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(26/07/2006 16:40:45)
HP rachète Mercury Interactive pour 4,5 Md$
Hewlett-Packard a annoncé son intention d'acheter Mercury Interactive, un spécialiste des outils de management du SI, des outils de performance applicative et des outils de gestion de la qualité logicielle, pour environ 4,5 Md$. L'objectif du rachat est de conforter l'offre logicielle Openview dans des secteurs jusqu'alors mal couverts par HP (tests et qualité des logiciels, tests de performance, gestion du cycle de vie des applications et outils SOA). Selon Thomas Hogan, le vice-président de la division logicielle d'HP, les lignes de produits des deux sociétés se complètent et il n'y a quasiment aucun recouvrement entre les catalogues. Avec le rachat, la division logicielle d'HP pèse désormais près de 2 Md$ de chiffre d'affaire par an et s'affiche comme un concurrent de plus en plus redoutable pour CA et IBM sur des domaines comme la supervision d'infrastructures, la gestion de la qualité de service, la gestion d'identités ou la gestion du cycle de vie des applications. C'est d'ailleurs sur ce dernier point que l'acquisition de Mercury apporte le plus à HP ainsi que sur la gestion des architectures SOA avec les outils de Systinet rachetés en janvier dernier par Mercury HP espère que l'acquisition de Mercury sera achevée avant la fin de l'année. (...)
(25/07/2006 17:31:19)Sage acquiert le français Elit Group
Sage va procéder à l'acquisition de 51% des parts du français Elit Group, spécialisé dans les progiciels à destination des industries du transport et de l'agroalimentaire. Le groupe britannique va débourser 7 € par action, soit une dépense totale évaluée à environ 15,8 M€ en numéraire. Sage devrait faire une offre aux actionnaires - sous la forme d'une offre publique d'achat simplifiée - pour mettre la main sur les titres restants. Les outils développés par Elit Group s'adressent aux entreprises de taille moyenne. Sur l'exercice clos le 30 juin, Elit a publié chiffre d'affaires de 26,8 M€ pour une perte de 0,73 M€ et compte 3000 clients ainsi que 250 salariés. "Cette opération nous permet de renforcer notre présence sur les marchés du transport, de la logistique et de l'agroalimentaire", note Pascal Houillon , le directeur général de Sage France. (...)
(20/07/2006 16:18:59)Semestriels Cegid : les revenus reculent mais la marge progresse
:Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 106,5 M€ (-1,7%) Marge brute : 84,5% Si Cegid, l'éditeur lyonnais d'applications métiers et de PGI, publie un chiffre d'affaires en recul au cours du premier semestre, il ne déçoit cependant pas les analystes et voit même le cours de son titre progresser de 2% à la faveur d'une rentabilité améliorée. Les revenus du groupe présidé par Jean-Michel Aulas sont en baisse de 1,7% sur un an, à 106,5 M€. Ils pâtissent d'un recul des ventes de matériels et des prestations annexes de 4,4 M€, en partie compensé par la bonne tenue de la division progiciels (+4%). "L'évolution de la composition de notre chiffre d'affaires était prévue et décidée. La part du matériel dans notre revenu est passée en quelques années de 45% à moins de 15%. Entre temps, on a assisté à une montée en puissance des progiciels, nettement plus générateurs de marge", explique le directeur général Patrick Bertrand au mondeinformatique.fr. Et d'ajouter que la part du matériel devrait continuer à décroître. De fait, l'affaiblissement de ce secteur d'activité devrait conduire Cegid à voir sa rentabilité progresser sur l'ensemble de l'exercice. Au premier semestre la marge brute a déjà affiché une amélioration par rapport à 2005 : elle s'élève à 84,5% du CA, contre 81,8% en moyenne sur l'exercice précédent. Par ailleurs, l'éditeur a ouvert une ligne de crédit de 200 M€ sur cinq ans auprès de huit banques, "afin de nous donner les moyens de mener une politique de croissance externe", précise Patrick Bertrand. Si le DG reste prudent sur la nature des partenariats qu'il entend nouer, il rappelle que Cegid "veut rester dans le radar du top 5 des éditeurs du middlemarket européen". Et rappelle le positionnement de son groupe : "entre les ERP pour les grandes entreprise et les petites solutions type Best-of-breed il n'y a pas rien. Il y a Cegid". (...)
