outils

Une percée en 2007 pour la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) ? Pour les PME, en tout cas, il ne manquera pas dès janvier d'occasions de se sensibiliser à cette démarche. D'autant plus que l'Etat finance celle-ci, par diverses possibilités de convention, jusqu'à 70% des actions de sensibilisation (PME de moins de 250 salariés), jusqu'à 15000 euros pour la mise en place de la démarche. Pour les entreprises de plus de 300 salariés, la loi Borloo en fait même un passage obligé (obligation triennale de négocier avec les partenaires sociaux un accord de GPEC). Dans ces années charnières du point de vue démographique (départ en retraite et pénurie de personnels qualifiés, réforme de la formation professionnelle prônant la formation tout au long de la vie), les motivations et les effets attendus de la GPEC suscitent une mobilisation de la part d'associations et de prestataires spécialisés. Deux exemples : -la CGPME (confédération des PME), dont certaines représentations locales (pour les PME des Yvelines, la CGPME78 avec le prestataire RHConseil PME) organisent une série de présentations sur ce thème ; -les mardis du club Stratégies (pour les entreprises de toutes tailles cette fois) qui dédie, au premier trimestre 2007, trois séances aux outillages et aux démarches de la GPEC (le mardi 9 janvier de 18 à 20 H), aux approches territoriales (le 6 février), et aux contributions de la GPEC aux branches et aux entreprises (le 6 mars). Sans compter que l'obligation légale (au delà de 300 salariés) ou l'importance prise par la gestion des compétences dans certains secteurs plus exposés au risque de pénurie de main d'oeuvre qualifiée (dont le secteur informatique) incitent les éditeurs de logiciels (ERP, SIRH) à adapter leur gamme (liens entre GPEC et gestion du recrutement, suivi des dotations d'équipement, etc.), offre de formation/sensibilisation à l'appui. (...)

(21/12/2006 12:05:21)

Mozilla comble 8 failles de Firefox 2

Mozilla a publié mercredi 20 décembre 8 rustines pour son navigateur Internet Firefox 2.0, sortie en octobre. Parmi les 8 patches (répertoriés dans la mise à jour 2.0.0.1), 5 sont classés 'Highly Critical" par l'éditeur. Une alerte qui, selon l'expert en sécurité Secunia, doit être prise au sérieux. Mozilla encourage les utilisateurs à appliquer rapidement les rustines. Selon Mozilla, les cinq rustines comblent des trous dans le module SVG, dans l'exécution du code Javascript et CSS, ainsi que dans la façon dont le navigateur interprète le RSS. Deux autres rustines sont répertoriées "high" et une autre représenterait peu de risques ("low"). Notons que Mozilla a également publié une mise à jour 1.5.0.9 qui comble les mêmes failles, mais pour les versions 1.5 du navigateur. (...)

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