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(22/12/2005 17:28:17)
Mariage de géants chez les fabricants de disques durs
Seagate, le numéro un mondial des disques durs, va racheter le numéro 4 mondial du secteur, l'américain Maxtor pour 1,9 milliard de dollars. Maxtor, qui équipe notamment en disques durs des PC de Dell et Hewlett-Packard, s'est fait connaitre du grand public par ses disques durs USB et Firewire externes (gamme OneTouch) et par sa gamme de disques durs multimédias en réseau. La société fusionnée, qui opérera sous le nom de Seagate, mise sur la croissance continue du nombre d'utilisateurs de PC, mais aussi sur l'utilisation croissante des disques durs dans les équipements électroniques (magnétoscopes numériques, lecteur audio, camescopes...). Selon Seagate, le nombre de disques vendus avec des équipements électroniques grand public devrait passer de 50 millions aujourd'hui, à 150 millions d'ici la fin 2008. (...)
(22/12/2005 17:27:52)Red Hat double son bénéfice
L'éditeur Red Hat a signé un nouveau trimestre dépassant les prévisions de tous les analystes et voit son résultat net doubler sur un an. Le deuxième trimestre fiscal de Red Hat était très bon. Le suivant l'est encore plus. L'éditeur compte en effet 12 000 nouveaux clients et voit le revenu des abonnements progresser de 54 % sur un an et atteindre 60,2 M$. De fait, le chiffre d'affaires global suit une évolution comparable : il s'élève à 73,1 M$, soit 44 % de mieux qu'à la même période de l'année précédente. Les prévisions des analystes pour ce trimestre étaient toutes inférieures au CA réalisé. Le résultat net fait mieux que doubler : il croît de 114 %, à 23,2 M$, illustrant, selon les mots du directeur financier Charlie Peters "l'investissement réalisé sur les personnes et l'infrastructure au cours des périodes précédentes". (...)
(22/12/2005 17:27:18)Siemens cède sa filiale maintenance à Fujitsu-Siemens
Siemens a annoncé la vente d'une partie de sa filiale informatique SBS (Siemens Business Services) à Fujitsu Siemens pour un montant non communiqué. La vente concerne la division maintenance de SBS, Product Related Services, et participe de la volonté du groupe de recentrer sa filiale informatique, déficitaire, sur des activités à forte valeur ajoutée. C'est donc sur les services que SBS se concentrera désormais, notamment sur les prestations d'externalisation. Siemens avait indiqué, en novembre, vouloir délester SBS de 3000 emplois. Cette filiale pèse en effet sur les résultats du groupe, enregistrant une perte nette de 690 ME pour un chiffre d'affaires de 5,75 MdE au cours de l'exercice fiscal clos au mois de septembre. (...)
(22/12/2005 17:26:41)Volkswagen vend sa SSII interne Gedas à Deutsche Telekom
T-Systems, la filiale de services informatiques de Deutsche Telekom, va faire l'acquisition de Gedas, la SSII de Volkswagen. Avec cette acquisition, T-Systems entend se renforcer sur les marchés de l'automobile et de la logistique tout en élargissant sa présence géographique. Gedas dispose d'une large offre de services informatiques et de communication, du conseil à l'exploitation en passant par l'intégration. La SSII est spécialisée sur les marchés de la production de biens manufacturiers et de la logisitique. Elle dispose de douze implantations dans le monde en dehors de l'Allemagne, notamment au Brésil, en Chine, au Japon et aux Etats-Unis. Plus des deux tiers des 5500 salariés de Gedas travaillent hors des frontières allemandes. L'opération est soumise à l'approbation du conseil de surveillance de Volkswagen et du régulateur allemand. Son montant n'a pas été communiqué. Parallèlement, Volkswagen vient de signer un contrat d'externalisation avec T-Systems, pour sept ans et un montant de 2,5 MdE. (...)