(18/07/2006 16:19:43)Oracle va poursuivre sa politique d'acquisitions
Oracle n'en a pas terminé avec les acquisitions et va poursuivre sa dynamique de croissance externe dans les segments verticaux. C'est ce qu'a indiqué Mark Gibbs, le vice-président applications et industries pour la région Asie-Pacifique. Après avoir dépensé près de 20 Md$ en deux ans, en mettant notamment la main sur Peoplesoft et Siebel, Oracle ne compte pas cesser cette stratégie axée sur les opérations de croissance externe : "nous sommes loin d'en avoir terminé, explique Mark Gibbs, nous allons continuer cette stratégie d'acquisitions". Et de préciser que le groupe poursuivra ses investissements en ligne avec ses secteurs d'activité : institutions financières, distribution, fabrication, communication et médias, etc. "Nous n'allons pas constituer un monopole, rassure cependant Mark Gibbs. Je ne pense pas que nous assisterons un jour à une situation où ne subsisteront qu'une ou deux entreprises informatiques". Selon le vice-président, la seule et unique raison ayant poussé Oracle a procéder à autant d'acquisitions, est sa volonté de se renforcer dans davantage de marchés verticaux. C'était par exemple le cas avec les rachats de Retek, ProfitLogic ou de 360Commerce - tous focalisés dans la distribution. La stratégie semble porter ses fruits. Oracle a ainsi publié une croissance des ventes de licences de 80% pour l'année fiscale close le 31 mai. Et cela sans prendre en considération les revenus de Siebel et Retek. Le retour sur investissement semble tellement intéressant que Mark Gibbs envisage une progression comparable cette année. Hasard ou coïncidence : au même moment, SAP, le grand rival d'Oracle, semble à la peine. (...)
(18/07/2006 16:20:34)HP réinvente la roue RFID avec Memory Spot
HP a annoncé le 17 juillet le développement d'une nouvelle technologie d'étiquettes électroniques communicantes, baptisée Memory Spot. Mesurant 2mm par 4mm, une puce Memory Spot permet de stocker entre 512 Ko et 4 Mo de données de façon non volatile et peut transférer ces données sans fil à un débit de 10 Mbit/s lorsqu'elle est interrogée par un lecteur adéquat. Comme les puces RFID actuelles, les puces Memory Spot ne nécessitent aucune alimentation interne. Elles sont alimentées par induction magnétique lorsque le lecteur s'approche de la puce pour tenter de lire son contenu. Contrairement aux puces RFID, les puces Memory Spot affiche des performances élevées en lecture, mais elle ne sont lisibles qu'en approchant le lecteur à quelques millimètres de la puce contre plusieurs mètres pour une puce RFID UHF. HP présente la puce comme "révolutionnaire". En fait il semble qu'elle ne soit qu'une variante des puces RFID actuelles, plus rapide mais à plus courte portée. D'ailleurs, certaines des applications envisagées par HP ressemblent de très près à celles des étiquettes RFID (passeports électroniques, étiquettes anti-contrefaçon...). Notons qu'HP n'a pas précisé la nature des technologies radio utilisées pour la puce, pas plus qu'il n'a indiqué la nature des mémoires mises en oeuvres (Flash, MRAM...). (...)
