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(13/02/2007 17:04:31)

Droit d'auteur : la condamnation de Google confirmée par la justice belge

La justice belge vient de donner, une nouvelle fois, raison aux éditeurs de presse du Plat Pays dans le cadre de l'affaire les opposant au gargantuesque moteur. Réunis au sein de la société Copiepresse, les journaux belges reprochaient au moteur de recherche la mise en ligne d'extraits d'articles sans autorisation dans Google News. De fait, prétendaient les plaignants, le groupe californien contreviendrait aux droits d'auteurs. En septembre 2006, les juges du fond avaient donné raison à Copiepresse et condamné Google à retirer de ses pages belges les articles des membres de la société de gestion des droits d'auteurs. L'astreinte, en cas de manquement à cette obligation, s'élevait à 1 M€ par jour de retard. Absent le jour du procès, Google avait obtenu qu'une nouvelle audience soit tenue, en novembre 2006. L'occasion pour le moteur de s'offusquer contre le montant des astreintes et de clamer son droit à la publication d'extraits d'articles, arguant notamment qu'il participait à l'enrichissement de l'audience des sites d'où étaient tirés les-dits articles. L'ordonnance rendue ce 13 février réaffirme que « Google ne peut se prévaloir d'aucune exception prévue par la loi relative au droit d'auteur et aux droits voisins ». Mais, si le moteur doit retirer de son site d'actualités - et du cache - les articles incriminés, le montant de l'astreinte a été revu à la baisse. Le groupe californien ne devrait plus payer 1 M€ par jour de retard, mais seulement 25 000 €. Ce qui apparaît comme un coup sur la tête du géant Google pourrait également avoir des conséquences sur d'autres grands acteurs du Web. Ainsi, Microsoft et Yahoo, qui aspirent eux aussi à enrichir leurs pages d'actualités avec des articles issus des membres de Copiepresse, pourraient voir leurs ardeurs refroidies par la décision de la justice belge. Google devrait faire appel de la décision. (...)

(13/02/2007 16:41:21)

Microsoft France expose - et exporte - son programme d'aide aux start-up

C'est dans le cadre prestigieux du Sénat que Microsoft a présenté ce matin le bilan de son programme Idées, un an après son lancement. Né en France sous l'impulsion de Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème, Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up) affiche déjà des chiffres impressionnants. Plus de 300 entreprises ont en effet demandé à profiter du programme l'année dernière, et cette année ce sont près de 400 qui se bousculent au portillon. Conçu à l'origine pour 25 start-up, le programme a été étendu à 50 : la cinquantième vient juste d'adhérer au programme, il s'agit de Criteo, éditeur, dit-il, « d'un moteur de recommandations personnalisées en temps réel à destination des sites de e-commerce ». Toujours côté chiffres, la moitié des start-up a trouvé un financement après avoir adhéré au programme. C'est, de fait, un des avantages majeurs de l'initiative. Une entreprise qui signe pour Idees se voit attribuer, selon ses besoins, un accès aux salles de conférence dans les locaux de Microsoft rue de l'Université, du temps dans le Technology Center (un atelier permettant de reproduire divers environnements pour mener des tests), l'aide des consultants présents, ainsi que le soutien de l'éditeur en matière de marketing : édition de brochures (en anglais notamment), présence dans les salons, visibilité accrue pour la presse, les clients (en France mais aussi à l'étranger, partout où Microsoft est implanté), les sociétés de capital-risque...

