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(24/12/2007 15:28:22)

Top 10 de 2007 : L'iPhone dynamite le marché des mobiles

Faut-il encore parler de l'iPhone, le téléphone mobile déjà le plus médiatique qui soit ? La réponse est évidemment oui, car quels que soient les reproches qu'on peut faire à l'appareil d'Apple - et ils sont aussi nombreux que les louanges qu'on peut lui adresser - la firme de Steve Jobs a encore réussi à marquer un marché de son empreinte. La folie iPhone démarre véritablement en janvier, avec la présentation de ce nouveau type de mobile par Steve Jobs, à la conférence Macworld de San Francisco. Un bref rappel à l'ordre de Cisco, propriétaire du nom iPhone, est vite oublié, tandis que les concurrents se déchaînent en tentant de prendre Apple de vitesse : LG signe un mobile avec Prada, le Chinois Meizu prépare un M8 frère jumeau de l'iPhone, Samsung adopte l'écran tactile pour son F700, jusqu'à HTC qui annonce le Touch quelques jours avant la sortie de l'iPhone... La déception est au rendez-vous pour les développeurs, qui apprennent qu'ils ne pourront pas créer d'applications tierces pour l'iPhone, Steve Jobs arguant qu'il ne veut pas compromettre la sécurité de son terminal. De même, on apprend - mais est-ce une surprise ? - qu'Apple n'entend pas laisser tout le bénéfice de l'abonnement aux seuls opérateurs. Avec l'iPod et le service iTunes, Apple dispose déjà de toute l'infrastructure nécessaire, il ne lui reste qu'à imposer une condition : les utilisateurs de l'iPhone devront avoir un compte iTunes. Autre condition que les utilisateurs découvrent après coup : pour changer la batterie de l'iPhone, il faudra payer 79 dollars de plus. Puis les analystes de Gartner avertissent les utilisateurs professionnels que l'iPhone n'est pas pour eux. Quelques mois plus tard, les analystes de Forrester leur feront écho, listant 10 raisons pour lesquelles l'iPhone n'est pas adapté à un usage professionnel. Les fans de la marque attendent néanmoins fermement le 29 juin, date de sortie de l'iPhone aux Etats-Unis. Et quand iSuppli dévoile qu'Apple réalise plus de 50% de marge sur ses iPhones, les actionnaires se félicitent. Alors qu'Orange est rapidement pressenti comme l'opérateur qui pourrait distribuer l'iPhone en France, on s'interroge longtemps sur les prix. D'autant qu'à la fin de l'été, Apple baisse les prix de son téléphone, alors qu'il s'en est déjà écoulé un million ! Autre sujet d'interrogation : les Français disposeront-ils d'une version sans abonnement ? Apple ne le souhaite pas, et les auteurs d'une solution de déblocage craignent des poursuites judiciaires. Cela n'empêche pas le public français de s'intéresser à l'iPhone ; les visiteurs de l'Apple Expo repartent néanmoins déçus, car l'iPhone n'y est pas visible. Les Français apprennent bientôt qu'ils devront attendre le 29 novembre pour mettre la main sur l'iPhone, une attente savamment orchestrée par Apple et Orange. Lot de consolation, on apprend qu'il y aura un kit de développement pour ajouter des fonctionnalités ou des jeux à l'iPhone. Autre consolation, Orange élabore un forfait Web illimité - mais qui demande tout de même de se connecter à des hotspots Orange, et qui vient bien sûr en sus d'un abonnement Internet qui serait déjà souscrit auprès de l'opérateur (être abonné à l'ADSL chez Orange ne donne en effet aucun avantage spécifique pour l'abonnement à Internet sur le mobile). Entre-temps, Google a lancé sa propre plateforme pour téléphones mobiles, Android. 2008 dira si le moteur de recherches parviendra à son tour à bouleverser le marché des mobiles, comme il l'a fait pour les services gratuits sur le Web. (...)

