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Architecture logicielle

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(04/03/2008 17:08:03)

Serena lance trois gammes de logiciels en mode SaaS

L'éditeur américain Serena s'apprête à proposer un accès en mode hébergé à ses trois gammes de logiciels. En mai dernier, ce spécialiste de la gestion du cycle de vie des applicatifs (ALM, application lifecycle management) a étendu son offre vers la gestion de projet avec le produit Serena Mariner, issu du rachat de Pacific Edge. Plus récemment, en septembre, il a annoncé un éditeur de mashups, services applicatifs permettant d'agréger différentes fonctionnalités. Aujourd'hui, l'éditeur annonce qu'il va progressivement fournir ces trois catégories de logiciels sous la forme de services accessibles en ligne (modèle SaaS, software as a service). Le premier à être disponible sous cette forme, en avril prochain, sera Serena Mariner, la solution de gestion de portefeuilles de projets (PPM, project and portfolio management). L'abonnement à ce logiciel sera proposé à partir de 18 dollars par utilisateur et par mois. (...)

(04/03/2008 15:10:59)

Cebit 2008 : Software AG réaffirme ses ambitions

A l'occasion du Cebit 2008, Software AG, spécialiste de la SOA et du BPM, a réaffirmé ses ambitions de devenir un éditeur influent sur le marché. En bon régional de l'étape, Karl-Heinz Streibich, PDG de l'éditeur, a profité de la Grand Messe de Hanovre pour rappeler que son projet de se muer en une société à un milliard d'euros de CA d'ici à 2010 était bien sur les rails. Et optimiste, il se déclare être le digne héritier de SAP, en termes de croissance et d'évolution, et l'entreprise la mieux positionnée pour suivre les traces du modèle de l'icône allemande. « La croissance et l'innovation résident dans les processus métiers et la SOA . » Ainsi, le groupe prévoit de doubler en taille tous les cinq ans, tant en revenus qu'en d'effectifs. Et place au centre de sa stratégie entre six et dix opérations de croissance extérieure, sans mentionner de noms. Pour mémoire, Software AG s'est payé webMethods pour 546 M$ mi-2007, affirmant la positionnement de la société dans le middleware. Depuis Oracle a finalement, après une passe d'arme entre actionnaires, croqué BEA pour 8,5 Md$. Ce qui ne semble pas inquiéter Karl-Heinz Streibich, pour qui sa société représente ce dont le marché a besoin : « une nouvelle et indépendante source sur le segment de l'intégration [d'applications, ndlr] ». (...)

(29/02/2008 17:27:30)

Zend délivre ses formations PHP en ligne et en français

Bonne nouvelle pour les développeurs PHP francophones : Zend Technologies - l'éditeur à l'origine du langage PHP - annonce la disponibilité de son programme de formations en ligne entièrement en français. L'offre de e-leaning de Zend, qui couvre l'ensemble des axes de formation PHP, des principes de développement de base jusqu'aux cours pour développeurs expérimentés, est donc accessible à tous ceux qui rencontrent des difficultés en anglais. « Nous avons relevé une augmentation des demandes pour des sessions en langue française, lors de sessions en entreprise, commente Steven van Poeck, responsable des formations de Zend Technologies en France. Nous avons décidé d'opter pour une formule à distance, entièrement en français, à tous les niveaux d'expertise, et qui propose une organisation conçue pour impacter au minimum les activités quotidiennes des participants. » Ce programme de formations en ligne, conçu et délivré par Zend, vient s'ajouter à l'offre de formations PHP déjà proposées en formule « présentielle », en « salle de classe », en inter et intra-entreprise. Pour fêter son lancement en ligne et en français, l'éditeur propose 15% de remise pour tout cours acheté avant le 1er avril 2008. Afin de permettre aux intéressés d'aller plus loin dans leur démarche de formation, des sessions sur Studio for Eclipse, IDE utilisé pour la création d'applications Web dynamiques, seront également disponibles en ligne et en français, dès la fin du mois de juin. (...)