Aucun lien capitalistique présent ou futur avec les sociétés parrainées

Où est le piège, se demande-t-on bien évidemment. Difficile de croire en effet sur parole Eric Boustouller, le PDG de Microsoft France, qui affirmait en introduction de la conférence que l'objectif de l'éditeur est en premier lieu « d'apporter sa contribution à la prospérité de la France », de « créer des emplois moins délocalisables », et qu'en aucun cas il n'est demandé aux start-up de travailler exclusivement sur les technologies Microsoft. La question a donc été posée - plus délicatement - lors de la table ronde organisée ce matin, qui réunissait notamment, aux côtés de Marc Jalabert, des représentants d'organismes de recherche et de financement. Marc Jalabert a rappelé que Microsoft ne prenait aucune participation dans les sociétés partenaires, n'avait aucune intention de les racheter, et qu'il n'y avait à aucun moment de négociation sur la propriété intellectuelle. « Nous n'avons pas de critère de retour sur investissement », a encore souligné Marc Jalabert. Qui a tout de même précisé « qu'il est évident que quand Excentive gagne des affaires, nous en gagnons aussi », la solution étant basée sur des technologies uniquement Microsoft, notamment la base SQL Server. On pourrait aussi citer Miyowa, qui a porté Messenger sur i-Mode, chaque pack Bouygues Telecom rapportant aux deux éditeurs.

Des conventions spécifiques pour attaquer les marchés chinois et américains

Vingt-cinq éditeurs adhérents étaient invités à exposer leur entreprise et leur technologie au sortir de la conférence. Parmi eux, Didier Rochereau, DG de Sparus (logiciel de gestion de terminaux communicants), se disait ravi de la visibilité que lui apporte ce partenariat : « Nous étions par exemple sur le stand Microsoft au salon Mobile Office ». Jean Ferré, DG de Sinequa (moteur de recherches sémantique), estime de son côté avoir pu entrer chez un client comme Bouygues Construction « grâce au poids de Microsoft, de Steve Ballmer qui nous présente comme un partenaire à forte valeur ajoutée ». De même, l'éditeur a levé 4 ME après avoir été intégré au programme. Fort de ce bilan, Microsoft France commence à exporter son initiative dans d'autres filiales, sous le nom Ideas. Les premiers concernés sont des pays où les éditeurs de logiciels présentent également une grande vitalité, comme l'Inde, la Chine et Israël. L'éditeur pense d'ailleurs établir des programmes d'échanges, par exemple en accueillant trois start-up chinoises à condition que trois start-up françaises bénéficient elles-mêmes du soutien de Microsoft en Chine pour pénétrer le marché. Une action spécifique, enfin, est prévue pour aider les jeunes éditeurs français à s'implanter aux Etats-Unis : Microsoft vient d'annoncer son soutien à FBIA (French business & innovation accelerator), un programme soutenu par le gouvernement français aidant les entreprises à s'installer dans la Silicon Valley. A noter pour conclure que Marc Jalabert se dit tout prêt à exposer le fonctionnement d'Idées à toute grande entreprise qui voudrait s'en inspirer. (...)

(07/02/2007 18:04:44)

