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(17/02/2011 16:55:16)

RSA 2011 : Microsoft appelle à un Internet plus sûr et plus sain

Scott Charney, vice-président en charge du Trustworthy Computing chez Microsoft, propose une approche collaborative et coopérative de la sécurité de l'Internet et du parc informatique selon un modèle qui s'inspire des méthodes utilisées pour lutter contre les pandémies au niveau mondial. Selon lui, une série de facteurs - l'utilisation accrue d'appareils mobiles, le cloud computing, la persistance des menaces que font peser les botnets, la sensibilisation du public à la cybercriminalité, et la demande croissante pour l'amélioration de la sécurité Internet aux gouvernements - créent une occasion unique et indiquent que le moment est venu de s'engager dans un tel processus. « Nous assistons à une harmonisation croissante des facteurs sociaux, politiques et économiques. Le temps est venu pour l'industrie, les gouvernements et les individus de concentrer leurs efforts sur la sécurité Internet et la vie privée, afin de s'orienter vers un Internet plus sûr, » proclame-t-il. Consulté sur la question, Jeff Jones, directeur du Microsoft Trustworthy Computing, a expliqué que Microsoft prenait soin de ne pas s'approprier la paternité d'une quelconque solution, ou même de suggérer qu'il n'existait qu'une méthode unique. « L'idée de construire un Internet plus sûr et plus sain avec la collaboration de tous ne repose sur aucun produit ou service spécifique, » a-t-il affirmé.

Internet : le bien commun

Toutefois, en prenant l'initiative de cette entrée en matière, Microsoft espère amener les différentes parties et intervenants à coopérer pour le bien commun. Sans un travail d'équipe, les fournisseurs ou les prestataires de services peuvent développer des solutions propriétaires concurrentes qui risquent de brouiller les pistes et rendre la question plus complexe à résoudre pour les consommateurs et les entreprises, et moins profitable à l'Internet dans son ensemble. À n'en pas douter, il y aura des obstacles à surmonter. Quand il s'agit du réseau mondial, pris dans sa globalité, les lois qui régissent l'utilisation et le contrôle de l'Internet sont différentes, de même qu'il existe des différences sociales et culturelles pour déterminer ce qui est acceptable ou non sur Internet, à quoi il faut ajouter des capacités économiques et technologiques inégales pour surveiller ou bloquer les menaces.

S'inspirer de la lutte contre les épidémies

Scott Charney rapproche ces facteurs de ceux que l'on peut observer dans le domaine de la santé au niveau mondial. La médecine et les soins de santé varient d'un pays à l'autre, ils sont régis par des lois différentes, suscitent des attentes culturelles différentes, et sont confrontés à des limites économiques et technologiques différentes. Mais, cela ne n'a pas empêché la création d'un système global pour identifier et s'attaquer à des épidémies ou à des pandémies afin d'éviter qu'elles aient un impact plus large. Dans le cas d'une pandémie potentielle, l'un des premiers objectifs est de contenir la propagation de la maladie. Cela signifie que tout pays peut être effectivement mis en quarantaine - comme le Mexique pendant l'épidémie de grippe porcine H1N1 en 2009 - même si un pourcentage relativement faible de la population est vraiment malade. La santé de l'Internet peut être traitée de la même manière - par exemple en fermant le réseau Internet entrant et sortant d'un pays victime d'une épidémie de malware, afin de contenir la menace jusqu'à ce qu'un «vaccin» ou une méthode de «guérison» soit mis au point.

Ce n'est qu'une approche. Le fait est que le monde partage l'Internet et que tous - consommateurs, fournisseurs de services Internet, vendeurs de matériel et de logiciels, entreprises de toute taille et gouvernements - ont intérêt à travailler ensemble pour faire en sorte que les menaces soient rapidement éliminées, et que l'Internet reste aussi sûr et sain que possible.

Illustration principale : Scott Charney, vice-président en charge du Trustworthy Computing chez Microsoft

(...)

