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(05/07/2006 09:32:53)

IBM devra éviter moins de boulets SCO

Un juge américain a rejeté 182 points de litige revendiqués par SCO (sur 294) contre IBM. Selon le juge Brooke Wells, SCO n'aurait pas clairement identifié les lignes de codes dans les logiciels IBM portant atteinte à sa propriété intellectuelle. Il s'agit d'un sévère coup à l'estomac pour SCO, qui depuis 2003, traîne IBM devant les tribunaux, pour avoir livré à la communauté open source des bribes de code dont il revendique la paternité. Avant le début du procès, IBM réclamait l'annulation de 201 points litigieux. Après relecture, l'attention de Big Blue se portait sur 198. La surface d'attaque de SCO se réduit aujourd'hui comme peau de chagrin. (...)

(04/07/2006 17:48:31)

Vers une détente entre les registres nationaux et l'Icann

Vers une trêve. Les relations entre l'Icann, l'organisme en charge des noms de domaines, et les registres nationaux européens semblent se détendre. Nominet, premier registre d'extension anglais avec plus de 5 millions de suffixes en ".uk", vient d'annoncer avoir entamé un échange de courriers avec l'Icann (voir encadré), dans le but d'intégrer le groupe de travail des registres nationaux, le ccNSO (Country code Names Supporting Organisation). Nominet, un des plus virulents opposant à la suprématie américaine dans le contrôle de l'Internet, s'était exclu en 2001 du sous-groupe de l'Icann. Depuis sa création en 1998, l'Icann reste vivement critiquée par les prestataires d'enregistrement nationaux pour sa position très influencée par le gouvernement américain. Créé en 2002, le ccNSO, un sous-groupe de l'Icann, vise à organiser le dialogue avec les registres nationaux. Jusqu'alors en vain. Nominet vient épauler l'Afnic, registre des extensions Internet correspondant aux territoires français, qui a adhéré au programme début janvier, ainsi que neuf autres registres nationaux. "L'arrivée de Nominet est un point positif pour l'Icann, commente Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic. Elle va contribuer à donner davantage de poids au ccNSO. Ce dernier souffre en effet d'un manque de crédibilité par l'absence de prestataires européens. Le ccNSO ne réunit pour l'heure que dix membres". En mai dernier, le « registrar » allemand Denic a reconnu l'autorité de l'Icann, s'engageant à le financer à hauteur de 85 000 $, sans pour autant adhérer au ccNOS. "Pour Nominet, le choix est politique, précise Loïc Damilaville. Au regard de pré-requis et de garanties acceptés par l'Icann, il a décidé de rejoindre le ccNOS". Le gouvernement américain sonde les internautes sur le rôle de l'Icann Autre signe de détente, le gouvernement américain a décidé de mettre en place une campagne de consultation publique, qui vise à recueillir des suggestions d'internautes sur le contrôle de l'Internet, et sur le rôle que l'Icann doit y jouer. Une adresse DNSTTransition@ntia.doc.gov a par ailleurs été ouverte, hébergée par la National Telecom and Information Administration. Une décision qui prend place trois mois avant la révision de l'accord liant l'Icann au gouvernement américain - le 30 septembre prochain. L'Icann est depuis sa création en 1998 sous le contrôle de ministère du Commerce américain (Department of Commerce). Un duo très controversé par l'ensemble des registres nationaux, qui y voient un symbole de la suprématie américaine sur le contrôle de l'Internet. "Cela marque une volonté d'ouverture", raconte Loïc Damilaville, tout en admettant que le gouvernement américain garde "la maîtrise du processus en centralisant la consultation dans le cadre de la NTIA". Il conclut : "Une opération bien sur le principe, reste à voir son application." Enième fait d'arme de Paul Twomey Cette ouverture vers le public avait débuté en novembre 2004, date à laquelle l'Icann lança un appel à commentaire sur trois ans (Strategic Plan) sur sa mission et sa future stratégie. Un "élan démocratique" que l'on doit à l'Australien Paul Twomey, nommé en 2003 à la tête de l'Icann. Sa mission : redorer le blason de l'organisme, réviser en profondeur le fonctionnement de l'Icann, et veiller à la "transparence" de sa gouvernance. Il vient d'être reconduit pour au moins deux ans. Depuis son arrivée, Twoney a entamé des relations pacifiques avec son ennemi Verisign et notamment formalisé les relations avec les registres nationaux. (...)

