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Recrutement

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(03/04/2006 17:52:36)
Recrutement : des campagnes pour favoriser la formation et l'insertion d'ingénieurs handicapés
La conférence des grandes écoles (une association qui réunit 160 écoles d'ingénieurs et 30 écoles de gestion) lance en partenariat avec IBM , France Télécom et Alcatel entre autres, une opération destinée à accroître le nombre de personnes handicapées dans l'enseignement supérieur (après le baccalauréat). Leur projet, tout juste lancé, est d'aboutir à deux campagnes de communication pour interpeller les écoles, les sociétés et les handicapés eux-mêmes sur ce sujet. L'objectif est notamment de casser le phénomène d'autocensure qui se manifeste au sein de cette population vis à vis des études longues et de favoriser leur embauche au sein des entreprises. La première campagne serait menée par les grandes entreprises afin de faire savoir qu'elles recrutent des personnes handicapées ayant un niveau Bac +5. Comment en effet inciter les jeunes à faire de longues études sans leur montrer qu'ils peuvent trouver un emploi ? La deuxième serait portée par les grandes écoles à l'attention du monde enseignant pour répondre à un double enjeu faciliter l'accueil de cette population et préparer les employeurs de demain à faire de même en intégrant les handicapés aux promotions qui les forment. Pour faire aboutir ce projet, la CGE compte proposer une charte d'engagement aux grandes écoles. Ce document devrait être signé lors de son Assemblée Générale qui a lieu le 13 juin prochain, de telle sorte que les écoles puissent prendre des mesures dès la rentrée 2006. « Je pense que les directions d'écoles se doivent d'être exemplaires dans leurs façons d'appréhender les étudiants handicapés étant donné la responsabilité qu'elles ont pour peser sur leur emploi futur», commente Christian Margaria, président de la CGE et directeur général de l'INT (Institut national des Telecoms) « Elles doivent comprendre qu'il y a des situations multiples de handicaps et que l'on peut accueillir des personnes qui en présentent sans avoir à faire de grands travaux. Il leur faut aussi mener une réflexion transversale sur les enseignements et comment chaque module peut être proposé à des handicapés». Il reste à suivre quelles seront les actions concrètes qui verront le jour, suite à cet éveil constructif, mais tardif. Rappelons que la loi impose aux entreprises d'employer 6% de personnes handicapées déjà depuis près de 20 ans (loi du 10 juillet 1987). L'Etat a toutefois récemment réformé ce texte (loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances) pour rendre cette obligation plus contraignante, ce qui n'est pas sans lien avec les récentes initiatives du secteur en faveur des handicapés. (...)
(30/03/2006 18:02:37)Recrutement : le Syntec veut favoriser l'embauche dans les quartiers sensibles
La fédération Syntec sera associée à la prochaine opération de recrutement francilienne « Nos quartiers ont des talents » qui aura lieu en septembre prochain. Elle crée parallèlement un club d'entreprises autour de cette initiative, dans lequel elle appelle les sociétés du conseil, de l'ingénierie et de l'informatique à se mobiliser. La fédération projette en effet de créer une manifestation de recrutement similaire dans les zones urbaines sensibles avec un maximum de représentants parmi ses adhérents. Elle aimerait aussi s'associer à d'autres opérations similaires qui auront lieu d'ici là. Les entreprises pour l'instant impliquées dans ce projet sont Cap Gemini, Accenture et IDRH. La première édition de l'expérience « Nos quartiers ont des talents » a été menée le 17 novembre en Seine-Saint-Denis afin de mettre en contact des recruteurs et des diplômés du département. Elle visait à favoriser l'entrée des jeunes diplômés des quartiers sensibles dans la boucle du recrutement et faciliter l'accès à la diversité des candidats pour les entreprises. Cinq mois plus tard, son bilan est très positif. Un quart des 200 jeunes présents (des étudiants de niveaux Bac +4 et 5) ont trouvé un emploi dont 60% en CDI, 57 passent des entretiens et 5 sont en phase finale dans le processus de recrutement. L'informatique était peu représenté, en raison du manque d'offreurs d'emploi, à l'exception de la société Neocles, présidé par Yazid Chir, l'un des initiateurs du projet avec le Medef. « A défaut de recruteurs dans ce secteur nous avons privilégié des demandes d'emploi pour d'autres domaines d'activité car nous devions en sélectionner 200 sur 500 CV », explique Elodie Castillo, responsable de la communication du Medef Nord francilien. « Cela devrait changer avec la participation du Syntec, ce qui est un grand soutien car nous avons beaucoup de demandes de jeunes pour le secteur informatique, notamment dans les métiers de la programmation ». (...)
