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(25/09/2006 17:42:38)

Semestriels Groupe Open : croissance organique à deux chiffres

Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 253 ME (+34%) Résultat net : 0 (+1 ME) La SSII Groupe Open a bouclé son premier semestre 2006 sur un chiffre d'affaires en hausse de 34% - dont 15% en organique - à 253 ME. Le groupe profite des progrès réalisés dans tous les secteurs d'activité, en France comme à l'étranger - où les revenus bondissent de 45% sur un an. La branche Distribution, dont les activités sont menées à travers la filiale Logix - bien implantée dans les pays scandinaves - a dégagé un chiffre d'affaires de 174 ME, en hausse de 21% par rapport à la même période de l'année précédente. Logix poursuit sa conquête des marchés étrangers : la filiale réalisait 46% de son CA à l'international il y a un an, contre 53% au S1 2006. "On faisait déjà de la croissance en 2002-2003, quand tout le monde allait mal, se souvient Guy Mamou-Mani, le directeur général de Groupe Open. Maintenant, on cumule croissance organique, croissance externe et rentabilité". De fait, si Logix affichait un résultat opérationnel courant de -1,4 ME il y a un an, la filiale distribution enregistre désormais un ROC de 0,5 ME. Et ce chiffre devrait progresser au second semestre : "Logix a un impact de saisonnalité très fort, explique Guy Mamou-Mani, de l'ordre de 40/60. La plus grosse partie du résultat est donc réalisée sur le S2". L'activité Services connaît elle aussi une forte progression organique. Son chiffre d'affaires croît de 6%, à périmètre comparable, à 79 ME. Composée des filiales Teamlog et Innetis, la division est davantage génératrice de profitabilité que Logix. Elle génère ainsi un ROC de 5 ME, contre 3 ME il y a un an. Pour l'ensemble du groupe, le résultat net est nul, contre une perte d'un million d'euro au S1 2005. "Il faut noter l'importance de l'impact dû à la résiliation du pacte d'actionnaires Teamlog, note Guy Mamou-Mani. Un impact qui restera non récurrent". Sans tenir compte de cet impact, le résultat net aurait atteint 0,6 ME. Pour l'ensemble de l'exercice en cours, Groupe Open table sur une croissance proche de 20%, conduisant à un chiffre d'affaires compris entre 550 et 560 ME. Surtout, Guy Mamou-Mani vise un CA d'un milliards d'euros à l'horizon 2010, "en répartissant les deux tiers de notre activité dans la distribution, et un tiers dans les services, un ratio permettant d'avoir une contribution aux résultats équilibrée". Un tel objectif passera à la fois par une croissance organique "qui restera à deux chiffres" et par des opérations de croissance externe. "Dans la distribution, nous envisageons plusieurs petites acquisitions dans des pays où nous ne sommes pas encore implantés. Pour la branche services, on veut représenter une SSII de 4 à 5000 personnes en France. Pour cela, nous visons un gros achat - une entreprise de 500 salariés par exemple - ou deux ou trois plus petits". (...)

(18/09/2006 18:04:00)

Atos assure la tierce maintenance applicative des services en ligne du musée du Louvre

Atos Worldline, filiale d'Atos Origin, a été retenu par le musée du Louvre pour assurer la tierce maintenance applicative (TMA) de son infrastructure de services en ligne pendant trois ans. Ce contrat constitue, pour la SSII, le prolongement naturel la prestation d'hébergement qu'il effectue pour le musée depuis près de quatre ans. Signée en mars dernier, le contrat de prestation de TMA commence à porter ses fruits. Julien Brossard, responsable commercial du département secteur public chez Atos Worldline indique que la prestation a mis un mois à véritablement démarrer : « le premier mois a été consacré à l'initialisation de la prestation, avec la reprise de tout le patrimoine applicatif développé précédemment, la formation des équipes aux outils et aux solutions et enfin la prise d'indépendance par rapport aux équipes de l'intégrateur précédent. Depuis, nous avons assuré des évolutions techniques ou fonctionnelles mineures de l'ensemble du système. » Plusieurs évolutions majeures sont en préparation. L'infrastructure de services en ligne du Louvre s'appuie sur le système de CRM de Blue Martini Software, fourni gracieusement par l'éditeur, épaulé par des développements spécifiques, notamment pour les couches applicative et de présentation. Les services en ligne du Louvre supportent de 30 000 à 40 000 connexions par jour, réparties de manière très linéaire sur la journée en raison d'accès venus des Etats-Unis et du Japon. Ces services sont supportés par une vingtaine de serveurs. Le montant du contrat de TMA remporté par Atos Wordline n'a pas été communiqué. (...)

