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(19/07/2006 17:14:48)

Les spécialistes indiens de l'offshore ont le vent en poupe

Résultats premier trimestre Wipro Chiffre d'affaires : 677 M$ (+37%) Bénéfice : 132,8 M$ (+44%) Résultats premier trimestre Tata Consultancy Services Chiffre d'affaires : 900 M$ (+42%) Bénéfice : 187 M$ (+33%) Les spécialistes indiens de l'externalisation affichent une exubérante santé, au moment où les acteurs IT occidentaux connaissent une période délicate, à l'image de BO, Yahoo ou AMD qui ont publié ou annoncé des performances inférieures aux estimations. Tata Consultancy Services, le spécialiste numéro un de l'externalisation dans le Sous-continent, réalise clôt ainsi son premier trimestre sur un chiffre d'affaires en hausse de 42 %, à 900 M$.Il profite de la demande mondiale galopante pour les services offshore - les exportations indiennes de logiciels et services sont attendus en hausse de 27% à 30% en 2006 - et de la dépréciation de la roupie indienne. Son bénéfice s'élève à 187 M$, et croît de 33 % par rapport à la même période de l'année précédente. Plus de la moitié des revenus du groupe (53%) proviennent des exportations à destination de l'Amérique du Nord, contre 27% pour l'Europe. Tata a recruté 4 698 nouveaux salariés au cours du trimestre, portant son total à 71 190 au 30 juin. Même niveau de performances pour Wipro, le troisième principal acteur de l'industrie offshore indienne. Son chiffre d'affaires s'élève à 677 M$, en hausse de 37%, et son bénéfice bondit de 44% pour atteindre 132,8 M$. Si Wipro s'adresse à la fois au marché domestique indien et aux entreprises IT à travers la planète, c'est auprès de ces dernières qu'il réalise la très grande majorité de ses revenus. Sa division Global IT Services & Products - axée sur l'offshore - réalise ainsi un CA de 530 M$ et progresse de 42 % sur un an. Le groupe a embauché 2 693 salariés supplémentaire au cours de la période considérée et compte désormais 56 435 employés. Il y a quelques jours, Infosys - le numéro deux indiens de l'externalisation - avait publié des résultats en ligne avec ceux de Tata et Wipro. (...)

(19/07/2006 17:14:26)

Microsoft et XenSource renforcent leur alliance sur la virtualisation

Microsoft et XenSource, le développeur initial de l'hyperviseur libre Xen, ont annoncé hier un renforcement de leur alliance, pour assurer l'exécution transparente des versions "virtualisées" de Linux au-dessus du futur Hyperviseur de Windows. L'objectif selon les deux sociétés est d'assurer un fonctionnement sans problème des versions virtualisées de Linux, mais aussi d'assurer un niveau de performance optimal de ces distributions au dessus de l'hyperviseur Windows. Connu sous le nom de code Viridian, l'hyperviseur de Windows Longhorn.Server est attendu dans le courant du premier semestre 2008, si la roadmap produit de Microsoft ne dérape pas. En Avril, déjà, XenSource s'était rapproché de Microsoft, pour licencier son format de disque virtuel VHD (Virtual Hard Disk). L'objectif était de permettre l'importation de machines virtuelles créées avec Microsoft Virtual Server par sa future solution de virtualisation XenEnterprise. (...)

(19/07/2006 17:13:03)

Intel lance son Itanium 2 "Montecito"

