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(09/12/2010 17:10:27)
Les femmes sont devenues accros des outils Internet
Les femmes sont toujours sous représentées dans le secteur informatique en Europe, et particulièrement en France. Dans l'Hexagone, la proportion de jeunes filles formées dans les écoles d'ingénieur n'augmente plus depuis cinq ans, alors qu'elle était en constante progression depuis plusieurs décennies Microsoft a choisi de dresser un état des lieux de l'emploi des femmes dans l'IT au cours d'un débat intitulé : « Révolution numérique et emploi des femmes ». Entrepreneuses, blogueuses, spécialistes de la question des femmes, expertes de terrain, toutes s'accordent sur l'approche créative, personnelle, libératrice qu'ont les femmes du numérique. Alors Internet libère-t-il les femmes ? Le numérique permet-il de réduire les inégalités hommes/femmes dans la vie professionnelle ? Pour Isabelle Juppé (à l'extrême-droite sur la photo principale), auteur de la femme digitale, l'appropriation des outils high-tech concerne trois catégories de femmes : «On peut identifier la famille des « utilisatrices », c'est dire celles qui considèrent les produits IT comme des simplificateurs de vie compliquée, expose-t-elle. Viennent ensuite les « actrices », des femmes qui travaillent dans l'univers du numérique et qui sont créatrices de sites Internet, des scientifiques ou des informaticiennes. Puis, la catégorie « des magiciennes », qui se sont réinventées une vie professionnelle grâce aux possibilités offertes par la Toile, en créant leurs blogs ou en étant actives sur des réseaux sociaux.»
En France, 50% des internautes seraient des jeunes filles
Natacha Quester-Séméon, journaliste, productrice, vidéo blogueuse et co-administratrice de plusieurs initiatives humanistes, estime pour sa part que les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans le quotidien des femmes : « La distinction hommes/femmes tend à s'estomper dans l'IT », considère t-elle. Plus de la moitié des internautes sont des jeunes filles. Elles sont 8% de plus que les garçons à être en ligne et une grande majorité d'entre elles indique préférer investir dans un ordinateur plutôt que dans d'autres produits. » D'après Natacha Quester, les femmes seraient plus présentes que les hommes sur les réseaux sociaux (75,8%) et passeraient davantage de temps sur des sites de microblogging comme Twitter (55% de femmes contre 49% d'hommes). Les raisons de cet engouement ? Les enfants qui conduiraient une grande majorité de mamans (73%) à maîtriser les outils du web. 
20% de femmes dans l'IT
En revanche, en Europe, comme aux Etats-Unis, l'utilisation des smartphones reste l'apanage des hommes. Les téléphones intelligents équipent 60% de garçons contre 40% de femmes.. Pourtant, même si les PC et le Net sont parvenus à faire partie du quotidien de certaines femmes, elles restent encore largement sous-représentées dans les filières scientifiques, surtout dans la fonction informatique. « En France, les femmes qui travaillent dans l'IT ne représentent que 20% de la population active », faisait remarquer Valérie Dagand, présidente du réseau Cyberelles. A l'opposé, en Nouvelle Zélande ou en Malaise, elles représentent 50% des effectifs, car ces métiers sont considérés comme importants pour des questions de représentation culturelle. En outre la part des femmes ingénieurs dans l'Hexagone recule d'un point chaque année : «Dans l'ingénierie, le pourcentage des femmes est passé de 17,5% en 2007 à 16% dans les années 2009 et 2010 », regrette Valérie Dagand. Elles seraient également deux fois plus nombreuses que les hommes à quitter la filière informatique Pour Valérie Dagand, les raisons de cette désaffection sont à mettre sur le compte du phénomène du « plafond de verre ».Elles seraient seulement 9% à faire partie de la population des dirigeants, soit 11%% de moins que leurs homologues masculins. En outre, il existerait peu de modèles de réussite au féminin dans la population des ingénieures.
«Dans la filière informatique, les aspects éducation et formation doivent impérativement être renforcés », a insisté Isabelle Juppé. La transmission du savoir est particulièrement importante. Les outils du numérique sont devenus de plus en plus complexes ». Pour cette dernière, le secteur de la formation high-tech pourrait d'ailleurs être un champ possible d'emploi pour les jeunes femmes en recherche d'emploi.