(04/07/2006 17:48:08)

Antitrust : le principe d'une sanction contre Microsoft adopté

La Commission européenne vient d'obtenir l'accord des vingt-cinq régulateurs sur le principe d'une sanction pécuniaire infligée à Microsoft pour sa réticence à se conformer aux exigences formulées par Bruxelles en mars 2004. Il s'agissait d'une des dernières étapes dans le processus devant conduire à la mise en place d'une amende de 2 M$ par jour, rétroactive à compter du mois de décembre 2005. La semaine dernière, des sources proches du dossier indiquaient que la Commission européenne avait décidé qu'elle avait suffisamment attendu la production des pièces demandées à l'éditeur et qu'il fallait désormais passer à la phase des sanctions. Pour cela, l'assentiment des experts en concurrence était nécessaire. C'est maintenant chose faite après le comité exécutif tenu à huis clos le 3 juillet. Une amende supérieure à 500 M$ En mars 2004, Bruxelles a condamné Microsoft à 497 M$ pour son abus de positon dominante dans les systèmes d'exploitation et l'a notamment enjoint à publier des éléments de son code source afin d'assurer l'interopérabilité de Windows avec les produits concurrents. Après avoir, dans un premier temps, affirmé qu'il avait fourni ces données, le géant du logiciel indique désormais qu'il déplace des montagnes pour se conformer aux exigences de la Commission. Selon l'éditeur, 300 personnes sont mobilisées à plein temps sur la rédaction des éléments requis : "nos ingénieurs travaillent 24/24h pour fournir le septième et dernier élément demandé à la date prévue du 18 juillet". Bruxelles aurait néanmoins décidé, au regard du temps dont Microsoft a disposé pour se plier à ses requêtes - 18 mois -, de ne pas attendre l'ultimatum du 18 juillet pour mettre en pratique sa sanction. L'unanimité exprimée ce 3 juillet par les régulateurs des Vingt-cinq devrait conforter la Commission dans son choix de condamner Microsoft. Il reste maintenant aux mêmes acteurs à se réunir de nouveau pour, cette fois, fixer le montant de l'amende. Ce sera chose faite le 10 juillet prochain. Le groupe de Redmond pourrait écoper d'une sanction journalière de 2 M$ et payer ainsi plus de 500 M$. (...)

(04/07/2006 17:48:50)

Sopra teste les soirées SAP

Les SSII sont unanimes. Trouver des profils qualifiés sur SAP relève du casse-tête en ce moment, tant ils sont déjà mobilisés sur des projets. Pour attirer les candidats, Sopra tente donc d'être créatif. La SSII organise des « soirées SAP » dédiées à faire connaître ses activités autour du logiciel de gestion de l'éditeur allemand. La première s'est déroulée le 22 juin, la seconde a lieu le 6 juillet. Ces manifestations qui sont programmées en fin de journée ont pour but d'exposer aux candidats invités les projets menés chez les grands clients et les métiers que propose le groupe au sein de sa « communauté SAP ». Ce dernier recrute en particulier pour deux types de fonction: la conduite de projets d'intégration du PGI et du consulting, soit l'accompagnement du client en amont des projets pour la mise à plat de ses processus de gestion. L'enjeu de recrutement est important. « Nous souhaitons embaucher une bonne cinquantaine de consultants SAP cette année et le même nombre l'année prochaine », précise Muriel Ducros Abisur, responsable du recrutement pour Sopra Group, qui reste toutefois circonspecte sur l'issue des soirées qui sont considérées comme des manifestations test. « Sur la première, nous avons réuni une quinzaine de personnes, plutôt des jeunes avec une première expérience. Il est trop tôt pour faire un bilan et savoir combien d'entre eux s'inscriront dans un processus de recrutement ». (...)

(04/07/2006 17:49:04)

Syntec informatique cartographie les employés des éditeurs

« Qui sont les salariés des éditeurs de logiciels? Comment faire évoluer leurs compétences pour prévenir les pénuries? » Voici les questions auxquelles entend répondre Syntec informatique pour anticiper l'évolution des métiers de ses adhérents. Le syndicat patronal et les partenaires sociaux ont diligenté une étude auprès des cabinets spécialisés (l'appel d'offre est en cours) afin d'établir une cartographie des profils qui travaillent chez les éditeurs. Cette cartographie doit notamment permettre de faire un point sur les spécificités de ces populations par rapport à celles employées dans les SSII, (l'autre famille d'entreprises que chapeaute le Syntec Informatique) pour définir des actions qui collent à ces particularités. « Les éditeurs doivent en ce moment gérer une pénurie de compétences dans les forces de vente et le développement alors que les SSII ont plutôt des populations de développeurs à reconvertir », illustre Anne Vaisbroit, déléguée aux affaires sociales de Syntec informatique. « Nos métiers sont plus diversifiés que dans les SSII où les populations techniques et de consultants sont dominantes. Nous avons par exemple des effectifs importants dans le marketing et l'assistance téléphonique et donc besoin également de faire un point sur ces métiers pour être proche de notre réalité opérationnelle», confirme Hortense Desvilles, responsable du développement des ressources humaines du groupe Sage. Une pénurie structurelle ou conjoncturelle Les premiers résultats de l'enquête sont attendus pour le dernier trimestre. Ils alimenteront les travaux prospectifs déjà lancés par le syndicat patronal sur ses métiers. Le défi est d'en faire un outil au service des politiques de ressources humaines des éditeurs. « Une cartographie peut nous aider à nous positionner par rapport à notre marché et à nos concurrents et nous donner un vocabulaire commun pour faciliter le recrutement externe, poursuit Hortense Desvilles. Elle peut aussi confirmer ou infirmer des tendances, comme la pénurie de compétences. Est-ce un phénomène qui va se confirmer, est-il structurel ou conjoncturel ? Avoir des réponses nous permettra d'agir en conséquences en terme de gestion des compétences». (...)

