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(28/07/2005 18:25:27)
Résultats France Télécom : les prévisions sont dépassées
Les résultats de France Télécom pour le premier semestre font ressortir un chiffre d'affaires et un bénéfice en hausse, dépassant les estimations des analystes.
Le chiffre d'affaires pour les six premiers mois de l'année atteint 23,7 Md¤, soit 2,3 % de plus qu'un an auparavant à taux de change et périmètre constants. Les prévisions moyennes des analystes étaient nettement inférieures, à 23,5 Md¤. C'est essentiellement au cours du deuxième trimestre que la croissance s'est nettement accélérée : alors que le CA progressait de 1 % au T1, il gagnait 3,6 % au T2. Même tendance en ce qui concerne le résultat net : il progresse de 240 % pour s'établir à 3,4 Md¤ et dépasse les 2,05 Md¤ prévus par les observateurs.
Selon Didier Lombard, le PDG du groupe, « les tendances observées au premier trimestre 2005 ont été amplifiées ces trois derniers mois, en particulier dans le domaine du haut débit et du mobile ». Les revenus liés à l'activité mobile de France Télécom ont en effet bondi de 6,9 % au cours du semestre, à 10,9 Md¤. L'opérateur comptait, au 30 juin, 66,7 millions d'abonnés mobiles, soit 16,3 % de plus qu'un an plus tôt.
Les services de communications résidentiels, regroupant la téléphonie fixe et Internet, s'ils se redressent au deuxième trimestre, enregistrent néanmoins un recul de 1,5 % du chiffre d'affaires, à 11,1 Md¤, sur le semestre par rapport aux performances réalisées au S1 2004. La contre-performance est toutefois limitée par l'augmentation du prix de l'abonnement pour le téléphone fixe et par la croissance du nombre d'abonnés au haut débit : France Télécom compte ainsi 6,4 millions de clients haut débit en Europe (3,7 millions en France), soit une progression de 80 % en un an.
Enfin, la division Entreprises avec un CA de 3,9 Md¤, recule de 4,9 % sur un an alors que les Annuaires gagnent 9,5 %, à 0,48 Md¤.
Pour Michel Combes, le directeur financier de France Télécom, « les bons, voire très bons résultats de ce semestre, nous permettent d'être tout à fait confortables avec nos prévisions ». De fait, l'opérateur à confirmé ses objectifs pour l'exercice 2005, dont la croissance de 3 à 5 % du chiffre d'affaires. (...)
Microsoft lance les versions bêta de Windows Vista et IE7
La version bêta 1 de Windows Vista, anciennement Longhorn, est disponible en téléchargement, depuis le 27 juillet, pour 10000 bêta testeurs. Parallèlement, une version bêta de Internet Explorer 7 a éé mise en ligne par l'éditeur.
Cette première mouture bêta de Vista ne comporte pas toutes les fonctionnalités prévues pour la version définitive. Ainsi la nouvelle interface graphique ne sera disponible que dans la version bêta 2, dont la date de lancement n'est pas encore connue. Les nouveautés proposées se focalisent sur la sécurité, la fiabilité et la simplicité de mise en oeuvre.
Pour IE 7, Microsoft met en avant un outil anti-phishing, disponible pour XP seulement. Une fenêtre d'avertissement s'ouvre en cas de visite d'un site suspect. L'accès aux sites se livrant au phishing et reconnus comme tel est lui bloqué. Les versions définitives des deux logiciels sont toujours prévues pour la deuxième moitié de 2006. (...)