Mieux vaut tard que jamais. C'est vraisemblablement avec un soupir de soulagement que les membres de l'alliance Itanium ont accueilli hier le lancement officiel de la première version bi-coeur du processeur Itanium, l'Itanium 2 "Montecito". Cette nouvelle mouture de la puce pour serveurs haut de gamme d'Intel arrive en effet avec près de neuf mois de retard sur les prévisions du fondeur, un retard inhabituel pour Intel, mais qui n'est pas forcément rare dans l'univers des puces haut de gamme, comme l'ont montré par le passé les ratés d'HP, IBM et Sun avec leurs puces RISC. Le problème est qu'à l'heure où nombre d'utilisateurs s'interrogent sur les architectures de leurs Datacenters du futur, ce retard faisait mauvaise impression, d'autant que la puce Itanium n'a jusqu'alors séduit qu'un public très restreint, si l'on excepte naturellement les clients "naturels" d'HP. L'intérêt de l'Itanium 2 est qu'il apporte un regain de performances bienvenu. En combinant des technologies comme le bi-coeur et l'Hyperthreading et grâce à un nouvel accroissement de la mémoire cache interne (jusqu'à 24 Mo pour les puces haut de gamme), Montecito affiche des performances près de deux fois supérieures à celles des puces Itanium 2 actuelles ("Madison"), le tout couplé à une réduction de près de 20% de la consommation électrique. Chaque puce consomme ainsi 104 W contre les 130 W actuels. Au total, Intel devrait proposer en haut de gamme trois déclinaison de sa puce à 1,6 GHz avec 24 Mo de mémoire cache (Itanium 2 9050) pour 3692$, 18 Mo de mémoire cache (Itanium 2 9040) pour 1980$ et 8 Mo de mémoire cache (Itanium 2 9030) pour 1522$. Deux autres moutures seront également proposées. La première, l'Itanium 2 9020, est cadencée à 1,42 GHz et supporte comme les versions haut de gamme le bus système à 533 MHz. Elle embarque 12 Mo de cache et est vendue au prix de 910$. L'itanium 2 9010 est quant à lui cadencé à 1,4 GHz, mais ne supporte que l'ancien bus à 400 MHz. Avec 12 Mo de cache il est proposé au prix de 749$. Les nouveaux processeurs devraient tout particulièrement intéresser les clients d'HP, qui a récemment lancé de nouveaux serveurs prévus pour le Montecito, mais sans la puce phare d'Intel du fait de son retard. HP devrait intégrer Montecito dans ses serveurs Integrity au courant du mois de Septembre ce qui devrait lui permettre d'afficher de nouveaux records de performances. Le géant californien, qui représente 90% des ventes de serveurs Itanium devrait être imité par son allié Japonais NEC. NEC dispose au Japon d'une gamme complète de serveurs Itanium (la firme a d'ailleurs par le passé conçu certains serveurs Itanium en OEM pour HP) et elle commercialise également en Europe une partie de ses gammes sous la marque Express 5800 (NX7700i au Japon). Elle propose aussi des systèmes Itanium 2 conçus pour le monde du HPC, les TX-7. Ces systèmes fonctionnent sous Windows, Linux et HP-UX 11i v2.0 (NEC dispose d'une licence HP-UX dans le cadre d'une alliance avec HP). D'autres constructeurs devraient aussi se joindre à la bataille, comme Fujitsu (PrimeQuest 5000), Bull (NovaScale), Hitachi, Unisys et SGI (Altix 4700 et Altix 450). Tous ces constructeurs espèrent gagner du terrain sur les architectures Risc existantes et particulièrement celles de Sun et IBM, qui vient de connaître un trou d'air avec un recul de 10% de ses ventes Unix au dernier trimestre. Mais la partie est loin d'être jouée. Sun doit en effet présenter en octobre ses nouveaux serveurs UltraSparc conçu en partenariat avec Fujitsu (gamme APL) autour de nouvelles puces Sparc multi-coeurs. Big Blue, quant à lui, doit doper sa gamme au Power4+ pour riposter à l'offensive Itanium. Autant dire que la rentrée devrait être intéressante du côté des grands serveurs d'entreprises. (...)

(19/07/2006 12:37:51)

Trimestriels Yahoo : le moteur déçoit avec un chiffre d'affaires inférieur aux attentes

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 1,58 Md$ (+26%) Bénéfice net : 164,3 M$ (-78.2%) Yahoo n'est pas parvenu à atteindre le consensus des analystes avec son chiffre d'affaires du deuxième trimestre, et a dû publier un bénéfice en fort recul. Le moteur de recherche a également indiqué qu'il comptait retarder la sortie de sa future plateforme de publicité en ligne. Le chiffre d'affaires atteint 1,58 Md$, soit 26 % de plus qu'à la même période de l'exercice précédent. Hors coût d'acquisition du trafic, les revenus progressent de 28%, à 1,12 Md$, mais échouent à atteindre le consensus des analystes qui avaient placé la barre à 1,14 Md$. Le bénéfice net affiche une baisse spectaculaire : il est presque divisé par quatre, à 164,3 M$. Malgré cette chute, il reste en ligne avec les prévisions des observateurs, lesquelles prenaient en compte la cession d'un "investissement non stratégique" de 563 M$ qui gonflait artificiellement les bénéfices du T2 2005. Autre déception pour Yahoo : le lancement de sa très attendue plate-forme de publicité en ligne censée doper les revenus et combler l'écart avec Google. Project Panama est repoussé et n'interviendra pas au troisième trimestre, comme cela avait été annoncé précédemment. Terry Semel, le PDG du groupe, table désormais sur une sortie de l'outil au quatrième trimestre, et n'envisage pas de retombées financières avant le début du prochain exercice fiscal. Selon l'homme fort du moteur de recherche, la technologie est au point mais Yahoo estime que davantage de temps est nécessaire pour que ses partenaires soient en mesure d'adapter leurs systèmes à la future plate-forme. (...)