(17/07/2006 17:07:14)SAP rate ses objectifs au deuxième trimestre
Après EMC, BO, AMD ou Lucent, c'est au tour d'un autre grand acteur du secteur IT d'annoncer qu'il n'atteindra pas ses objectifs. SAP, l'éditeur allemand de PGI, devrait en effet rater le consensus lors de la présentation des résultats de son deuxième trimestre. Le groupe indique qu'il table sur un chiffre d'affaires de 2,2 Md€, soit une progression annuelle de 9 %. Surtout, les ventes de licences - le meilleur baromètre pour estimer la santé de l'éditeur - devraient plafonner à 621 M€ et ne croître que de 8 % par rapport à la même période de l'année précédente. C'est là que le bât blesse : l'éditeur escomptait jusqu'alors une progression comprise dans une fourchette de 15 à 16 %. L'objectif est donc largement manqué. Le groupe explique cette contre-performance par une croissance faible de ses ventes en Europe et en Asie ainsi que par le report de la signature d'importants contrats sur le trimestre suivant. D'autres facteurs entrent également en jeu, et pourraient laisser croire que le ralentissement observé au T1 n'est pas q'un simple accident mais pourrait initier une tendance plus durable. En premier lieu la situation géopolitique mondiale, et ses conséquences sur l'économie, est instable. Elle pourrait inciter les entreprises à la plus grande prudence dans leur décision d'investir et les acteurs des TIC pourraient d'ores et déjà en faire les frais. En second lieu, et surtout, SAP souffre de la concurrence avec Oracle. Le PDG de l'éditeur allemand, Henning Kagermann, a ainsi indiqué que son groupe a cédé, au cours du trimestre, des parts de marché à Oracle. Certes peu - entre 1 et 2 % - mais suffisamment pour inquiéter les observateurs. En conséquence de ces éléments, et malgré une prévision de croissance inchangée pour l'ensemble de l'exercice, le cours de l'action SAP a dégringolé de près de 7%. (...)
(17/07/2006 12:43:10)Cegid signe un accord de distribution aux Etats-Unis
Cegid, l'éditeur lyonnais de logiciels de gestion, vient de signer un accord de partenariat avec l'entreprise américaine Point of Sale System Services (PSS), spécialisée dans la fourniture de solutions aux commerçants et détaillants de la mode et du commerce de détail. Cette opération permet au groupe présidé par Jean-Michel Aulas de renforcer sa présence aux Etats-Unis où sa filiale Cegid Corp. compterait environ 150 clients. PSS distribuera aux PME d'outre-atlantique Cegid Business Mode, la solution de Cegid destinée au secteur de la mode. Un domaine d'activité dans lequel le groupe français compte la majorité de ses clients américains. Selon le vice-président ventes et développement de PSS, cet accord "ne pourra être que bénéfique au développement [des] deux entités, en proposant une offre adaptée au métier du retail et de la mode positionnée parfaitement entre les grands ERP et les micro-solutions". (...)
(13/07/2006 16:28:34)La cote d'amour des IDE (bis)
Le cabinet Evans Data Corporation (EDC) vient de publier une nouvelle étude sur les environnements de développement intégrés (IDE), « Developers' Choice - IDE Scorecard ». Les résultats sont assez surprenants. IBM Rational Application Developer serait l'IDE le plus apprécié ; quant aux IDE Open Source NetBeans et Eclipse, ils seraient les plus mal aimés et arriveraient en queue. Durant le printemps 2006, les 1200 développeurs consultés ont jugé leurs IDE sur seize critères de fonctionnalités : qualité du compilateur/interpréteur, débogueur, éditeur, make/build, documentation, outils de modélisation, de conception Web, performance du compilateur, des applications résultantes, etc. Dans cette étude, onze IDE étaient en lice : Adobe/Macromedia Studio 8, Borland Delphi, Borland JBuilder, Eclipse, IBM Rational App Developer, IBM WebSphere Studio, Microsoft Visual Studio .NET, NetBeans, Oracle JDeveloper, Sun Java Studio, Sybase PowerBuilder. L'objectif de cette étude est de mesurer l'indice de satisfaction des développeurs sur chacune des fonctionnalités et au final sur l'ensemble de leurs IDE. Au préalable, l'étude montre les pourcentages d'utilisation des IDE. Visual Studio .NET de Microsoft continue de régner comme l'IDE le plus utilisé avec 31,7%. Derrière, on trouve Macromedia Studio 8 d'Adobe avec 11,8%. Avec Dreamweaver, Flash, FireWorks et d'autres