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(15/04/2010 10:48:12)
UCPA ordonnance ses processus informatiques
L'UCPA, Union nationale des centres sportifs de plein air, accueille chaque année 220 000 stagiaires et génère un chiffre d'affaires annuel de 154 millions d'euros dans environ 80 activités sportives ou de loisir grâce à 4000 collaborateurs. En 2008, l'association créée en 1965 a souhaité industrialiser sa production informatique autour de trois axes : a réorganisation du département informatique, la signature d'une convention de service avec les différentes directions métiers et la mise en place d'un ordonnanceur de tâches.
L'implémentation d'un ordonnanceur visait à optimiser le fonctionnement et les performances du système d'information de l'UCPA, en réduisant notamment les interruptions de service et le temps de rétablissement en cas de coupure. Après une étude de marché des solutions disponibles fin 2008, deux solutions sont soumises à un test de « proof of concept ». Les critères étaient à la fois économiques (rapport qualité/prix) et techniques (notamment au niveau de la facilité d'implémentation et d'administration).
Optimisation et rationalisation
Début 2009, l'UCPA choisit la solution Dollar Universe d'Orsyp. Mais celle-ci ne répond que partiellement aux attentes de l'association. L'éditeur se charge alors de l'adaptation du produit aux désirs précis de l'association. En un mois, Dollar Universe est déployé et mis en production. Les applications métiers telles que EDEAL (CRM), SURF (vente séjours sportifs), ORHUS (gestion de paie), SAP (comptabilité /achat/finance), XRT (trésorerie), NOTILUS (note de frais), et MARIN (gestion des formations) sont ensuite progressivement intégrées à l'ordonnanceur entre février et décembre 2009, malgré des environnements techniques hétérogènes sous Unix, Windows ou Linux.
La DSI a fortement gagné en productivité, gagnant l'équivalent d'un temps plein.
Le coût global du projet n'a pas été communiqué. (...)
Cegid structure son mode SaaS pour les TPE et Associations
Cegid déploie d'emblée les grands moyens pour installer sa nouvelle division « TPE & Associations » : elle compte dès aujourd'hui 45 personnes et est placée sous la responsabilité de Valéry Tarondeau, membre du Comité de Direction du groupe.
La division commercialisera en mode SaaS les gammes « Yourcegid Entrepreneurs & TPE », à partir de 10 euros par mois, et « Yourcegid Associations », à un prix encore inférieur.
Dans ce but, Cegid va créer un réseau de distribution spécifique, qui devrait compter environ 200 revendeurs à la fin de l'année. « Le mode SaaS n'est pas une nouveauté pour nous, explique Valéry Tarondeau. Plus de 10 000 TPE utilisent d'ores et déjà nos services en ligne. La croissance de la demande et la maturité de l'offre nous incitaient à aller plus vite. »
Où est le prix du marché ?
« Il n'existe pas vraiment un prix du marché dans le monde du SaaS, mais nous estimons que le panier moyen sera de 15 euros par mois et nous voulons que la rémunération de nos partenaires soit au moins égale à celle qu'ils perçoivent pour la vente de licences, c'est-à-dire une marge de 25 à 40% », précise Valéry Tarondeau. Quant aux profils de partenaires recherchés, Cegid reste flou pour l'instant, précisant que des négociations sont en cours. La principale indication à ce sujet est que l'éditeur ne travaillera pas avec les grandes surfaces alimentaires ou avec les multispécialistes de type FNAC ou Boulanger, qui ont plutôt tendance à désinvestir dans le domaine des logiciels. Par contre, on peut s'attendre trouver dans ce nouveau réseau une enseigne telle que Metro, des boutiques de téléphonie mobile et des revendeurs de proximité.
De fait, la rédaction du contrat SaaS sera faite par les partenaires, via un portail en marque blanche mis à leur disposition, sur lequel il pourront intégrer leur logo.
Valery Tarondeau, directeur de la division TPE & Associations de Cegid (Crédit photo : Cegid)
(...)
Leo Apotheker retrouve du travail dans le cloud
L'annonce est en ligne sur le site de GT Nexus. Leo Apotheker, ancien dirigeant de SAP AG (qu'il a quitté depuis le mois de février 2010), rejoint le comité exécutif du fournisseur de plate-forme à la demande dédiée à la logistique. Il propose via un portail, une suite logicielle, un réseau pré-connecté de transporteurs et des services de gestion de données.
Pour Leo Apotheker « la prochaine vague des logiciels entreprises sera sur des réseaux de plates-formes comme celle de GT Nexus » et d'ajouter « ces nouveaux systèmes basés sur le cloud ont été conçus pour dépasser les frontières de la simple entreprise en s'interconnectant avec les spécialistes mondiaux du commerce, procurant ainsi une agilité aux sociétés. GT Nexus est à la pointe de cette révolution avec comme axe, le commerce mondial et la logistique ».