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BMC et Cisco s'allient sur le cloud computing
Cisco continue de structurer ses partenariats dans le cloud computing. Après une implication importante auprès d'EMC et VMware, via l'alliance VCE et leur structure de distribution Acadia, l'équipementier américain vient de se rapprocher de BMC Software. Le fruit de cette collaboration est déjà connue, la solution se dénomme Integrated Cloud Delivery Platform. Selon les deux protagonistes, ce service intègre à la fois Cloud LifeCycle Management (CLM) de BMC, une solution complète d'orchestration et de gestion du cloud, ainsi que la solution Unified Service Delivery de Cisco pour assurer la connectivité des datacenters. L'objectif de cette approche est d'éliminer plusieurs des étapes manuelles complexes requises pour mettre en place et fournir un service cloud. La plateforme concerne aussi bien les clouds privés, publics ou hybrides.
(...)(09/12/2010 16:41:34)Dell en pourparlers pour racheter le spécialiste du stockage Compellent
La société Dell a annoncé ce jeudi qu'elle est en pourparlers avancés avec le fournisseur de solution de stockage Compellent Technologies. Le Texan propose 27,50 dollars par action, ce qui valorise l'entreprise à 876 millions de dollars. Les deux compagnies n'ont pour l'instant donné aucune assurance quant à la signature d'un accord et elles ont clairement indiqué qu'elles n'ont pas l'intention de faire de commentaires supplémentaires « jusqu'à ce qu'un accord soit atteint ou les discussions terminées. »
L'offre de Dell est nettement en dessous du prix de l'action Compellent à la clôture du marché mercredi soir, soit 33,65 $. Le marché du stockage est aujourd'hui en pleine ébullition. Un peu plus tôt cette année, en septembre exactement, Dell a perdu la bataille d'enchères pour 3Par tombée dans le giron de Hewlett-Packard pour un total de 2,3 milliards de dollars, et en novembre EMC a annoncé qu'il paierait 2,25 milliards de dollars pour Isilon Systems.
Juniper se renforce dans la sécurisation de la virtualisation avec Altor
Il y a quelques semaines, Juniper avait racheté Trapeze Networks, aujourd'hui le spécialiste réseaux et sécurité a déboursé 95 millions de dollars en cash, pour acquérir Altor. Cette dernière a développé un pare-feu basé au niveau de l'hyperviseur, une détection des intrusions (IDS), des outils de visibilité et de surveillance du réseau, ainsi qu'un reporting pour la mise en conformité.
La solution d'Altor vise à vérifier et contrôler la sécurité à travers l'infrastructure de machines virtuelles. L'objectif est de comprendre comment s'effectue l'échange d'applications, de services et de trafic entre les VM. Altor Networks avait été fondée en 2007 par des spécialistes de la sécurité et des réseaux venus de Check Point Software, Cisco, et Oracle. Au début de 2010, Juniper Networks avait investi via son fonds d'investissement, Junos Innovation Found. (...)
La Commission européenne en route pour un tarif mobile unique
(Source EuroTMT) Le règlement actuel se termine en juin 2012 et la commission européenne doit proposer un nouveau texte d'ici à la fin du premier semestre 2011. Mais l'objectif de la commissaire européenne est déjà largement connu. Elle entend faire disparaître la différence entre les tarifs domestiques et les tarifs d'itinérance intra-européenne en 2015.
Neelie Kroes l'a d'ailleurs rappelé, mercredi, en jugeant que « l'existence de disparités excessives entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance n'est pas acceptable dans un véritable marché unique européen ». Un point de vue justifié par le rapport réalisé sur le roaming par le BEREC, le club des régulateurs télécoms européens, rendu public lui-aussi mercredi.
Pour rappel, le plafond tarifaire pour les appels émis en roaming est de 0,39 € par minute depuis le 1er juillet dernier. Or, le prix d'une communication mobile domestique varie entre 0,032 € (en Lituanie) et 0,174 € (aux Pays-Bas). Et la moyenne européenne est de 0,097 €. Une différence que les seuls coûts attribuables au roaming ne peuvent pas expliquer. En revanche, la situation semble meilleure pour le tarif du SMS en roaming, dont le plafond a été fixé à 0,11 €, proche du tarif domestique européen le plus élevé.
Le discours et la méthode
Reste le plus dur à faire : savoir comment s'y prendre pour réduire l'écart entre les tarifs domestiques et les tarifs en itinérance. Car, à lire le rapport du BEREC, il existe différentes solutions pour réduire l'écart, sans qu'aucune ne paraisse totalement satisfaisante. Une chose semble sûre : la politique d'imposer un plafond tarifaire aux tarifs de détail a eu pour seul effet de baisser effectivement les tarifs du roaming, mais n'a pas permis de créer de concurrence sur ce marché.