Alcatel affiche de bons résultats au second trimestre
Alcatel a publié des résultats encourageants pour son deuxième trimestre fiscal 2005 avec un chiffre d'affaires en hausse de 8,5 % à 3,15 Mds ¤ et un résultat net positif de 196 M¤. 449 millions d'euros
Selon Serge Tchuruk, le patron de l'équipementier, Ces bons résultats sont notamment lié à la bonne tenue des ventes dans le secteur des communications mobiles (+30% par rapport à 2004). Les ventes sur le secteur des communications fixes sont en recul, mais Alcatel prévoit une reprise de la demande au second semestre. Alcatel souligne notamment le dynamisme des offres triple play des opérateurs, qui profite aux ventes d'équipements de transmission optique, à celles des routeurs de coeur de réseau IP ainsi qu'à celle des équipements DSL. Le constructeur a ainsi livré 5,9 millions de lignes DSL au cours du trimestre écoulé. (...)
Vers les 10 % de lignes dégroupées
Le dégroupage total a progressé de 68 % au cours du trimestre, notamment grâce aux initiatives des collectivités locales, selon le dernier tableau de bord du dégroupage en France de l'Arcep.
La France comptait au 30 juin 2005 plus de 2 300 000 lignes dégroupées, soit 14 % de plus qu'il y a un an. A conservant ce rythme de progression, le territoire pourrait flirter avec la barre des 10 % de lignes dégroupées à la fin 2005.
255 584 lignes sont actuellement totalement dégroupées, et dispensent l'utilisateur de tout abonnement auprès de l'opérateur historique. Au cours du trimestre, le dégroupage total a progressé de 68 %, une croissance bien plus rapide que celle du dégroupage partiel (10 %). Mieux : le nombre de lignes totalement dégroupées a été multiplié par vingt en un an.
L'Arcep dénote cependant un tassement du dégroupage sur le territoire : alors que 150 répartiteurs dégroupés avaient été installés au cours du second semestre 2004, seulement 64 l'ont été sur les six derniers mois. Parallèlement, les opérateurs alternatifs privilégient la consolidation de leur couverture plutôt que son extension. De fait, les nouvelles zones dégroupées le sont « essentiellement grâce au soutien des collectivités territoriales », indique l'Arcep dans son rapport. Les communes profitent de la loi pour la confiance dans l'économie numérique, laquelle les autorise à devenir opérateurs télécoms.
L'ex-ART s'est également penché sur la qualité du dégroupage. Il ressort de l'examen une amélioration des délais de livraison des lignes par France Télécom : 96 % ont ainsi été livrées dans les délais contractuels au cours du mois de juin. Le bât blesse cependant sur les délais inhérents au service après vente. Les lignes ayant fait l'objet d'une procédure de SAV n'ont reçu un traitement par l'opérateur historique que dans moins de 53 % des cas. L'Arcep préconise donc de maintenir « une attention particulière dans les semaines à venir » sur ce type de procédure. (...)
France Télécom serait prêt à racheter l'espagnol Amena pour 10 Md¤
France Télécom a confirmé son intérêt pour Amena, le troisième opérateur espagnol de téléphonie mobile avec plus de 8 millions d'abonnés. « France Télécom examine le dossier Amena » a déclaré un porte parole de l'opérateur français. Le montant total de la transaction pourrait dépasser les 10Md¤. Toutefois, FT n'est pas intéressé par l'ensemble des activités d'Amena. La division câble pourrait faire l'objet d'une vente séparée. Les Caisses d'épargne espagnoles conservant 20% d'Amena et FT bénéficiant d'un crédit d'impôt de 1Md¤, la note devrait être moins salée au final. FT ne débourserait que 6,5Md¤ dont la moitié en action selon Les échos. Fin 2004, la dette de France Télécom s'élevait encore à 44Md¤.
France Télécom est déjà présent en Espagne. Wanadoo y compte 1,5 million d'abonnés, et UNI2, sa filiale fixe, quelques 618000 lignes fixes en présélection. AMENA permettrait à France Télécom d'étendre à l'Espagne sa stratégie de convergence. Le premier juillet dernier, le groupe présentait Next (nouvelle expérience de télécommunication), sa stratégie mariant la téléphonie mobile, internet et la VoIP.