(17/02/2011 16:56:29)

Collaboratif : SAP adosse son StreamWork aux API OpenSocial

SAP a ajouté le support des API OpenSocial à son logiciel en ligne StreamWork. Celui-ci propose à une équipe dispersée un ensemble d'outils pour réfléchir en groupe et prendre des décisions concertées. Après avoir été proposé en version bêta limitée pendant plusieurs mois, StreamWork a été lancé au printemps dernier. Désormais, les logiciels qui utilisent les interfaces de programmation OpenSocial (développées par Google) peuvent donc être présentés à ses utilisateurs par le biais du catalogue d'outils de l'application. Google Translate en fait partie. SAP cite aussi les produits d'éditeurs tels que Atlassian, Doodle (illustration ci-dessus), Got Decisions, MindMeister ou encore CS Odessa (et son logiciel ConceptDraw MindWave, illustration ci-dessous).
CS Odessa, logiciel ConceptDraw MindWave

SAP cherche des applications partenaires qui correspondent à ce que les utilisateurs de StreamWork aimeraient trouver. L'éditeur tient compte de leurs « feedbacks », a expliqué Holly Simmons, directrice senior du marketing on-demand, à nos confrères d'IDG News Service. Il est plus logique d'étendre les fonctions du logiciel vers les produits dont les clients se servent déjà. Les intégrer à StreamWork réduit le nombre de personnes qui devront passer d'un outil à l'autre.

La version de base de StreamWork est gratuite. La Professional Edition démarre à 9 dollars par utilisateur et par mois aux Etats-Unis (elle comporte des fonctions d'administration avancées). Il y a aussi une Enterprise Edition, qui inclut des fonctions de contrôle et d'allocation de ressources (à partir de 192 dollars par utilisateur et par an). Pour connaître la tarification appliquée dans les autres pays, il faut contacter l'éditeur.

Outils de collaboration : un marché très encombré

Evidemment, comme tout vendeur de solutions de collaboration, SAP se retrouve sur un marché très encombré comportant des flopées de nouvelles offres, qui côtoient des plateformes aussi largement adoptées que Microsoft SharePoint. Sans compter que certaines tentatives pour faire adopter ce genre d'outils ont fait long feu. Invoquant un taux d'adoption trop bas, Google lui-même a stoppé les développements de sa plateforme baptisée Wave, autour de laquelle il avait pourtant fait pas mal de battage. SAP avait d'ailleurs pris soin, à l'époque, d'offrir la possibilité d'intégrer son StreamWork à Google Wave. Il se rabat maintenant sur OpenSocial, une option que le Centre d'Innovation de SAP Business Objects (à Levallois-Perret) avait déjà retenue pour l'outil d'analyse des réseaux sociaux SNA.

Holly Simmons n'a pas souhaité indiquer combien de clients payants SAP avaient déjà drainé vers StreamWork à ce jour. Elle se contente d'affirmer que « les ventes se portent très bien ». Pour l'instant, la plupart des clients sont des PME. Le profil typique, c'est une petite entreprise de conseil qui veut élaborer des stratégies et partager des documents avec des clients distants de plusieurs milliers de kilomètres, explique la directrice marketing.

Les grandes entreprises ont des demandes différentes. Elles veulent notamment aider leurs employés à travailler plus efficacement avec les logiciels qu'ils utilisent déjà. L'Enterprise Edition de StreamWork n'est sortie qu'en décembre dernier. SAP démarre donc à peine la phase de commercialisation du produit.

L'éditeur a lui-même déployé en interne l'outil, à travers toute l'entreprise, ajoute Holly Simmons. Tout en explorant l'aspect communauté de partenaires, SAP a aussi prévu d'ambitieux plans de développement de son côté avec cet outil. Les clients devraient s'attendre à voir approfondir l'intégration de StreamWork avec les logiciels de gestion de l'éditeur, précise Holly Simmons. « Les gens veulent l'utiliser dans un contexte métier. Nous ne sommes pas juste en train de créer une autre suite de productivité ». (...)

(17/02/2011 16:40:10)

Dell introduit un serveur avec 96 coeurs Opteron

Le PowerEdge C6145 est l'un des serveurs les plus rapides jamais mis en place par la société, a déclaré Armando Acosta, chef produit PowerEdge-C chez Dell. Cette machine de type HPC (calculs hautes performances), comprend en effet deux noeuds serveurs de quatre sockets pouvant accueillir un maximum de huit processeurs AMD Opteron série 6100 avec 12 coeurs chacun. Soit 96 coeurs au total dans un châssis 2U !