(04/07/2006 17:49:39)

iWay complète sa suite SOA avec Amberpoint

Filiale d'Information Builders spécialisée dans le middleware, iWay renforce considérablement son offre en matière de SOA (architectures orientées services). Naguère principal fournisseur de connecteurs pour les autres spécialistes de l'intégration, iWay vient de signer un accord avec Amberpoint pour renforcer sa suite SOA, basée sur un bus de services (ESB) et un gestionnaire de processus BPEL, annoncée en février et lancée en avril dernier. La suite d'Amberpoint est principalement utilisée pour surveiller l'exécution des services en fonction de règles de gestion et de qualité de service. L'accord concerne à la fois l'intégration et la revente des outils d'Amberpoint par iWay. A noter par ailleurs qu'Information Builders France a recruté un « expert solution SOA » il y a quelques jours, en la personne de Joël Milgram, un ancien de Software AG. (...)

(04/07/2006 12:44:44)

L'UFC Que Choisir dénonce les tarifs du roaming

L'UFC-Que Choisir s'en prend, chiffres à l'appui, aux tarifs du roaming pratiqués par les opérateurs européens. Alors que la Commission européenne multiplie les sorties sur la nécessaire régulation des montants des appels d'itinérance (transitant par plusieurs opérateurs), et que les opérateurs ont timidement annoncé une baisse de leurs tarifs, l'association française entre dans la danse et dénonce un marché "complètement verrouillé depuis 1999" et dans lequel le prix des communications a "littéralement explosé alors même que les coûts de revient supportés par les opérateurs allaient en décroissant". L'UFC estime que les marges appliquées par les opérateurs atteignent le montant colossal de 80 % et que les trois acteurs français de la téléphonie mobile - Orange, SFR et Bouygues - ont perçu 735 M€ de revenus pour la seule année 2004 grâce aux tarifs s'appliquant aux touristes européens en voyage en France. Des tarifs "complètement déconnectés de la réalité économique". Pour remédier à cet état de fait, l'association préconise deux pistes à suivre. La première repose sur la création d'un appel intra-européen : un Européen en voyage dans un des Etats de l'Europe pourrait ainsi émettre et recevoir des appels dans ce pays à un tarif plafonné à 0,466 €. L'autre mesure prévoit la mise en place d'un appel local européen : il concerne cette fois les appels passés au sein du pays où voyage l'abonné européen et doit être, selon l'UFC, proche du prix payé pour un appel local. Si ces mesures avaient été mises en place en 2004, l'association de consommateurs estime que les opérateurs auraient facturé 392 M€ en moins à leurs abonnés. Tout en conservant des niveaux de rentabilité élevés. (...)

(04/07/2006 12:44:18)

Semi-conducteurs : les ventes mondiales en hausse de 9,4 % en mai

Les ventes mondiales de semi-conducteurs continuent de croître sur un rythme proche des 10 %, répondant ainsi aux prévisions publiées le mois dernier par la World Semiconductor Trade Statistics (WSTS). Selon l'autre association de fabricants, la Semiconductor Industry Association (SIA), les ventes ont progressé de 9,4 % en mai sur un an, et atteignent 19,7 Md$. Une performance qui tient à la demande élevée en téléphones portables et en produits électroniques grand public. Les fortes ventes d'ordinateurs contribuent également à la santé du secteur en générant une croissance des ventes de DRAM de 13,7 %. L'Asie enregistre la plus importante croissance, 15 %, devant la région Amériques, à 9,6 %. A contrario, l'Europe fait pâle figure, la demande n'y affichant qu'une poussive progression de 0,5 %. "Les ventes mondiales de semiconducteurs devraient continuer à augmenter au cours des mois prochains, explique George Scalise, le président de la SIA. La demande des consommateurs, les niveaux de stocks et d'utilisation...toutes les conditions sont favorables pour notre industrie". (...)

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