(22/12/2005 17:26:13)Antitrust : une lourde amende plane au-dessus de Microsoft
La Commission européenne a lancé un ultimatum à Microsoft : si le géant de Redmond ne se plie pas aux exigences édictées contre lui dans le cadre de l'action antitrust initiée par l'instance européenne, il s'expose à une amende de 2 M$ par jour. "La cour de première instance a confirmé, il y a un an, que Microsoft devait respecter la décision de mars 2004. La Commission regrette que Microsoft ait échoué. Nous aurions préféré que Microsoft se plie à la décision de mars 2004 et non à l'interprétation qu'il a faite de cette décision" explique Jonathan Todd, le porte-parole de la commissaire à la concurrence Neelie Kroes. En 2004, la Commission avait notamment imposé à Microsoft de publier des éléments de code source afin de permettre l'interopérabilité des produits concurrents avec l'architecture Windows. Une exigence que l'éditeur n'a pas, aux yeux de la Commission, été en mesure de satisfaire : "la documentation fournie jusqu'ici par Microsoft est incomplète et inadéquate", explique l'instance communautaire. Le groupe présidé par Steve Balmer a jusqu'au 25 janvier pour répondre aux objections de la Commission. Toutefois, l'amende courra à compter du 15 décembre si Microsoft se ne plie pas aux injonctions. (...)
(22/12/2005 17:25:47)Fronde des députés face au projet de loi sur les droits d'auteurs
Le projet de loi sur le droit d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information, qui menace le concept de copie privée et fait planer une menace de généralisation des systèmes de DRM pour la diffusion de contenus numériques, a été victime d'une escarmouche dans la nuit avec l'adoption par l'Assemblée Nationale de deux amendements visant à légaliser l'utilisation des dispositifs d'échanges pair- à pair, en échange d'une rémunération des auteurs. C'est justement ce que le texte défendu par Renaud Donnedieu de Vabres, le ministre de la culture, avec le soutien du lobby des industriels du contenu, voulait éviter. Le projet DADVSI fait en effet de l'échange de fichiers et du contournement des mesures de protection un délit passible de 3 ans de prison et de 300 000 E d'amende. De facto il interdit des pratiques courantes comme la copie de CD audio, le transcodage d'un DVD pour sa lecture sur un baladeur multimédia... Les deux amendements défendus par la gauche mais aussi par une partie de l'UDF et de l'UMP, notamment Alain Suguenot ou Christine Boutin, ont recueilli 30 voix contre 28. Pour les abroger, le gouvernement devra solliciter une deuxième délibération sur le texte et espérer que le vote bascule ne sa faveur. ". Rappelons que le ministère de la culture a choisi de faire voter le texte en urgence, à la veille des fêtes de Noël donnant ainsi l'impression de vouloir faire passer son projet en catimini. C'est raté. Jamais projet de loi n'aura autant divisé l'assemblée et fait éclater la logique de blocs qui règne généralement au Palais Bourbon. La lecture du texte et les débats devraient reprendre ce 22 décembre après minuit à l'Assemblée Nationale. (...)