(15/09/2006 17:36:27)

Un an pour être un spécialiste de la base Oracle

Les formations maison se multiplient dans les SSII pour se doter des compétences qui manquent. La société Qualea, spécialiste de la base de données d'Oracle, ne déroge pas à la tendance : elle monte un cursus d'enseignement d'un an pour former des administrateurs dans ce domaine. Lancé le 16 octobre, ce cursus s'étalera sur douze mois et se déroulera en alternant des périodes de cours théoriques (une semaine par mois, 455 heures au total) et en entreprise (trois semaines par mois). Il s'adresse à des titulaires de diplômes de niveau bac+2 en informatique, des jeunes, des moins jeunes, des salariés et des demandeurs d'emploi. Il peut être financé dans le cadre des dispositifs existants, les contrats de professionnalisation et les CIF (congés individuels de formation). Cette formation n'est pas diplômante, puisque Qualea ne dispose pas de l'agrément de l'Education Nationale. Elle pourrait l'être d'ici deux ans, car la société entend lancer les démarches qui conviennent pour l'obtenir. Elle sera dispensée par les consultants de chez Qualea, qui revendiquent une expertise pointue sur la base Oracle, comme le souligne Muriel de Marcos, directrice commerciale. « Notre métier est la mise en place des systèmes de redondance des bases de données, la pose de capteurs sur les bases pour étudier leurs performances, intervenir de façon préventive ou curative et l'optimisation du code pour améliorer leur temps de réponse. Cette expertise se retrouvera dans notre cursus de formation qui se déploie en quatre grands volets : programmation Oracle, administration, haute disponibilité, performances et sécurité ». Des embauches à la clé Qualea a mis sur pied cette initiative pour former des compétences qui font défaut sur le marché. Elle compte d'ailleurs embaucher trois stagiaires à l'issue de la formation pour renforcer ses effectifs (dix personnes). Trois de ses clients prévoiraient d'en faire de même, les sociétés Sanofi, Neurones et l'Opac de Lyon (Office public d'aménagement et de construction). (...)

(12/09/2006 18:00:40)

Sopra conclut un premier semestre fort et prépare une acquisition d'envergure

La SSII Sopra a profité de sa présentation trimestrielle de résultats pour dévoiler les grandes lignes de son Projet 2010, un plan devant conduire le groupe présidé par Pierre Pasquier à dépasser les deux milliards d'euros de chiffre d'affaires d'ici à la fin de la décennie. Si le contenu du projet reste, à l'heure actuelle, peu détaillé, Pierre Pasquier a toutefois révélé que la SSII visait "une acquisition d'envergure" dans les 12 à 36 mois. Plus précisément, Sopra entend mettre la main sur une cible réalisant au moins 500 M€ de chiffre d'affaires. L'opération, a confié le président du directoire, ne sera certainement pas financée en numéraire et devrait concerner un achat en Europe, peut-être en Angleterre ou en Espagne. D'ici à 2010, "quelques petites acquisitions" de proximité sont également envisageables. Seule l'activité conseil est en baisse Pour le premier semestre 2006, Sopra a réalisé un CA en progression organique de 7,6%, à 443 M€. Tous les secteurs d'activité sont en croissance à l'exception du conseil qui affiche un recul de 4,9% sur un an en raison d'un recrutement difficile en début d'année. La profitabilité du groupe s'inscrit en forte hausse : le résultat opérationnel bondit de 52%, à 29,8 M€, et le résultat net atteint 17,2 M€, en hausse de 55%. Enfin, la marge opérationnelle progresse de 1,3 point par rapport à la même période de l'an passé et s'aligne à 6,7%. (...)

(11/09/2006 11:45:37)

Econocom digère difficilement A2Z

La SSII belge Econocom a connu un difficile premier semestre 2006, conclu sur une fonte de son résultat net. Si le chiffre d'affaires affiche une honorable croissance de 2,7%, à 282 ME, le résultat opérationnel n'affiche pas la même tendance. Il passe ainsi de 8,2 ME au premier semestre 2005, à 3,4 ME un an plus tard. Les divisions Products and solutions et Managed services croissent légèrement mais ne parviennent pas à compenser les 800 KE de pertes liées à l'activité télécoms nouvellement créée. Le groupe met en avant les investissements qu'il a dus consentir pour développer cette branche et indique qu'elle sera bénéficiaire sur l'ensemble de l'exercice. Surtout, Econocom pâtit de l'acquisition de son compatriote A2Z, spécialisé dans les services de télécommunications mobiles aux entreprises. La filiale affiche un démarrage plus lent que prévu et contribue pour 1,5 ME au recul des bénéfices enregistré au cours du semestre. Au total, le résultat net d'Econocom atteint péniblement 100 KE alors qu'il s'alignait à 5,2 ME un an plus tôt. (...)