Du côté du fournisseur de solutions, on se réjouit de cette arrivée, avec l'expérience de l'ancien responsable de SAP AG.
Google convie 400 CIO pour promouvoir Docs 2.0
Le temps où Google admettait que ses Docs ne possédaient pas la sophistication ou les fonctionnalités de Microsoft Office, appartient au passé. Désormais la suite bureautique en ligne est construite pour pouvoir supporter des améliorations rapides et importantes explique Anil Sabharwal, chef de produit chez Google Enterprise. « Pour les Docs 2.0, nous avons créé une base technologique entièrement nouvelle qui nous permet d'être innovant plus rapidement. »
Pendant longtemps, Google a surtout vanté les capacités collaboratives que son modèle SaaS (Software-as-a-Service) apporte à Docs. Mais la suite bureautique manque de fonctionnalités, empêchant les entreprises de l'utiliser comme une alternative possible à Microsoft Office. En particulier, les utilisateurs se sont plaints des difficultés de mise en forme des documents dans le traitement de texte, les forçant à exporter des fichiers Docs vers MS Office pour résoudre des problèmes de pagination et de réglage de marges. Jusqu'à présent, seule la composante Gmail de Apps a réussi à s'imposer comme une alternative viable aux plateformes de messagerie MS Exchange ou IBM Lotus Notes. Pour ne pas rester un simple outil de complément sur le web, Google entend maintenant pousser Docs pour vraiment concurrencer MS Office.[[page]]Ainsi, Google a annoncé des améliorations des fonctions de mise en forme dans son application de traitement de texte Docs, y compris une meilleure «fiabilité» lors de l'importation et de l'exportation de documents vers et depuis Microsoft Office. L'amélioration des réglages de marges et des taquets de tabulation, un meilleur traitement d'image et une amélioration de la gestion des commentaires dans le document sont également annoncés. L'éditeur de traitement de texte gèrera aussi ce que Google appelle l'édition collaborative en temps réel, ce qui signifie qu'un groupe d'utilisateurs pourra suivre « caractère par caractère » les changements effectués par l'un d'eux sur un document partagé. D'autant que, autre nouveauté, une fenêtre de discussion permet aux collaborateurs de communiquer en direct via la messagerie instantanée.
Le tableur disposera d'une barre de formule pour éditer les cellules, de même que des fonctionnalités de remplissage automatique et de glisser-déposer. L'outil de dessin permettra aussi aux utilisateurs de travailler ensemble en temps réel. Enfin, les documents de ces versions revisitées du traitement de texte, du tableur et de l'outil de dessin seront modifiables simultanément par 50 collaborateurs au plus, et, d'une manière générale, Docs sera aussi, grâce à sa nouvelle infrastructure, plus rapide. A noter cependant, même si ce ne sera que temporaire, que Google prévoit de désactiver la technologie Gears en mode hors connexion de Docs à partir du 3 mai, pour la rétablir dès que celle-ci pourra fonctionner en HTML 5. Les outils Gmail et Calendar continueront eux à utiliser Google Gears.
Déplacer l'usage de la bureautique vers le cloud
Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, qualifie les améliorations apportées à Docs de nécessaires et progressives, sans les juger exceptionnelles. « Ce sont des fonctionnalités que tout le monde attend de ce genre de produits. Elles ne rendent pas les Docs plus utiles que Microsoft Office au point de s'y substituer, » dit-elle. « Néanmoins, ces mises à jour font de Docs une alternative plus crédible à MS Office, et peuvent favoriser Google dans sa campagne de promotion de ses applications en environnement Cloud dans l'entreprise, » ajoute t-elle. « Avec son modèle, l'objectif de Google est d'amener les gens à déplacer leur usage des applications bureautiques vers le cloud. Et plus ses outils seront attractifs, plus Google aura d'arguments pour convaincre les entreprises et les institutions, » poursuit Rebecca Wettemann. Google espère en effet que ses Apps, déjà principalement adoptées par les petites entreprises, gagneront en popularité auprès des grandes organisations. Notamment son édition Premier, dont la licence a été fixée à 50 dollars US par utilisateur et par an, qui, en matière de mode de gestion, de sécurité et de caractéristiques, apporte aux départements informatiques des entreprises ce dont ils ont besoin.