Si ce serveur a été conçu pour exécuter des applications scientifiques ou mathématiques, il peut également être utilisé pour animer des plates-formes cloud et des environnements informatiques hautement virtualisés, précise Armando Acosta. Un châssis externe avec plusieurs processeurs graphiques peut également être connecté au serveur principal pour travailler sur des applications telles que le rendu vidéo. 

Un marché en pleine croissance

Il y a une demande croissante des clients pour plus de performances dans des serveurs qui consomment moins, a déclaré Tim Carroll, responsable mondial de l'activité informatique de recherche chez Dell. Des plafonds en consommation électrique ont été édictés pour les bâtiments écoresponsables, afin d'inciter les utilisateurs à rechercher les économies partout et notamment dans leur salle informatique. Dell collabore avec les fournisseurs de composants pour répondre à ces besoins en puissance et en performances tout en diminuant la consommation électrique de ses systèmes. Avec ce serveur HPC, la compagnie texane propose par exemple des barrettes mémoire Samsung de faible puissance et des puces AMD Opteron intégrant plus de coeurs que les processeurs Intel Xeon, plafonnant aujourd'hui à 8 coeurs. Pour l'instant, Dell  ne proposera pas ce serveur avec des puces Intel, a ajouté Armando Acosta. 

Les clients sont également à la recherche de solutions permettant d'ajouter des puces graphiques aux côtés de processeurs pour créer des clusters de puissance dédiés à certaines applications, précise encore le responsable de Dell. Les serveurs équipés de GPU apportent plus de puissance brute et consomment davantage d'énergie, mais ils permettent également de réduire le nombre de machines dans un datacenter. C'est une piste déjà exploitée sur les supercalculateurs (voir lien)  et de plus en plus utilisée dans les centres de calcul.

Mieux conjuguer CPU et GPU

Dell travaille ainsi avec ses clients pour mettre en place des bancs d'essai dans lesquels la puissance de calcul en parallèle des CPU et des GPU pourra être parfaitement regroupée, souligne Tim Carroll. Les clients peuvent utiliser des outils de programmation parallèle, comme Cuda de Nvidia ou la technologie OpenCL du consortium Khronos Group pour écrire leurs applications. La plate-forme Cuda est l'option la plus populaire en ce moment, indique Tim Carroll. 

Basé sur le châssis du C6105 présenté en septembre dernier et qui peut accueillir jusqu'à 48 coeurs de processeurs AMD dans un boîtier 2U, le C6145 supporte jusqu'à 1 To de mémoire avec un maximum de 96 coeurs de processeurs. Les dimensions du serveur sont de 44,8 centimètres (17,6 pouces) en largeur et de 79 cm (31,1 pouces) en profondeur. Comme AMD l'a précédemment annoncé, ce serveur est "socket compatible" avec la prochaine génération de puces Interlagos reposant sur l'architecture Bulldozer. Les processeurs Interlagos, qui succéderont donc fin 2011 aux Magny-Cours actuels, incluront jusqu'à 16 coeurs par processeur. Un châssis C410X externe avec des slots PCI-Express peut également être connecté au C6145 pour ajouter jusqu'à  32 processeurs graphiques. Le serveur est livré avec Suse Novell, Red Hat Enterprise Linux 5.5, Windows Server 2008 R2 ou Windows HPC Server 2008. Les responsables de Dell ont également précisé qu'ils avaient préféré AMD à Intel pour baisser le prix du serveur. Le C6145 est proposé à partir de 18 000 $ et sera disponible à partir du 28 février en France.

Un rachat pour quoi faire ?

Cette annonce  intervient également alors que circule une rumeur de rachat d'AMD par Dell portée par le blog de l'analyste financier Tiernan Ray, hébergé par le site du Barron's du groupe Wall Street Journal. Valorisé à 6,1 milliards environ, AMD n'est pas une cible évidente pour le Texan et on ne comprend pas bien quelle synergie pourrait en résulter. Dell travaillant principalement avec Intel pour la fourniture des composants nécessaires à ses PC, serveurs et contrôleurs. On se souvient également que Dell travaille depuis peu avec AMD (2006). Pendant près de 20 ans, le Texan avait refusé d'intégrer les circuits d'AMD sur ses machines...

(...)