France Télécom publie ses résultats jeudi. Il est probable que le groupe fera concomitamment une annonce afin de rassurer les investisseurs (...)
Google quadruple ses bénéfices
Google continue, trimestre après trimestre, de profiter de la bonne tenue du marché de la publicité en ligne et affiche un chiffre d'affaires et un bénéfice net en nette progression.
Les revenus du moteur de recherche atteignent 1,38 Md$ au cours du deuxième trimestre, soit 98 % de plus que sur la même période un an plus tôt et 10 % de mieux qu'au trimestre précédent. Hors coût d'acquisition du trafic (494 M$), les revenus représentent 886 M$. La progression du bénéfice net est plus spectaculaire puisqu'il bondit de 430 % par rapport aux 79 M$ réalisés il y a un an pour s'établir à 343 M$.
Google réalise la majorité de son chiffre d'affaires sur les sites dont il est propriétaire (53 % du CA). Ces derniers ont généré 733 M$ de revenus, un chiffre en augmentation de 115 % sur un an. A travers ses sites partenaires, essentiellement via le programme de mots-clés Adsense, le CA atteint 630 M$ et progresse de 82 %.
99 % des recettes du groupe sont issues des rentrées publicitaires, comme le précise Sergey Brin, le co-fondateur de Google : « le marché de la publicité en ligne continue de croître et nous attirons toujours plus d'annonceurs grâce au RoI (NDLR : retour sur investissement), la comptabilité et la taille de notre réseau ». Selon le cabinet Emarketer, les dépenses en publicité sur Internet dépasseront 13 Md$ cette année pour les seuls Etats-Unis, Google étant susceptible de s'arroger près du quart de cette manne. Mais le numéro un des moteurs de recherche n'entend diversifier la source de ses revenus dans l'avenir : il prépare ainsi , sur le modèle du Paypal d'eBay, sa propre solution de paiement en ligne. Il met en outre l'accent sur les services mobiles, en prévision de l'introduction sur le marché de combinés au cours de la deuxième moitié de l'année : « il y a de formidables promesses sur toutes sortes de services mobiles (...) Je suis terriblement emballé par les choses qui vont se produire à très court terme, au cours des prochains mois, autour de la recherche mobile », a déclaré l'autre co-fondateur, Larry Page. (...)
Plus de 45 millions d'abonnés mobiles et une qualité de service qui s'améliore
Le parc d'abonnés à la téléphonie mobile a progressé de 456 200 au deuxième trimestre 2005 pour atteindre 45,4 millions, à annoncé l'ARCEP, l'autorité de régulation des télécoms. Sur les 6 premiers mois de l'année, la téléphonie mobile a séduit 831 000 abonnés supplémentaires, en accélération sensible sur le début d'année 2004.
Le taux de pénétration s'affiche en hausse à 75,2 % de la population mais les disparités régionales restent fortes. Le taux de pénétration de l'Ile de France est de 106,4 %, la Corse suit avec 98 % tandis que l'Auvergne reste dernière à 54,5 %. Les contraintes géographiques, historiques ou le dynamisme économique expliquent ces différences.
A l'échelle de l'Europe, on retrouve les mêmes différences. La France, plus étendue et disposant d'un meilleur réseau de téléphonie fixe reste en retard. Le taux de pénétration des mobiles en Europe est de 92 % selon l'Idate.
Le nombre d'abonnés aux forfaits, le marché le plus prisé des opérateurs, augmente de 672 500. Il représente 62,9 % du parc contre 60,6 % un an plus tôt. Le trafic des SMS diminue légèrement de 1.5 % à 3,184 Md d'unités. Une baisse qui semble saisonnière puisque l'année passée à la même époque, le trafic de SMS baissait de 4,8 %. Le parc des téléphones multimédia progresse de 331 000 et représente 24,8 % du marché en juin 2005 contre 18,7% en juin 2004.