(23/12/2005 09:05:15)IBM s'offre Micromuse
IBM a annoncé le rachat de Micromuse, un spécialiste de l'administration de réseaux, pour 865 M$ en numéraire. L'acquisition a pour but de conforter l'offre de Tivoli en matière d'outils d'administration de réseau et de systèmes. Elle élimine aussi du marché le dernier acteur de taille intermédiaire et place le marché sous la coupe de trois grands acteurs, IBM, HP et CA. CA, l'un des principaux concurrents d'IBM, s'est en effet déjà emparé cette année de Concord et d'Aprisma (Spectrum), tandis que dans le domaine de l'administration de systèmes et de la gestion de services, HP a mis la main sur Peregrine. L'analyse est d'ailleurs confirmée par le patron de Microsmuse, Lloyd Camey, selon lequel Micromuse était coincé dans un "no man's land" entre des start-up très spécialisées et des goliaths, une position où sa taille intermédiaire était devenu un obstacle pour son développement sur de nouveaux marchés. "En tant qu'entreprise indépendante, le défi auquel nous étions confronté dans notre concurrence au quotidien avec des géants comme IBM nous a amené à réalisé que la meilleure solution pour nous était encore d'être intégré à une de ces organisations". Camey devrait rester chez IBM après l'acquisition et travaillera sous la direction d'Al Zollar, le patron de Tivoli. Les solutions Netcool de Micromuse sont notamment utilisées dans le monde des opérateurs télécoms et chez les très grands comptes, et sont réputées pour leur capacités à superviser les équipements réseaux et leurs performances ainsi pour leur aptitude à superviser que les services multimédia IP (téléphonie, visioconférence...) déployés sur les grands réseaux. La société compte quelques 1800 clients parmi lesquels America Online, British Telecommunications, Deutsche Telecom, Fidelity ou la Securities and Exchange Commission. Elle emploie 650 employés et a réalisé une perte nette de 3,8 M$ pour CA de 160,8 M$ lors de son année fiscale 2005 (clôturée fin septembre). Tivoli et Micromuse ont environ 5000 clients communs. Il leur reste désormais à expliquer comment ils vont faire converger leur produits de supervision réseau, une question qui se pose aussi à CA avec le rachat de Concord et Aprisma. (...)
(21/12/2005 18:12:24)Sécurité : naissance du consortium AppSIC
Qu'ont donc en commun Microsoft, Red Hat, Oracle, IDC, Gartner Group, SAP, Compuware ? L'Application Security Industry Consortium (AppSIC) est une communauté d'experts en sécurité et en technologie qui s'est donné comme mission d'établir et de définir des standards et des métriques de sécurité pour le développement des applications. Fondée par Edward A. Adams, PDG de Security Innovation, elle rassemble les sociétés précédemment citées et quelques autres. Un des objectifs de ce consortium est de réduire le gouffre entre les problèmes techniques et les besoins métier, c'est-à-dire transformer les pratiques et les actions de sécurité à travers tout le cycle de développement (depuis les exigences jusqu'au déploiement) en retour sur investissement. Le consortium va permettre aux responsables réseaux et sécurité de faire les bons choix, en définissant des guides, des mécanismes et une méthodologie d'évaluation des produits de sécurité. Le consortium va également promouvoir et diffuser de la connaissance sur la sécurité des applications, notamment des guides pratiques d'implémentation de la sécurité tout au long du cycle de développement et des guides pour évaluer si une application est conforme au niveau de la sécurité. C'est la première fois que l'on retrouve dans ce genre de consortium à la fois des éditeurs de logiciels et de plates-formes (Oracle, SAP, Microsoft), des utilisateurs finaux (ING, Crédit Suisse) er des cabinets d'analystes (IDC, Gartner Group). Source : www.appsic.org (...)
(21/12/2005 18:11:44)Prévisions pour 2006
Nos experts se sont prêtés au jeu des prédictions. Que nous réserve l'année 2006 ? Les services Web bien digérés, les SOA bien martelées, les architectures orientées services vont entrer dans une phase de rationalisation. Les éditeurs proposent des solutions censées encapsuler la complexité. L'industrialisation des développements prend son envol. L'offre de Microsoft Visual Studio Team System prend enfin forme et commence à entrer dans les entreprises, en évaluation. Mathieu Poujol, consultant chez Pierre Audoin, ajoute en outre que « Les développements logiciels vont de plus en plus être encadrés par les méthodes formelles telles que CMMI ou ITIL. MDA (Model Driven Architecture) va de plus en plus apparaître comme l'IDE des SOA. Un ERP du projet informatique, fusion des approches PPM et IT Gouvernance devrait apparaître, pour que finalement la DSI cesse d'être l'entité la moins bien pourvue en outils de gestion. » Avec la généralisation des SOA et la poussée de l'offshore, la demande de profils haut de gamme va s'accentuer. Des compétences qui vont se faire de plus en plus rares, car comme le fait remarquer Jean-Louis Bénard « en délocalisant le développement, on enclenche inévitablement la paupérisation des compétences d'architecture et de pilotage : on ne devient pas un bon architecte en pilotant des prestataires à l'autre bout du monde, mais en commençant par coder. » Pour Didier Girard, directeur technique d'Improve, « le retour de l'analyste programmeur se fait plus pressant les entreprises veulent de plus en plus oublier la technologie pour faire du métier. » Ajax fait bien sûr partie des concepts prometteurs pour 2006. Mais pour Didier Girard, « Ajax a suscité trop d'espoir, les premières déceptions et contre références arrivent, le passage sur des frameworks est devenu indispensable, Rialto s'impose comme une des technologies de référence sur ce marché. Le navigateur comme socle de déploiement commence a être remis en cause dans l'entreprise, des solutions basées sur des technologies standalone voit le jour, Eclipse RCP commence son décollage, les Microsofties attendent Avalon. » Sami Jaber, consultant Valtech, mentionne encore dans les technos prometteuses mais qui ont du mal à percer faute d'outils : JSF, AOP et l'orchestration de services Web (encore un marché de niche). (...)