[[page]]Google soutient que ses Apps, développées depuis l'origine sur une architecture informatique Cloud, sont la meilleure alternative - la moins onéreuse aussi - aux plateformes collaboratives et bureautiques traditionnelles de Microsoft, IBM et Novell, d'abord conçues pour être installées chez sur les serveurs des clients. Mais ces fournisseurs réaménagent également leurs logiciels pour tirer parti du modèle Cloud. « Il est important et significatif de voir Google continuer à améliorer ses Docs, a déclaré Ted Schadler, analyste chez Forrester Research. « Google continue d'investir dans ce produit et n'a pas l'intention de le laisser en l'état. Le modèle Cloud lui permettra d'innover plus rapidement, » a-t-il dit. « Ces améliorations régulières vont se poursuivre et accompagner la volonté de faire entrer Docs et Apps dans l'environnement d'entreprise, même si Docs n'est pas encore au même niveau de fonctionnalités que Microsoft Office, » a t-il ajouté.
Les CIO ne cherchent pas forcément à lâcher Office
« Je ne vois pas cela comme une stratégie de remplacement, mais plus comme une stratégie d'augmentation, » précise encore Ted Schadler. « Les CIO et les responsables informatiques ne désirent pas forcément se débarrasser de Microsoft Office. Ils recherchent des solutions aux problèmes de leurs salariés/utilisateurs qui ne sont pas suffisamment bien résolues par Office. L'un d'entre eux, et il est de taille, concerne les fonctionnalités collaboratives au sein de l'entreprise. » En tant que tel, Docs procure aux entreprises une suite bureautique qui facilite la collaboration entre les salariés. « Ils remplacent les échanges par emails et le va-et-vient de multiples fichiers qui restent stockés sur leur PC. Docs offre donc une meilleure solution. »
« Le déménagement des données de leurs serveurs vers les machines de fournisseurs de services Cloud comme Google reste la grande préoccupation des entreprises », avance Rebecca Wettemann. La firme de Mountain View devra probablement répondre à cette question épineuse, lors de sa conférence Atmosphere cloud computing, à laquelle elle a convié près de 400 CIO. Au-delà de l'annonce des améliorations apportées à Docs, Google a prévu de mettre en avant quelques hauts responsables pour répondre à ses invités, y compris Bradley Horowitz, vice-président Gestion produits chez Google, Mario Queiroz, VP Gestion produits Android, Marissa Mayer, VP, chargée de la recherche Produits et Expérience utilisateurs, et Dave Girouard, président de Google Enterprise. Prendront également la parole, Alan Eustace, VP de l'ingénierie et de la recherche, Jeff Huber, VP senior de l'ingénierie et Vint Cerf, promoteur attitré de l'Internet chez Google. Enfin, ce panel sera complété par Marc Benioff, président-directeur général de Salesforce.com et de Vogels Werner, CTO d'Amazon.com.
(...)(13/04/2010 12:20:20)
Entre Salesforce.com et VMware se profile VMForce
Sous le nom de VMForce, Salesforce et VMware s'apprêtent à dévoiler un partenariat dont on ne sait pour l'instant pas grand-chose. Comme il l'a déjà fait plusieurs fois, notamment pour ses collaborations avec Google, Marc Benioff, le PDG de Salesforce, cherche à éveiller la curiosité. En se rendant sur le site vmforce.com, on découvre le dirigeant en conversation avec Paul Maritz, le PDG de VMware, et l'on apprend simplement qu'une présentation commune y sera faite mardi prochain : « VMForce is coming. See it here live on April 27 ». L'annonce aura lieu à 10 h 30 du matin, PDT (Pacific Daylight time), soit à 19 h 30, à Paris.
On peut raisonnablement penser qu'il s'agira en partie d'une offre de services de virtualisation en ligne, mais il pourrait y avoir d'autres prolongements. VMware a récemment fait un pas vers le développement, avec l'acquisition de SpringSource, éditeur d'outils Java, et vers les applications, en rachetant à Yahoo, au début de l'année, la messagerie collaborative en ligne Zimbra.
De son côté, Salesforce.com a depuis longtemps élargi son champ d'action au-delà des applications de gestion de la relation client (CRM) avec l'ouverture de sa plateforme de développement en ligne Force.com et de sa place de marché de logiciels AppExchange. Plus récemment, il a complété son offre de solutions de comptabilité avec FinancialForce.com qui résulte d'un partenariat avec l'éditeur Coda (racheté en 2008 par le Néerlandais Unit 4 Agresso).
Illustration : site VMForce
Un grain de Kronos pour optimiser la gestion RH chez Starbucks Coffee France
Après appel d'offres et test approfondi de trois solutions, Starbucks Coffee a choisi la solution de Kronos. Celle-ci est interfacée avec SAP pour y injecter les données automatiquement et récupérer les informations nécessaires aux managers. Désormais, les salariés pointent leurs entrées, sorties et pauses via les caisses enregistreuses directement interfacée avec Kronos. Les managers accèdent ensuite au système pour corriger les erreurs et oublis ainsi que les données complémentaires et peuvent également consulter les informations dont ils ont besoin, y compris en terme de reporting, par exemple sur la consommation des heures supplémentaires de nuit. (...)
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