(24/12/2007 14:54:40)

Nouvelle rumeur de rachat de Capgemini par un géant indien

Capgemini à nouveau sujet d'une rumeur de rachat par un spécialiste indien de l'externalisation. Après avoir été lorgné par Infosys, Capgemini intéresserait désormais Wipro, un autre géant de l'offshore dans le sous-continent. C'est du moins ce qu'affirme l'Hindustan Times qui, citant des sources proches du dossier, indique que l'éventuel repreneur serait prêt à offrir 48 € par action Capgemini. Ce qui valoriserait le groupe français à près de 7 Md€. Selon nos confrères indiens, Citigroup et HSBC mettraient en place le plan de rachat, pour une offre susceptible d'être lancée courant janvier. Une information que Wipro refuse d'avaliser : « nous ne voulons pas commenter les spéculations du marché. Bien sûr, nous sommes intéressés par des accords de large ampleur et recherchons activement des options de croissance externe », explique Sudip Nandy, responsable stratégique. En attendant la confirmation ou l'infirmation de ce qui n'est encore qu'une rumeur, le cours de l'action Capgemini s'envole. Alors qu'il terminait la séance de vendredi dernier à légèrement plus de 40 €, il flirtait avec les 44 € ce lundi à la mi-journée. (...)

(24/12/2007 14:15:43)

Corruption : Lucent invitait des Chinois chez Mickey

Lucent offrait des voyages à Disneyland pour s'attirer les bonnes grâces de dirigeants chinois. L'administration américaine lui impose 2,5 M$ de sanction : un million pour le ministère de la Justice et 1,5 M$ à la SEC (la commission des opérations en bourse). Entre 2000 et 2003, soit bien avant son rapprochement avec Alcatel, Lucent a investi plusieurs millions de dollars dans plus de 300 voyages d'agrément qui étaient présentés comme des formations ou des visites d'usine. Ce dernier mensonge est particulièrement croustillant puisque Lucent, tout comme Alcatel, est une entreprise "fabless" qui sous-traite la quasi-totalité de sa production. D'une quinzaine de jours en moyenne, chaque voyage coûtait entre 25 000 et 55 000 $. (...)

(24/12/2007 13:56:54)

Dell empoche The Networked Storage Company, cabinet britannique

Dell a annoncé son intention d'absorber The Networked Storage Company (TNSC), société de conseil britannique spécialiste des méthodologies de migration de systèmes de stockage. En moins de deux mois, l'ex-numéro un de la micro aura procédé à deux opérations de croissance externe dans le domaine du stockage. La précédente, bien plus importante, portait sur la prise de contrôle d'EqualLogic, spécialiste du iSCSI, pour 1,4 Md$. On dispose de très peu d'information sur TNSC, sauf qu'elle a été fondée par Simon Pennock qui, fut un temps, dirigea EMC au Royaume-Uni. Le savoir-faire de TNSC permettra à Dell de renforcer ses compétences en matière de consulting sur le stockage en réseau. Dell, très actif en matière de rachats - alors que la société était réputée pour l'inverse - semble chercher à se repositionner comme l'interlocuteur privilégié des responsables de centres de calcul et de l'administration de parc. Ses raids au cours des six derniers mois sur des spécialistes du stockage et de l'administration à distance (Everdream, SilverBack Technologies) visent à se constituer une expertise qui lui manque cruellement pour l'instant. L'accord signé en octobre avec Citrix pour proposer une configuration " On-Demand Desktop Streaming" s'inscrit dans la même veine : proposer des solutions "standardisées" pour réduire le TCO. Pour Dell, l'écueil à surmonter est sa totale absence de référence. Lui qui a construit sa réputation uniquement sur le rapport prix/caractéristiques de ses machines doit désormais convaincre qu'il peut appliquer les mêmes recettes sur la matière grise. (...)