Issy troque ses urnes contre des machines à voter

Au premier tour de l'élection présidentielle, le 22 avril prochain, les habitants d'Issy-les-Moulineaux ne glisseront aucun bulletin dans l'urne. Toutes seront en effet remplacées par des machines à voter, achetées par la municipalité auprès de la société Election Systems & Software. « Le ministère de l'Intérieur a incité les communes à aller vers cette solution, explique Paul Subrini, le 1er adjoint au maire, au mondeinformatique.fr. Elle a l'avantage de la simplicité, elle permet de maîtriser les opérations, d'éliminer les bulletins de vote et d'obtenir les résultats plus rapidement. Nous avons saisi cette occasion d'aller vers plus de modernité ». Issy a acquis 60 machines de modèle iVotronic, dont plusieurs sont prévues pour pallier d'éventuelles défaillances, et les installera dans tous les bureaux de vote. Paul Subrini insiste sur l'ergonomie et la facilité de l'usage : « la machine présente un panneau très simple comportant des boutons sur lesquels le citoyen appuie. Il a la possibilité de revenir en arrière s'il presse une mauvaise touche ». Le vote blanc est prévu, mais les possibilités de vote nul disparaissent. Issy / Floride : un « paradoxe cocasse » L'apparition des appareils iVotronic à Issy relève d'un « paradoxe cocasse » pour Pierre Muller, l'animateur du site ordinateurs-de-vote.org : « le jour où le conseil municipal validait l'adoption de ces machines, le gouverneur de Floride débloquait plusieurs millions de dollars pour envoyer ces mêmes modèles à la casse ». De fait, explique Pierre Muller, les machines à voter présentent des qualités mais certainement pas celle de la sécurité des opérations. « Des doutes planeront continuellement sur la sincérité des résultats : il est difficile de connaître le logiciel qui tourne dans l'appareil ; les assesseurs ne peuvent pas savoir si la machine est intègre le matin quand ils la mettent en marche ». D'autres modèles que celui choisi par Issy-les-Moulineaux ont d'ailleurs donné lieu à plusieurs cas de fraude aux Etats-Unis et, explique Pierre Muller, « des militants américains ont acheté trois machines et sont parvenus à modifier le programme pour attribuer des voix d'un candidat à un autre ». Sur le modèle choisi par la commune des Hauts-de-Seine, il existe des expertises américaines également inquiétantes montrant qu'il est facile de modifier le logiciel (qui n'est protégé que par un mot de passe de trois caractères). Des réserves sur la sécurité L'argument du manque de sécurité ne tient cependant pas pour remettre en cause l'usage des machines à voter, selon l'édile d'Issy. « Aux Etats-Unis, chaque Etat pouvait choisir son type de machine, il n'existait donc pas de matériel harmonisé. Je comprends les réserves mais il faut savoir que, dans les bureaux de vote américains, les machines sont connectées par WiFi au boîtier détenu par le président du bureau, ce qui apporte de la fragilité ». Et l'adjoint au maire de rappeler que les modèles adoptés en France ne laissent pas transiter les données qu'ils stockent : à l'issue du vote, elles sont recueillies sur une clé USB avant d'être acheminées vers le bureau centralisateur. L'agrément donné par le ministère de l'Intérieur constitue l'autre argument fort de Paul Subrini en faveur des machines de vote : « le ministère a défini les types d'appareils pouvant être utilisés, en définissant 114 conditions. De plus, la Cnil a été associée à ces conditions ». Cet argument laisse Pierre Muller perplexe : « si iVotronic a bien été agréé en 2005, il faut savoir que le cadre définissant les conditions d'agrément date de 2001-2002 et n'a été que très légèrement modifié depuis », estime-t-il avant de rappeler que « tout ce qu'on sait, c'est que les machines sont agréées. Dès qu'on veut en savoir plus sur les appareils et ce qu'ils renferment, on se heurte au secret industriel ». Loin de se soucier des éventuels problèmes liés à la sécurité, le premier adjoint du maire André Santini déborde d'enthousiasme et prend des accents d'évangéliste des technologies : « avec cette petite modernité, on incite les gens à être curieux de ce qui se passe en informatique, tout cela participe de la modernité, on essaie de faire évoluer la population ». Au risque de retirer au vote, et à son cérémonial, ce qu'il comporte de sacré et d'universel. Pierre Muller explique ainsi qu'il existe un quasi-consensus, au sein de la communauté scientifique, sur l'obligation de garder dans le processus une trace physique - en l'occurrence un bulletin - et ne pas passer à une démarche 100% électronique. « Les citoyens perdent le contrôle de l'élection en même temps qu'on passe d'une urne transparente à un système opaque », estime le responsable d'ordinateurs-de-vote.org. (...)

(05/02/2007 12:49:00)