outils, Studio 8 fournit une suite d'outils complète, bien implantée chez les concepteurs Web et dont les parts de marché ne cessent de croître. L'autre progression remarquable est celle de l'IDE Open Source Eclipse avec 11,2%. C'est maintenant l'IDE Java le plus populaire et il est en passe de devenir un des plus populaires pour les autres langages. Derrière, on trouve Borland Delphi (7,6%), Sun Java Studio (6,2%), NetBeans (4,6%), Borland JBuilder (4,5%), Oracle JDeveloper (4%), IBM WebSphere Studio (3,5%), IBM Rational Application Developer (2,5%) et Sybase PowerBuilder (1,9%). Les plus satisfaisants : IBM, puis Microsoft et Borland L'indice de satisfaction proprement dit a été calculé à partir des indices relevés pour chaque catégorie. Le résultat est un indice général combiné. IBM Rational Application Developer semble très apprécié de ses utilisateurs et arrive en tête avec 1386 points. Avec déjà les meilleurs scores dans les catégories modélisation, documentation, make/build et support, il reçoit par ailleurs de très bons scores dans quasiment toutes les autres catégories. Pas très loin avec 1310 points on trouve Visual Studio .Net en seconde position. Il possède le meilleur programme de relations développeurs et obtient lui aussi de bons scores dans quasiment toutes les catégories. Juste derrière on trouve Borland Delphi avec 1302 points. Assurément, les développeurs Delphi aime leur IDE. Les deux IDE Open Source NetBeans et Eclipse reçoivent les plus mauvais scores. Selon Evans Data, cela est dû à la nature ouverte et évolutive des logiciels Open Source. Ils seraient défavorisés par rapport aux logiciels commerciaux « qui sont soigneusement étudiés, conçus, architecturés et produits par des éditeurs qui se tiennent derrière leurs produits avec du support et du service » précise l'étude. « La force de la communauté derrière [les logiciels Open Source] cherche les faiblesses comme des opportunités et qui seront adressées de manière plus innovative et puissante », rajoute Evans Data, qui s'attend à de meilleurs scores pour NetBeans et Eclipse dans la prochaine version de l'étude. Que faut-il en retenir ? Comme toutes les études basées sur des sondages, il convient de la prendre avec précaution. Ainsi l'IDE le mieux noté, Rational Application Developer, ne représente que 2,5% de la population. Sur la population sondée (1200), cela représente 30 personnes. Bon, 30 développeurs dans le monde qui s'enthousiasment pour leur IDE, il n'y a peut-être pas de quoi en tirer de conclusion hâtive. Quant à Eclipse, faut-il chercher à tout prix des excuses improbables à son mauvais score, histoire de ménager la susceptibilité des partisans du logiciel libre ? Peut-être qu'Eclipse, bien qu'il soit de plus en plus utilisé, n'est pas encore vraiment satisfaisant. Si l'on se réfère à la même étude parue en mars de cette année, que nous rapportions dans cet article, on pourra remarquer la nette montée de Visual Studio .NET qui passe au deixième rang devant Delphi, résultat d'une politique d'évangélisation .Net qui commence à porter ses fruits. (...)
(13/07/2006 17:10:51)SAP support de cours pour les grandes écoles
Après les DSI, SAP jette son dévolu sur les profs. "On n'a rien à vendre" a pris soin de répéter l'éditeur, hier, soucieux de se dégager de son image commerciale à la Maison des Polytechniciens de Paris où il avait réuni des représentants d'écoles de commerce, d'écoles d'ingénieurs et d'universités. Le choix de ce lieu était évocateur de la logique estudiantine dans laquelle il entendait placer son intervention. Il est vrai qu'il cherchait à susciter l'intérêt de l'enseignement supérieur pour les attraits pédagogiques de son PGI et non pas à remplir son carnet de commandes dans l'immédiat. Mais il n'a pas caché toutefois les enjeux de cette réunion et des partenariats qu'il propose aux écoles pour asseoir sa position sur le marché. "Nous avons pour objectif de compter 150 000 clients en 2010 sur le plan mondial au lieu de 32 000 aujourd'hui. Cela passe aussi par le monde de l'éducation », explique Frédéric Massé, chef de secteur marché public chez SAP France. Nous souhaitons accroître le nombre de ressources formées sur nos produits (SAP estime à 600 le nombre de jeunes qui sortent chaque année de l'école avec une sensibilisation à ses outils, NDLR) pour