Du coté des opérateurs, SFR réalise le meilleur score avec 210 700 clients de plus et 16,2 millions d'abonnés. Orange et Bouygues suivent avec respectivement 149 400 et 90 400 clients supplémentaires pour 21,4 et 7.6 millions de clients. La part de marché de la filiale de France Télécom s'effrite en conséquence de 1 point à 47,3 %. SFR affiche sa meilleure performance avec 35,8% du marché tandis que Bouygues reste à 16,9 %.
L'autre bonne nouvelle cette fois pour les utilisateurs est Lamélioration de la qualité de service mesurée par l'Arcep . Selon la dernière enquête de qualité réalisée en 2004, le taux de réussite moyen est de 98 % des appels, pour 2 minutes de communication, sans qu'il y ait de différences significatives entre les opérateurs. Le taux varie toutefois fortement suivant l'endroit où est passé l'appel. Un piéton aura 99 % de chance de ne pas être coupé tandis que dans un train de banlieue, ce taux tombe à 81 % voire 73 % dans un TGV.
Pour la première fois, les services multimédia étaient examinés. 94 % des MMS arrivent à destination dont 75 % en moins de 2 minutes. Pour la navigation sur Internet, 92 % des connections sont maintenues pendant 5 minutes.
La qualité reste à un bon niveau selon l'Arcep, qui note toutefois que près d'une communication sur 10 en voiture, et une sur 20, pour les piétons, ne correspondent pas aux standards en vigueur pour la téléphonie fixe. L'étude de l'Arcep ne porte que sur les villes de plus de 20 000 habitants et laisse donc hors champs la plus grande partie du territoire. De plus, il est difficile de faire des comparaisons avec les années passées, en effet les villes sont tirées au hasard. L'échantillon étudié n'est donc pas identique d'une année sur l'autre... (...)
Yahoo met la main sur Konfabulator
Yahoo a annoncé hier l'acquisition de Pixoria, le développeur du système de widget Konfabulator. Né dans le monde Macintosh Konfabulator est un logiciel permettant d'éxécuter sous Windows et Mac OS X de petites applications et tableaux de bord programmés en javaScript, sans avoir à lancer un navigateur web.
Le concept de Konfabulator a été repris par Apple pour son système de widgets dans Mac OS X 10.4 "Tiger", ce qui a valu à la firme à la pomme de sévères critiques venant de sa communauté de développeurs et notamment d'Arlo Rose un ex développeur d'Apple créateur de Konfabulator.
Pour les utilisateurs l'un des premiers bénéfices de l'acquisition de Konfabulator par Yahoo est le passage à la gratuité du logiciel, jusque là vendu près de 20$.
Yahoo prévoit de proposer des widgets pour l'accès à ses différents services mais aussi de mettre en place un système de distribution de Widgets par feeds XML. A ce jour, plus de 1000 widgets sont disponibles pour Konfabulator depuis le site de l'éditeur ou depuis le site www.widgetgallery.com. (...)
Stockage :EMC passe la barre du Petaoctet avec le Symmetrix DMX-3
EMC a officiellement dévoilé lundi la dernière génération de sa baie de stockage haut de gamme Symmetrix, le Symmetrix DMX-3, jusqu'alors connu sous le nom de code Sym7. Ce nouveau géant du stockage (près de 5 tonnes avec l'ensemble de ses cabinets de disques) devrait être le premier système de stockage capable d'héberger 1 pétaoctet ( 1 million de Gigaoctet).
La première mouture du DMX-3 sera lancée en septembre et sera capable d'accueillir jusqu'à 960 disques Fibre Channel de 300 Go. A partir du premier trimestre 2006, EMC proposera aussi des disques durs Fibre channel à 7200 tr/mn capables de stocker 400 et 500 Go, ce qui portera la capacité de la baie à près d'un demi pétaoctet. Toujours au premier semestre, EMC proposera une version du DMX-3 capable d'accueillir 1920 disques soit l'équivalent de 1 peta octet de capacité de stockage agrégée. Au second semestre, une version encore plus dense permettra d'accueillir plus de 2000 disques selon David Donatelli, le vice président en charge des plates-formes de stockage chez EMC.