Une situation qui peut certainement s'expliquer par le fait que les abonnés « grand public » voyagent assez peu et ne considèrent pas ce sujet comme une priorité, alors que les professionnels « gros consommateurs » de roaming ont eux la capacité de négocier des tarifs bien plus favorables avec leur opérateur.
Comme le rappelle la commission, les tarifs effectifs demeurent en effet très proches des plafonds. Si les revenus tirés du roaming constituent une faible partie des revenus des opérateurs mobiles européens (en moyenne 4,2 % en 2009 selon le rapport du BEREC), ils dégagent des marges élevées que les opérateurs ne sont certainement pas prêts de sacrifier, alors que leur rentabilité est déjà sous pression en raison de la baisse d'autres tarifs réglementés tels que la terminaison d'appel mobile.
Les spécifications JSR pour Java SE 7 et 8 adoptées malgré les protestations
Une semaine après la demande d'approbation présentée au JCP, Oracle a annoncé que les JSR (Java Specification Requests) Standard et Enterprise de Java - JSR 336, pour Java SE 7 (Java Platform, Standard Edition), et JSR 337, pour Java SE 8, - avaient été adoptées par le comité exécutif. Deux autres JSR, JSR 334, concernant des améliorations mineures du langage de programmation Java, et JSR 335, concernant les expressions Lambda, ont également été validées. La feuille de route, présentée il y a un mois, qui entre maintenant dans sa phase de test et de finalisation, prévoit la standardisation de Java SE 7 pour 2011, et celle de Java SE 8 pour 2012. « Java SE 7 inclut des changements du langage pour améliorer la productivité des développeurs, le renforcement du support des langages de scripts dynamiques et des améliorations de performances », rappelle Oracle. « Java SE 8 proposera des technologies pour améliorer la modularité du langage et le support des processeurs multicoeurs. »
Google, Apache et Tim Peierls ont voté contre
Les spécifications JSR 336 et 337 ont été approuvées par 12 voix contre 3. Parmi les votes « pour », on compte Oracle, HP, IBM, SAP, et Red Hat, ainsi que la Fondation Eclipse. La Fondation Apache, Google, et Tim Peierls, membre du comité, ont voté contre. Depuis le refus, de Sun Microsystems d'abord et d'Oracle ensuite, de céder le kit de validation TCK pour Java à la Fondation Apache pour tester la compatibilité de son implémentation Open Source Harmony avec les spécifications du langage, l'empêchant de distribuer Harmony sous licence libre, Apache menace de quitter le JCP. « La Fondation Apache Software doit s'opposer à ces spécifications JSR. Même si nous appuyons le contenu technique des JSR, et si nous soutenons fermement la nécessité de faire avancer la plate-forme Java, nous ne pouvons pas voter en conscience,» pour l'adoption des JSR SE 7 et SE 8 pour Java, fait valoir Apache. La Fondation critique également Oracle, qui soutient une version Open Source de Java (OpenJDK), l'accusant de violer ses obligations découlant du Java Specification Participation Agreement.
Désaccord sur les conditions de licence
Google, poursuivie en justice par Oracle pour l'utilisation présumée de la technologie Java dans sa plate-forme mobile Android, dit soutenir le contenu technique du cahier des charges, mais est opposée aux conditions de licence. Parmi ceux qui ont voté positivement pour l'adoption des specs Java, certains se disent cependant déçus sur la question des licences. « Nous regrettons qu'Oracle ait décidé de refuser une licence TCK pour Java 7 à Apache, » a déclaré SAP ajoutant que son vote « est strictement basé sur les mérites techniques des spécifications Java 7, et non sur les conditions de licence. » IBM a exprimé des préoccupations similaires, même si l'entreprise a par ailleurs récemment approuvé l'OpenJDK. « Le vote d'IBM se fonde sur les mérites techniques des JSR, mais n'approuve pas les conditions de licence. IBM soutient les modèles de licence qui ouvrent le marché et acceptent l'égalité des chances, de façon à laisser des tiers créer des implémentations libres des spécifications Java. » IBM ajoute qu' « elle soutient les licences qui ne permettent pas à des personnes ou à des entreprises d'exercer un contrôle inutile pour s'attribuer un avantage donné par la propriété intellectuelle. »
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