(17/02/2011 13:28:58)

Les étudiants rendent l'e-administration plus attrayante

La DGME vient de livrer les résultats du challenge Administration 2020, son concours réservé aux étudiants des grandes écoles, d'universités et également d'établissements de la fonction publique. La 2ème édition de cette compétition a permis à 93 équipes de proposer une initiative portant sur la modernisation de l'État. A l'arrivée, six seulement ont été sélectionnées pour la finale qui a eu lieu la semaine dernière. Leurs projets ont été évalués par un jury placé sous le haut patronage de François Baroin, ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat  et composé de François-Daniel Migeon, directeur général de la Modernisation de l'Etat, de Jean-François Verdier, directeur général de l'Administration et de la Fonction Publique, et de Nathalie Wright, directrice du secteur public de Microsoft France. Les projets ont été évalués par le jury en fonction de critères précis : leur pertinence,  leur originalité, leur cohérence, leur viabilité et leur créativité. Après délibération, les lauréats ont été désignés. Le premier prix a été remporté par l'équipe « Double Je » des étudiants de l'Ecole nationale des finances publiques de Noisy-le-Grand (voir encadré) pour le développement d'un jeu vidéo destiné à former les agents au contact du public au référentiel Marianne d'amélioration de l'accueil de l'administration.  

Vers une mise en oeuvre des projets primés

L'équipe « Social Media Gouvernance » des jeunes de l'Université Paris I Panthéon Sorbonne et Paris II Panthéon Assas occupe la seconde marche du podium. Leur projet porte sur la création et la formation des agents de la Fonction publique au community management (animateurs  de réseaux sociaux) et vise à faciliter leur communication et mieux faire connaître les services et grands projets de l'administration. Le bronze revient aux élèves de l'ENS - Polytechnique qui ont défendu un concept de forum collaboratif permettant aux agents de l'Etat, quelle que soit leur administration d'origine, de travailler et de s'entraider en ligne.  Enfin, le 4ème prix a été décerné aux jeunes d'ADEV (Faculté libre de médecine de Lille, ESCP-Europe) pour avoir créé un site Internet, avec application smartphone et widget, sur le dépistage et les campagnes de vaccination individuelles. L'équipe « Double Je », lauréate du concours, a notamment remporté un voyage d'étude à l'étranger pour approfondir son projet. La DGME a décidé de mettre à l'étude la mise en oeuvre des projets primés et d'inclure les gagnants au sein du club Ensemble-Simplifions, un site collaboratif qui regroupe les citoyens désireux de contribuer à rendre l' administration plus simple et plus efficace. 

Illustration : les lauréats du challenge Administration 2020. Crédit photo : DGME
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(17/02/2011 13:12:16)

Annuels Capgemini : Prises de commandes en hausse sur 2010

Capgemini, la SSII présidée par Serge Kempf et dirigée par Paul Hermelin a enregistré un chiffre d'affaires de 2,38 milliards d'euros (Md€) au 4e trimestre 2010. A taux de change et périmètre courants, cela représente une croissance de 16,2% par rapport au 4e trimestre 2009 (5,8% à taux de change et périmètre constants). Sur cette période, en France, le chiffre d'affaires du groupe a augmenté légèrement (+1,5%) comparé à l'an dernier, à 517 millions d'euros (M€). En progression séquentielle par rapport au 3e trimestre 2010, la hausse est de 19,2% (en chiffres courants) sur l'Hexagone.

Au deuxième semestre 2010, le groupe a dégagé une marge opérationnelle de 342 M€, soit 7,6% des 4,486 Md€ de chiffre d'affaires réalisé sur les six derniers mois de 2010 (5,8% au premier semestre). Sur l'année complète, la marge opérationnelle a légèrement baissé (-0,3 points) par rapport à l'an dernier. Quant au CA annuel, il augmente de 3,9% à taux de change et périmètres courants, mais baisse de 1,1% à taux de change et périmètres constants.

Une croissance qui forcit au 4e trimestre

La SSII indique que l'analyse des prises de commandes confirme l'accélération qu'elle a constatée sur les derniers mois de l'année. Celles-ci se montent à 9,86 Md€, soit une augmentation de 2009 par rapport à l'an dernier. Elles sont notamment reparties sur l'infogérance, activité qui a en revanche baissé de 3,2% sur l'exercice en raison de la baisse du volume réalisé avec un grand client américain. Sur ses autres métiers, la SSII note une progression moyenne de 11% sur ses prises de commandes.