(24/12/2007 12:45:49)

L'Américain Carlyle se voit en géant des télécoms français

A peine le fonds d'investissement américain Carlyle a-t-il annoncé son intention de mettre la main sur 35% du câblo-opérateur Numericable (via la vente par l'actionnaire majoritaire Cinven de la moitié de ses parts), qu'il fait également part de sa volonté de rapprochement avec Free. Benoît Colas, le responsable des activités françaises du fonds américain, explique ainsi à Reuters qu'« il y a clairement des synergies entre opérateurs et avec Iliad en particulier ». Si Carlyle parvenait à prendre sa part dans la consolidation du marché hexagonal en réunissant sous une même bannière Iliad et Numericable, il s'installerait dans le triumvirat des acteurs du secteur télécoms/Internet, aux côtés d'Orange et de SFR. Ce dernier vient d'accéder au rang de géant après s'être offert Neuf Cegetel la semaine dernière, un FAI qui avait précédemment mis la main sur AOL France et Club Internet. Et pour mieux rivaliser avec Orange et SFR, Carlyle entend jouer avec les mêmes armes. Comme ses deux concurrents, le fonds américain veut ainsi disposer d'une licence 3G. Reste à savoir si cela passera par Iliad, candidat jusqu'alors malheureux à l'appel d'offres pour l'attribution de la 4e licence 3G, ou par Numéricable. Selon Benoît Colas, il est « clairement envisagé » de voir le câblo-opérateur pénétrer le marché du haut débit mobile. (...)

(24/12/2007 12:43:37)

Un cheval de Troie corrompt les publicités Adwords

Selon BitDefender, un cheval de Troie pervertirait les liens publicitaires contextualisés générés par le système Adwords de Google. Le spécialiste en sécurité explique que Trojan.Qhost.WU - nom qu'il donne au cheval de Troie - remplace les liens publicitaires par d'autres, dirigeant les internautes vers des sources potentiellement dangereuses. Cette opération est réalisable en modifiant un fichier de configuration (Hosts file) dont le but est d'appliquer un nom de domaine à une adresse IP. Un processus utilisé normalement - et légalement - pour bloquer l'affichage de publicité. Si ce fichier est corrompu ou piraté, le navigateur dirige l'internaute vers une page Web qu'il n'a pas demandée. Si BitDefender identifie le malware comme étant de risque « moyen » - sans toutefois préciser le moyen de propagation -, l'éditeur insiste sur le fait que l'internaute télécharge des publicités depuis un serveur « pirate » qui n'est pas celui de Google. Cela soulève dans la foulée la question du retour des campagnes lancées par Adwords et celui de rémunérations induites. (...)

(24/12/2007 12:41:45)

Top 10 de 2007 : Les gros du progiciel avalent les gros du décisionnel

L'année a commencé sous les meilleurs auspices pour le décisionnel, avec l'annonce par NCR de l'indépendance prochaine de Teradata. De fait, la 'BI', pour Business intelligence, a le vent en poupe, comme le soulignera PAC (Pierre Audouin Consultants) dans le courant de l'année, grâce à deux facteurs. D'une part, certaines entreprises commencent à considérer qu'analyser leurs performances en temps quasi-réel leur donne un avantage compétitif. D'autre part, le durcissement des législations renforce le besoin de gouvernance et d'outillage adapté. Visiblement, les géants de l'informatique ont fait le même calcul. Microsoft occupe le terrain à coups de préannonces de sa solution Performance Point Server. HP crée en début d'année une division BI, 'Business Information Optimization', et annoncera par la suite vouloir acheter dans ce domaine des leaders. Problème : HP est loin d'être le seul à voir dans le décisionnel un créneau porteur. Car si les gros du décisionnel complètent leurs offres (Cognos rachète Celequest puis s'attaque à l'analyse financière avec Applix, Hyperion reprend Decisioneering, Business Objects s'offre Cartesis puis BO vise les données non structurées avec Inxight), les gros du progiciel décident rapidement d'entrer dans la danse en rachetant les gros du décisionnel. C'est Oracle qui ouvre le bal, avec le rachat d'Hyperion pour 3,3 Md$. Puis SAP se fait la main en reprenant Outlooksoft, spécialiste de la gestion des performances financières, avant de frapper un grand coup en rachetant Business Objects pour 4,8 Md$, une somme très inhabituelle pour le géant allemand du progiciel. Alors que Cognos se félicite d'être un des derniers indépendants sur ce marché, Teradata, devenu indépendant le 1er octobre, fait alliance avec SAS. Dans la mesure où les éditeurs de progiciels veulent intégrer la BI à leur offre, les éditeurs spécialisés se doivent d'offrir une gamme complète et si possible technologiquement plus avancée. Las, Cognos ne profite pas longtemps de son discours marketing : IBM met 5 Md$ sur la table pour s'emparer de l'éditeur canadien. Malgré tous ces rachats, il y a fort à parier que les gros du progiciel n'ont toujours pas fini de compléter leur offre. Oracle a montré qu'il avait de l'appétit, en proposant 6,7 Md$ pour racheter BEA. Une offre jugée inamicale et repoussée avec succès, mais qui a mis au grand jour l'interrogation principale du secteur : qui sera le prochain racheté ? (...)