(08/09/2006 17:45:04)

« Pas de surenchère salariale chez Sii »

Comme ses concurrentes, Sii ne ralentit pas ses campagnes de recrutement. La SSII (1714 collaborateurs) prévoit d'embaucher 300 personnes (un tiers de jeunes diplômés et deux tiers d'ingénieurs expérimentés) pour ses 9 agences françaises d'ici à la fin de l'année, après en avoir embauché une centaine au cours de l'été. Elle recrute essentiellement sur projet car les prestations d'assistance technique en régie représentent 70 à 80% de son activité. Elle confirme que le marché est tendu, notamment sur certains profils comme les « ingénieurs développement embarqué temps réel », très demandés dans l'industrie automobile et aéronautique. Mais ses difficultés à recruter viennent aussi de la tendance croissante à la surenchère qui sévit sur le marché, aux niveau des rémunérations offertes aux candidats par les SSII. « Nous connaissons des sociétés qui ont couramment ce type de pratiques. Mais nous nous inquiétons de voir que certaines autres qui ne le faisaient pas, commencent aussi à faire flamber les rémunérations », explique Virginie Lacoste, directrice du recrutement chez Sii. Comment se traduit cette flambée ? « En province, nous ne dépassons pas 31 KE de salaire brut annuel pour un jeune diplômé, alors que certains leur proposent 36 KE, un tarif où nous ne pourrions pas faire de marge. En région parisienne, nous montons jusqu'à 33 à 34 KE pour des premiers emplois, lorsque des concurrents proposent 38/40 KE ». Face à cette situation, la SSII est très claire. Elle perd des candidats, mais il n'est pas question de participer à cette surenchère, même si elle ne peut se positionner sur tous les projets. « Nous allons conserver nos marges et à terme cette attitude sera payante. Nous ferons ponctuellement peut-être moins de volume d'affaires par client, mais notre cohérence et notre stabilité se verront. Nous ne perdrons pas nos clients », poursuit Virginie Lacoste. La spirale à la hausse des salaires a par ailleurs des limites déjà perceptibles. « Certains candidats se voient remercier des SSII qui les ont recrutés à de gros salaires sur profils et non sur projets. Soit parce que les projets ne tombent pas, soit parce que les tarifs imposés par les clients restent bas et que les marges des SSII sont par conséquent trop faibles. Certains de nos collaborateurs sont d'ailleurs revenus chez nous après avoir démissionné et passé quelques temps ailleurs ». (...)

(08/09/2006 12:37:33)

L'Indien Infosys se renforce en République Tchèque

Infosys, le spécialiste indien de l'externalisation, renforce sa présence en Europe en augmentant les effectifs qu'il compte à Brno, en République Tchèque. Objectif de cette décision a priori paradoxale : accroître ses capacités afin de mieux répondre à la demande de ses clients issus du Vieux Continent qui préfèrent le nearshore à l'offshore : cela évite des problèmes de décalage horaire et souvent de langue. En janvier, le groupe de Bangalore ajoutera 350 salariés aux 130 qu'il compte actuellement à Brno. Le site tchèque fournit des services dans l'externalisation du processus métier comme la gestion des commandes, la finance et la gestion, les études de marchés, etc. Plus de 80% des salariés y sont recrutés localement et y conduisent des opérations en 13 langues, dont le français, l'allemand et l'espagnol. En plus de ses activités actuelles, le concurrent de Tata et de Wipro prévoit de proposer à ses clients européens la gestion de leurs infrastructures et le déploiement de PGI ou autres GRC. Si les entreprises britanniques ont pris l'habitude de se tourner vers l'externalisation du développement logiciel et du processus métier, dans le reste de l'Europe le recours à l'offshore est plus timide. Les groupes d'Europe continentale représentent environ 12 à 13% des revenus des spécialistes indiens selon la Nasscom (India's National Association of Software and Service Companies). Outre son développement à Brno, Infosys prépare l'agrandissement de son site britannique, basé à Swindon. Le groupe dispose également d'un centre localisé en Allemagne. (...)