(21/12/2005 18:11:08)2005, une année de transition
En ces périodes de fin d'année, l'heure des traditionnels bilans a sonné. Nous avons demandé à nos experts leur avis sur cette année écoulée dans le domaine du développement. Certaines tendances se dégagent très nettement : l'avènement des SOA, les débuts de l'industrialisation des développements, montée en puissance des logiciels libres, le client riche et le Web 2.0. 2005, c'est le vrai départ de l'industrialisation du développement logiciel. L'objectif est maintenant de gérer de bout en bout le cycle de vie du logiciel : gestion des exigences, conception, développement, tests, déploiement, maintenance. L'outillage arrive à maturité avec les offres du trio IBM, Borland et Microsoft. Cette année, Microsoft a fait son entrée dans ce marché avec la sortie de Visual Studio 2005 Team System. Une sortie tardive, en novembre, qui a donc laissé un certain répit à la concurrence. D'autant que pour exploiter totalement cette solution, il faudra encore attendre la sortie de Team System Foundation, la partie serveur de Team System, prévue pour le premier semestre 2006. Mais si l'offre des éditeurs est aboutie, le plus gros obstacle reste l'investissement humain. « Le passage à une solution d'industrialisation est encore repoussé par nombre de clients et d'intégrateurs qui refusent les investissements nécessaires (les outils ne sont que la partie émergée de l'iceberg). La politique du court terme, de l'investissement minimal continue de faire des ravages » fait remarquer Jean-Louis Bénard, fondateur de Brainsonic. Le buzzword de l'année 2005 est sans conteste SOA. Les architectures orientées services ont envahi les présentations marketing, les communiqués de presse et les salons branchés. Les éditeurs de middlewares, d'EAI, de BPM, d'outils de workflow ou de messaging ont tous des solutions miracles pour mettre en place la SOA. Les éditeurs n'osent plus parler d'EAI, « un terme tellement devenu en un an quasiment ringard tellement il est signe d'usine à gaz » nous confie Sami Jaber, consultant chez Valtech. Pour Jean-Louis Bénard, « 2005 a été pour les SOA une année paradoxale. Si clients et prestataires s'accordent désormais sur la nécessaire mise en oeuvre d'architectures à couplage faible et à base de services web, l'exaspération face à l'explosion des WS-* ne fait que croître. La complexité sous-jacente que les éditeurs sont en train d'établir, comme toujours «pour le bien du client» pousse les entreprises à travailler sur la base de services web simples et pragmatiques. Des solutions censées encapsuler la complexité suffiront-elles à rendre les choses plus faciles ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas nul doute que les SOA vont avoir le vent en poupe pour un moment. » Selon Mathieu Poujol, consultant Pierre Audoin, les tendances de 2005 sont la montée en puissance du logiciel libre, les débuts de l'industrialisation, l'avènement des SOA, la standardisation et la consolidation du marché. « Ceci a provoqué un accroissement des externalisations (centres de compétences, nearshore, offshore, infogérance...) ». Ce que confirme Jean-Louis Bénard : « Les grands intégrateurs présents en France se sont réorganisés en «centres de développement» régionaux et se rôdent sur un modèle de «nearshore» dont on ne peut dire s'il est le prélude à un mouvement plus important. Même si la croissance du marché est repartie à la hausse, elle est en partie absorbée par l'offshore ». Pour Matthieu Poujol et Jean-Louis Bénard, la généralisation des SOA et la poussée de l'offshore conduisent tous deux à une nouvelle tendance, une demande