(28/02/2008 16:12:17)

Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008

Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)

(28/02/2008 14:32:30)

Ultimes débats avant le rejet ou l'acceptation d'OOXML par l'ISO

Cinq jours pour dépouiller six mille pages de documentation et se décider sur 1 100 propositions de modification, telle est l'épreuve que traversent à Genève, au siège de l'ISO, les 120 représentants des 37 pays membres du comité chargé de préparer l'ultime version de ce qui pourrait être le standard de fichier bureautique OOXML. OOXML (Office Open XML) est le format que Microsoft veut à tout prix opposer à ODF (OpenDocument Format), format natif des suites bureautiques Open Source et déjà élevé au rang de standard ISO. Le cachet ISO est vital pour l'avenir de sa domination sans partage sur les suites bureautiques. Faute de l'obtenir, il ne pourra plus répondre aux appels d'offres des grands clients (en particulier public), qui réclament cette conformité. Il lui faudra alors adopter ODF comme format de fichier par défaut, ce qui ouvrirait en grand la porte à tous les logiciels concurrents et porterait un sérieux coup à l'insolente rentabilité de la suite Microsoft Office. Déjà rejetée une fois en septembre, le sort de la proposition sera définitivement scellé dans 30 jours, lors d'un vote en assemblée plénière. Les représentants se prononceront sur le document préparé par les 120 membres du comité qui se réunit jusqu'à vendredi prochain. (...)

(26/02/2008 15:45:18)

Les dépenses en SOA augmentent, les risques aussi, note AMR Research

Bonne nouvelle pour les architectures orientées services : le nombre d'entreprises ayant investi en SOA a doublé en un an, d'après AMR Research. Le cabinet souligne qu'à fin 2007, 53% des grandes entreprises (comptant plus de 500 personnes) étaient engagées dans des projets SOA, pour une dépense moyenne de 1,4 M$ par an. La mauvaise nouvelle, c'est qu'une grande part de cet argent sera dépensée en vain, juge AMR Research. L'étude, intitulée "The SOA Spending Report 2007-2008", a été réalisée auprès de 405 entreprises, aux Etats-Unis, en Allemagne et en Chine. Elle montre une adoption relativement large des SOA dans plusieurs secteurs d'activité. Les acteurs du commerce de détail auraient à 59% adopté les SOA pour au moins un projet, ceux des télécoms à 54% et ceux de la finance à 42%, ces derniers dépensant toutefois plus. Alors que 45% des entreprises ayant un projet de SOA auraient dépensé plus de 500 000 dollars en logiciels et services pour ce projet en 2007, 63% des acteurs de la finance ont eux dépensé plus d'un million de dollars pour leur projet SOA. Le problème, souligne Ian Findley, directeur de recherches chez AMR, est que cet argent risque d'être gâché. Interrogées sur les critères décisifs pour adopter les architectures orientées services, les entreprises ont fourni de multiples raisons, comme si chaque porteur de projet se servait des SOA comme d'une ombrelle pour justifier des dépenses supplémentaires. Auquel cas, il faudrait prendre ce ralliement autour du concept des SOA avec des pincettes, avertit Ian Findley. [[page]] En effet, d'après l'étude d'AMR Research, 16% des entreprises adoptent les SOA afin de développer une nouvelle compétence technologique, 18% parce que ce serait le meilleur moyen pour répondre aux besoins d'un projet en particulier, 17% dans le but de diminuer les coûts grâce à la réutilisation, 22% pour gagner en agilité et 14% pour moderniser leur architecture. Pour Ian Findley, cela signifie que les bénéfices liés aux architectures orientées services ne sont pas clairs et, partant, que les SOA pourraient ne pas dépasser le cadre des 'early adopters', les entreprises pionnières. « D'autres suivraient si on pouvait cristalliser les bénéfices clés », estime-t-il. Conscient que ces bénéfices pourraient être très différents selon le point de vue (du DSI, du directeur financier, du développeur, etc.), il explique : « il ne faut pas nécessairement un bénéfice commun, mais il faut que les avantages individuels soient reliés entre eux. » Autre risque de désillusion, l'enquête montre que le principal bénéfice vendu par les fournisseurs, la réutilisabilité des services applicatifs, n'est pas celui que les pionniers ont obtenu, le code écrit pour un projet n'étant pas forcément pertinent pour un autre. Du coup, les métriques utilisées pour mesurer le retour sur investissement ne seraient pas les bonnes. Le bénéfice clé, beaucoup plus délicat à mesurer, poursuit Ian Findley, est lié à l'agilité, à la capacité de répondre plus rapidement aux exigences du métier. Mais, conclut-il, la plupart constatent un gain certain, et « très peu estiment que cela n'en valait pas la peine ». (...)