Pour Joe Tucci, le PDG d'EMC, les ventes du Symmetrix DMX-3 devraient représenter 15% des ventes totales de Symmetrix dès le 3e trimestre. "Nous pesons que la montée en puissance du DMX-3 sera similaire à celle du DMX-2 par rapport au DMX-1". La commercialisation du DMX-3 s'effectuera ainsi en parallèle de celle du DMX-2, même si EMC estime que le DMX-3 devrait cannibaliser une partie des ventes de DMX-2 3000, le haut de gamme actuel de la marque.
Le Symmetrix DMX-3 utilise le même système d'exploitation (Enginuity 5x71) que les versions actuelles de Symmetrix, ce qui permet à une société de faire fonctionner en parallèle des DMX-1, 2 et 3 utilisant la même base OS. Par rapport à l'actuel DMX-2, le nouveau modèle embarque des caches en miroirs pour une meilleure tolérance aux pannes, une fonctionnalité qu'offraient déjà IBM et Hitachi. La quantité de mémoire cache n'a en revanche pas évolué, même si Barry Burke, le directeur du marketing des plates-formes Symmetrix, indique qu'elle devrait croître à l'avenir.
Comme le DMX-2, le Symmetrix DMX-3 supporte les attachements FICON aux grands systèmes IBM, ainsi qu'iSCSI et Fibre Channel. La baie est certifiée pour les systèmes AIX, HP/UX, Linux, Solaris et Windows.
Il est à noter qu'EMC a annoncé en parallèle du lancement du DMX-3, un partenariat avec Softek Storage Solutions, qui proposera à ses clients le logiciel de migration de Logical Data Migration Facility (LDMF). LDMF permet aux entreprises de migrer des données d'un mainframe vers une baie Symmetrix mais aussi entre un Symmetrix et des baies de stockage tierces, le tout sans interruption des applications. Une version pour systèmes ouverts (Windows et Unix), Open Migrator/LM sera également proposée par EMC et Softek.
Aucun tarif n'a été communiqué par EMC pour les Symmetrix DMX-3. Selon EMC, une installation LDMF typique devrait en revanche coûter un peu moins de 100 000$ en frais de licence. (...)
Bull renoue avec la croissance
La SSII française Bull SA renoue avec la croissance et affiche, pour son premier semestre 2005, une progression de ses revenus et de son bénéfice net.
Le bénéfice net augmente de 150 %, pour s'établir à 9,4 M¤. Le chiffre d'affaires atteint 572 M¤, soit une progression de 1 % par rapport à la même période de l'année précédente. Si cette croissance est faible, elle constitue cependant la première évolution positive des revenus depuis 1999, conduisant le PDG Didier Lamouche à affirmer que « le rebond de l'entreprise est clairement engagé. Nos technologies ouvertes et innovantes nous positionnent favorablement pour envisager une dynamique de croissance durable ».
Les ventes de produits ont progressé de 10 %, ce qui a permis de compenser un recul de 0,6 % dans le domaine des services et de 11 % pour les activités de maintenance. Parallèlement, le groupe a enregistré une augmentation de 11 % de ses commandes, dont 16 % pour les produits et 4 % pour les services.
Pour le second semestre, Bull prévoit un CA et un bénéfice supérieurs à ceux réalisés au cours des six premiers mois de son exercice. Pour ce faire, le groupe pourrait envisager un recours à une croissance externe. Comme l'a en effet précisé le PDG Lamouche à nos confrères des Echos, « la priorité pour cette année repose sur l'opérationnel. L'idéal serait d'effectuer un rapprochement en 2006 pour soutenir la croissance, et cela devrait concerner les services liés aux infrastructures ». (...)
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