de profils haut de gamme, des moutons à cinq pattes : « architecture, compétences mixtes (techniques & fonctionnelles), experts technologiques et experts fonctionnels. Cela va engendrer des tensions sur le marché du travail, d'autant plus que le "papy boom" commence à se faire sentir » observe Mathieu Poujol. La montée en puissance des logiciels libres s'est encore confirmée en 2005 et se traduit par un phénomène de « commoditisation ». Le middleware qui jadis était vendu très cher par des éditeurs, en passant dans l'Open Source banalise son usage. C'est flagrant dans le domaine des serveurs d'applications avec l'arrivée de JBoss dans les entreprises. Didier Girard, directeur technique d'Improve, constate que « ce serveur bouleverse la donne et transforme le serveur d'applications en une véritable commodité. Au point qu'IBM a réagit à la menace JBoss en se lançant dans l'expérience Geronimo ». Le phénomène de commoditisation atteint aussi les ESB avec des projets Open Source d'IONA et d'ObjectWeb. Industrialisation laborieuse, virtualisation des développements, menace de l'offshore... le tableau pourrait sembler bien sombre. Et pourtant dans cette morosité ambiante, des hommes et des entreprises peuvent encore faire preuve d'imagination, innover et créer de la valeur : Yahoo!, Google... Cette mouvance, que l'on appelle le Web 2.0, révolutionne l'usage du Web. Ce qui est nouveau, c'est que des développeurs Web se sont emparés de technologies qui existaient déjà depuis cinq ou dix ans (les blogs, la syndication RSS, Ajax... ) pour les combiner entre elles et pour créer une nouvelle ergonomie, un nouvel usage social. Pour certains, « l'informatique ne sert pas qu'à réduire les coûts, mais bien à créer de la valeur (120 Milliards de dollars pour Google !!!). Elles prouvent que l'imagination débridée peut créer la différence face à ses concurrents. » indique Jean-Louis Bénard, qui s'emballe pour cette nouvelle aventure : « Oui, pour réduire ses coûts, optimiser ses processus, l'informatique industrialisée avec ses armées de développeurs délocalisés, CMMisés, à la créativité bridée, bien propres derrière les oreilles, est certainement la voie tracée pour les années à venir. Mais pour écrire la formidable histoire, l'épopée de la convergence de l'Internet, de la vidéo et du téléphone, il faut à la fois beaucoup moins et beaucoup plus que cela : une poignée de guerriers du code doublés d'une imagination et d'une passion débordantes, bref des chercheurs d'or... » L'année 2005 n'aura pas connu de bouleversements technologiques. Le grand lancement de l'année, Visual Studio, à la fois très attendu par la communauté et très redouté par la concurrence, est arrivé tardivement, laissant ainsi le champ libre quasiment toute l'année. Java, PHP en ont profité pour se développer tranquillement. Le grand gagnant de cette année semble être IBM, tablant sur Java et sur Eclipse, flirtant avec PHP, présent sur tous les fronts : industrialisation, Java, Open Source et même .NET. Pour Sami Jaber, « l'année 2005 a été une année de transition. De nombreuses technologies ont été incubées pendant cette année (en fait, elles avaient débuté courant 2004) et il faudra attendre encore quelques mois pour juger de leur capacité à conquérir le terrain (client riche, Indigo/Avalon). Microsoft a non seulement pris une avance sur Java dans certains domaines (Web, C#, Indigo) mais sa crédibilité devient de plus en plus importante aidé par les gains de part de marché sur le serveur (Windows devant Unix pour la première fois depuis très longtemps). » (...)
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