(19/07/2006 12:35:42)

Microsoft acquiert Winternals et ses outils systèmes

Microsoft vient de faire l'acquisition de Winternals Software, un éditeur d'utilitaires Windows co-fondé par Mark Russinovich, le développeur qui a mis en lumière le rootkit contenu dans les CD-Audio protégés de Sony. Winternals, qui emploie environ 85 salariés, développe des utilitaires de récupération et d'optimisation de performance pour les systèmes d'exploitation serveurs de Microsoft. La société est aussi connue pour son site Sysinternals.com qui propose des utilitaires systèmes gratuits. Suite à l'acquisition, l'équipe de Winternals devrait déménager d'Austin à Redmond et Russinovich deviendra l'un des 14 "technical fellows" de Microsoft. Le co-fondateur de la société, Bruce Cogswell, prendra quant à lui le titre d'architecte logiciel au sein de la division plate-forme Windows du géant. Les produits actuels de Winternals devraient poursuivre leur carrière, même si Microsoft n'a pour l'instant pas précisé comment il compte intégrer les différents logiciels dans son offre. Un point intéressant à noter est que les outils de Winternals pourraient servir à bâtir une offre concurrente à celle de certains utilitaires de Symantec, qui doit déjà faire face à l'arrivée de Microsoft sur son pré carré des antivirus et des logiciels de sécurité. (...)

(19/07/2006 10:03:18)

Carrefour devient opérateur mobile

Après l'annonce d'Auchan (a-mobile), opérateur virtuel sur le réseau de SFR, il était logique de voir rapidement suivre Carrefour. C'est chose faite, le groupe de distribution vient de signer un accord de MVNO avec Orange. Carrefour est déjà opérateur mobile virtuel en Belgique sur le réseau de KPN, sous la marque 1-Mobile. Son offre est agressive sur les appels voix et les SMS. Les grands acteurs de la distribution s'engouffre sur le marché des opérateurs mobiles. Leurs forces : leurs réseaux de distribution (Carrefour possède ainsi 217 hypermarchés en France), la notoriété de leurs marques et leur capacité de négociation auprès des opérateurs mobiles et des constructeurs de terminaux. La Fnac commercialise ainsi Fnac Mobile avec Orange et Système U songe également à se lancer dans l'aventure. Après le fixe, Darty s'intéressera t'il au mobile ? et ED ? ED Mobile, bof ça ne sonne pas terrible... (...)

(19/07/2006 10:02:15)

Foundry annonce deux switchs FastIron

Foundry Networks Inc. annonce deux switchs modulables. Destinés aux réseaux de haute-capacité, ils fournissent du 10 gigabit Ethernet et du POE (Power over Ethernet). Le FastIron SX800 est commercialisé à partir de 17 995 dollars US et le SX 1600 démarre à 27 995 dollars US. Le SX 1600 affiche la plus importante puissance Power over Ethernet du marché (15,4 watts par ports). Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group à Boston, relève que Foundry est le seul équipementier à fournir une puissance si importante, mais qu'il devrait être prochainement rejoint par Cisco. Une telle capacité électrique est-elle vraiment nécessaire ? Oui, si vous installez des postes IP aux larges écrans couleurs et aux fonctionnalités accrues... (...)