(24/03/2006 17:42:55)Recrutement : des postes à l'Inria et Place Beauveau
« Atelier logiciel pour humain virtuel », « création d'interfaces graphiques médicales », « développement de simulateur biomécanique ».... Pour ceux qui souhaitent rejoindre les rangs de la recherche, l'Inria (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique) publie à ce jour 35 offres d'emploi pour des jeunes diplômés ayant des compétences dans le domaine du logiciel. Ces offres concernent des emplois à durée déterminée dans des équipes de recherche ou de support à la recherche. Elles sont proposées dans le cadre de la campagne de recrutement de l'institut qui vise à accueillir 600 jeunes informaticiens (nombre exact non communiqué) et scientifiques d'autres disciplines en 2006. 235 postes sont à pourvoir en CDD. Le reste concerne des formations à la recherche. 300 recrutements sont prévus pour la réalisation de thèses (doctorats) et 130 pour des travaux de recherche post-doctoraux.
des postes pour des informaticiens handicapés
Dans un tout autre univers, le ministère de l'intérieur recrute de son côté des contrôleurs des systèmes d'information et de communication. Il ouvre aux concours externes (par opposition aux concours internes à la fonction publique) 8 postes d'informaticiens et 4 de techniciens en électronique. Il propose aussi deux postes d'informaticiens pour des travailleurs handicapés. (...)
Recrutement : une cinquantaine de postes chez Total à découvrir le 15 mars par chat
Une cinquantaine de poste dans le domaine informatique sont à pourvoir au sein de l'entreprise Total. Le groupe pétrolier et gazier cherche des profils d'origines diverses pour y répondre, plutôt des jeunes diplômés et des profils ayant un an d'expérience, des ingénieurs, des techniciens et des personnes ayant une première expérience dans la maîtrise d'ouvrage d'un projet. La politique de gestion de carrières de Total est telle que les futurs recrues pourront avoir l'opportunité, par la suite, d'évoluer vers des fonctions métiers si elles le souhaitent, les achats, la finance, etc. Pour en savoir plus sur les besoins de compétences du groupe, les personnes intéressées peuvent interroger, le Mercredi 15 mars à 17h, la directrice Recrutement et Carrières de Total, Odile de Damas-Nottin, qui sera en chat sur le site www.enlignepourlemploi.com. Cette initiative vise à dialoguer avec les internautes sur les métiers et le recrutement du groupe. (...)
(14/03/2006 00:00:00)Recrutement : Fixer une rémunération par enchères inversées en ligne est déclaré hors la loi.
Tout contrat de travail stipulant un salaire fixé à l'issue d'une procédure d'enchères électroniques inversées sera nul. Voilà ce que dit désormais la loi concernant cette pratique. Le texte de loi qui y fait référence a été adopté par le parlement le 8 mars dernier, dans le cadre de la loi sur l'égalité des chances. Il condamne une pratique dénoncée comme étant de nature à « déshumaniser la proposition d'embauche » par la députée UMP de l'Essonne Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait déposé un amendement le 30 janvier dernier pour l'enrayer. Ce texte avait été adopté par l'Assemblée Nationale suivant la procédure de l'article 49-3, puis examiné au Sénat. La parlement a finalement tranché en interdisant les procédures d'enchères électroniques « pour la fixation du salaire ». Toutefois, il faudra une grande vigilance si l'on souhaite s'assurer qu'elles ne se poursuivent pas. Toutefois, il faudra une grande vigilance si l'on souhaite s'assurer qu'elles ne se poursuivent pas. Comment éviter qu'une pression à la baisse des rémunérations ne soit exercée par des propositions tarifaires qui se succèdent en ligne pour un poste donné ? En France, le site web concerné, jobdealer.net, reconnaît la condamnation du principe d'enchères inversées. Il ajoute qu'il pourrait être amené à cacher les tarifs proposés par les candidats, si la pression s'accentue autour de cette question, afin que ceux-ci ne puissent enchérir en ligne. Il rétorque toutefois que cette pratique existe déjà et que le marché cherche à se voiler la face sur ce sujet. Il cite l'exemple des appels d'offre qui permettent aux entreprises de choisir les sociétés de services qui proposent les prestations au prix le plus bas. Il rappelle aussi qu'il permet à un employeur de choisir parmi plusieurs offres de compétences, sans que ni l'enchère, ni le fait d'indiquer une proposition salariale pour le candidat, ne soient obligatoires (...)