L'intégration de systèmes, son premier métier (41,5% du CA) a progressé de 1,6% sur douze mois avec une marge opérationnelle presque inchangée de 6,7%. En revanche, l'activité consulting a reculé de 7,5% sur l'année. Enfin, pour sa filiale Sogeti, Capgemini indique un taux de marge opérationnelle de 9,2% pour un chiffre d'affaires « quasi identique à celui de l'année précédente ».

La France pèse 22% du CA total en 2010

Les activités réalisées sur l'Hexagone ont pesé 22% du chiffre d'affaires total en 2010, soit 1,93 Md€. Cela constitue un léger tassement par rapport à l'exercice 2009 (1,949 Md€) tant en chiffres courants (-0,9%) qu'organiques (-1%). Pour les autres activités du groupe, en 2010, la zone Royaume-Uni/Irlande pèse aussi 22% environ avec un CA de 1,91 Md€ (+3,2% en chiffres courants), l'Amérique du Nord a représenté 19% (+4,7%) et le Benelux 16% (-6%). Les 21% restants se répartissent entre les autres pays européens, l'Asie et l'Amérique latine pour un chiffre d'affaires de 1,875 Md€, en progression de 18,5% par rapport à 2009.

30 000 collaborateurs recrutés l'an dernier

A la fin de l'exercice, la trésorerie nette du groupe s'élevait à 1,06 Md€, contre 1,269 Md€ fin 2009, le groupe ayant procédé à plusieurs acquisitions dans l'année (SSS, IBX, Skvader, Thesys) et pris une participation dans la société brésilienne CPM Braxis. L'effectif total de la SSII s'établissait à 108 698 personnes dans le monde au 31 décembre 2010, dont 7 600 provenant des rachats. Cela représente un différentiel de 18 182 personnes sur un an (+20%). Le groupe indique par ailleurs qu'il a globalement recruté 30 000 collaborateurs en 2010. L'effectif offshore représente 35% du total, soit 38 400 personnes, dont 31 000 en Inde.

Pour 2011, Capgemini estime que la croissance de son chiffre d'affaires se situera entre 9 et 10% à taux de change et périmètres courants. Il prévoit une progression de sa marge opérationnelle, entre 0,5 et 1 point par rapport à 2010.

Source illustration : Résultats financiers 2010 de Capgemini (...)

(17/02/2011 12:13:43)

CA lance un service d'authentification cloud à plusieurs niveaux

Baptisée Advanced Authentication Cloud Service, la solution de CA Technologies est dotée d'un système de notation basé sur le risque, lequel lie le niveau d'autorisation à l'application que l'utilisateur souhaite ouvrir après être entré dans sa session initiale. Par exemple, un seul mot de passe peut être considéré comme suffisant pour utiliser certaines applications comme la messagerie, alors qu'une authentification plus élevée peut être requise si l'utilisateur souhaite accéder à des informations plus sensibles, comme une application de paie par exemple. « Quand l'utilisateur tape une URL, celle-ci vérifie son niveau d'authentification selon une échelle de risque, » a expliqué Lina Liberti, vice-présidente du marketing chez CA. Le niveau d'entrée initial via la plate-forme SaaS qui permet à l'utilisateur d'accéder à certaines ressources de l'entreprise, n'est pas forcément suffisant pour accéder à d'autres ressources et il est possible de lui demander de fournir un niveau d'authentification supérieur.

Une technologie par empreinte ADN de la machine

Le service est basé sur la technologie Arcot acquise par CA Technologies l'an dernier. Celle-ci a été depuis intégrée dans le produit et le service d'authentification SiteMinder Web proposé par l'éditeur. Auparavant, la technologie Arcot associée à SiteMinder ne comportait qu'un mode d'authentification à deux choix : «oui» ou «non». Cette manière de canaliser l'utilisateur n'était pas liée à des niveaux de risque estimés en fonction des différentes actions que l'utilisateur souhaitait réaliser, une fois entré dans le système. Par ailleurs, CA a annoncé que son service d'authentification cloud prenait désormais en charge ce qu'on appelle l'identification « sans étiquette ». Ce dispositif permet d'identifier la nature de l'appareil qui se connecte - que ce soit un PC, un smartphone ou tout autre appareil - grâce une méthode d'empreintes basée sur la collecte de données sur l'appareil. Cette méthode d'identification ne dépend pas de l'utilisation de cookies ou d'agents. « Il s'agit essentiellement de prendre une image instantanée de l'appareil, une sorte d'ADN de la machine, » a expliqué Lina Liberti. Celle-ci a précisé que la technique développée par l'éditeur fonctionnait avec « tout appareil à partir d'un moment où il intégrait une puce. » L'idée sous-jacente est que l'utilisateur est associé à l'appareil et que les informations d'identification peuvent être enregistrées et utilisées pour décider du niveau de risque accordé. En outre, CA indique avoir mis au point des applications pour smartphones, compatibles avec la technologie Arcot OTP, qui permettent d'ouvrir une session avec un mot de passe à usage unique.