(19/07/2006 09:58:44)

La saga AFP-Google continue

Le combat que mène l'Agence France-Presse (AFP) contre Google n'est pas terminé. En dépit des recours en justice, Google News continue d'indexer les informations et les photos de l'AFP, une pratique qui nuit au modèle économique de l'agence. Google News en anglais indexait toujours en début de semaine une série d'articles écrits par l'agence française. En France, même scénario : certaines informations de l'AFP sont toujours reprises gratuitement par l'intermédiaire d'autres journaux, souvent issus des pays du Maghreb, qui sont eux des abonnés à l'AFP. L'AFP, qui fournit de l'information en continu et en six langues, lègue les droits de ses travaux à ses clients. Ils sont les seuls à pouvoir reprendre les travaux de l'agence et les publier dans leur media en son nom. A ce titre, Google News est accusé de pirater indirectement son travail en l'indexant. A l'origine de l'infraction : le programme informatique de Google News qui brasse les informations présentes sur le Web sans distinction de source. Droit de citation avancé, droits d'auteur menacés En mars 2005, l'AFP avait déposé une plainte au tribunal de Washington et réclamait 17,5 millions de dollars de dédommagement. Promettant de retirer tous les contenus AFP de son site, un porte-parole de Google avait alors expliqué qu'il pensait que « l'effet vitrine » aurait pu être profitable à l'agence comme il l'est pour de nombreux autres médias. Aujourd'hui, celle qui se présente comme la plus vieille agence d'informations du monde se retrouve à nouveau face au géant du Web devant la Cour du district de Colombia. Au-delà des décisions prises par le tribunal, ce duel a valeur d'exemple car il remet en cause le fonctionnement de Google et pose le problème de la confrontation du droit de citation aux droits d'auteur sur Internet. (...)

(18/07/2006 16:15:22)

Les opérateurs alternatifs acceptent l'offre de revente de l'abonnement de France Télécom

Trois opérateurs alternatifs - Free, Neuf Cegetel et Télé2, viennent d'accepter l'offre de revente de l'abonnement proposée par France Télécom, indiquent nos confrères des Echos. Ils pourront désormais vendre sous leur propre marque l'abonnement et établir à leurs abonnés une unique facture sur laquelle figurera à la fois l'obole mensuelle qu'ils versaient jusqu'à présent à l'opérateur historique, le montant des communications ainsi que les services associés. Pour satisfaire ses concurrents, France Télécom leur revendra l'abonnement avec une ristourne de 12,5% par rapport au prix de détail, soit 11,7 € en tenant compte de la hausse applicable au 1er juillet 2007. Cet accord met fin à l'action intentée en mars par Télé2 devant le Conseil de la concurrence. L'opérateur suédois reprochait à FT la mise en place d'un ciseau tarifaire, c'est à dire qu'en revendant l'abonnement de gros à un prix proche de celui du détail, France Télécom n'autorisait pas l'émergence d'offres concurrentes. (...)

(18/07/2006 16:19:43)

Oracle va poursuivre sa politique d'acquisitions

Oracle n'en a pas terminé avec les acquisitions et va poursuivre sa dynamique de croissance externe dans les segments verticaux. C'est ce qu'a indiqué Mark Gibbs, le vice-président applications et industries pour la région Asie-Pacifique. Après avoir dépensé près de 20 Md$ en deux ans, en mettant notamment la main sur Peoplesoft et Siebel, Oracle ne compte pas cesser cette stratégie axée sur les opérations de croissance externe : "nous sommes loin d'en avoir terminé, explique Mark Gibbs, nous allons continuer cette stratégie d'acquisitions". Et de préciser que le groupe poursuivra ses investissements en ligne avec ses secteurs d'activité : institutions financières, distribution, fabrication, communication et médias, etc. "Nous n'allons pas constituer un monopole, rassure cependant Mark Gibbs. Je ne pense pas que nous assisterons un jour à une situation où ne subsisteront qu'une ou deux entreprises informatiques". Selon le vice-président, la seule et unique raison ayant poussé Oracle a procéder à autant d'acquisitions, est sa volonté de se renforcer dans davantage de marchés verticaux. C'était par exemple le cas avec les rachats de Retek, ProfitLogic ou de 360Commerce - tous focalisés dans la distribution. La stratégie semble porter ses fruits. Oracle a ainsi publié une croissance des ventes de licences de 80% pour l'année fiscale close le 31 mai. Et cela sans prendre en considération les revenus de Siebel et Retek. Le retour sur investissement semble tellement intéressant que Mark Gibbs envisage une progression comparable cette année. Hasard ou coïncidence : au même moment, SAP, le grand rival d'Oracle, semble à la peine. (...)

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