(08/09/2006 12:38:34)

Capgemini prend en main la SSII d'Unilever en Inde

Capgemini renforce encore ses positions en Inde. La SSII s'apprête en effet à faire l'acquisition de 51 % d'Unilever India Shared Service, autrement appelé Indigo. Cette filiale d'Unilever est spécialisée dans l'externalisation des processus métiers pour les finances et la comptabilité. Indigo possède des bureaux à Bangalore et Chennai et assure l'externalisation de processus métier de représentations d'Unilever dans 45 pays. Si le montant de l'opération n'a pas été dévoilé, cette prise de position n'est qu'une première étape avant le rachat complet prévu en 2008. Unilever reste pour l'instant un actionnaire important et prévoit même de poursuivre ses investissements dans sa filiale jusqu'en 2008. Indigo regroupe 600 professionnels qui viendront, à terme, gonfler les effectifs de Capgemini en Inde, déjà forts de 5600 personnes. Début juin, Capgemini a indiqué vouloir faire de l'Inde la tête de pont de ses offres de services offshore. D'ici fin 2007, Capgemini prévoit de porter à 10 000 le nombre de personnes employées sur place. (...)

(07/09/2006 18:04:04)

Recrutement : SQLI récompense le meilleur cooptant

Il y a six mois, la SSII SQLI a lancé une opération pour relancer la cooptation au sein de son agence parisienne (500 personnes). Elle a organisé un concours rémunérant par des primes tous les trois mois les meilleurs apporteurs de candidats, puis le cooptant le plus prolixe au bout de 9 mois. Tout cela en plus des primes accordées lorsque les candidats présentés ont reçu une proposition d'embauche. A l'heure des premiers bilans, Alexandra Lecordier, responsable du recrutement au sein de la SSII, se félicite de l'initiative. Elle a permis de recruter environ 25 personnes soit 20% des 120 à 130 nouveaux embauchés de l'agence parisienne et ce dans un processus souvent optimisé. « La cooptation nous apporte les meilleurs CV grâce à la sélection naturelle qui s'opère. Neuf fois sur dix, les entretiens qui s'effectuent avec des personnes cooptées débouchent ainsi sur des propositions d'embauche ». Parallèlement au bilan quantitatif, d'autres enseignements sont tirés de l'expérience. « Favoriser la cooptation nécessite de communiquer très régulièrement auprès de ses équipes sur le sujet, via différents supports internes. Nos collaborateurs sont absorbés par leur mission et n'ont donc toujours le réflexe de recommander d'autres personnes si rien ne vient le leur rappeler », explique Alexandra Lecordier. Autre point capital, ce processus nécessite de « bichonner » ses collaborateurs. Ceux-ci auront envie de faire venir des gens qu'ils apprécient au sein de leur société uniquement si ils s'y sentent bien. « Nous avons engagé une démarche qualité (People CMM) au niveau de la gestion de ressources humaines au sein de SQLI qui pose le socle, entre autre, d'un suivi régulier de nos collaborateurs », poursuit Alexandra Lecordier. « Ce suivi se concrétise par exemple par des points annuels et semestriels avec chacun, ce qui permet de bien savoir où ils en sont ». SQLI pourrait renouveler l'expérience du concours sur son agence Lyonnaise (180 personnes). (...)

(07/09/2006 18:05:47)

Le Plan de suppressions de postes suspendu chez Capgemini Outsourcing

Le juge des référés du tribunal de grande instance de Nanterre a déclaré recevable l'action menée par le CCE (Comité central d'entreprise) de Capgemini, le CE Outsourcing (comité d'entreprise de la division Outsourcing Services) et les représentants syndicaux contre la direction de la SSII. Ces instances avaient engagé une action en justice visant à faire annuler ou reporter la procédure du plan de sauvegarde de l'emploi lancée le 17 juillet dernier et portant sur 210 postes. Le principal motif invoqué était la non application d'une partie de l'accord GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) signé le 9 mai 2005 entre Capgemini et une certains syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC), qui aurait pu, selon eux, éviter le risque de licenciements. Connaître les métiers à risques Le juge invite les partenaires sociaux à mettre en ?uvre l'accord GPEC. En attendant, il suspend les procédures de consultation des CCE et CE engagées dans le cadre de la suppression de 210 emplois dans la division Outsourcing Services (Livre IV et III). « Nous sommes satisfaits de cette décision », se félicite l'un des représentants des partenaires sociaux. « Nous demeurons toutefois préoccupés par l'avenir de l'activité infogérance chez Capgemini. Ce plan de suppression de postes fait suite à la session de l'activité maintenance matérielle de la division Outsourcing à Unysis en février dernier, qui a déjà donné lieu au transfert de 143 emplois vers cette société. Notre volonté est de contribuer à faire vivre cette activité ». Pour la suite, les syndicats attendent que la direction leur donne des informations sur les métiers éventuellement menacés et sur les plans de redéploiement et de formation envisagés pour les collaborateurs concernés. La direction n'a pas souhaité apporté de commentaires à cette décision. De source syndicale, elle aurait décidé de ne pas faire appel. (...)

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