Crédit photo : D.R.

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(17/02/2011 11:02:59)

Prix unique du livre numérique mais en France seulement

L'Assemblée nationale a adopté, mardi 15 février, une proposition de loi relative au prix du livre numérique, permettant aux éditeurs de fixer le prix de vente public comme ils le font déjà pour le livre papier. "Toute personne établie en France qui édite un livre numérique dans le but de sa diffusion commerciale est tenue de fixer un prix de vente au public pour tout type d'offre à l'unité ou groupée. Ce prix est porté à la connaissance du public", stipule la loi.

Toutefois, l'Article 3 de cette proposition de loi précise que "le prix de vente, fixé dans les conditions déterminées à l'article 2, s'impose aux personnes établies en France proposant des offres de livres numériques aux acheteurs situés en France".

Ainsi, les plateformes de vente de livres numériques installées en dehors des frontières françaises, notamment Google ou Amazon, ne sont pas concernées par la présente proposition de loi.

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(17/02/2011 11:00:46)

Google aura aussi sa plate-forme d'abonnements : One Pass

Baptisée "Google One Pass", cette plateforme permettra aux éditeurs de proposer du contenu numérique aux particuliers via des sites internet ou des applications mobiles.L'éditeur précise que l'ensemble des contenus numériques achetés sur "One Pass" seront accessibles sur les tablettes, les smartphones et les sites web grâce. Les utilisateurs seront simplement invités à s'identifier à l'aide d'une adresse email et d'un mot de passe. Par l'intermédiaire de cette plateforme, les éditeurs de presse pourront commercialiser leurs abonnements et leurs articles à l'unité.

"Notre objectif est de fournir une plateforme ouverte et flexible qui renforce notre engagement visant à soutenir les éditeurs, le journalisme et l'accès à un contenu de qualité", affirme le PDG de Google dans un communiqué. Pour le moment, le service "One Pass" est disponible en France, au Canada, en Allemagne, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Cette annonce arrive juste après celle d'Apple qui propose son propre service d'abonnement dédié à la presse, à la musique et aux vidéos.

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(17/02/2011 10:21:27)

Groupama SI se dote d'un datacenter "bis" conçu par APL

Groupama SI (GSI), qui gère la totalité de l'informatique du groupe d'assurances Groupama, disposait d'un site historique à Bourges avec un datacenter de 750 m². Celui-ci avait déjà été doublé sur le même site avec un datacenter de 1600 m². En doublon distant des installations historiques, Groupama SI a créé un datacenter baptisé « M2 » situé dans la région de Rennes et d'une surface de 3250 m². Il est destiné à servir de secours au site historique et de plate-forme de développement.

Ce datacenter doit concilier trois impératifs : la très haute disponibilité, la flexibilité et l'efficience énergétique.

Le coefficient d'efficience énergétique ciblé est de 1,3 (rapport entre la puissance électrique totale consommée par l'ensemble des installations, notamment la climatisation, et la puissance électrique consacrée directement au seul calcul). Le refroidissement des installations est prioritairement confié à un système d'air frais extérieur (free cooling) renforcé par un refroidissement à l'eau glacée en cas de besoin, notamment si l'air extérieur est trop chaud. Toutes les installations techniques sont redondantes pour garantir la haute disponibilité. La mise en service complète de M2 est prévue pour 2012. Une première tranche a déjà été livrée et comporte quatre salles de 200 m². La densité de consommation électrique y est de 1,5 kW/m² évolutifs en 3 kW/m², les installations garantissant la qualité et la régularité du courant.

Les installations techniques de M2 sont conçues et réalisées par APL qui avait été aussi en charge des évolutions du site historique depuis plusieurs années. Le coût du projet n'a pas été précisé.

Crédit photo : IGN
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