(10/03/2006 00:00:00)Recrutement : « Les collectivités déploient des technologies novatrices »
Entretien avec Laurent Claeys, DSI de la ville de Dunkerque, qui participe au salon de l'emploi public qui s'est tenu du 9 au 11 mars à Paris. Laurent Claeys est à la tête d'une direction des systèmes d'information de 21 personnes et d'un parc de 1200 PC ( 1000 à la mairie et 200 dans les pôles informatiques liés aux écoles). Dématérialisation, logiciels libres, SIG, il fait le point sur ses projets et sur les besoins de compétences informatiques des collectivités, à la fois techniques, relationnelles et administratives. Lemondeinformatique.fr : Comment est organisée la direction des systèmes d'information ? Laurent Claeys : elle est structurée en quatre équipes. La première est centrée sur le déploiement des applications NTIC. Elle comprend des chefs de projets ayant des spécialités à la fois métier et applicatives. La deuxième équipe est en charge du support technique matériel et logiciel via un centre d'appels interne et des interventions des techniciens support. La troisième traite l'administratif, assure le suivi comptable, budgétaire et le traitement des appels d'offre. La dernière est dédiée à architecture des systèmes, l'administration et à l'exploitation des serveurs et des réseaux. Quels sont les grands chantiers informatiques de la ville ? L'un de nos chantiers concerne la dématérialisation. Il poursuit deux objectifs, faciliter les démarches des administrés et accroître l'efficacité de nos services. Il concerne par exemple les documents d'état civil et ceux que nous adressons à la trésorerie générale et à la préfecture. C'est un axe prioritaire comme pour toutes les collectivités. Nous avons parallèlement en projet la mise en place avec la communauté urbaine de Dunkerque, d'un Système d'information Géographique (SIG), entre autres pour la gestion du patrimoine, qui fédérera les informations contenues aujourd'hui dans un patchwork d'applications métier. C'est un vaste projet. A la mairie, nous avons par ailleurs quatre migrations en cours : les mises à jour de nos logiciels financier (GFI), de paie et ressources humaines (Sedit Marianne) et de gestion des bibliothèques (Ever) et le changement de notre applicatif de gestion de la restauration scolaire, de l'éducation et des sports. Nous avons également une volonté de privilégier les logiciels libres aux solutions propriétaires lorsque nous trouvons des applications stables et pérennes, pour les intégrer à notre système d'information. A Dunkerque, nous souhaitons d'ailleurs travailler avec l'association Adullact, qui propose de faire l'intermédiaire entre nous et les communautés du logiciel libre. Quelles compétences techniques sont nécessaires pour participer à ces projets ? Il y a plusieurs types de profils : des personnes ayant eu une expérience - qui a pu être acquise en stage- dans l'échange de données informatiques, dématérialisées et les portails web, ou des informaticiens avec des connaissances sur les architectures ouvertes (trois tiers), la mise en place de solutions intégrées, d'applications web sécurisées et/ou d'applications métiers liées aux collectivités sur ces architectures. Cela peut être par exemple des informaticiens qui ont participé à un projet d'interconnexion de bibliothèques, d'échanges de catalogues électroniques, etc. Globalement, nous avons des besoins de compétences métiers et en architecture systèmes plutôt qu'en développement. Notre rôle est de déployer et d'intégrer des solutions développées à l'extérieur, non pas d'en concevoir. Qu'attendez-vous comme compétences complémentaires chez vos futurs collaborateurs, notamment ceux qui vont intervenir sur les projets transverses? Nous attendons qu'ils puissent être à l'écoute des utilisateurs, comprendre et répondre à leurs attentes. La DSI et les agents doivent en effet travailler ensemble sur les solutions adaptées au projet et donner du sens à la façon de déployer le système. Les informaticiens ont pour rôle de proposer des solutions en fonction de contraintes et d'opportunités technologiques mais aussi métiers. Pour faciliter les échanges sur les projets, nous avons d'ailleurs identifié 50 « domaines métier » au sein de la mairie afin que les représentants de la DSI puissent avoir un référent aux côtés des directions métier et vice-versa sur les projets. Nous avons aussi besoin de compétences administratives pour traiter les appels d'offre. J'ai eu l'occasion de discuter avec des homologues sur ce sujet et nous avons tous le même difficulté à absorber le volume d'appels d'offre à réaliser. Cela conduit parfois à retarder le démarrage de projet. A Dunkerque, nous avons par exemple quelque 120 dossiers de renouvellements de logiciel à traiter par an et autant d'appels d'offre. Pour nous aider à les prendre en charge, nous avons besoin de personnes ayant des compétences sur les procédures des marchés publics avec un vernis informatique. Comment convaincre les jeunes informaticiens de rejoindre les collectivités locales ? Nous travaillons dans des domaines novateurs. Les systèmes d'information géographique et la géomatique vont être très présents dans les projets des collectivités. Beaucoup d'informations liées à leurs métiers et à ceux des communautés de communes peuvent en effet être traitées via des SIG, celles liées au cadastre, à la gestion de patrimoine, issues de la police municipale, de la voirie, etc. De la même façon, jusqu'à présent, les systèmes d'informations des différentes directions dans les collectivités n'étaient pas forcément intégrées. Aujourd'hui, nous allons réaliser cette intégration grâce aux architectures trois tiers web et la réunion des applications à travers des portails web. C'est un terrain encore relativement vierge dans les collectivités et une vraie opportunité de déployer des compétences sur des technologies attractives. (...)