Al Gore exhorte la Sillicon Valley à sauver la Planète

La Sillicon Valley doit prendre sa part dans le sauvetage de la planète. C'est le message qu'Al Gore, l'ancien vice-président des Etats-Unis et candidat malheureux à la Maison Blanche, a fait passer aux industriels californiens dans le cadre de son combat contre le réchauffement climatique. Le quatrième rapport de l'ONU sur le changement climatique, publié vendredi, fait du réchauffement une certitude, a expliqué Al Gore aux représentants des industries californiennes. Selon le document, c'est l'activité humaine - notamment l'exploitation des énergies fossiles - qui est la première cause du réchauffement global. L'ancien vice-président de Bill Clinton a imploré ses 1500 spectateurs de mettre en commun leur savoir pour promouvoir des technologies vertes engendrant une pollution moindre et susceptibles d'inverser les incidences sur les changements climatiques : « le monde fait face à un défi sans précédent, et la Sillicon Valley peut apporter une contribution inédite pour y répondre, a expliqué Al Gore. Vous pouvez décider de l'orientation que vous allez prendre et changer ainsi le futur de la civilisation ». Les entreprises IT ont commencé à montrer, récemment, un certain intérêt pour une production plus respectueuse de l'environnement, en fabricant notamment des processeurs dégageant moins de chaleur, en gérant mieux la consommation électrique dans les data centers, ou en mettant l'accent sur le recyclage par exemple. Mais selon Al Gore, il leur faut faire plus encore. La Silicon Valley promet des réponses innovantes L'auteur d'Une vérité qui dérange s'en est alors pris à l'administration Bush, coupable d'avoir rompu avec le protocole de Kyoto. A l'issue de la remise du rapport, la Maison Blanche a certes reconnu l'influence de l'homme sur les bouleversements climatiques, mais a réitéré sa volonté de ne pas imposer de réduction d'émission de gaz à effet de serre aux Etats-Unis : « ce n'est pas comme si le lobby pétrolier avait trop d'influence à la Maison Blanche. Le problème c'est que le lobby pétrolier c'est la Maison Blanche », a asséné Al Gore. Il a, par ailleurs, jugé non éthique la stratégie mise en place par les compagnies pétrolières consistant à verser 10 000$ pour chaque rapport scientifique qui nierait le potentiel nocif du changement climatique. L'auditoire d'Al Gore, pressenti pour le prix Nobel de la paix, a semblé convaincu par les arguments avancés. « Nous devons nous organiser et nous mobiliser pour que la Silicon Valley puisse continuer à produire le type d'innovations qui nous a rendus célèbres », a résumé Russell Hancock, le PDG de Joint Venture Sillicon Valley Network, qui accueillait l'événement. Même son de cloche du côté du fabricant de puces Cypress Semiconductor, initiateur d'une start-up (SunPower) qui conçoit des systèmes fonctionnant à l'énergie solaire : « la Sillicon Valley est un centre d'innovation technologique unique, explique Eric Benhamou, le président de Cypress, nous avons les meilleures universités capables de relever le défi de la protection du climat ». Titre de l'encadré:Sur le même sujet (...)

(05/02/2007 12:22:13)

SFR expérimente le paiement par mobile

L'expérimentation de paiement par mobile initiée en novembre dernier entrera le 7 février dans une deuxième phase, avec l'arrivée de SFR dans le groupe d'expérimentation. A partir de cette date, les abonnés SFR également clients du Crédit Mutuel ou du CIC pourront tester ce service, expérimenté jusqu'à présent dans la seule région strasbourgeoise. L'expérience pilote a été lancée en novembre 2006 par sept entreprises partenaires (Crédit Mutuel - CIC, Gemalto, Inside Contactless, MasterCard, NRJ Mobile, Sagem Communication et Sagem Monétel) auprès de 60 commerçants et de 200 particuliers. L'arrivée de SFR devrait amener une quarantaine de commerçants en plus dans le projet et concerner au total 500 particuliers. Sur le plan technique, le système fonctionne à partir d'une application de paiement directement intégrée dans la carte SIM du téléphone, protégée par des solutions standardisées, "à haut degré de sécurité" précisent les promoteurs du système (puce EMV, technologie sans-fil NFC et protocole MasterCard PayPass). L'utilisateur présente d'abord son mobile devant un lecteur, renseigne un code confidentiel puis confirme en réitérant la première opération. Même problème de commission que pour Moneo Cette modalité de paiement semble avoir séduit commerçants et clients qui l'ont utilisé aussi bien pour payer le pain que pour régler leur note de restaurant ou d'autres achats à hauteur de 200 E, le plafond retenu pour le pilote. Au Crédit Mutuel, on souligne « qu'il y a un gros enjeu, une forte attente ». Toutefois, ce succès s'explique aussi par le fait que pendant la phase pilote, la banque ne facture aucun frais. Or, « à terme, cela fonctionnera de la même manière que pour les cartes bancaires classiques. » Autrement dit, les commerçants devront régler une commission, ce qu'ils refusent de faire en général pour les petits montants - exactement ce qui a tué Moneo dans l'oeuf. Pour l'heure, le montant de cette commission est « encore en négociation ». Et la banque veut se donner le temps de juger de tous les éléments : la phase pilote devrait durer jusqu'à la fin de l'année. (...)