(24/12/2007 10:09:20)

SAP met son offre CRM 2007 à l'heure du Web 2.0 et de la VoIP

Pour faciliter l'adoption de ses solutions, SAP s'est mis au diapason des usages popularisés sur Internet. SAP CRM 2007, la dernière version, tout juste livrée, de son application de gestion de la relation client (GRC) tire ainsi parti des technologies Web 2.0. « Les attentes des utilisateurs sont dictées par les expériences qu'ils vivent quotidiennement, admet Renaud Sibel, responsable du développement de l'offre CRM pour l'Europe. Dans un contexte professionnel, ils s'attendent donc à pouvoir personnaliser leur environnement de travail à la manière d'un Yahoo ou d'un iGoogle. » Des fonctions qui n'ont rien d'accessoires dans des projets de CRM qui requièrent une réelle adhésion des utilisateurs pour réussir. L'éditeur s'est appuyé sur Ajax pour développer l'interface de SAP CRM 2007. Il est devenu possible de réorganiser l'affichage, de déplacer ou de masquer des zones de saisie, de renommer des libellés, de recevoir des flux RSS ou d'afficher placer des widgets. Des fonctions de VoIP dans un processus complet L'autre évolution importante de cette nouvelle version réside dans l'ajout de fonctions de communication dans des processus métiers complets, avec l'arrivée de SAP Business Communications Management. Un recours à la voix sur IP qui sera notamment mis à profit dans le centre d'appels. Les agents qui traitent les appels entrants pourront, par exemple, faire intervenir directement un expert dans la conversation en lui transférant parallèlement la fiche client. Si l'expert n'est pas à son poste, il sera joint de la même façon sur son mobile et à la fin de l'appel, c'est lui qui clôturera le ticket d'incident avec un SMS. SAP CRM 2007 inclut une nouvelle application de gestion prévisions de vente qui propose de recourir à des scénarios de type « what if » (que se passera-t-il si ?) pour effectuer des mesures d'impact sur les objectifs. Dans la démarche de vente, une autre application, Real-Time Offer Management, permet de récupérer sur les clients des informations qui serviront à augmenter le volume des ventes par des recommandations ou des offres pertinentes (vente incitative, vente croisée...). La nouvelle version couvre aussi la gestion des pièces de rechange (approvisionnement, inventaire, visibilité par dépôts, réservation, retour). Des solutions verticales pour les télécoms, la high tech... SAP propose des déclinaisons verticales de SAP CRM 2007. L'une de ces solutions, adaptée aux besoins du secteur des télécommunications, servira par exemple à gérer les campagnes de marketing dans le cas d'offres packagées composées d'éléments vendus habituellement de façon séparée. Elle s'ajoute à la solution de prise de commande déjà disponible. D'autres versions verticalisées de l'offre (il en existe 19) ont été développées pour le secteur public, la finance, l'industrie de la high tech et celle des biens de consommation. Le mois dernier, Oracle, le principal concurrent de SAP sur cette offre CRM, profitait de sa conférence utilisateurs annuelle pour pré-annoncer trois solutions destinées aux équipes commerciales. Ces nouveautés, qui ne sont attendues que pour le premier semestre 2008, seront les premières pièces de Fusion Applications, la nouvelle génération d'applications d'Oracle, construite sur une architecture orientée services. (...)

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