(09/03/2006 00:00:00)Recrutement : le CNRS propose 39 postes pour des informaticiens dans toute la France
Les ingénieurs et les techniciens qui sont attirés par le monde de la recherche ont une opportunité pour rejoindre les laboratoires ou d'autres unités du CNRS (Centre national de recherche scientifique). L'organisme public de recherche fondamentale ouvre ses concours externes en 2006 pour recruter 39 informaticiens, dans toute la France - des postes sont à pourvoir à Villeurbanne, Paris, Nancy, Grenoble, Montpellier, Bordeaux, etc. Il cherche entre autres, 16 personnes dans le domaine du développement d'applications, dont onze ingénieurs expert, une dizaine de gestionnaires de parc informatique et télécommunications, des ingénieurs et des administrateurs en réseaux, ressources informatiques et systèmes d'information, des administrateurs en systèmes, réseaux et télécommunications. Les candidats qui souhaitent s'inscrire aux concours doivent le faire avant le 5 avril. Ils peuvent consulter la procédure à suivre et les offres d'emploi sur le site web du CNRS. (...)
(09/03/2006 00:00:00)Recrutement : en région Sud-Est, le dégel se confirme sans chasser les frilosités
Pertinent et utile. Le rendez-vous donné par les jeudis.com ce 2 mars, à Sophia Antipolis, a tenu ses engagements. Tant pour la douzaine d'employeurs présents que pour les 486 candidats venus les rencontrer, qu'ils soient demandeurs d'emploi (47%) ou en poste (53%). Utile, car la confirmation de la reprise, pour les leaders du service informatique, amène leurs implantations régionales à anticiper pour garder leurs positions. Avec les enseignes Atos Origin, Coframi, SII, Sogeti, Steria, ou Thales Services représentées sur la région méditerranéenne par des agences comptant de 250 à 450 salariés, c'est au total plus d'un millier de postes ouverts au recrutement pour le sud-est. Avec, sans surprise, une priorité mise sur les profils confirmés. "Dans ce monde d'appels d'offre, où le client cherche avant tout à minimiser les risques, les prestataires visent, par les équipes alignées, à répondre pile-poil à l'attente du cahier des charges", note Arnaud Roulin, consultant à l'ANPE d'Antibes. Dans ce contexte de chasse aux compétences, l'afflux de CV recueillis en nombre via Internet (sites maison et sites emploi dédiés) n'obère pas l'intérêt du contact direct sur un stand. D'autant que les structures plus modestes ne sont pas en reste. Pour Richard Kotliar, directeur général d'Axylog (70 ingénieurs) à Sophia Antipolis, avec le renfort en informaticiens attendu notamment par les industriels de la micro-électronique, la trentaine de recrues prévues pour 2006 pourrait devenir une quarantaine: "si on les trouve", glisse ce dirigeant. De même pour David Blot, responsable de l'agence d'Aix en Provence (80 salariés) d'ESR (1200 personnes, 35% en régions), les chantiers dores et déjà ouverts (en sécurité informatique ou en administration de clusters haute disponibilité) justifient la trentaine d'embauches planifiées. Quant à m-Planet (35 personnes dont la moitié en Tunisie), fort de son positionnement en génie logiciel industrialisé (plateforme de test adoptée par les grands industriels, pour les développements d'applications critiques), c'est quasiment un doublement des effectifs qui est envisagé. Un appel à compétences généralisé, donc, qui trouve écho auprès des "30-40 ans" avec plus de cinq ans d'expérience (45% des visiteurs à ce salon de l'emploi). Surtout s'ils sont -comme David (31 ans, bac+5, huit ans d'expérience) ou Thierry (cinq ans à un poste de développeur, après une maîtrise de maths appliquées)- en prospection active, car en intercontrat prolongé. Certes, le turnover repart à la hausse. Mais, "comme à Paris, timidement", observe Pascale Barbier, directrice associée des jeudis.com. Il n'empêche que dans les piles de CV recueillis dans la journée sur tous les stands, se lit bien la température du marché (difficultés d'insertion des jeunes, notamment), mais aussi ses singularités. Pour les représentants de Steria Méditerranée (400 personnes, entre le "data center" franco-britannique de Sophia-Antipolis et les équipes d'intégration de systèmes opérant depuis Aix-en-Provence), au vu du flux de spécialistes réseaux disponibles, "des compétences génériques, de plus, car non liées à des operating systems", remarque Philippe Martin, pas de pénurie à craindre sur ce plan. Le prochain rendez-vous des jeudis.com, à Lille, le 30 mars, le confirmera-t-il? (...)