(03/01/2007 17:39:13)

Présidentielle 2007 : le blog de Jean-Marie Le Pen

URL : www.lepen2007.fr Nom du blog : Le Pen président 2007 Qui écrit :Les billets écrits sont à la troisième personne, et relatent les faits et gestes du candidat, ainsi que ses déclarations et discours. Jean-Marie Le Pen ne s'exprime directement que dans son Journal de bord, en vidéo. Ce qu'on y trouve : Le site fait la part belle à la vidéo (de qualité parfois très moyenne, au demeurant), qu'il s'agisse du Journal de bord du candidat, ou bien d'extraits de conférences de presse ou autres événements. Le Journal de bord est le plus souvent réalisé sous la forme d'un entretien, permettant à Jean-Marie Le Pen de développer ses thèmes politiques habituels, au premier rang desquels l'immigration et l'intégration. La partie blog comporte également des billets revenant sur certains faits d'actualité (par exemple l'amende infligée à la FNSEA par la Cour de justice de Luxembourg, pour un « crime inexpiable », ironise le candidat) ou des éléments parus dans la presse, accusée de désinformation (« les citoyens ont très réellement le droit à une information impartiale »). Les billets reprennent également des interviews de la presse écrite ou radio (sous forme de podcast). D'autres parties du site proposent des photos et des discours du candidat. Fréquence de la mise à jour : Plutôt irrégulière, la fréquence semble ces derniers temps se stabiliser autour de trois publications par semaine. Affluence des commentaires : Aucun espace n'est prévu pour commenter. Technologies utilisées : PHP pour le développement du blog, Flash pour la vidéo. Les plus : - Usage fréquent de la vidéo - Possibilité de s'abonner au flux RSS Les moins : - Pas de commentaires, aucune interaction - Très peu de textes écrits par le candidat lui-même (...)

(29/12/2006 16:10:10)

Présidentielle 2007 : le blog d'Olivier Besancenot

URL: http://besancenot2007.org/spip.php?rubrique20 Le blog est une rubrique du site de campagne http://besancenot2007.org Nom du blog : Journal de campagne - Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire) Qui écrit: Olivier Besancenot rédige lui-même les billets, en s'impliquant directement ('Je retrouve une nouvelle fois les salariés de Reynolds à Valence.'). Le blog précise par ailleurs qu'"Olivier essayera de répondre dans ses post à vos questions, mais entre deux manifs, la campagne électorale et son boulot à la Poste, il faudra être indulgent sur les délais". Ce qu'on y trouve: Le journal de campagne d'Olivier Besancenot surfe sans surprise sur le paysage politique, bouillonnant en ce début de campagne. Il relate également son quotidien de militant à la LCR ainsi que les luttes internes qui animent actuellement le parti. On y trouve les déplacements du candidat en campagne, les luttes auxquelles il a participé et des analyses sur l'actualité en France (comme "Les enfants de Don Quichotte"). L'auteur se livre également à des commentaires sur l'actualité internationale (décès de Pinochet, la ré-élection d'Hugo Chavez, président du Vénézuéla). Plus décalé pour un journal de campagne, Olivier Besancenot conte enfin son quotidien à la Poste, comme par exemple dans un billet intitulé "Pot de départ à La Poste". Plus proche de ses lecteurs. Fréquence des mises à jour: Depuis octobre, date du lancement du blog, Besancenot poste trois à quatre billets par semaine. Affluence des commentaires : 24, c'est le nombre le plus élevé de commentaires relevé depuis la création du blog. Très hétérogène dans son ensemble et peu d'affluence. Les plus - La fréquence des mises à jour - L'implication de l'auteur répond aux commentaires postés par les lecteurs - La syndication des billets et des commentaires Les moins - le design trop épuré voire artisanal du site peu alléchant (le site est motorisé par Spip) - l'absence de podcasts et vidéos (...)

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