améliorer la capacité de nos partenaires à déployer les solutions chez les clients. C'est un crève-coeur lorsque ceux-ci sont amenés à refuser des projets. L'autre enjeu majeur est de participer à l'éducation des futurs utilisateurs et décideurs de l'achat de systèmes PGI». Cinq écoles inscrites au programme Pour répondre à ces objectifs, l'éditeur propose aux écoles et aux universités d'intégrer son programme UAP (University Alliance Programme) qui leur permet de se connecter en permanence à son centre de compétences suisse, installé à l'Université des Sciences Appliquées de Valais. Pour 7000 euros par an - une somme destinée à faire vivre le centre- il leur donne accès, via un navigateur Internet ou SAP GUI (l'interface classique de SAP, installée en local et plus rapide) à tous les modules de son progiciel de gestion intégré préparamétrés (MySapERP), aux "meilleures pratiques" de dizaines de sociétés fictives ainsi qu'à SAP Netweaver (socle d'intégration du PGI) et BI Warehouse (informatique décisionnelle). Le but est que les enseignants utilisent ces outils comme supports pédagogiques à leurs enseignements, comme le fait par exemple l'ENI de Tarbes dans son cours de gestion de production. Avec elle, quatre écoles ont déjà franchi le cap UAP, l'Insa de Lyon, le Cesi de Paris, l'IUT de Tarbes et tout récemment, l'Insead. Pour ces établissements, l'intérêt d'un tel outil est d'ancrer leur cours dans la réalité de la gestion d'entreprise et de répondre à une demande des étudiants. Former sans faire de publicité L'enjeu pédagogique est aussi de réfléchir à un projet qui leur permet de se dégager du PGI pour n'en faire qu'un support et non pas de former les étudiants à la logique de gestion qu'il suggère, ni en faire sa promotion. « Il faut prendre garde à ne pas utiliser des TP tout faits proposés par SAP pour aller plus vite », note par exemple la représentante d'une grande école d'ingénieur. « Tant que l'on conserve la maîtrise de nos cours, que nous faisons intervenir des utilisateurs qui parlent de leurs bonnes et de leur mauvaises expériences avec le PGI et que nous expliquons que ses propositions ne reflètent que des choix de gestion liés à des contextes d'utilisation, on n'assure pas sa promotion », ajoute Bernard Grabot, professeur à l'ENI de Tarbes. Avec cette proposition, SAP va plus loin qu'avec ses modalités de partenariat habituelles. L'une d'elle consiste à louer aux écoles l'accès à ses serveurs sur une semaine (pour 500 euros), ce qui est limité pour établir un programme pédagogique. L'éditeur parie avec UAP sur un mode de collaboration non exclusif et non contraignant, basé sur la confiance avec les enseignants ( qui doivent être certifiés sous SAP) qui utiliseront ses systèmes, pour qu'ils s'approprient ses outils à leur rythme. Il entend ne rien imposer aux écoles, mais compte aussi sur l'émulation que créent à la fois la concurrence et la coopération entre elles pour favoriser l'adhésion à son programme. Il a aussi fourni aux participants les codes d'accès à ses solutions, ouverts jusqu'à mi-août, pour qu'ils puissent se faire rapidement une idée. (...)
(12/07/2006 18:05:52)Une solution serveur intégrée IBM pour JD Edwards
IBM lance une solution intégrée combinant serveur et logiciel pour héberger le PGI de JD Edwards, propriété d'Oracle. Baptisé IBM System i520 Solution Edition for Oracle's J.D. Edwards EnterpriseOne, le package s'adresse avant tout aux entreprises de moins de cent employés. L'ensemble s'appuie sur un serveur iSeries 520 (nouveau nom des AS/400) motorisé par les processeurs Power 5 de la marque, ainsi que sur l'OS maison I5. Big Blue précise qu'il supporte également Windows, Linux et AIX. Disponible dès le 11 août, la solution devrait être commercialisée au prix de 21 921 $. La tarification et la disponibilité pour l'Europe ne sont pas actuellement communiquées. L'offre est une bonne nouvelle pour Oracle dans sa tentative de conserver la confiance des clients des sociétés qu'il a rachetées. En avril dernier, l'éditeur avait ainsi confirmé son engagement auprès des 5 000 utilisateurs JD Edwards, en prolongeant après 2013 le support du PGI sur les serveurs IBM iSeries. Selon IBM, le marché des PME couvre 20% de son chiffre d'affaires annuel. (...)
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