(08/03/2006 00:00:00)Recrutement : Normaction embauche et prévoit de créer une école interne
La société parisienne Normaction, spécialisée dans la gestion des communications téléphoniques et dans la sécurité informatique pour les PME, propose une vingtaine de postes de commerciaux et de techniciens spécialisés en téléphonie pour ses bureaux parisiens, normand (Evreux) et belges (Bruxelles). Elle prévoit parallèlement de créer un centre de formation interne dans ses locaux bruxellois cette année pour aider à la création d'une culture commune à l'ensemble de ses collaborateurs. Cette société, créée en 1997 connaît en effet une croissance de plus de 100% par an depuis deux ans. Elle a vu ses effectifs passer de 33 à 157 personnes entre décembre 2004 et décembre 2005 et prévoit d'employer 187 personnes d'ici la fin de l'année 2006. Cette progression est notamment le fruit d'opérations de croissance externe (à hauteur de 30% environ) qui ont amené des populations issues d'univers professionnels différents, certaines venant de la téléphonie et des réseaux, d'autres de l'informatique. Le centre de formation interne visera donc à réunir, échanger des compétences et créer des méthodes communes à tout le monde en vue de s'imposer sur le secteur de la convergence entre la téléphonie et l'informatique. (...)
(08/03/2006 00:00:00)Recrutement: 50 places pour des futurs consultants ERP chez les intégrateurs d'Oracle
Le fournisseur américain Oracle organise une journée de recrutement le 30 mars, dans ses locaux avec quatre de ses partenaires intégrateurs, le sociétés BearingPoint, Capgemini, Kurt Salmon&Associates et Steria. L'objectif est de sélectionner 50 candidats qui rejoindront les effectifs de ces sociétés. Avant cela, ces jeunes recrues intègreront l'Executive University Oracle, un programme qui vise à former des consultants ERP métier, pour intégrer des projets de déploiement de ses solutions de gestion financière et de ressources humaines. Les recruteurs ciblent en particulier des professionnels de la gestion de ressources humaines, du contrôle de gestion, de la comptabilité et de la gestion financière ayant 3 à 7 ans d'expérience. Les candidats qui sont intéressés doivent s'inscrire en ligne sur le site d' Oracle avant le 12 mars. Ils seront ensuite présélectionnés par téléphone et invités à passer au moins un entretien sur le forum, avec le partenaire Oracle de leur choix. Les rencontres se dérouleront dans les locaux parisiens du fournisseur américain entre 9h et 21 heures. Les candidats sélectionnés seront par la suite embauchés par l'un des quatre intégrateurs présents. Leurs contrats de travail prendra effet le 3 juillet, le jour de l'ouverture de l'Université qui leur proposera des cursus d'une durée d'un mois environ. Ils démarreront sur des projets d'intégration de PGI dès le mois de septembre. Cette initiative qui marie recrutement et formation vise à pourvoir des besoins de consultants fonctionnels chez les intégrateurs Oracle. Elle relève d'une tendance croissante chez les fournisseurs du secteur, qui consiste à s'impliquer dans le recrutement et le développement de compétences sur leurs logiciels pour accélérer le déploiement de ces derniers sur le marché. Le service emploi/formation de Microsoft, MS Emploi , lancé en novembre dernier, est comparable à l'initiative d'Oracle en ce sens. Son objectif est d'aider le réseau des revendeurs de Microsoft à recruter des ressources humaines qualifiées sur ses technologies. (...)
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