(25/02/2008 15:04:00)

Ilog intègre ses composants de visualisation à AIR et flex

La famille de composants graphiques d'Ilog s'est récemment élargie pour prendre en compte les technologies de clients riches d'Adobe. Alors que la version 1 de AIR, le moteur d'exécution d'Adobe, sort officiellement aujourd'hui, Ilog annonce que son offre Elixir est désormais disponible directement auprès d'Adobe. A l'instar des autres offres de la branche visualisation d'Ilog, Elixir fournit un ensemble de composants graphiques (cartes, camemberts, histogrammes 3D, diagrammes de Gantt, etc.) à intégrer lors du développement. Il s'intègre avec AIR, la plateforme de client riche, comme avec Flex, le framework d'Adobe pour offrir une interface Flash aux applications d'entreprise. La licence est aux environs de 800$, mais une redevance est à prévoir pour les éditeurs souhaitant intégrer les composants à des applications à revendre. (...)

(25/02/2008 12:54:51)

Adobe lance officiellement son offre de clients riches

La première version d'AIR est enfin officiellement lancée. Après des mois de bêta, Adobe s'est décidé à proposer son offre de clients riches, Adobe Integrated Runtime (ou AIR, anagramme de RIA, Rich Internet Application). Un temps diffusé sous le nom de code Apollo, AIR est un environnement d'exécution à installer sur un poste client afin, premièrement, d'offrir une ergonomie digne d'un client lourd à des services proposés sur le Web, et deuxièmement d'intégrer les ressources du poste client avec celles disponibles en ligne. Le site d'enchères en ligne eBay a ainsi utilisé AIR pour son projet San Dimas (renommé eBay Desktop), qui transforme radicalement l'expérience utilisateur, puisque l'interface n'est plus contrainte par la pauvreté du HTML - même amélioré grâce aux principes Ajax. De même, SAP a mis au point Muse, une interface pour son progiciel de gestion qui uniformise l'accès aux données, qu'elles soient dans des documents bureautiques ou accessibles par le portail Web. D'autres éditeurs commencent à élaborer des offres avec AIR. Ainsi, Business Objects a mis au point des « BI Widgets », pour manipuler des données décisionnelles, tandis que Salesforce propose la boîte à outils « Force.com Toolkit for Adobe AIR » pour créer des clients riches pour son offre hébergée de gestion de la relation client. Dans sa version actuelle, AIR peut s'installer sur Windows 2000, XP et Vista, ainsi que sur MacOS X 10.4 ou 10.5. Selon Adobe, une version Linux est en développement. [[page]]Le moteur d'exécution est, tout comme Flash, librement téléchargeable. Si Adobe ne propose pas d'outil de développement spécifique, l'éditeur a tout de même procédé simultanément au lancement de la version 3 de Flex, sa technologie pour offrir des interfaces Flash aux systèmes d'information. Cette v3 marque d'ailleurs l'apparition d'une nouvelle technologie, BlazeDS, pour simplifier l'accès aux données. Si Flex se contente, côté client, d'un plug-in Flash dans un navigateur, il peut aussi être utilisé en conjonction avec AIR. AIR n'est évidemment pas le seul outil pour créer des applications riches. Microsoft propose ainsi Silverlight, ainsi qu'une suite d'outils pour développeurs et créatifs, pour enrichir l'ergonomie des sites Web. Quiksilver l'a adopté pour rendre compte d'une compétition de surf et améliorer l'expérience utilisateur sur son site de commerce électronique, tandis que la Fnac en serait encore au stade de l'expérimentation. Toutefois, seule la version 2 de Silverlight, qui intégrera le framework .Net, permettra vraiment de concurrencer AIR. Le responsable du projet chez Microsoft, Scott Guthrie, promet une première bêta publique de Silverlight 2 dans les jours à venir. Dans le même esprit - mais sans qu'il s'agisse de technologies similaires - on peut aussi signaler que Google travaille sur Gears, qui doit permettre d'utiliser ses applications en ligne en mode déconnecté, tandis que Mozilla a évoqué Prism, qui donne une apparence d'application installée à un site Web. (...)

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